Balade en forêt
par Mondoi
J’étais en balade en forêt avec un ami de longue date, un vrai ami, il avait divorcé il y a six mois et ne s’en remettait pas tellement la séparation demandée par sa femme avait été dure pour lui car elle partait vivre avec un mec plein de fric.
De plus mon ami n’avait pas rencontré de femme depuis la séparation et je voyais bien qu’il était à cran, le manque de relation sexuelles le rendait tendu et nerveux, je lui aurais bien proposé ma femme, pour un ami de cette valeur, j’étais prêt à tout mais je ne savais pas si mon épouse accepterait de me rendre ce service au nom de l’amitié. Elle l’avait apprécié dès le premier jour où je le lui avais présenté et partageait notre amitié sans jalousie, elle avait même de l’affection pour Paul mais jusqu’à quel point Hélène pourrait aller pour le sortir de sa déprime, je ne le savais pas ?
A un moment de notre promenade, je lui signalais que j’avais une envie pressante en me dirigeant vers un bosquet pour me soulager, il me dit que lui aussi et nous voila tous les deux débraguettés, la verge à la main, arrosant le feuillage, je regarde le paysage pendant ma miction et je ne sais pas pourquoi, mon regard se pose sur la verge de Paul et le long jet qui s’en échappe, gêné d’avoir regardé son outil. Je relève les yeux et m’aperçois que lui aussi regarde mon sexe, j’ai honte de m’être fait prendre, il doit penser que je suis ondiniste ou homo, je sens que je rougis et détourne le regard.
– Tu en as une belle Hubert me dit-il
Je suis abasourdis d’entendre Paul parler de ma verge en ces termes, pour moi, il ne fait aucun doute qu’il est hétéro, depuis dix ans que l’on se connait, je n’ai jamais imaginé qu’il pouvait « en être », bien au contraire, il nous est arrivé de parler des femmes et de ce que nous aimons faire au lit avec elles et je peux vous dire qu’il est aussi cochon que moi. Mais là, il me trouble, je vois qu’il continue à me regarder faire pipi et je regarde sa verge une deuxième fois, comme attiré par l’objet, je suis pris d’un doute en voyant la taille de son membre, est-il en demi-érection ou est-ce son volume normal au repos car si c’est le cas, il est sacrément monté.
– Ne soit pas gêné Hub dit-il, tu peux me regarder si tu veux, on est entre hommes, tu es mon ami et personne ne nous vois.
– Hum, quand même, je ne suis pas…
– Homo, tu veux dire ? moi non plus, mais ça ne me dérange pas de regarder une belle bite comme la tienne.
– La tienne est pas mal non plus dis donc.
– Ouai, je ne sais pas si c’est d’être dans la nature qui me fait cette effet mais j’ai une demi-molle, tu as vu ?
– Ben oui, j’étais justement en train de me demander si c’est ta taille au repos ou si tu bande ?
Il a finit d’uriner et se rapproche de moi, la queue à la main, se branlottant légèrement mais sans décalotter.
– Tu peux toucher si tu veux. propose-t-il.
– Heu, je ne suis pas homo tu le sais bien, je n’ai jamais fait ça.
– Tu es mon meilleur ami, je ne suis pas homo non plus mais avec toi ce n’est pas pareil, depuis le temps que l’on se connait, on peut être plus intimes tous les deux, ça reste entre nous, je peux toucher la tienne si tu veux, on sera à égalité ?
Il joint le geste à la parole, écarte ma main qu’il pose sur son membre et saisit mon sexe entre ses doigts, je n’ose pas protester, il est tellement gentil et prévenant, j’ai peur de contrarier son état psychologique. Je me laisse faire, de plus, mon cœur s’est mis à battre et une bouffée de chaleur m’a envahi le bas-ventre, sous la caresse de ses doigts, je commence à bander et sa verge durcie dans ma main, les contradictions s’entrechoquent. Dans mon esprit, je ne suis pas homo, je n’ai jamais touché le sexe d’un homme et pourtant mon trouble devient sensualité comme si je voulais aller jusqu’au bout de cette expérience en faisant plaisir à mon ami. Je m’aperçois que pendant que j’analysais mentalement la situation, je me suis mis inconsciemment à caresser son phallus qui maintenant est dressé vers le ciel dans une érection totale, une goutte de liquide suinte de son prépuce, ma verge aussi est tendue à l’extrême, ses doigts glissent sur toute la longueur et me font un bien fou, j’ai maintenant envie de plus, plus de caresses, plus de plaisir. Je crois que lui aussi attend de moi que je lui procure de la jouissance, il soupir d’aise à chaque mouvement de ma main sur sa tige de chair.
– Hub, je peux te demander un service, toi qui es mon meilleur ami ?
– Bien sur Paul, tu sais que tu peux me demander ce que tu veux, je suis ton ami !
– Tu sais que je n’ai pas fait l’amour avec une femme depuis des mois ?
– Oui, je le sais Paul et je te plains mais tu ne veux quand même pas que je fasse « la femme » ?
– Ho non bien que, si tu me donnais tes fesses à honorer, je te prendrais en douceur mais je me doute bien que tu es encore vierge de ce côté là et tu n’es pas encore prêt, je ne forcerais pas mon meilleur ami à accepter une relation anale, mais si tu veux bien, j’aimerais que tu me fasses une fellation, j’en rêve depuis que l’autre salope m’a quittée, elle suçait comme une reine, des pipes merveilleuses, si tu pouvais…?
– Je ne serais jamais à la hauteur de ton « ex », je n’ai jamais sucé un homme, je veux bien te faire ce plaisir en tant qu’ami mais je risque de te décevoir.
