Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne – 5 – Le coursier du traiteur par Maud-Anne Amaro
Mais c’est qu’il y a une suite, le lendemain le coursier revenait récupérer les plats et les couverts… Camilla étant sortie faire des courses, c’est le baron qui ouvrit au livreur, et ce dernier y alla au culot.
– Vous savez je ne suis qu’un modeste coursier, mais je donnerais cher pour pouvoir participer à des petites sauteries comme celle que…
– Oui, ça va j’ai compris…
– Bon, désolé, je ne vous ai rien dit.
– Vous avez quel âge ?
– 20.
– Vous avez une petite amie ?
– Non, pas en ce moment.
– Et qu’est-ce qui vous intéresse dans le sexe ?
– Un peu tout : les femmes, les hommes, les petites misères.
– Vous finissez à quelle heure ?
– Tard, mais j’ai une longue pause entre 15 et 18 heures.
– Vous êtes raciste ?
– Non pas du tout, pourquoi cette question ?
– Donc vous pourrez apprécier les charmes de Camilla…
– Ah ! Oui très bien ! Mais je n’ai pas un gros budget…
– Mais qui vous parle d’argent ? Quoique si… les putes ils faut bien les rétribuer, vous lui donnerez 20 balles, c’est symbolique mais ça lui fera plaisir.
Monsieur Albert lui a donc demandé de repasser à 15 heures, et c’est tout émoustillé que le garçon qui se prénommait Patrice se présenta à l’heure dite et je fis entrer au salon.
– Te voilà donc, petite salope ! L’interpella de suite monsieur Albert.
– Oui je suis une petite salope ! Confirma Patrice. (pas contrariant le garçon !)
– Alors à poil !
– Là tout de suite ?
– Non, l’année prochaine, allez dépêche-toi !
Le jeune homme se déshabille, exhibant une bite demi molle.
– Camilla fait moi bander ce pédé !
Je me suis d’abord dépoitraillé afin qu’il puisse profiter de la vue de mes beaux nichons, (il a eu l’air d’apprécier) puis je lui ai tordu ses tétons, il nous a fait une vilaine grimace, mais n’empêche que sa bite est devenue toute raide.
– Oh ! Le bel organe ! S’écria le baron en s’en approchant pour le porter en bouche
Inutile de préciser que Monsieur Albert se régala, il adore sucer des bonnes bites bien raides ! Il se la serait volontiers logé dans son cul, mais cela pouvait attendre, il avait envie de s’amuser un peu auparavant.
Il m’a demandé de l’attacher sur une chaise, puis m’étant complètement déshabillée, je suis venue lui faire une lap dance, usant de toute la gamme du genre, frôlement de mes nichons contre son torse, tétons venant sur ses lèvres et bien sûr chatte contre bite, et c’est rien de le dire que le gars bandait comme un sapeur. J’avoue que j’étais moi aussi très excitée par ce petit jeu et que je commençais à mouiller comme un parapluie.
Monsieur Albert s’était déshabillé lui aussi et s’astiquait la nouille, mais sans précipitation, il adore faire durer le plaisir.
– Camilla, arrête de faire ta pute, et mets-lui des pinces.
On avait mis de côté des pinces à linges de toutes les couleurs, alors j’ai commencé par ses tétons.
– Ça fait mal hein ? Petit pédé ?
– Oui, mais ça fait rien, c’est bon.
Du coup j’ai repris deux autres pinces pour les superposer, il a grimacé, mais supporté. Je ne me suis pas arrêté en si bon chemin et lui en ai fixé un sur chaque couille.
– Ouille, ouille, ouille.
– Ta gueule, tu aimes ça !
Monsieur Albert s’est approché de lui, pine en avant.
– Suce ma bite, pédé !
Il ne se le fait pas fait dire deux fois et lui a engouffré le chibre avec un plaisir évident. C’est fou le nombre de mecs qui aiment sucer des bites, mais ils ne le crient pas sur les toits !
– Hum, mais c’est qu’elle suce bien, cette petite salope !
– Oh, oui traitez moi de salope, ça m’excite !
Au bout d’un moment, monsieur Albert demanda au jeune homme de se retourner et il me tendit la cravache, pas besoin de me faire un dessin, je pris un petit plaisir sadique à rougir ce petit cul.
– Maintenant couche toi par terre, et ouvre bien la bouche, Camilla va te donner à boire.
– Oh oui !
Il y en comme ça pour qui les jeux de pipi n’ont rien ni d’une punition, ni d’une humiliation, ce serait même plutôt une offrande. Et ma foi, je ne peux qu’approuver.
Je gratifiais donc ce gentil jeune homme de mon petit pipi qu’il avala avec gourmandise.
Et c’est là qu’il me demanda si je n’avais rien de plus consistant à lui proposer.
Le souci c’est que, si je n’ai rien contre les délires scatos, je ne chie pas à volonté, je lance un regard interrogateur vers monsieur Albert qui me demande d’essayer.
OK j’essaie, je me mets à califourchon au-dessus du gars et je pousse, je sens que je peux faire une petite crotte, je pousse, je pousse, je sens que ça va venir, ça vient, ça dégringole sur son torse, je pousse encore… plus rien.
Je ramasse l’étron, le lui tends. lui propose de lécher, il le fait, c’est un cochon, un gros cochon.
Monsieur Albert n’en pouvait plus d’excitation, il ordonna au jeune homme de se mettre en levrette, puis après lui avoir copieusement léché la rondelle il l’encula à la hussarde. C’est trop excitant de voir deux hommes s’enculer !
Fin du récit de Camilla.
– Eh ben dis donc quel cochon ce baron !
– C’est un brave homme, il est un peu obsédé par le sexe, ça ne me dérange pas j’y trouve mon compte, tout le monde peut y trouver son compte…
Je la vois arriver avec ses gros sabots ..
– T’as vu comment il te regarde ?
– J’ai vu, oui…
– Il n’aura jamais un geste déplacé, mais si tu faisais le premier pas…
– Ben continue ta phrase.
– Il est plutôt généreux…
– C’est lui qui t’a missionné pour me faire ce genre de proposition ?
– J’avoue !
– Je ne suis pas une pute.
– Tout de suite les grands mots, c’était juste une suggestion, si ça te choque considérons que cette conversation n’a jamais existé.
– Et en admettant que j’accepte, il faudrait que je fasse quoi ?
– Une pipe !
– Je ne dis pas oui, je ne dis pas non, je vais voir…
Au diable les préjugés, je ne vois pas pourquoi je ferais la fine bouche (c’est le cas de le dire !) devant de l’argent facile.
A suivre
C’est bien d’être coursier, on fait parfois des bonnes rencontres
Comme quoi être coursier chez Diffa-Pizza offre quelques avantages… en nature