Le plaisir anal masculin par Boris Vasslan
Cet article vise à combler un manque, on parle a en effet sur notre site, de feuilles de roses, de doigtage anal, d’hommes engodés, sett aussi d’hommes sodomisés par des transsexuels ou par d’autres hommes, mais aucun support technique.
Préliminaires : les zones érogènes masculines
Il est assez pénible sur certains sites qui manifestement cherchent de l’audience en ouvrant des pages de conseils en sexualité de trouver des propos du genre « on veut pas se mouiller » comme par exemple : « Chaque homme est différent et aime donc différentes choses, laissez-vous aller et découvrez votre partenaire » Voilà une phrase assez remarquable qui va aider les couples en recherche d’informations ! De même, aller dire « toutes les parties du corps peuvent procurer beaucoup de plaisir. » est un discours refusant volontairement de parler de la zone anale de l’homme, ou plutôt de noyer cette zone au milieu de tout un catalogue de possibilités
Soyons très clair : il existe trois zones érogènes chez l’homme :
Ce sont :
– L’appareil génito-urinaire, pris dans son ensemble et qui se décompose en sous zones (la verge, le gland, le scrotum, l’urètre, la couronne, le frein et par extension le périnée)
– Les mamelons c’est-à-dire la surface des aréoles, mais plus particulièrement le téton
– L’orifice anal.
Ces trois zones sont érogènes chez tous les hommes ! Il s’agit d’une évidence sexologique ! Les hommes qui prétendent le contraire le font soit :
– Parce qu’ils n’ont jamais testé ces zones !
– Parce que leur machisme leur rend impossible cette évidence : N’oublions pas que l’attitude machiste largement majoritaire concentre toute la sexualité masculine sur le pénis. J’ai entendu il n’y a pas si longtemps une conversation où il était question d’une fille parlant d’un garçon qui aimait qu’on lui tripote les tétons, son interlocuteur a paru dégoûté en disant « pfff, c’est un truc de pédé ! » Alors déjà, si on a ce genre de réflexion sur nos innocents petits tétons masculins il est facile d’imaginer comment la parole se bloque au niveau du plaisir anal.
Il n’y a pas d’autres zones, et si certains contacts de certaines parties du corps peuvent donner du plaisir (le cou, les fesses, l’intérieur des cuisses, etc… il ne s’agit plus de zones érogènes au sens sexologique du terme)
Il est cependant exact que le degré d’érogénéité des zones citées plus haut peut varier d’un individu à l’autre…
Nous concentrerons cet article sur le plaisir anal, nous pouvons le subdiviser en 5 grandes catégories de pratiques :
– L’anulingus (ou feuille de rose)
– Le doigtage anal
– L’engodage anal masculin
– La sodomie masculine
– Le fist anal
Et d’abord un petit croquis valant mieux qu’un long discours, regardons comment est fait un trou du cul (oh pardon !) je disais donc regardons comment est constituée la cavité rectale.
Il manque les sphincters, on dit bien les sphincters (car il y en a deux), le sphincter externe qui comme son nom l’indique est à la sortie de l’anus, le sphincter interne, muscle entourant la petite cavité anale (sur environ 3 centimètres)
L’anulingus (ou feuille de rose)
Préalable : il faut évidemment parler de l’hygiène de l’endroit : il doit être propre et nettoyé chaque jour, mais attention : nettoyé ne veut pas dire aseptisé. Les odeurs participent aussi à l’échange de messages corporels et à l’excitation réciproque, (encore une évidence que certains ne veulent pas entendre). On déconseillera donc tous les déodorants corporels agressifs.
Il convient également d’ajouter que certains préfèrent pratiquer quand l’endroit est pollué, mais nous classerons plutôt cette tendance (tout à fait respectable) dans les pratiques para-scatologiques.
Si le sujet est hésitant, commencez par lécher un peu la raie des fesses, puis rapprochez vous insensiblement, écartez ses globes fessiers ou demandez-lui de le faire lui-même, puis approchez vous de la rosace, là où la peau est plissée et prend un aspect plus foncé. Il faut alterner les léchages aigus (avec le bout de la langue) et les léchages pleins (avec le plat de la langue) d’abord sur le tour de l’anus, puis concentrez vous sur le centre, il faut à ce moment là forcer, le sphincter après quelques contractions réflexes va avoir tendance à se détendre et à se laisser faire. Vous pouvez à ce moment là essayer d’aller un peu plus loin, mais hélas la langue humaine est courte.
