A bientôt 30 ans, je venais enfin de décrocher un job sérieux dans une
entreprise informatique. Le travail était intéressant et je me sentis vite à
l’aise avec mes nouveaux collègues. La majorité était des hommes sauf au
service des relations humaines ou là je fis la connaissance d’une fille
sublime. Nathalie devait avoir dans les 38 ans, mignonne comme tout, un
corps de déesse et surtout des jambes magnifiques avec des pieds que je
devinais adorables, nous étions en février et elle portait le plus souvent
des bottes ou alors des escarpins avec des bas. Aimant les femmes très
féminines et étant particulièrement fétichiste des pieds et des chaussures
je ne pouvais manquer ce détail. Nous avons vite sympathisés et nous nous
retrouvions souvent à la cafétéria. Mes collègues me charriaient me disant
que je n’avais aucune chance étant donnée que Nathalie était lesbienne et
que tous les dragueurs de l’entreprise s’y étaient cassés les dents. J’avais
du mal à y croire et je la trouvais plus belle de jours en jours. Il me
tardait que les beaux jours arrivent que je puisse enfin admirer ses pieds,
je n’en pouvais plus d’espérer la voir quitter sa chaussure pour au moins
apercevoir la naissance de ses orteils.
Les mois passèrent et un jour d’avril particulièrement clément elle arriva
au bureau jambes nues avec une paire d’escarpins blancs bien découpé sur le
dessus des orteils. J’étais aux anges et je n’arrivais pas à détacher mon
regard de ses chaussures, je suis sûr qu’elle s’en rendit compte mais ne fit
aucun commentaire. Ce jour là était vraiment mon jour de chance. Pendant que
nous étions accoudés à une table bar à la cafétéria et comme j’avais
toujours les yeux fixés sur ses pieds, je la vis retirer doucement son pied
de son escarpin et le poser sur celui-ci. Je crus défaillir, ses orteils
étaient comme je les avais rêvés, magnifiques avec un vernis rouge sang et
comble du bonheur une bague sur le 2eme orteil. Je luttais pour que mon
trouble ne se remarque pas mais pour un rien je me serais jeté par terre
afin d’adorer ces merveilles.
Les semaines qui suivirent ne m’apportèrent rien de plus, je souhaitais de
tout cœur que la température augmente pour que je puisse enfin la voir
porter des sandales ou des chaussures à lanières. Une fois pourtant elle
arriva avec une paire de mules fermée style Santiag et je pus admirer ses
plantes de pieds et quelques fois la base de ses adorables orteils quand
elle laissait pendre sa mule au bout du pied. Nous étions presque fin mai.
Un samedi après midi je me baladais dans un grand magasin toujours à scruter
le sol à la recherche de mon plaisir quant une voie m’interpella. En me
retournant j’aperçus Nathalie chargée de paquets qui me faisait des grands
signes. Mon cœur bondit et je m’approchais d’elle avec un grand sourire tout
en gardant un œil vers le sol. Il me semble que mon sexe s’est durcit
instantanément. Aujourd’hui il faisait particulièrement chaud et enfin elle
portait des chaussures extraordinaires. Des mules transparentes et ouvertes
devant avec un talon vertigineux. Ses pieds étaient entièrement visibles
avec un vernis rosé sur les ongles, toujours sa bague d’orteils et une
chaînette à la cheville, en clair tout ce qui me fait fantasmer.
– Salut Jean-Louis, ça me fait plaisir de te voir, viens allons prendre un
verre sur la terrasse d’à côté.
Moi la voir me faisait plus que plaisir, j’étais transporté comme dans un
rêve. Je la suivis et nous nous installâmes à une table un peu à l’écart.
Après avoir commander nos consommations nous discutions de choses et
d’autres. J’avais toujours le regard vers le sol, j’étais hypnotisé. Et ce
qui devait arriver arriva, elle me dit :
– Tu as l’air fasciné par mes chaussures !
J’étais rouge de honte mais je sautais sur l’occasion.
– Oui elles sont magnifiques, elles mettent super bien tes pieds en valeur !
– C’est très rare qu’un homme s’intéresse à cette partie du corps, mais j’ai
déjà remarqué que toi tu avais souvent les yeux rivés vers mes pieds, tu ne
serais pas un peu fétichiste par hasard ?
J’étais bel et bien démasqué, mais elle ne semblait pas être fâchée, ce qui
me donna un peu plus de courage.
– Tu as raison, j’adore les pieds des femmes, et je suis particulièrement
sensible aux soins qu’elles y portent tel que vernis, bague et bien sur
chaussures. Les tiens sont magnifiques !
– Merci, c’est très gentil, ma petite amie aussi adore mes pieds !
Je marquais un temps d’arrêt, elle me regardait du coin de l’œil et
attendait ma réaction. J’étais un peu pris de court et je ne savais pas quoi
répondre. Elle dissipa mon trouble.
