Clotilde
16 – Journée mouvementée
par Fafalecureuil
Karine, se retrouva bien vite avec quatre sexes autour d’elle, Angélique étant délaissée quelques instants. Elle se leva et vint vers moi, je me fistais, jambes écartées au maximum et lorsqu’elle arriva et commença à s’allonger sur moi, mon plaisir monta rapidement. Sa peau contre ma peau, ses mains triturant mes tétons durement… Soudain, alors que j’allais jouir, elle se releva et me prit par la main. Je me levais et elle m’emmena au milieu de la cour.
– Clotilde, mets-toi à quatre pattes sur la palette.
– Ici, dans la cour ?
– Bien sûr…
Je me mis à quatre pattes, un peu plus loin, je voyais Karine toujours à genoux et toujours à l’action. Angélique se saisit d’une corde et assez brutalement écarta mes jambes au maximum. Rapidement, la morsure de la corde se fit sentir sur mes chevilles, puis sur mes poignets. Elle enserra ensuite mon bassin, me forçant à me cambrer au maximum. Je me retrouvais ainsi offerte à la vue de tous. Bien sûr elle ne tarda pas à appeler les quatre hommes qui approchèrent. Je me réjouissais déjà mais Angélique les arrêta.
– Non, attendez, prenez-nous devant elle messieurs, en aucun cas elle ne doit être touchée, du moins pour l’instant…
– Et pourquoi pas ?
– On va dire que c’est un jeu, si tu n’es pas content, tu peux partir…
– Ok, ok…
En même temps, il se retrouva bien vite à besogner Karine qui hurlait des obscénités qui me surprirent. Et moi, strictement incapable de me donner du plaisir je dus assister aux assauts répétés et plutôt violents des 4 mâles sur mes amantes qui jouirent plusieurs fois et se retrouvèrent couvertes de foutre à s’embrasser à pleine bouche à quelques centimètres de mes yeux.
Angélique remercia leurs « bienfaiteurs » et glissa quelque chose à l’oreille de l’un d’eux. Ils repartirent bientôt, le sourire aux lèvres. Angélique se tourna vers moi.
– Tu te rappelles ?
– Je crois que je sais ce que tu veux…
– Alors attends-moi un instant.
Elle monta avec Karine, pendant de longs moments je restais seule à imaginer ce qu’Angélique avait prévu de me faire subir. Elles revinrent, toujours nues, portant un grand sac. Angélique s’approcha de moi, et m’enfourcha.
– Karine, tu vas m’aider, passe-moi la ceinture.
– Bien sûr…
Du métal glacé contre mon bassin confirma mes craintes, elles allaient me mettre une ceinture de chasteté.
La ceinture fut serrée à ma taille, ensuite, deux lamelles métalliques se plaquèrent sur mon sexe, interdisant tout contact, puis je les sentis sur mon sillon trempé. Angélique serra et je me retrouvais totalement « protégée ».
– Je laisse tes seins libres, du moins pour l’instant, mais sache que je n’hésiterai pas à les enfermer si tu n’es pas sage…
– Bien, je te promets d’essayer.
Ensuite, elle me détacha et m’ordonna d’aller me laver et de me préparer avec les vêtements qui étaient dans la salle de bains, ensuite, je devais les attendre dans le salon.
Je pris une douche avec la certitude d’être espionnée. Je me séchais. La ceinture était bien ajustée, elle ne me faisait pas mal, les vêtements qu’Angélique m’avait préparés étaient sur le lit : une tenue de soubrette, bas, porte-jarretelles, petit soutien gorge, mini-jupe, chemisier transparent et haut talons. Je m’habillais rapidement et descendis au salon pour les attendre.
Karine et Angélique arrivèrent, toujours nues la belle rousse se tourna vers moi.
– Pour commencer, tu devras nous obéir, sans discuter, tu seras à notre service à moi et Karine.
– Bien
– Chaque désobéissance te vaudra une punition, en fonction de la gravité de ta faute.
– D’accord…
– Karine a très envie de te dominer, tu seras particulièrement attentive à ses désirs.
– Bien, je ferai tout ce que vous m’ordonnerez…
– Karine m’a demandé si tu avais des tabous…
– ?…
– Et bien ?