Une alternative amusante en cas de réticence, ou tout simplement si vous souhaitez varier les plaisirs est de barbouiller l’anus d’aliments, le grand classique restant la crème chantilly, mais on peut imaginer ce qu’on veut.
Le doigtage anal
Et d’abord, qu’on le fasse seul ou à deux, on se lave les mains, des doigts c’est naturellement sale !
Bon, là ça devient plus sérieux, puisque n’en déplaise à tous les hétéro normatifs de la planète, le doigtage s’il est bien fait peut nous faire découvrir l’un des centres masculins du plaisir, la proximité de la prostate, que certains ont nommé le point G masculin.
Le doigtage préalable peut se faire uniquement avec le doigt, mais je conseille de le coupler avec l’anulingus, ne serait-ce que pour des questions de lubrification. De toute façon, il faut lubrifier, soit avec des sécrétions naturelles (cyprine, salive) soit avec du gel approprié. N’essayez pas de rentrer directement, votre partenaire risque de ne pas aimer, promenez votre doigt sur l’anus, mettez le en contact plusieurs fois de suite avec le centre puis quand vous sentez que le sphincter externe se relâche, forcez ! Attention à ce passage, évitez de rentrer doigt tendu (à cause de l’ongle) il faut en fait pousser avec le plat du doigt (comme quand on tape sur le clavier) jusqu’à ce que ça rentre.
Maintenant on peut continuer ! La prostate ne se trouve pas dans le rectum ! Les deux organes sont bien séparés mais sont si près l’un de l’autre que l’on peut stimuler la prostate à travers le rectum ! Le doigt va remonter dans la paroi rectale jusqu’à trouver du côté intérieur une excroissance de la taille d’une noix. Il faut alors masser l’endroit, en faisant des classiques aller retour mais sans cesser de toucher la prostate. L’orgasme ainsi obtenu peut paraître étonnant la première fois puisque le sperme ne va pas éjaculer en saccade mais en un petit jet continu.
L’engodage anal masculin
. Là encore insistons sur la nécessité de lubrifier, sinon le frottement mécanique peut être dangereux, il n’existe aucune lubrification naturelle de l’anus et du rectum.
On entend dire parfois que des personnes mouillent de l’anus : quelques précisions la dessus : le rectum secrète effectivement une substance dont la fonction est de protéger les muqueuses contre l’agression des matières fécales. Mais ça n’agit pas sur l’anus et au niveau du rectum ça ne lubrifie rien du tout.
La meilleure façon de lubrifier reste encore d’enfiler un préservatif sur l’objet.
Attentions à ce qu’on emploie, on choisira un vibromasseur, un godemiché classique, ou un anus picket (gode adapté spécialement à l’introduction anale. Evitez les objets trop petits qui peuvent être absorbés par l’anus, évitez les objets présentant des aspérités piquantes (stylos). Evitez aussi, les objets trop gros, la grosseur de l’objet introduit n’a rien à voir avec le plaisir ressenti. Rappelons aussi que l’introduction sans protection de certains légumes peut s’avérer dangereuse (l’aubergine par exemple, dont la peau est urticante sur les muqueuses)
La technique est la même que la technique digitale, sauf que l’objet étant plus gros la préparation surtout les premières fois va être plus longue, elle doit donc être précédée d’un anulingus et/ou d’un léger doigtage. Il vaut mieux en effet introduire le gode que quand le sphincter est relâché. L’introduction entamée, va rentrer en jeu un autre muscle, le sphincter interne, il entoure la cavité anale, et est donc long d’environ trois centimètres. Celui-ci peut avoir un comportement curieux, il va se resserrer sur l’objet, l’empêcher d’aller plus loin et même provoquer un besoin d’expulsion. Il faut alors un peu de patience pour continuer.
Mais voici un autre obstacle, peu connu !
