La douche de Julie (d’après une histoire de Kevin Sellers)
Des geysers d’eau jaillissaient en cascade sur les seins de Julie, et sur un coup de tête, elle tendit la main pour prendre ses gros seins et les pousser vers l’extérieur sous le jet ruisselant, sentant ses mamelons se raidir de plaisir inexorable.
Julie était fière de ses seins, et elle avait certainement des raisons de l’être. Leur fermeté n’avait pas diminué d’un iota au fil des ans. À 37 ans, elle avait toujours les seins les plus attirants de toutes les femmes de sa génération dans le quartier. Ils dépassaient, mûrs et gonflés, ils palpitaient pour attirer l’attention, ses gros mamelons roses se dilatant durement et longuement.
Son pouls s’accéléra. Elle sentit sa chatte crémer, sentit le précieux jus de chatte suinter de sa chatte et couler sur ses cuisses
Elle fit couler le jet de la douche le long de ses jambes. Presque sans réfléchir, elle passa ses pouces sur ses mamelons raides, haletant alors qu’ils tremblaient et dépassaient de plus d’un pouce de longueur. Elle les pinça légèrement, appréciant la chaleur qui se répandit dans son corps.
Puis elle laissa ses mains descendre le long de son ventre pour effleurer son épais pubis et pousser entre ses cuisses trempées jusqu’à sa chatte humide.
« Euh… »
Frissonnant de plaisir, elle fit rouler son pouce dans un mouvement circulaire sur son clitoris rigide, le torturant avec une ferveur croissante tandis qu’elle enfonçait deux doigts dans l’entrée de son trou du cul et commençait à glisser dedans et dehors.
Quand elle les ressortit, ce fut pour les lécher et les nettoyer avec frénésie.
« Ohhh, oh mon Dieu, oui… » haleta-t-elle alors que ses doigts avaient désormais complètement disparu dans sa chatte.
Elle grattait joyeusement son gros clitoris à capuchon jusqu’à ce qu’il devienne frénétique et, en quelques instants, la première vague d’orgasmes la traversa.
« Oui ! Oui, c’est ça ! Oh, ahhh… » Haletant et se cambrant sous la douche, et l’image d’être baisée par une jeune bite raide tourbillonnant dans son esprit, Julie jouissait encore et encore pendant qu’elle baisait son sexe dans une libération béate. « Tellement doux, putain, oui, mon Dieu, oui, plus, plus ! » Un torrent de crème de chatte trempa sa main alors qu’elle tremblait de joie.
Puis elle l’a vu…
Au milieu de son orgasme puissant, elle vit son fils Daniel dans le reflet du miroir. Il se tenait dans l’embrasure de la porte, ses yeux bleus écarquillés et sa bouche béante.
Mais Julie savait qu’elle ne pouvait pas arrêter ses orgasmes. Et elle savait que son fils pouvait voir ses doigts s’enfoncer profondément dans sa chatte. Savoir que son fils unique la regardait comme ça augmentait ses sensations orgasmiques au-delà de toute croyance.
Relâchant ses sphincters, Julie fit jaillir sa pisse sur ces cuisses. Sa main vint à la rencontre du jet dorée qui s’imprégna du précieux liquide. Elle la lécha d’un air satisfait.
« Ohhh, putain ! Oh, ma chatte ! » cria-t-elle, assez fort pour qu’il puisse l’entendre. « Ohhh, ma putain de chatte ! J’adore faire jouir ma chatte ! » Se tordant de bonheur sexuel, elle cria dans un pic d’extase, ses doigts pompant follement dans sa chatte bouillonnante.
Une fois que la dernière explosion de son puissant orgasme l’eut traversée, elle réalisa ce qui venait de se passer.
Daniel venait de voir sa propre mère se branler. Il l’avait regardé doigter sa chatte humide et jouir juste devant lui. Et il avait vu sa mère savourer chaque seconde orgasmique de ce moment.
Mais au lieu de réagir avec choc, Julie fut surprise de trouver un étrange sentiment de satisfaction se répandant dans son corps, aidé par les doigts qui frémissaient encore dans sa chatte tremblante.
Puis, une impulsion inattendue la frappa.
– Viens, Daniel, viens lécher Maman !
Fin (et à vous d’imaginer la suite)
j adore voire des femme faire l amour avec leur chien je suis peut etre zoophile un jour je me promenai a la campagne j ai vu une brebie sur le bord du chemin elle ne bouge pas je voyai son sexe j ai eu une erection tres forte je pance qu elle etait en chaleurca etait plue fort que moi je l ai baisé vraiment que s etait bon j ai santie quond elle a jouie j ai jouis tratiquement a méme tempts j ai gardé un tres bon souvenir
Tout est dit sans surenchère inutile, c’est très beau