– Mais non, je suis certain que tu seras parfait, ton épouse est-elle une bonne suceuse ?
– A ça oui, une spécialiste.
– Alors fais moi ce qu’elle te fait, reproduis sur moi ses meilleurs caresses buccales et je suis sur que tu me donneras du plaisir, si tu ne veux pas que j’éjacule dans ta bouche, je ne t’oblige pas, et si tu le souhaite, je te rends la pareille après alors ?
Je ne lui réponds pas, en signe d’acceptation, je tombe à genoux à ses pieds et lui baisse pantalon et slip, je saisis la verge bandée à deux mains. Ses grosses testicules velues semblent pleine de jus, je les lèche, les poils me chatouillent le nez, je masse son dard délicatement et reproduis les préliminaires que mon épouse fait sur moi quand elle me suce dans la même position, elle fait toujours durer un peu l’attente avant de me décalotter le gland, torture délicieuse où elle me tète le prépuce, prend le gland entre ses lèvres et avale toute ma tige en laissant la peau protectrice dessus. Je fais de même à Paul, il soupir de plaisir en me caressant les cheveux puis je sens qu’il s’impatiente, je le décalotte avec mes lèvres en tirant la peau vers le bas avec mes mains, cette caresse le comble, il a un petit râle de satisfaction.
Son gland est gros, dur et parfumé aussi, comme le mien aussi après un pipi et le début d’un écoulement de liquide séminal, d’une main je le branle, de l’autre je lui masse les couilles, sa bite me remplit la bouche. Je le pompe comme fait Hélène, je salive pour que le morceau de viande coulisse parfaitement, je lèche, je suce, j’aspire et je me demande si je vais le laisser éjaculer dans ma bouche ou si je vais me laisser asperger le visage comme je le fais certaine fois avec ma femme quand elle ne veut pas avaler, elle m’a embrassée sur la bouche une fois pour me faire goutter à mon propre sperme après une pipe et je comprends qu’elle n’ai pas envie tout le temps d’avaler mon jus.
A un moment, Paul prend la main qui lui pelote les valseuses et, en écartant les cuisses, la guide vers sa raie, là encore, mon cœur fait un bon car je comprends de suite ce qu’il désire. Hélène me le fait parfois, elle me caresse les fesses, la raie, puis l’anus, j’adore cet attouchement allié à la fellation, au début, quand elle m’a fait découvrir ce plaisir interdit. J’ai cru que j’avais des tendances gay, mais elle m’a rassurée en me disant que beaucoup d’hommes hétéros aiment cette caresse, je me suis détendu et elle en a profitée pour me rentrer un doigt couvert de salive dans l’anus, j’ai jouis après quelques va-et-vient, depuis elle me fait profiter de son vibromasseur.
J’hésite un peu à lui donner ce plaisir, il faut que mes barrières de pudeur hétéros tombent une à une, j’ai déjà fais beaucoup en acceptant de lui tailler une pipe mais je sais aussi la jouissance que le touché rectal donne et je cède à sa demande muette. Son orifice est souple, à peine contracté, comme s’il attendait la pénétration depuis longtemps ou comme si Paul avait déjà goutté à la sodomie, peut-être comme moi avec une femme et un vibro, il est vrai que mon anus depuis le temps est plus accueillant aux doigts d’Hélène et à son jouet.
Après quelques massages sur sa rondelle, je lubrifie sa petite entrée plusieurs fois avec de la salive, maintenant il est prêt et doucement je lui rentre mon index dans les fesses, je l’entends miauler.
– Humm ouiii, vas y, c’est bon, enfonce le….
J’accélère mon pompage de bite et le branle plus férocement pendant que mon doigt coulisse dans son sphincter, démultipliant son plaisir, il s’accroche à mes cheveux et donne la cadence à ma bouche sur sa verge épaisse, je le doigte profondément, agite mon index dans son cul. Je sais qu’à ce rythme, il ne va pas tarder à éjaculer et je me prépare mentalement à recevoir son foutre dans ma bouche, et oui, je veux connaître ça, une éjac avalée, du sperme dans la gorge, le goût sur ma langue et mon palais, je deviens chienne, quitte à sucer, autant aller jusqu’au bout, quand Hélène va savoir ça !
– Ahhh, ça vient, hummm, je vais tout lâcher, avale, avale tout ouiii
Je l’ai senti venir, je lui ai mis mon pouce à la place de l’index et ses spasmes m’ont averti de l’arrivée de son jus, il avait à peine crié que le foutre a giclé, une marée de sperme chaud et gluant au gout salé, il y en avait trop, je me suis reculé et j’ai pris le reste sur le visage.
Puis mon tour est venu, j’avais une sacré envie, il m’a fait les même caresses et j’ai eu le droit au doigt dans les fesses aussi, lui ne c’est pas gêné pour m’en mettre deux à la fin et il a avalé tout mon sperme. En chemin pour la maison, il m’a avoué qu’il avait eu une relation avec un homme et qu’il avait été sodomisé devant sa salope d’ex-femme, il avait aimé mais n’était pas devenu homo pour autant, il me demanda même, si un jour je décidais de goutter à la sodomie profonde, d’être le premier à me le faire en tant qu’ami de longtemps, je lui en fis la promesse, c’est mon meilleur ami, il est vraiment attentionné. Je vais en parler à mon épouse, je voudrais qu’elle aussi lui offre ses fesses après l’avoir sucé, il mérite un tel cadeau.
Ben oui, on peu être hétéro et apprécier une bonne bite de temps en temps !