Car passé l’anus, nous voici dans le rectum, espace plus large et très élastique, donc tout va bien, ben non car il suffit de regarder le dessin pour constater qu’après un ou deux centimètres, il y a un problème, le chemin n’est pas droit, et la seule façon de s’en sortir est d’adopter une position stratégique, il s’agit bien sûr de la levrette anale. C’est dans cette position que doivent s’effectuer les premières expériences. Sinon le gode va pousser dans un angle sans le franchir et provoquer une douleur assez pénible (certains dans leur récit parlent d’une douleur qui ensuite se transcende en plaisir, s’il s’agit de cette douleur là, je ne vois pas bien comment ils peuvent faire…)
Lorsque la pratique se fait à deux, (avec gode ceinture notamment) l’engodé peut aussi choisir de s’empaler sur le gode et peut ainsi avoir un contrôle total sur sa pénétration. Seul on peut aussi faire une démarche similaire en posant le gode par exemple sur rebord d’un siège.
Enfin on ne saurait terminer sur l’engodage masculin sans évoquer deux pratiques :
D’abord celles des boules de geisha, chapelet de boules creuses contenant chacune une bille et que les courtisanes japonaises extrayaient brutalement de l’orifice anal de leurs amants au moment de leur jouissance, ce qui avait pour effet de la décupler.
Et puis les glaçons, mais adaptez en la forme, un cube ça ne rentrera pas, et si ça rentre ça va faire mal ! Le must en la matière étant le gode de glace (il suffit de mettre au congélateur un préservatif rempli d’eau et de démouler) Je ne vous dis pas l’effet. Mais il y a encore plus pervers, vous pouvez parfumez ce gode avec un jus de fruit et le faire sucer par votre partenaire après l’avoir introduit dans son anus. Les amateurs d’uro pourront faire la même chose avec leur liquide favori…
La sodomie masculine.
Insistons encore une fois sur la nécessité de lubrifier ! Les histoires d’enculage à sec sont des aberrations ! Insistons aussi sur la dangerosité bactériologique de l’endroit et la nécessité absolue de se protéger dans la majorité des cas.
Techniquement c’est la même chose qu’avec un gode ceinture, et sexuellement c’est mieux puisque ce qui vous pénètre est chaud, souple et vivant. Evidemment psychologiquement le pas à franchir est énorme, mais on va dire :
Pourquoi le plaisir anal serait il réservé aux femmes ?
D’autant que les hommes ont ce petit truc en plus…
Il faut aussi combattre la fameuse théorie du pas que l’on franchirait : ce n’est pas parce que (et quand bien même, mais bon !) l’on se fait sodomiser que l’on devient homosexuel, ni même bisexuel.
Le plaisir physique peut être dissocié de l’attirance des sexes.
Le sexe n’est que le sexe et il n’y a pas à sublimer ces pratiques pour en tirer je ne sais quelles ou quelles conclusions ; Il faut encore une fois se focaliser sur le plaisir physique. Ce n’est pas parce qu’au cours d’une rencontre, d’une partie ou tout ce que vous voulez, que vous vous serez fait sodomiser qu’il faut vous croire obligé de transformer le rapport en duo sentimental.
Et si mon avis personnel peut valoir quelque chose dans cet article, sachez que je préfère me faire sodomiser par une vraie verge que par un gode (ceinture ou pas) mais que cela ne m’empêche pas de continuer à adorer les femmes et à leur faire l’amour.
Le fist anal
Je ne le cite que pour mémoire :
L’introduction d’une main dans le rectum est possible parce qu’avec l’habitude, l’anus se laisse détendre de plus en plus facilement.
C’est d’ailleurs le seul obstacle puisqu’au niveau du rectum en raison de son élasticité il n’y a pas de véritable problème. (Bien que l’élasticité ait aussi ses limites)
Le revers de la médaille est un dysfonctionnement musculaire des sphincters avec toutes les conséquences qui y sont liées.
Je ne vois d’ailleurs pas pourquoi il y aurait une augmentation du plaisir qui serait lié à la grosseur de ce qu’on introduit ! On sait qu’en matière d’introduction vaginale, les grosses verges ne sont pas forcément celles qui donnent le plus de plaisir, et que certaines femmes se font davantage jouir en s’introduisant un crayon à papier qu’avec un super gode d’étalon ! Pourquoi en serait-il autrement pour le plaisir anal ? Non, le plaisir du fist anal est purement psychologique, il est lié à l’interdit, (probablement) au plaisir de pratiquer une sexualité « marginale » (peut-être) mais surtout au syndrome du record personnel (ou de compétition) qui doit faire partie de la nature humaine.