– Allez on se connaît assez maintenant pour ne plus se faire de
cachotteries, les autres au bureau ont du te dire que j’étais lesbienne, ça
les énerve assez, mais je n’ai aucune honte, je suis avec Sophie depuis deux
ans et nous sommes très amoureuses l’une de l’autre. Mais je te choque
peut-être ?
– Non, non pas du tout je suis très sensible à tout ce que tu me dis et ça
me fait plaisir que tu aies confiance en moi. Que tu sois lesbienne ne me
dérange pas du tout pourvu que tu sois heureuse, mais je n’aurais jamais le
bonheur d’adorer tes pieds !
– Ecoutes Jean-Louis je t’aime beaucoup et je te propose quelque chose, ma
copine adore qu’on se câline les pieds, et moi aussi d’ailleurs et si elle
est d’accord je te propose que nous le fassions devant toi, tu pourras te
masturber mais pas le droit de toucher, qu’en dis-tu ?
J’avais la bouche grande ouverte et je me demandais si j’avais bien compris
sa proposition ou si je l’avais seulement rêvée. Voir deux femmes se
dorloter les pieds était pour moi le fantasme le plus fou et je m’entendis
répondre :
– Oui avec plaisir !
– J’en parle à ma copine et je te tiens au courant. Ne fais pas cette tête,
j’ai envie de te faire plaisir, tu as l’air de quelqu’un de si sensible, je
t’aime beaucoup !
Elle se leva, me posa un bisou sur la bouche et me souhaita bonne journée.
Je lui dis à bientôt et restai assis seul à la table toujours aussi
abasourdi par sa proposition.
Le reste du week-end se passa comme dans un rêve, j’ai du me masturber
plusieurs fois tellement j’étais excité. Etait-elle sérieuse, il me semblait
que oui, c’est pas le genre à faire des plaisanteries de se type. Mais son
amie allait-elle accepter, après tout elle ne me connaissait pas, pourquoi
réaliserait-elle mon fantasme ? Toutes ces questions qui n’arrêtaient pas de
me passer par la tête. Il me tardait lundi pour savoir si j’avais des
chances de concrétiser cette extraordinaire expérience
Quand nous nous sommes retrouvés pour prendre un café à la pose de 10 h je
ne tenais plus en place.
– Tu as vu Jean-Louis, j’ai remis les chaussures qui te plaisent !
– Tu sais bien Nathalie que c’est la première chose que j’ai remarqué, tu
vas me faire mourir !
Je n’osais lui demander si elle avait parlé de son idée à son amie.
– Ne t’impatiente pas, j’ai expliqué mon idée à Sophie et elle est d’accord,
je suis sûre que ça l’excite même, elle aimerait bien discuter avec toi du
fétichisme des pieds. Je te propose de prendre l’apéritif vendredi soir chez
moi, nous ferons mieux connaissance.
Je baignais dans le bonheur, la concrétisation de cette expérience se
rapprochait de plus en plus et je commençais à y croire sérieusement.
– D’accord Nathalie vendredi soir, mais la semaine va être plus que longue !
– Ne t’inquiète pas j’essaierai de la rendre le plus agréable possible !
Effectivement tous les jours Nathalie portait des chaussures plus sexy les
unes que les autres. Un jour une paire de sandales à lanières, un autre des
mules à deux brides qui rendait son pied sexy au possible. Toujours des
chaussures avec un talon haut voir très haut avec du vernis différant mais
chaque fois excitant, sans oublier la chaînette à la cheville et une bague
d’orteil que je rêvais de retirer avec mes dents. Quand nous étions seuls,
elle s’arrangeait pour sortir son pied et remuer les orteils. Elle riait
quand elle voyait dans quel état je me trouvais et tout cela est devenu un
jeu entre nous. Ce qui fait que la semaine passa relativement vite.
Le vendredi soir arriva, et lorsque j’entrais dans l’appartement de Nathalie
j’avais encore du mal à réaliser ce qui m’attendait.
Sophie est une fille charmante plus petite que Nathalie elle est aussi un
peu moins belle mais ses jambes étaient magnifiques et ses pieds tout aussi
charmants excitants au possible et ornés aussi de vernis et d’une bague.
J’imaginais déjà les deux filles se lécher les pieds et mon excitation
allait grandissante. Après les présentations et l’échange de banalités
Sophie me demanda.
– Alors qu’est ce qui t’excite quant tu regardes les pieds d’une fille ?
