Chanette 31 – La clairière secrète – 9 – Partouze insolite
Après toute cette agitation on a soufflé un peu en sirotant un jus de fruit.
– Il s’est dit beaucoup de conneries à propos de notre rôle dans cette affaire, je vous dois la vérité… Commença Anne Marie.
Qu’est-ce que j’en ai foutre, mais restons courtois.
– Des gens qui se croient plus intelligents que d’autres ont colportés des fables incohérentes, je pense à Jacques Petit, notamment. En fait nous luttons contre les trafics d’armes. Nous avons donc tendu un piège aux gens de la secte, nous voulions savoir jusqu’où ils allaient aller. Le fameux message devait indiquer l’emplacement d’un dock de stockage avant embarquement et la date de livraison. Sachant cela il nous restait à attendre cette date et pratiquer un grand coup de filet. Les choses sont parfois plus simples que ce qu’on imagine..
C’est ça ma grande, je te crois !
Maintenant continuons à parler de cette affaire sous un autre angle :
Jean Bardon de Treyeux est un jeune fils à papa, il a hérité de l’immense fortune des Ciments Bardon. Il ne s’en occupe pas, laissant la gestion à ses directeurs et autres fondés de pouvoir qui au passage s’en foutent plein les poches.
Admirateur de Mussolini, il a fondé un groupuscule assez violent se donnant pour mission d’assainir le pays. Coupable d’agression contre des SDF, des restaurants exotiques et des salons de massage, ses relations lui ont permis de ne jamais être vraiment inquiété.
Jusqu’au jour où le gérant du restaurant chinois « Le Dragon de Feu » visualisa sur sa vidéo surveillance la plaque d’immatriculation de ses agresseurs.
Remonter jusqu’à Bardon fut d’autant plus facile que le gérant en question était un indic et que la police n’avait aucune raison de lui refuser ce service .
L’expédition punitive fut brève laissant Bardon avec les deux jambes brisées.
Parallèlement un journal satirique se fit fort de dévoiler au grand jour les activités du fils à papa.
La société des Ciments Bardon se fendit d’un communiqué se désolidarisant des agissements du fils à Papa et en profita pour changer d’appellation, SCBC étant plus discret que Ciments Bardon. Le jeune homme restait néanmoins et de loin le principal actionnaire privé de la boîte .
Le leader hospitalisé, le groupuscule se dilata.
Bardon profita de son hospitalisation pour bouquiner une multitude d’ouvrages ésotériques. Assez naïf et doté d’un esprit critique proche du néant, il gobait tout y compris les pires énormités. Mais ce qui l’intéressait le plus, c’était les ouvrages sur les grands anciens il se prit à fantasmer sur ces personnages pleins de sagesse, blonds aux yeux bleus de surcroît. Ceux-ci dégoûtés de la permissivité et du laxisme des terriens, s’en étaient partis voir ailleurs se promettant de revenir quand une organisation digne de ce nom serait capable de les accueillir et de servir de base à la reconquête de la planète.
Programme farfelu, mais Bardon avait pris sa décision, il serait le gourou de la secte qui accueillerait les grands anciens. Et au moins dans cette posture il ne risquait pas de se faire passer à tabac.
Restait à trouver des adeptes, et une base
Grâce à quelques complicités médiatiques Bardon put populariser son utopie. Il sélectionna une quinzaine de personnes, l’une d’elles suggéra une grande baraque abandonnée en pleine forêt du côté de Rodez.
Bardon changea de nom et se fit désormais appeler Graziello. Il fallait ensuite passer à l’action, beaucoup d’entraînement physique et de lectures collectives mais cela ne suffisait pas.
Bardon alias Graziello avait conservé le contact avec son oncle Robert, capitaine dans l’armée de Terre et aussi facho que son neveu.
Celui-ci fut missionné par son supérieur hiérarchique pour une opération spéciale.
– Un convoi militaire va se balader entre Rodez et Aurillac. Je veux que vous vous débrouilliez pour l’intercepter et planquer les armes. Il faudra ensuite gommer toute indication de leur provenance.
– J’ai mon neveu dans la région avec un petit groupe de gens entraînés…
– Il saura faire ?
– Comptez sur moi mon général.
Quinze jours plus tard le capitaine Robert présentait un plan complet au général Tauvron.