PS : Je n’ai pas abordé le thème du lavement, parce que je ne suis pas un spécialiste et surtout parce que cette pratique quoique liée au plaisir anal possède un argumentaire technique qui dépasse le cadre de cet article.
Je m’abstiendrai de toute conclusion grandiloquente, cet article n’est là que pour faire le point sur ces pratiques, rappeler certaines évidences, parler de détails peu connus. Encore une fois notre corps est à nous, il peut nous donner du plaisir, alors ne le refusons pas !
Vasslan@hotmail.com
© vassilia. 2003. reproduction interdite
Vous pouvez bien entendu, réagir sur ce texte, contributions, témoignages, histoires, etc…
Je suis Bi Actif et Passif, j’adore Sucer et me faire Sucer et Sodomiser et être aussi Sodomisé, adolescent, j’ai toujours été attiré par les Deux Sexes
Depuis tout jeune sans être gay je suis sexuellement attirer par le besoin de prendre une queue doucement dans ma bouche de la retourner et la lécher partout , de me faire enculer et de d’enculer profondement, ma femme jouit terriblement quand je l’encule , J’aimerais partager cela avec toi
La découverte de la sodomie a été pour moi une étape majeure dans mon accomplissement bisexuel. Je suis très reconnaissant à l’amant très attentif à ne pas me faire mal qui m’a permis de vivre la pénétration comme un bonheur sensuel en procédant par étapes et ne ne cherchant pas à me pénétrer complètement dès la première fois. Grâce à cette patience, dès la troisième fois, la pénétration a pu être totale et le plaisir, pour moi inédit et incomparable est venu graduellement. Puis il s’est déployé avec une intensité, une profondeur et une beauté sexuelle que je n’avais jamais connue à un tel degré, se prolongeant si longtemps que j’en ai été après coup tout surpris. Jamais en effet, je n’aurais imaginé qu’un orgasme soit si complet d’autant plus que je ne me masturbais pas, étant totalement attentif à m’abandonner à l’étreinte. Chaque fois que j’ai été sodomisé de cette façon attentive, à la fois douce et passionnée, j’ai connu le même type de jouissance absolue. J’aime aussi passionnément prendre qu’il s’agisse des femmes, toujours en levrette ou d’hommes, mais rien n’égale pour moi la jouissance d’être pris. Je ne connais pas de plaisir plus vaste, plus haut, plus parfait, comme si tout le corps devenait un nectar de délice en apesanteur.
Quoi que beaucoup s’en défendent, le doigtage du rectum et surtout introduction d’un godemiché est un prélude à la sodomie. Et ce n’est pas parce qu’on se fait sodomiser qu’on est forcement homo. Perso, je me fais sodomiser mais je ne fantasme pas sur les mecs !
je n’aime pas les hommes, mais j’aime tellement les bites que je me suis mi à en sucer en fréquentant quelques lieux de perdition ;). Souvent on m’a proposé la sodomie, je refusais, jusqu’au jour ou un type m’a persuadé d’essayer.Je ne l’ai pas regretté, c’était trop bon, maintenant quand je vais au sauna je ne pars pas avant de m’être fait enculer. Vous qui hésitez, essayez vous ne le regrettez pas !
Si tous le monde se faisait sodomiser, le monde irait mieux !
je pense la même chose-que toi, beaucoup d’hommes nous critiquent, pourtant on les rencontre dans les endroits fréquentés par les gays, ils se déplacent pour ce faire sucer, leurs épouses refusent la fellation, certains sodomisent leur épouse régulièrement. leur femme prend du plaisir, je leur dit : « baisse ton pantalon, je lui caresse la bite a travers le slip quand il bande dur je lui baisse le slip et je commence à le sucer, lui caresse le cul, écarte les fesses, lui caresse la-rosette, lui enfonce deux doigts dans le trou, je commence un va-et-vient, il commence à dandiner du cul. Je lui demande se c’est bon, il me répond oui, mon copain lui fourre sa bite dans l’anus et commence le va-et-vient (bienvenu au club)
Je crois que celui qui ne c’est jamais fait enculer est incapable de comprendre le bonheur que l’on peut ressentir quand une bite vous pénètre dans le trou du cul (évidemment il vaut mieux que ce soit fait avec tact)
Moi j’ai fais tout ça à l’envers, je me suis fais enculer avant d’essayer les godes. j’aime tout ça et je n’ai pas honte du tout. Merci pour cet article
A propos d’une remarque dans le corps de cet excellent texte.
