Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne – 6 – Coquineries et coup de pelle par Maud-Anne Amaro
Je rejoignais ensuite le baron Albert afin de lui faire sa lecture.
– Qu’est-ce qu’on lit aujourd’hui ?
– Encore Verlaine, je ne m’en lasse pas, ma petite Julie.
– D’accord ! Camilla m’a indiqué que cela vous ferait plaisir si je vous prodiguais un petit câlin.
– Cela me ferait un très grand plaisir !
– Eh bien mettez-vous à l’aise, je vais m’occuper de vous.
– Je vais me mettre complétement nu ! Précise le baron, j’aime bien.
– Je vous en prie.
– Sans doute devriez-vous faire de même ?
– Vous désirez me voir nue !
– Oui !
Qu’à cela ne tienne, je me fous à poil, alors évidemment il me pelote les nichons, ce doit être un réflexe pavlovien.
– Ils sont beaux !
– Je ne vous le fait pas dire.
– J’adore peloter des beaux nichons.
– Je vois ça.
– Turluttez-moi, s’il vous plaît !
– J’allais le faire.
J’ai donc englouti son machin et j’avoue que ça n’avait rien de désagréable, je lui titillais le gland, léchait la verge, gobait les couilles et bien sûr pompait tant que je pouvais, je sentis son plaisir monter mais il me fit stopper, le baron voulait jouir d’une autre manière.
– La sodomie vous dérange-t-elle ?
C’est gentil de demander !
Je lui ai précisé que ça ne me dérangeait pas pourvu qu’il fasse preuve de délicatesse.
– Je vais d’abord vous lécher le trou du cul.
– Euh, il n’est peut-être pas très net.
– Peu importe, j’adore les odeurs naturelles, tournez vous que je puisse voir.
Je lui exhibais donc mon trou du cul.
– Oh qu’il est beau ! Vous ne trouvez pas ?
– C’est-à-dire que je n’ai pas si souvent l’occasion d’examiner le trou de mon cul.
– Vous avez tort, il est charmant
Et donc après une lubrification à grands coups de langue, il m’encula de si belle façon que contre toute attente je jouis presque en même temps que lui.
– Vous enculez fort bien, monsieur !
– Merci !
Il s’établit alors une situation de grande complicité entre le baron, Camilla et moi avec le genre de phrases de circonstances
– Si tu as besoin de quelque chose, si tu as des ennuis tu pourras toujours compter sur moi.
Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’une sourde…
Un jour j’attendais Sébastien, le fils du voisin qui m’avait dragué à la fête du village, il n’est jamais venu et j’en fut désappointée.
Sur le chemin du retour je croisais ma fille Solène qui me voyant toute triste se mit en devoir de me consoler derrière une grosse botte de foin.
Ce fut d’abord de tendres bisous avant que les caresses deviennent hardies. De façon presque imperceptible les gestes devinrent interdits, baiser sur la bouche, mains sur les seins, puis sur le sexe. Le tabou de l’inceste était brisé.
– C‘est peut-être mal ce que l’on fait, maman ?
– Du mal ? Mais à qui ferions-nous du mal ?
– Alors pourquoi c’est interdit ?
– Ce n’est pas interdit, c’est tabou et pourquoi c’est tabou, Dieu seul le sais mais comme Dieu n’existe pas, ça reste un mystère.
– Je peux te caresser la chatte alors ?
– Bien sûr que tu peux me la caresser, tu peux même y entrer un doigt
– Oh, c’est tout mouillé !
– Ben oui, tu n’es pas mouillé, toi ?
Et je m’empressais de vérifier.
– Dis donc, tu n’es plus vierge, toi ?
– Ben non !
– Et qui donc a eu l’honneur de te dépuceler ?
– Bof, un connard, pas envie d’en parler.
On n’en a donc pas parlé et on s’est doigté mutuellement comme des vieilles goudous.
C’est quasiment par réflexe qu’on a ensuite été plus loin, en soixante-neuf bouche contre chatte, on s’est brouté le minou jusqu’à la jouissance avant de nous échanger un long baiser baveux. Une situation que j’ai adorée !
Nous étions malgré tout un peu honteuses toutes les deux de ce que nous avions fait mais nous avons recommencé… et pas qu’une seule fois .
Jusqu’au jour où Régis, le fils du notaire, un jeune homme un peu simplet nous a surpris.
– Salut, je peux me joindre à vous ?
– Fous le camp… et tu n’as rien vu. .d’accord ?
– Je ne dirais rien si vous me laissez une petite place.
Nous voilà bien embêtées, Solène me souffle à l’oreille que si on l’envoie de nouveau promener, il est capable d’ameuter tout le quartier et de raconter ce qu’il a vu…
– Tu peux regarder mais c’est tout ! Lui dis-je.
– Comment ça, c’est tout ? Je ne suis pas assez bien pour vous ?
– Ne te plains on te laisse nous regarder ce n’est pas si mal… Et t’as même l’autorisationt de te branler en même temps
– Moi, je veux baiser ! Eructe-t-il la bave aux lèvres
Ça devient chaud !
Et le voilà qui s’approche…
– Fous le camp ! Lui fit Solène.
– Sales gouines, je vais vous démolir.
Il se saisit d’une pelle de jardinage qui trainait à côté et s’avance menaçant.
Tout a été ensuite très vite, je ne sais trop comment… Solène lui attrape la jambe, le déséquilibre et le fait tomber, il lâche sa pelle qui voltige et lui retombe dessus, la lame lui tranchant la jugulaire.
– Mais… Tu l’as tué ?
– Je ne voulais pas, c’est un accident.
– On file d’ici.
Elles repassèrent à la maison familiale afin de prendre quelques affaires et un peu d’argent.
Elles se débarrassèrent ensuite de leurs téléphones portables afin que l’on ne les piste pas et se réfugièrent provisoirement dans une cabane abandonnée dans la forêt.
Le lendemain on découvrait le cadavre de Régis
La gendarmerie enquête, elle découvre le journal intime de Régis sur lequel il notait tout, y compris pas mal d’affabulations, mais ils vérifient tout, procèdent à des tests ADN auprès du voisinage. Et entreprennent des battues avec des chiens.
Nous avons donc pris la décision de nous réfugier au château le plus discrètement possible.
Le baron nous a écouté et semblait ravi de faire la connaissance de Solène.
– J’en n’ai plus pour longtemps à vivre, au cas où il m’arriverait quelque chose, je vais vous montrer les secrets du château. Nous confie-t-il.
Et c’est là qu’il nous a fait découvrir la chambre secrète et le moyen d’y accéder, il m’a aussi révélé l’existence d’un passage secret permettant de s’enfuir discrètement.
Il ne demandait rien en échange mais ses yeux concupiscents parlaient pour lui…
A suivre
Tout cela est fort bien torché ‘i je peux me permettre)
Je me suis bien branlé en lisant ça !