Melina, travesti amateur
4 – Chez Goldevaine
par Melina
Suite à mes annonces, avec photos, Goldevaine, travesti du Mans m’a contacté pour une éventuelle rencontre… Nous avons sympathisées au téléphone et rendez vous fut pris chez elle un lundi de septembre
Donc, le matin, je me levai à 8 h 00, filai prendre une bonne douche chaude, me pomponnai (parfum, maquillage, épilation : La barbe repoussant toujours trop vite malgré la cire…) m’habillai de ma guêpière, d’un ensemble noir, de mes bottes et je pris la route direction de la capitale des rillettes.
Une demi-heure après, je sonnai à la porte de Goldevaine… Elle fut surprise de me voir en fille, car elle pensait que je serai venu en mec, me serai changée chez elle, elle n’ose pas sortir en fille…
Bon, revenons à notre histoire. Elle me fit vite entrer chez elle, peur des voisins, nous nous fîmes la bise dès la porte fermée et là, j’eus la surprise de voir une femme venir que Goldevaine me présenta comme son épouse.
Elle me sourit, me dit bonjour et me souhaita de bien m’amuser avec Goldevaine.
Donc, je suivis Goldevaine dans sa chambre et elle ferma la porte pour que nous soyons dans une plus grande intimité.
Goldevaine est plus grande que moi, elle mesure 1,80 m, elle est fine, portait une combinaison noire en vinyle, des chaussures noires à talons, elle était très bien maquillée, j’eu de suite envie d’elle…
Je me débarrassai de mon imper, m’approchai d’elle, lui caressai le visage et approchant mes lèvres des siennes je l’embrassai doucement. Nos langues se trouvèrent et s’enroulèrent lentement ensemble avant de prendre un rythme plus passionné. Je la serrai contre moi et en profitai pour la caresser totalement.
Goldevaine ne resta pas inactive et je sentis une de ses mains glisser insidieusement sur mes fesses, dépasser ma jupe pour caresser ma chair entre mes bas et ma guêpière… Elle releva ma jupe et me caressa sans honte mes fesses, je sentais qu’un de ses doigts se glissait entre mes globes accueillants.
Moi, je fis descendre la fermeture éclair de sa combinaison, et la lui fit glisser de son corps. Elle m’apparut ainsi vêtue d’une guêpière toujours en vinyle noir, de bas noirs et d’un string en vinyle noir…. Elle est assez fétichiste.
Je me laissais glisser à ses genoux, et écartant son string, je pris en bouche son clito qu’elle a imposant (18 x 4). Je le sentis durcir dans ma bouche suite à mes savants va-et-vient…
Elle me fit me relever, retira complètement sa combinaison et j’en profitai pour faire un petit strip-tease à son intention. Je retirai lentement mon pull, puis lui présentant mon dos, je fis glisser ma jupe lentement et la laissai glisser au sol, je me retournai face à elle, en guêpière et en string, et je lui envoyai ma jupe d’un coup de pied leste.
Je m’approchai de nouveau d’elle, me collai à elle, l’embrassai avec passion, et nous nous laissâmes tomber sur le lit. Nos mains parcouraient nos corps, nous nous embrassions dans le cou, sur les épaules, sur nos seins et nos bouches descendaient de plus en plus vers nos clitos. Tête bêche, nous nous suçâmes avec passion, nos bouches travaillaient avec un ensemble merveilleux sur nos clitos qui éteint tous les deux raides dans nos bouches… Mais nous arrêtâmes avant de jouir.
Me mettant en position de levrette, elle vint me lécher le cul de sa langue habile, et elle m’engoda avec un de ses godes de bonne dimension. Elle me pistonna et je pris ainsi mon pied, son gode dans le cul et sa main me branlant.
Je voulus bien entendu lui rendre la pareille, elle s’installa à quatre pattes, me tendit sa croupe et je lui léchai avec joie son petit nid d’amour. Ma langue s’enfonça en elle et je la sentais se trémousser sous mes coups de langue. Je me relevai, pris le gode et lui enfonçai dans son beau cul… il rentra comme dans du beurre, elle prend des queues et des godes de grosse dimension, plus gros que moi, car elle rêve d’un fist-fucking, donc elle se prépare en s’enfonçant chaque jour des godes de plus en plus gros….
Je la baisais donc avec le gode, et me mettant entre ses cuisses, je lui suçais son clito…. Et elle jouit elle aussi par le cul et en me déchargeant dans la bouche.