En matière de feuille de rose, le plaisir anal c’est le plaisir du receveur
Alors que cul soir propre ou sale pour lui c’est pareil
Le plaisir du donneur est dans le toucher, le goût, l’odeur…
Bien a vous.
Justin
Sans être scato, le plaisir de déféquer fait-il parti du plaisir anal ?
En rigueur de terme, la réponse est oui !
Catherine Millet dans son excellent ouvrage paru en 2001 « La Vie sexuelle de Catherine » ne dit pas autre chose.
bj , je m appel Patrick , je suis gay sans aucune esperience et j aimerais faire l amour avec un homme hetero et je voudrais etre sodomiser et fecondé rempli a l interieur de mon corps , je suis dans le val de marne 94 et mon annonce et tres serieuse , je veux bien laisser mes coordonner ci il le faut bisou
Les petites annonces, ce n’est pas ici !
Tentez votre chance sur le forum dans la rubrique dédiée !
vous n’abordez pas le thème du lavement mais çà fait partie intégrante du plaisir anal , lorsque je sors ou que je reçois des partenaires pour me faire sodomiser , il m’est indispensable de m’être fait un lavement au préalable pour être très propre par respect vis à vis de mes partenaires et pour mon bien-être personnel .
Il suffit d’avoir une douchette anale ou une poire à lavement avec de l’eau tiède pour évacuer d’éventuels excréments au fond du rectum .
Cette option est effectivement partagée par beaucoup de « pratiquants » mais je ne suis pas persuadé qu’il s’agisse d’une majorité. Après c’est le choix de chacun… Cela c’est pour les sodos sans protection c’est à dire quand la confiance dans le partenaire est absolue (on a le droit d’être sceptique).
Pour les sodos avec capote, le problème posé cesse d’en être un.
Et puis, cessons les avis péremptoires, ce n’est pas parce qu’on pratique une sodo sans lavement préalable qu’on ne respecte pas son partenaire (dois-je vraiment développer ?)
Bonjour, j’ai attendu l’âge de 60 ans pour enfin oser franchir le pas et me faire sodomiser par un autre homme. Fatigué comme vous des objets en latex et autres godemichés, j’avais envie de savoir comment c’était en vrai.
La seule chose que je regrette vraiment après coup, c’est de n’avoir pas essayé plus tôt ! En tous cas je n’en ai jamais ressenti aucune honte et je ne me sens pas plus « PD » après qu’avant (je suis marié et plusieurs fois grand-père). Juste satisfait d’avoir essayé.
L’important est de trouver un partenaire compréhensif et respectueux, ce qui, je le reconnais, n’est pas toujours facile.
je trouve une sensation merveilleuse quand on me touche le cul et comme je regarde les films x beaucoup je donne importance au film gay surtout quoique je n’ai jamais pratique par crainte qu’ils me disent pédé je suis marié et j’oblige ma femme de me lecher le cul avant chaque rapport sexuel ca me fais grand plaisir mais le grand plaisir dont je reve toujour c’est etre enculer par une vraie bite d’un homme .
questions
Es que je suis pédé ??
Que vous me conseillez de faire ?
Est-ce tous les hommes ont cette sensation et ils ont honte de le dire ?
1) On oblige pas sa femme, on lui demande gentiment… c’est bien mieux !
2) je n’aime pas ce terme de pédé ! De toute façon être homosexuel n’a rien à mes yeux de péjoratifs, ni dégradant
3) Cela dit, vous n’êtes pas homosexuel mais tout simplement légèrement bisexuel comme énormément d’hommes (le seul problème c’est que certains ne le disent pas, d’autres se mentent à eux-mêmes, et d’autres ne s’en rendent pas compte)
4 ) Je vous conseille de vivre vos fantasmes sans vous poser de questions. Quoiqu’on fasse il y aura toujours des gens qui vous critiquerons, alors laissez dire. Je crois qu’il faut faire ce qu’on veux de notre corps du moment que cela se passe entre adultes responsables et le reste on s’en fout !
j’adore me faire sodomisé par ma copine avec un god ceinture . est-ce que cette pratique est courante? EST CE QUE IL Y A DES RISQUES POUR LA SANTé A SUCer le god apres qu’il soit allé dans mon anus? ma copine aime moyen me faire ca mais je sais que quand elle est est très excitée; elle adore comment faire pour que nous le fassions + souvent?
merci pour votre site et de votre réponse
Il n’existe pas de statistiques, mais vue le nombre de gode ceintures vendus en sex shop il doivent bien servir à quelque chose, non ?