– Ça me paraît parfait, vous avez mon feu vert
Mais le général est un homme méfiant. Il se dit que si l’affaire s’éventait les gens de la secte pourraient préférer un client plus généreux que celui qui a les faveurs officieuses de l’armée… il prend donc contact la DGSE et demande qu’on lui fournisse deux agents à disposition.
– Votre mission est simple, un agent de liaison sera dépositaire d’instructions pour une livraison d’armes, vous devrez m’indiquer ces instructions, si elles s’avèrent conformes à ce que nous souhaitons nous laisserons courir, dans le cas contraire vous devrez agir
– De quelle façon ?
– De la façon que nous vous indiquerons si le cas se présente.
Peu de temps après l’attaque du convoi, le général Tauvron sollicita de nouveau Robert afin de savoir si tout se déroulait comme prévu..
Ce dernier téléphona à son neveu.
– On peut se voir à Rodez, mardi au Lapin bleu, c’est devant la gare…
Bardon fut surpris de cette invitation mais ne trouva pas le moyen de la refuser.
– Je tenais à venir te féliciter, l’opération « camion » s’est déroulée de façon parfaite…
– Eh ! C’est que mes hommes ne sont pas des manchots…
– Je vois. Et pour la suite ?
– On gère !
– Surtout, ne laissez aucune trace.
– Pas de souci, on fera comme prévu, c’est un messager qui contactera le client .
– Je t’en ai trouvé un…
– Ouai, des nègres, ça ne me dit pas grand-chose
– Ce n’est pas comme ça qu’il faut voir les choses, les rebelles de Tsumila se disent amis de la France, on pourra donc les manipuler et profiter des richesses du pays..
– Humm.
– J’espère que tu ne vas pas faire d’appel d’offre !
Bardon ne répondit que par un sourire énigmatique….
– En plus ce ne serait pas très prudent, reprit Robert
– Hum
– Et ton agent de liaison, ça va le faire ?
– Oui.
– Quelqu’un de confiance ?
– Ce n’est pas moi qui m’en occupe.
– Ne le dis pas que tu n’es pas au courant…
– On a rien finalisé, on hésite entre un habitué du coin ou une nana sortie de nulle part.
Robert rendit compte à son supérieur
– Impossible de savoir qui est cet agent de liaison !
– Pas bien grave, nos agents sur le terrain sauront faire.
Noémie Galibert est restée huit jours à l’hôpital. Sa moto est bonne pour la casse. Elle loue donc une voiture et prend le chemin du gîte de Mombillac.
– Pourvu qu’il ne soit pas trop tard !
Comme prévu, elle s’installe en salle commune et attend…
A 10 heures, Bontempi vient prendre possession des paniers repas. Il tombe en arrêt devant Noémie.
– Qui c’est celle-là ? Elle correspond à la description, mais alors l’autre ? Putain, à tous les coups je me suis trompé de nana, j’aurais dû réfléchir un peu mieux, elle devait m’attendre dans la salle, qu’est-ce qu’elle foutait donc dans la forêt ? Mais pourquoi la « vraie » n’était pas présente ? un retard ? Autre chose ? N’empêche que j’ai fait une connerie, je ne vais le dire à personne, pas envie de le faire engueuler !
Noémie rongeait son frein au gîte rural et passait ses matinées à attendre un messager qui se faisait désirer
– Il se passe quelque chose ! On n’envoie pas quelqu’un en pleine cambrousse pour rien !
– Bon ce sera peut-être pour demain, je vais manger vite fait et aller faire une ballade.
Elle déjeuna d’une quiche à la croute trop cuite. En essayant de la couper un morceau tomba par terre., elle s’apprêta à le ramasser quand Spirou, le labrador du gite se précipita pour l’avaler.
Et il resta a ses pieds pendant tous le repas ! Cela amusa Clotilde, la fille de la patronne
– Il est très affectueux, il n’est pas méchant.
Pas méchant, mais collant. Et quand Noémie décida d’entamer sa promenade, le chien la suivit.
– Veut tu me foutre la paix, toutou !
– Il a envie de venir avec vous ! Lui indiqua Clotilde. Je le retiens ou vous l’emmenez.
– Je vais l’emmener !