– Euh…
Je réfléchissais rapidement sous le regard de mes amantes qui seraient mes maîtresses. Karine semblait très impatiente, ses yeux me fixaient intensément, presque durement. Je m’entendis dire
– Je n’aurai…. aucun tabou pour mes maîtresses…
– Bien, c’est ce que je voulais entendre. Tu accepteras toutes les punitions, même lorsqu’elles seront douloureuses
– Oui, maîtresse,
– Même lorsqu’elles seront humiliantes ?
– Oui… maîtresse
– Tu seras traitée comme notre esclave
– Je serai votre esclave, vous ferez de moi ce que vous désirez…
– Bien pour commencer, tu vas nettoyer ta maîtresse Karine, approche.
– Oui maîtresse.
Et je baissais les yeux devant le corps de Karine qui écarta les jambes. Je m’agenouillais et sans hésiter, léchais son sexe, ses jambes, puis ses fesses et son anus, je nettoyais sur sa peau toutes les traces de sperme. Elle prit mes cheveux et guida mes mouvements, n’hésitant pas à me brusquer. Ensuite je fis la même chose à Angélique, qui était plus douce. Une fois ma tache terminée, je dus les suivre à la salle de bains où je les lavais alors qu’elles se caressaient devant moi. La frustration était intense et lorsque Karine glissa sa main sous ma jupe et décréta que je mouillais bien trop, je sus que ma première punition était imminente. Elle me repoussa.
– Ouvre ton chemisier.
– Oui maîtresse,
– Ote ton soutien gorge !
– Bien
– Mais tu es excitée, regarde tes tétons, ils sont tout tendus. Qu’en penses-tu Angélique ?
– Indéniable…
– Nous allons nous en occuper n’est ce pas ?
– Oui maîtresse…
– Va chercher de quoi te punir, vite.
– Bien maîtresse.
Le fait de choisir moi-même l’instrument de ma punition m’excita… Je revins avec des pinces à seins et un petit carcan de bois.
– Bien, mets le carcan en place.
Je le serrais doucement sur ma poitrine, mes seins comprimés saillaient davantage.
– Ensuite les pinces, viens ici.
Je m’approchais de Karine qui les plaça, assez rudement, m’arrachant un petit cri de surprise et de douleur. Néanmoins, prise au jeu, je la remerciais de me punir ainsi.
– Très bien, tu vas maintenant nous sécher et nous habiller.
– Bien maîtresses.
Je m’occupais d’elles pendant de longs moments, mes seins me faisaient souffrir (délicieusement) et Karine ne ratait pas une occasion de titiller les pinces. Une fois vêtues (de longues robes échancrée, sans dessous, des bas et des talons hauts) elles me demandèrent de leur préparer un repas. Je descendis à la cuisine et commençais à préparer un repas. Le carcan et la ceinture de chasteté commençaient à être inconfortables mais je ne me plaignis pas. Aussi lorsqu’ Angélique s’approcha de moi et m’étreignit, je gémis doucement et lui avouait que je commençais à avoir un peu mal.
– C’est Karine qui mène la danse, Clotilde, tu dois voir ça avec elle…
– Mais elle…
– Chut, ma belle, elle arrive.
Karine arriva et me toisa,
– Va apporter des boissons aux ouvriers, ils sont à la cave.
– Comme ça ?
– Et pourquoi pas, tu es mon esclave je te rappelle…
– B… bien maîtresse.
Je pris un plateau et mis des boissons dessus, avant que je descende, Karine m’arrêta.
– S’ils souhaitent autre chose que des boissons, tu leur obéiras, bien sûr. Par contre pas touche à ta ceinture.
– …. Oui … Maîtresse.
Et je descendis, persuadée que je n’allais pas remonter de si tôt. Lorsque j’arrivais, ils étaient quatre, les hommes qui étaient ce matin dans la cour. Ils arrêtèrent leur travail, ils posaient des charpentes dans une cave voûtée. Le chef de chantier s’approcha de moi et me détailla.
– Eh bien qui voilà ?
– Je… je vous apporte des boissons…
– Mais dites-moi (il me vouvoyait, malgré la situation) ça ne vous fait pas mal tout ça ?
– Euh… Si, mais
– ?
– J’ai été punie… et c’est ma punition…
– Et bien vous ne vous ennuyez pas là-haut.
Il prit des boissons et je distribuais des boissons à ses collègues ébahis. Ils n’osaient pas me toucher. Pourtant j’étais totalement à leur merci…
– Si vous voulez… enfin, je suis là pour …
– Pour quoi Mademoiselle ?