Les risques pour la santé : contrairement à l’urine qui est stérile, l’environnement anal est transporteur de bactéries, microbes et virus. Si on suce soi-même un gode qui vous a sodomisé, il n’y a pas de risque particulier, puisque ce sont vos bactériés…. sinon le risque existe, il est relativement faible mais il existe indéniablement .
Salut, Actuellement je suis un garcon de 18 ans et je tient a te remercier pour ce superbe article: » le plaisir anal masculin » que tu as écris sur vassilia. Au début je prenais du plaisir a me toucher cette partie du corps et cela me perturbé j’avais l’impression de devenir homosexuel (cela m’aurait pas dérangé mais en revanche il peut terriblement nuire a mon entourage familial ) mais j apprend que avec cet article cela est normal et ca ne fait que décuplé le plaisir sexuel, c’est pourquoi je tient a te remercier car tu viens d’éliminer une grosse partie de mes songes ( elle ne le sont pas toutes élucidés mes cela ne doit pas te regarder ) Donc meme si je suis conscient que c e-mail te rendra indifférent je tient a te remercier encore et encore pour cet article. Cio et merci encore.
Bonjour
Non, ce message ne me rend pas indifférent, mon article a été fait pour decomplexer les gens au sujet du plaisir anal et je suis heureux de savoir que tu es dans ce cas
Bonne continuation
Amicalement
Boris
Bonjour, cela fait pas mal de temps que je lis toutes sortes d’articles sur votre site que je trouve très bien réalisé et instructif. Certains articles ne m’interessent pas du tout par contre c’est ainsi que j’ai découvert qu’il y avait moyen de se faire plaisir grace à son anus. J’ai commencé par me caresser ensuite me doigter et maintenant je m’enfonce des objets. J’y prends beaucoup de plaisirs mais par contre, je ne resent rien au niveau de la prostate. Mon plaisir vient de cette dilatation et pour le reste c’est difficile à décrire. Je voudrais passer au stade suivant, celui où ce serait mon amie qui s’occupe de mon plaisir. Je n’osais le lui demander … bien à regret. Et puis le hasard a fait que…. Elle part à boulot plus tôt que moi le matin, si bien que j’ai encore le temps de flaner 3/4 d’heure avant de me lancer. Un matin, j’étais dans ma douche occupé à me donner du plaisir avec un tube de dentifrice. Elle est revenue à la maison car elle avait oublié un dossier et elle m’a découvert dans ma douche. Elle est repartie immédiatement sans un mot. Le soir, nous avons eu une discussion très animée. Elle ne comprends pas que je n’ai pas assez de plaisir avec ce qu’elle me donne. Elle n’a jamais voulu que je m’occupe de son anus. Elle ne veut même plus en parler, ni pour elle, ni pour moi. Je ne sais que faire et depuis nous faisosn l’amour moins souvent et j’ai l’impression qu’elle me regarde autrement comme un pervers ou u homo. Toutes suggestions est bien venue Marc
Bonjour Marc
C’est ce qu’on appelle une situation bloquée :
Ce qu’il ne faut pas faire, c’est discuter à brûle pourpoint, par exemple en parler à table, ou en allant faire des courses)
La seule solution c’est d’avoir une discussion, mais une discussion préparée
« Il faut qu’on discute, sérieusement, mais en se donnant le temps et en essayant de se comprendre l’un et l’autre »
Si elle accepte c’est déjà pas mal
Au début il faudra poser les conditions de la discussion qui devront ressembler à un jeu de la vérité : on se promet de ne faire aucune censure, de répondre franchement à toutes les questions.
On peut aussi dédramatiser, par exemple, « on se donne une heure et après je te paie le restaurant »
– Les arguments à employer : il faut éviter comme c’est le cas dans ce genre de discussion de répéter quatorze fois la même chose, les arguments doivent être clairs et pertinents :
Le plaisir solitaire : Tout le monde aime bien se faire plaisir tout seul, acheter une petite fringue (qu’on ne mettra que 2 fois, acheter, déguster un petit gâteau, s’offrir un bon bouquin….) pourquoi le sexe serait il exclu des plaisirs qu’on peut s’offrir seul.