Et arrivé au bord de l’étang Noème tomba sur Rachel et Bertrand qui se faisait bronzer au soleil, complétement nus.
Clotilde voulu les dépasser discrètement, mais voilà que Spirou saisi d’une pulsion incontrôlable se précipite entre les cuisses de Rachel et commence à la lécher.
– Oh ! Mais c’est quoi ! En voilà des manières ! Vilain toutou !
– Spirou laisse les gens tranquille ! S’égosille Noémie. Je suis désolée…
– Laissez-le ce n’est pas désagréable
– Mais enfin c’est un chien !
– Ah, oui, vous avez remarqué. Oh lala c’est trop bon ce qu’il me fait, vous devriez essayer.
– Non mais… vous faites ça souvent ?
– Souvent non, mais je l’ai déjà fait ! Ça vous choque ?
– Un peu !
– Non tu n’es pas choquée tu es fascinée, ça se voit à ton visage.. Alors voilà ce que je te propose : allonge-toi à poil à coté de nous. Et si tu veux profiter de la bite de mon fis, ne te gêne surtout pas.
– Bon je vais vous laisser :
– Et le chien ?
– Ben je vais attendre un peu plus loin !
– Tu sais pas ce que tu perds !
En fait Noémie est en train de planer, la situation est tellement ubuesque. Rendez vous compte un couple à poil qui est en fait une mère et son fils complétement à poil.. et ce chien qui lape la chatte comme s’il s’agissait d’une écuelle de lait.
– T’as peur de te mettre à poil ? Pourtant tu devrais avec ce beau soleil !
– Non mais il y a le chien !
– Mais il ne va pas te faire de mal, le chien et d’abord il est occupé avec moi !
Noémie se décide à se de débarrasser de ses vêtements mais garde son string.
– Enlève-tout ! Lui dit Rachel !
– Pourquoi ?
– Pour le fun !
Elle l’enlève sans trop savoir pourquoi. Et Bertrand que l’on avait pas entendu jusqu’à maintenant intervient .
– Elle te plait ma bite ?
– Une bite c’est une bite !
– Tu ne veux pas me la sucer ?
– Ben non !
Rachel a pris dans ses doigts un peu de sa mouille et l’air de rien porte tout ça dans l’entrejambe de Noème.
– Non mais dis donc !
– Ben quoi t’aimes pas qu’on te tripote ?
– Je ne suis pas lesbienne !
– Moi non plus, juste par intermittence !
Rachel retire sa main, mais voilà que Spirou change de cible et viens pointer sa langue entre les cuisses de Noémie.
– Non mais dis donc…
– Laisse toi faire, ferme les yeux !
– Oh tu me fait faire des choses dégoutantes… Oh quelle langue il a ce clébard !
Et pendant que Noème se fait lécher, la mère et le fils ne reste pas inactifs, Rachel se met à lécher son sein droit, Bertrand s’occupe du gauche.!
Devant tant de sollicitations sexuelles, Noémie se met à jouir en poussant un cri propre à réveiller toute la volaille du voisinage..
Elle se relève, pantelante.
– Vous êtes vraiment des pervers ! Lance-t-elle à ses interlocuteurs, mais sans aucune animosité.
– Non on aime le cul, c’est tout.
– Je voudrais dormir un peu. Vous me laissez tranquille..
– Mais tu n’as même pas goûté à la bite de mon fils.
– Ben non !
– Tu as tort regarde comme elle est bonne…
Et joignant le geste à la parole, Rachel embouche la bite de Bertrand en invitant Noémie à partager ce moment de fantaisie. Ce dernier sollicité par deux langues ne tient pas la distance et son foutre vient gicler sur le visage des deux femmes. Noémie s’essuie sommairement
– Bon, je peux peut-être roupiller cinq minute, maintenant ?
– Fais-moi un gros bisous et je te fous la paix !
Les deux femmes s’échangèrent un long baiser baveux, puis Noémie tenta de s’endormir, mais en vain, alors elle fit semblant, et ouvrant discrètement un œil elle put voir Rachel à quatre pattes se faire grimper par Spirou après lui avoir sucé le sexe
A suivre
Ah, les chiens… Depuis que j’ai essayé je ne m’en lasse plus !
J’ai eu l’ocasio de briser ce tabou, je ne le regrette pas
C’est excitant une femme qui suce un chien