– Pour … enfin, je veux dire, si vous voulez
– ?
– Je dois vous obéir si vous voulez me…
– Je crois que j’ai compris, viens par là.
Je m’avançais et posais le plateau. Aussitôt, des mains commencèrent à me caresser. Fortes et râpeuses, j’étais un jouet pour eux. Ma jupe tomba rapidement, je leur dit que je n’avais pas le droit d’ôter ma ceinture…
– Pas grave, nous allons bien nous amuser tout de même, agenouillez-vous.
Je m’agenouillais entre eux et quelques secondes après, je m’occupais de quatre sexes tendus et gonflés. A défaut de prendre mon sexe et mon cul ils prirent ma bouche, comme si c’était un sexe. A tour de rôle, parfois à deux en même temps. Au moment où ils allaient jouir et me combler, Karine arriva et les stoppa.
– Stop, messieurs, ce n’est pas pour maintenant, elle ne le mérite pas, du moins pas encore. Clotilde, lève-toi et mets les bras sur la tête.
Je m’exécutais alors que Karine fit tomber sa robe et se mit au milieu d’eux et me remplaça… Uniquement avec sa bouche, elle les fit jouir sur son corps et dans sa bouche. Ensuite, elle les remercia et vint vers moi pour m’embrasser à pleine bouche me faisant goûter le délicieux nectar. Enfin, je la nettoyais de ma langue alors que les quatre compères ne savaient pas trop quoi faire excités par ce spectacle lesbien.
Karine se rhabilla et leur fit signe.
– Je crois que cette cave pourrait avoir un usage bien adapté à nos jeux, messieurs, nous allons modifier un peu les plans.
Et pendant de longs moments, je restais, debout, mains sur la tête à écouter Karine qui aménageait un véritable donjon. Poutres, cellules, poulies, croix, tables, anneaux. Un véritable laboratoire des plaisirs ou… une salle de torture… Les quatre hommes promirent que tout serait fini rapidement et que s’ils désiraient quoi que ce soit, j’étais dévouée à leur service.
Avant de remonter, elle ajouta,
– N’hésitez pas, si vous avez besoin de mesures ou d’un modèle, Clotilde est à vous.
– Nous n’hésiterons pas…
Et pendant des heures, avec une excitation croissante, je dus écarter les bras, les jambes pour qu’ils puissent mettre en place tout ce que Karine leur avait demandé. Pour finir je me retrouvais attachée à une croix avec une corde rêche qui mordait ma peau, bras et jambes écartés au maximum. Mon imagination débordait de plaisir et de souffrance, une main se glissa sous ma ceinture, titillant mon sexe en feu. Impossible, trop serré. A regrets ils me détachèrent et remontèrent en même temps que moi. Karine les remercia et leur glissa une petite enveloppe. Quant à moi, elle me libéra de tous mes fardeaux et de tous mes vêtements. Je me retrouvais, ankylosée, fatiguée, nue devant ma maîtresse. Elle me glissa à l’oreille
– Clotilde, suis-moi dans la salle de bains.
– Bien maîtresse,
Nos talons résonnaient dans l’escalier, je suivais Karine docile et obéissante. Elle me demanda de la déshabiller et aussitôt, le plus délicatement possible je commençais à déboutonner sa robe, bouton après bouton. Le tissu collait à sa peau, j’avais envie d’elle, ses seins fermes et ronds, ses aréoles tendues. Sa robe tomba sur le sol et révéla son corps nu et désirable. Elle ne portait plus que ses mules à talon haut. Sa toison fournie m’excitait, le sillon de ses fesses… Elle s’assit sur les toilettes et devant moi écarta les jambes avant d’uriner. Elle se releva et me fit signe.
– Viens me nettoyer Clotilde
– Oui, Maîtresse.
Sans aucune hésitation, ce qui surprit Karine, je léchais longuement son sexe odorant, glissant ma langue vers son petit anneau. Après quelques instants, elle m’emmena sous la douche et m’enlaça. Je répondis avec douceur à ses caresses mais je restais son esclave dans mon esprit. En sortant de la douche je repris mon rôle et ma place, alors que je la séchais, elle me demanda :
– Tu as aimé me nettoyer avant ?