– Je trouve que la courbe d’un pied est magnifique, l’alignement des
orteils, la douceur de la peau. J’adore aussi tout ce qui peut le décorer :
Le vernis, une bague, et naturellement les chaussures à hauts talons qui
force la cambrure et qui laisse libre cours à toutes sortes de fantasmes. De
plus les pieds sont une zone érogène très sensible et je crois qu’une fille
peu atteindre l’orgasme en se faisant sucer les orteils. Et comble du
bonheur je suis au 7ème ciel quant je vois deux filles se lécher les pieds
et se masturber avec leurs orteils…
Je ne me sentais pas gêné du tout et j’avais envie de tout dévoiler les
plaisirs que je pouvais prendre, des révélations que je n’aurais jamais cru
pouvoir faire une heure auparavant, mais ici avec ces deux sublimes filles
qui m’écoutaient et semblaient s’y intéresser, je me sentais prêt à tout.
Elles échangèrent un regard et se levèrent.
– Tu nous rejoins dans 5 minutes dans la pièce de fond ! Me
lança Nathalie, et elles disparurent.
J’étais excité comme pas possible, ne pouvant croire ce qui m’arrivait. Peut
être que j’avais droit à une monstrueuse farce, en rentrant dans cette pièce
j’allais retrouver tous les collègues du bureau criant ‘poisson d’avril’. Ou
alors c’est bien aujourd’hui que je vais réaliser mon plus grand fantasme.
Les 5 minutes étant passées, je me dirigeais vers la pièce indiquée,
poussais la porte, et là vision sublime : Nathalie est allongée sur le dos
sur ce qui semble être une table de massage. Elle est entièrement nue à part
une paire de sandales transparentes. Elle a un corps superbe, des seins
assez volumineux, un peu comme je les imaginais. Son sexe est complètement
épilé ce qui ajoute encore à mon excitation. Sophie est exactement dans la
même tenue et placée à côté de la table elle enduit le corps de Nathalie
d’une huile dont l’odeur de lavande embaume la pièce.
– Mets-toi à l’aise ! Me dit Sophie. Assied toi sur le canapé et regarde !
Nathalie est luisante d’huile, Sophie frotte ses seins contre ceux de son
amante qui commence à gémir doucement. Je suis entièrement nu sur le canapé
avec le sexe au garde à vous, n’osant pas me toucher de peur de déclencher
un orgasme trop rapidement. Sophie s’approche des pieds de Nathalie et lui
retire ses sandales. Elle y verse une grosse quantité d’huile et commence à
les masser amoureusement. Nathalie a l’air d’apprécier et se tourne vers moi
avec un regard déjà bien embué. Mon sexe est tendu à l’extrême et je crus
défaillir quand Sophie se pencha et commença par sucer un à un les orteils
de son amie. Le spectacle est magnifique et je me masturbe lentement.
Nathalie me regarde toujours et me dit entre deux soupirs
– S’il te plaît ne jouis pas tout de suite, nous avons encore une surprise !
Vraiment quelle journée ! Sophie a maintenant pris complètement possession
des pieds de Nathalie. Elle lèche, suce, embrasse, le talon, la plante de
ses deux magnifiques pieds. Elle passe et repasse sa langue entre chaque
orteil tantôt avec douceur tantôt avec plus de vigueur. Je n’imaginais pas
qu’un tel spectacle serait aussi existant à observer. Mon sexe me fait mal,
et je suis au bord de l’explosion, mais je lutte me rappelant les paroles de
Nathalie. Tout en adorant le pied gauche de son amie, Sophie se dresse dans
ses chaussures, approche le pied droit de son sexe, fait pénétrer le gros
orteil dans son vagin et commence à se masturber avec beaucoup de bonheur.
Nathalie est de plus en plus agitée, une main disparaissant dans son sexe
maintenant totalement ouvert. Je ne sais pas combien de temps dure ce
spectacle mais Sophie me regarda et voyant que je ne pouvais plus me retenir
abandonna les deux objets de sa passion, pris Nathalie par la main et toutes
les deux s’approchèrent. Elles s’assirent de chaque côté de moi sur les
accoudoirs et posèrent chacune un pied sur mon membre gonflé et un autre
pied entre mes lèvres. Je pouvais mourir maintenant j’étais dans un autre
monde. Je léchais avidement ses deux magnifiques pieds, ils avaient une
délicieuse odeur de cuir et huile de massage mêlées. Je parvins toutefois à
ouvrir les yeux pour voir mon sexe brillant d’huile, que Sophie avait
rajoutée, serti entre les magnifiques plantes de mes amies. Les dix orteils
entouraient mon gland luisant et après quelques allers et retours je jouis
comme jamais auparavant, mon sperme explosa et recouvrit les deux pieds qui
continuaient toujours à me caresser.
Je crois avoir eu le plus grand orgasme de ma vie, j’étais dans la quatrième
dimension. Quand je rouvris les yeux, mes deux amies avaient rejoint la
table du massage et, recouvertes d’huile, elles jouissaient dans un
merveilleux 69.
Après toutes ces émotions elles me prirent par la main et nous rentrâmes
tous les trois sous la douche.
A suivre peut-être
Fetichic
Un bel hommage à nos gentils pieds-pieds !
J’aimerais lecher tiens maud