Je me précipitai donc vite vers son visage pour qu’elle puisse avoir une partie de son sperme en nous embrassant… Elle aima ce baiser gluant de sperme.
Goldevaine se leva et me demanda si je voulais quelque chose, je lui demandai un café et Goldevaine demanda à Marie (son épouse) de nous en préparer un à chacune. Nous primes chacune une cigarette et parlâmes un peu de nous, comment nous étions devenues des filles, depuis quand, etc…
Marie entra, nous déposa le café et dit que la pièce sentait fortement le foutre…
Je me levai, mon clito pendant entre mes jambes, elle le regarda, vit que j’étais entièrement épilée et dit qu’il était mignon. Elle s’installa prés de nous et papota avec nous un bon moment. Voyant que j’avais sorti mon appareil photo, elle me demanda si on en avait fait, lui répondant par la négative car nous étions trop occupées à nous gouiner, elle se proposa de nous en faire si nous le désirions. J’acceptai avec enthousiasme, malheureusement mon flash ne fonctionna pas, les piles étant mortes… elle me dit, en riant, que la prochaine fois qu’il faudrait que je fasse attention à ce genre de détails.
Puis, reprenant les tasses, elle nous quitta en nous disant que nous avions sûrement des choses à faire et qu’elle avait son ménage en cours.
Nous étions assises sur le lit, je me retournai vers Goldevaine et l’attirai à moi pour l’embrasser et la caresser à nouveau, puis nos bouches se quittèrent pour aller prendre nos clitos respectifs…
Nous étions donc là à nous sucer mutuellement, lorsque Marie entra de nouveau pour signaler à Goldevaine que Serge, un de ses amants, demandai s’il pouvait passer maintenant. Goldevaine me demanda si cela me dérangeait, lui répondant par la négative, elle partit répondre qu’il pouvait venir. Marie me signala que Serge était un bandeur mou… Elle l’avait essayé et n’avait pas vraiment pris son pied avec lui… Je lui dis que si elle voulait, moi je voulais bien m’occuper d’elle étant totalement bi… Elle me répondit que l’on verra peut-être une prochaine fois. Goldevaine ayant entendu notre conversation fut d’accord.
Nous recommençâmes à nous caresser en attendant Serge. 10 minutes après, il sonna, Marie le fit entrer et il nous vit toutes les deux enlacées entrain de nous faire des mamours… il se déshabilla en un tour de main et vint se placer devant nous.
Ayant repris une position plus chaste, nous étions assises, nous pûmes à tour de rôle le sucer et même à le sucer en même temps. Sa queue se mit à durcir et je me dis que pour un « bande mou », elle était plutôt dure !
Goldevaine, me proposa de me faire baiser par lui, je me mis en levrette, tendit ma croupe et patatras ! Il débanda en se mettant le préservatif…. J’avais l’air « fine », le cul à l’air bien offert pour rien !
Serge était embêté, mais on s’occupa donc de lui en le suçant chacune notre tour. Lorsqu’une le suçait, l’autre suçait le clito de sa sœur… nous fîmes cette position plusieurs fois et Serge jouit dans la bouche de Goldevaine, je me précipitai sur elle et lui enfonçant ma langue dans sa bouche, je pris une partie du sperme de Serge pour moi….
Il se rhabilla et nous quitta aussi vite qu’il était venu.
Avec Goldevaine, nous prîmes chacun un gode, nous mîmes en position 69, moi dessous, elle dessus, nous enfonçâmes les godes dans nos ventres et nous suçâmes jusqu’à ce que nous jouîmes l’une dans l’autre.
Bien sur, nous mélangeâmes, dans un baiser langoureux, nos propres spermes…
Marie entrant nous dit qu’il était déjà 11 h 45 et que les enfants ne tarderaient pas à rentrer. Soit, je restai enfermée dans la chambre seule pendant le pause méridienne, soit je devais m’en aller maintenant. Ayant un rendez vous l’après midi, je me levai, me rhabillai et après les avoir embrassées, je les quittai heureuse d’avoir trouvé une sœur avec qui j’allais m’entendre pas trop loin de chez moi.
Quel gentil couple sympathique :
Bisous
Melina
T’es une sacrée coquine, Mélina, je te bise !
Après les errements du chapitre 3, nous revenons a du vécu très intéressant avec ses petites péripéties qui ne s’inventent pas. J’aime beaucoup !!!
Ça sent le vécu et cela compense le style un peu gauche