– Oui maîtresse, beaucoup…
– Et tu m’obéirais si je te demandais d’aller plus loin ?
– Oui maîtresse, sans hésiter si vous me l’ordonnez.
– Maintenant ?
– Quand vous le souhaiterez.
– Mets d’abord ta tenue, je vais encore réfléchir un peu.
Je m’habillais : porte-jarretelles, bas noirs, talons hauts, jupe courte, chemisier blanc transparent. Pas de dessous. Pendant le début de la soirée, je la servis. Angélique était sortie à mon plus grand regret. Après le repas, Karine me demanda si j’étais prête.
– Oui Maîtresse.
– Suis-moi alors…
Elle entra à la salle de bains et quitta sa jupe révélant sa toison. Elle hésitait… Je m’agenouillais, signe de soumission. Elle écarta les jambes. Je m’approchais d’elle. Elle soupira. J’ouvris la bouche et plaçais mon visage juste sous son ventre. Je la regardais et lui dis :
– S’il vous plaît Maîtresse…
Elle prit ma tête entre ses mains et plaqua ma bouche contre son sexe. Puis son jet brûlant m’inonda, je bus tout ce que je pouvais, le reste souillant ma poitrine, mon ventre. Je jouis en buvant à la source de ma maîtresse, fière de l’honorer. Son ventre se contractait, elle s’écrasait contre ma bouche, elle me suppliait de la lécher et lorsque je glissais ma langue vers son sillon, elle se tétanisa.
– Oui, continue, lèche, plus loin, plus fort, bouffe moi…
Karine m’excitait et elle s’écartait pour m’ouvrir le passage, je continuais de plus belle. Karine se tétanisa à nouveau.
– Maîtresse, laissez-moi vous prouver mon obéissance et ma soumission…
Karine ne dit pas un mot, se détendit à nouveau et se tourna. Puis elle écarta encore davantage ses fesses. Sans hésiter, j’approchais ma langue et léchais ma maîtresse. Sans aucune appréhension ni dégoût, je goutais des plaisirs sans tabous. Je la fis jouir uniquement avec ma langue. Elle hurlait sa jouissance et m’inonda de son jus abondant. Ensuite, Karine ivre de plaisir me demanda de m’allonger sur le sol. Elle se colla sur mon corps et m’embrassa avec délice. Puis, elle se releva, s’accroupit au dessus de mon visage, prit ma main dans sa main et guida mes doigts vers son petit anneau. J’y entrais facilement et lui donnais encore du plaisir alors qu’elle déboutonnait mon chemisier et dézippait ma jupe. Ensuite ma langue avide remplaça une nouvelle fois mes doigts, Karine de son côté pénétra mon petit trou à l’aide d’un gode de belle taille, il entra très facilement et elle l’enfonça totalement en moi avant de faire des va et vient de plus en plus violents. Elle jouit en même temps que moi en se plaquant sur mon visage. Enfin, elle m’embrassa tendrement goûtant ses propres sécrétions avec hardiesse. A ma grande surprise, elle se releva et glissa à mon oreille.
– Je veux encore te dominer…
Pour toute réponse, je baissais les yeux et me mis à genoux devant elle avant d’embrasser ses pieds. Elle me laissa lécher ses pieds longuement, sous tous les angles. J’aimais ça et elle aussi… Ensuite, elle m’emmena dans la chambre. Elle s’assit dans un fauteuil et me désigna le sac.
– Je veux te punir Clotilde,
– Bien Maîtresse…
– Cherche les pinces, celles qui sont larges, et mets-les sur tes lèvres.
– Bien Maîtresse.
Je m’exécutais, écartant les jambes au maximum. La morsure était peu douloureuse, du moins pour l’instant. Une fois les pinces en place j’y attachais des chaînettes, puis sur les ordres de ma maîtresse, des poids. La douleur irradiait dans mon ventre à chaque mouvement. Et lorsqu’elle m’ordonna de faire la même chose sur mes seins, j’agissais comme un automate. Je sentais mon sexe ruisseler, mes tétons meurtris et distendus m’arrachaient des gémissements. Karine se leva et menotta mes poignets dans mon dos. Puis elle plaça des entraves à mes chevilles. Elle s’accroupit devant moi et lécha doucement mon sexe.
– Tu mouilles, petite chienne…
– Oui, Maîtresse…
– Ca t’excite ?