Reconnaître que vous êtes obsédé par le sexe, mais que ce n’est pas contradictoire avec l’amour !
Dissocier le plaisir anal de l’imagerie homosexuelle ! L’anus est une zone érogène ! Pourquoi seules les femmes pourrait-elles seules jouir de l’anus et pas les hommes ? ! Dire que vous avez lu des articles qui vous ont troublé ! Parler de la prostate !
Si elle refuse la discussion, c’est mal parti, il faudra alors de temps à autre lancer les arguments ci-dessus comme ça, expliquer que certaines personnes ont besoin de plus de sexe que d’autre de la même façon que certaines personnes sont plus gourmandes que d’autres… Mais ça risque d’être dur !
N’hésitez pas si vous avez encore besoin de conseils
Amicalement
Boris
Bonjour,
tout d’abord, félicitation pour votre site. Je cherchais sur internet des infos sur ce qu’on appelle peut-être à tort le « point G » masculin et vlan! une découverte. Je suis une femme et je fantasme depuis un bout de temps sur les stimulations anales masculines (incluant des trips à 3 avec 2 hommes qui acceptent de se toucher). Malheureusement, mes partenaires antérieurs n’ont
jamais été vraiment ouverts là-dessus et j’avoue que je n’osais pas trop insister (ni même aborder la question de peur de les insulter). Tout au plus quelques caressses hasardeuses de ma part dans la zone mais sans jamais recevoir d’encouragement à aller plus loin (doigtage ou encore moins gode…) Quelle surprise de voir sur votre site que plusieurs hommes semblent « souffrir en silence » quant aux stimulations anales – moi qui en était venue à penser que c’était un sujet tabou chez la gente masculine hétéro. Ça m’incite à garder mes fantasmes bien vivants, en me disant que je rencontrerai certainement des hommes plus ouverts dans le futur!!
Bravo encore,
Mel
bonjour
je me qualifierai comme un homme de 40 ans adorant les femmes
au fil du temps mes plaisirs ont evolué
depuis deux ans et grace à l’internet j’ai acheté des anuspickets et autres god et objets contondants .
C’est fou ce qu’un anus peut se dilater
avec une dose non négligeable de lubrifiant j’en suis venu à me mettre une main car c’est vrai que l’on veut tjrs plus …
Je tiens à vous dire que je trouve votre site super et qu’en ces temps obscurcis par bien des ideologies cela met du baume au coeur que d’aller de temps en temps se rincer l’oeil …>
Patrice 28/4
Bonjour,
Un petit mot pour vous dire bravo de parler du plaisir anal, je suis bisexuel et j’adore la sodomie ainsi que le doigtage de l’anus, cela est exellent, moi j’arrive a jouir du cul quand je me fais enculer avec une bite de 13/4 donc normal, mais il faut que mon partenaire lime longtemps et tout en douceur avec plein de caresses! Et cela est sublime beaucoup de mecs ne savent pas cela.
A venir si vous pouviez décrire une sodomie de réve, je crois que cela manque sur le site
Bien amicalement, un fidèle lecteur.
Dany 27/4
Faites une recherche dans la page d’accueil des récit sur le mot clé « sodomie masculine » et je vous garanti que vous allez trouver quelques sodomies de rêve ! ♥
Bonjour
Je vous ecrit tout d’abord pour votre article bien complet sur la sodomie pratiqué sur un homme.
Je voudrais avoir un conseil. Je suis avec mon amie depuis bientot 5 ans et je n’ose pas lui demander de me doigter l’anus. J’ai peur de sa réaction. D’autant qu’ayant eu une experience homosexuelle c’est la que j’ai decouvert le plaisir anal.
Ce plaisir je le pratique de tant en temps tout seul à l’aide d’une bouteille, d’une carotte ou d’un comcombre (pas trop gros qd meme!) que je m’enfile progressivement avec le lubrifiant adequat!!