– Oui…
Lorsque ses dents se serrèrent sur mon clitoris, je tombais presque à la renverse. Cruelle, elle recommença plusieurs fois. Les larmes montaient.
– Alors ?
– …. Encore… s’il vous plaît Maîtresse.
Elle se saisit d’une pince munie de deux vis et enserra mon bouton rougi. Je hoquetais. Elle serra, mes larmes coulaient. Elle attacha une chaîne assez longue et lourde. La chaleur gagnait mon sexe, mon ventre, mon cul…
– Viens, je vais te promener un peu.
Elle tira sur la chaîne et je la suivis en bonne chienne docile, je ne voulais qu’une chose, et Karine allait me combler.
La douleur était devenue secondaire, je laissais Karine me mener, chaque tiraillement de laisse m’électrisait. Elle m’emmena dans la chambre de Gaëlle et prit dans le sac un plug de belle taille.
– A quatre pattes Clotilde.
– Bien Maîtresse.
Elle le posa contre mon petit trou et l’enfonça d’un seul mouvement, m’arrachant un cri de surprise. J’étais surprise de pouvoir l’accueillir aussi facilement. Karine me releva.
– J’aimerai trouver plus gros pour ta chatte…
– Oui Maîtresse.
– Dis-moi où trouver ce que je cherche.
– Bien Maîtresse…
Dans la salle de bains de Gaëlle, je trouvais un autre plug, plus long et muni de picots, je le montrais à Karine.
– Je vais te le mettre maintenant.
– Merci Maîtresse.
Je mis un pied sur le rebord de la baignoire et présentais mon sexe à Karine. Elle glissa le plug entre mes lèvres. Il rentra difficilement et j’eu un peu de mal à cause des picots, mais il disparut en moi et Karine me félicita en me traitant de tous les noms.
Ma jouissance n’allait plus tarder et ma maîtresse le sentit. Elle m’ordonna de la suivre dans ma chambre. Elle m’ordonna ensuite de me mettre à genoux sur la moquette et de ne plus bouger. Elle sortit, j’en profitais pour frotter mes jambes l’une contre l’autre et me masturber.
Elle entra dans la chambre et me surprit, elle me prit par les cheveux et me foudroya du regard.
– Tu seras punie pour ça Clotilde. Je t’avais ordonnée de ne pas bouger.
– Oui Maîtresse…
– Pour commencer, je vais m’occuper de tes jambes, lève-toi.
Elle plaça entre mes chevilles une barre d’écartement, m’obligeant à écarter mes jambes. Puis, elle enleva mes menottes pour aussitôt me rattacher les mains dans la nuque. Ensuite elle plaça sur mon visage un genre de harnais de cuir qui cachait partiellement ma vue, et enfonça un anneau métallique dans ma bouche, la maintenant grand ouverte. Elle serra les lanières derrière ma tête. Ce n’était pas fini, elle plaça autour de ma taille un corset de cuir muni d’anneaux. Puis ce fut au tour de mes seins, qu’elle emprisonna dans des ceintures de cuir. Elle serra assez fort pour faire saillir et rougir un peu ma poitrine. Elle prit les chaînettes qui ornaient mes tétons et les accrocha à mon bâillon, tirant doucement sur mes pointes ultrasensibles. Je n’osais dire un mot, étonnée par le silence et la concentration de Karine. Enfin, elle attacha les chaînes rivées à mes lèvres dans mon dos, de façon à ouvrir totalement mon sexe et à m’arracher des gémissements de douleur.
Tout mon corps était en tension, la douleur irradiait suivant mes mouvements dans ma poitrine ou entre mes jambes. Une vague de chaleur montait dans mon ventre.
– Tu es presque prête pour ta punition maintenant.
– …
– Nous allons pouvoir appeler Angélique
Après une attente interminable, un bruit de talons annonça Angélique. Elle entra, dans un corset de latex rouge laissant sa gorge, ses seins, son sexe et ses fesses nus. Karine l’embrassa sur la bouche et palpa ses fesses et ses seins devant moi. Angélique ne dit pas un mot et s’approcha de moi. Elle frotta sa jambe gainée de latex contre mon sexe. Je me branlais sur sa jambe, écrasant mes chairs avec violence. Je n’étais qu’une femelle en rut, prête à tout pour jouir.
À suivre
Jolie séance de domination, on s’y croirait