Pouvez vous me donner conseil? help
david
1) Il faut toujours se souvenir que de même que beaucoup d’hommes fantasment sur les femmes entre-elles, les femmes fantasment aussi sur les hommes entre eux ! Cela dit ce n’est pas le cas de la totalité d’entre elles et il s’agit la plupart du temps d’un fantasme « caché », mais il faut le savoir. D’une façon générale l’acte homosexuel, s’il ne s’agit pas d’un changement définitif d’aptitude sexuel, est jugé de façon beaucoup plus compréhensive par les femmes que par les hommes. Certains chercheurs ont essayé de comprendre pourquoi ? L’une des réponses qui revient le plus souvent est celle-ci : Les femmes qui ont des enfants (des garçons) se pose systématiquement la question : « comment réagirais-je s’il devient homo ? » Or sauf dans certains cas limites (liée à la culture), la réponse est toujours indulgente.
2) Pour continuer dans ce registre, il ne faut jamais présenter un acte homosexuel comme quelque chose qui pourrait être un point de non retour. On peut envisager cela comme une curiosité, une expérience à vivre, une tocade (ce n’est pas parce qu’on va au restaurant chinois que l’on boude la cuisine française)
3) Mais il faut aussi dissocier le plaisir anal de l’attirance homosexuelle. Si dans certains cas la relation psychologique entre les deux se fait elle n’a rien de systématique, et dans les deux sens. Tous le homosexuels ne pratiquent pas la sodomie. Et en corollaire on peut la pratiquer sans être ni homosexuel ni même bisexuel.
4) Ce qui précède c’est donc plus des arguments à connaître pour la discussion que la façon de l’aborder (il faut absolument faire en sorte de ne pas se faire piéger par des questions qui seraient ressentis comme embarrassantes ! Sinon comment faire : Je vous conseille le truc classique, « j’ai lu sur Internet… pourquoi ne pas citer mon article, parler des chercheurs qui ont découvert le point G de l’homme, (la prostate) pourquoi ne pas essayer
Super article. felicitations.
J ai decouvert ce plaisir au cours de mes 1ere masturbations adolescentes lorsque je m’enfoncais un doigt.
Aujourd’hui ma femme eprouve énormément de plaisir à me doigter pendant qu’elle se masturbe. Je n’ai jamais été sodomise par un sexe d’homme mais j’aimerai connaitre cette sensation. Toutefois je ne sais^pas comment amener ma femme à accepter qu’un homme puisse enculer son mari.
C’est effectivement plutôt difficile, il faut quand même savoir 3 choses qui sont pour moi fondamentale dans ce domaine :
– Il existe un fort fantasme féminin non déclaré de voir deux hommes ensemble (toutes les femmes n’on pas non plus ce fantasme, mais rien ne vous empêche de tâter le terrain : « ça t’exciterais toi de voir deux hommes se faire des trucs ? si la réponse n’est pas négative, la brèche est entrouverte..
– Il faut dissocier absolument dans ce genre de rapport le « relationnel classique » et le sexe et cela uniquement pour que l’esprit soit libre et n’est pas à se torturer à gérer « l’après » ) Donc on ne fait ça ni avec les voisins, ni avec les collègues… mais avec quelqu’un recruté pour l’occasion
– Dans un duo hhf, dans la plupart des cas, il y aura aussi une relation entre l’épouse et l’autre homme ! Il faut aussi que le couple soit d’accord pour gérer cela
Bonjour,
J’ai lu avec attention votre article. Vous parlez de 3 zones érogènes chez l’homme.
Désolé, mais pour ma part, les mamelons (aréoles et tétons) ne sont pas une zoné érogène. Le fait d’y toucher ne me procure aucun plaisir, bien au contraire, c’est presque douloureux. Je suppose que je ne suis pas le seul dans ce cas ? Pour ce qui est des autre zones, je n’ai aucune objection ;o)
Pour les tétons, je ne polémiquerais pas. Simplement, oui c’est une zone érogène, mais je pense que :
1) son degré varie d’un homme à l’autre
2) chez certains hommes il peut y avoir blocage, y compris inconscient
Je ne veux pas prendre mon cas pour une généralité, mais au début de ma vie de couple, ma femme me touchait les tétons et ça m’énervait. J’étais obligé de lui dire d’arrêter. Un jour une autre femme (une professionnelle) me les pincé, sans d’ailleurs me le demander… question de doigté probablement l’effet à été saisissant, et maintenant je suis accro. Il y a toutefois quelque chose que je ne comprend pas, c’est qu’il m‘est très difficile de me faire les tétons tout seul… comme quoi les choses ne sont pas simples…
Amicalement
Boris