Histoires de bons plaisirs… 022 – Ah ! Que bite me va… par Verdon
Tout d’abord, veuillez accepter toutes mes excuses chères amies internautes ou autres, qui auraient pu percevoir une quelconque allusion méprisante à votre égard, suite à mes derniers propos sur la manie de notre ami Norbert, de se payer une cucurbitacée pour calmer ses ardeurs.
Non, ne soyez pas vexées, il y a des rondeurs qui peuvent en évoquer d’autres et aiguiser l’appétit de bons gourmands toujours prêts à sublimer les beautés de la nature et les vôtres.
Mais si tenté qu’un de ces jolis fruits puissent stimuler les sens d’un passant famélique, entre vos rondeurs sublimes et les boursouflements de ce satané fruit… il n’y a pas photo !! Vos charmes assurément, ont bien plus de chaleur que le fourbe légume…
Mais puisqu’on parle photo, je vous en propose une, à donner le tournis à notre ami Norbert… Le voyez-vous tout nu, par une belle soirée de fin d’été, se promener dans un champ de courges !… Il va falloir le mettre en cage notre bonhomme !…
Eh ! Les gars !
Ben ! Vous bandez, vous aussi !… Petits cochons !
Retenez-vous quand même, vous n’êtes pas au sauna !… Humm !
Ah… les Courges… .Il y en a de bien bonnes !… Oups !
Bon retournons à nos petites perversions…
Il s’agit d’émanciper une petite rondelle affamée, mais hélas pas encore consommée dans le lit conjugal.
L’affaire est convenue entre Alice, la propriétaire de la dite rosette, avec Juliette, sa gouvernante… et notre ami Norbert (l’enculeur de courges… ).
Tout est préparé par Juliette qui s’occupe de toiletter Norbert, qui en a bien besoin, avant de se mettre à la tâche.
Elle lui fait même une pipe pour le mettre en forme, (Humm, ça sent la courge !), tandis qu’Alice, impatiente, l’attend dans la chambre à coucher, courbée sur le lit, le cul nu et grand ouvert, laissant miroiter tout au fond un aguichant petit opercule… .
Sous les bonnes caresses de Juliette, le sang du jardinier ne fait qu’un tour et sa bite monte au plafond, presque à décrocher le lustre.
Surprise, Juliette est stupéfaite. Elle ne l’avait jamais vue aussi bandé ! Elle commence à craindre pour sa protégée :
– Qu’est-ce qu’elle va se prendre la novice !
Mais la tentation de passer avant elle, est très forte… Une bite pareille ! Humm !
Elle continue de sucer discrètement, l’impertinente pine… C’est tellement bon de sentir sur ses lèvres les grosses veines du boutefeu qui bande comme un âne ! Elle se dit :
– Ni vue, ni connue, je me fais le joli matos avant de le refiler à Alice. Un peu moins bandée, elle n’en sera que plus mettable pour son petit cul fragile.
Vous pensez bien que Norbert est tout à fait d’accord, deux pour le prix d’une… ça fait son affaire !
– Ça fait de bons préliminaires, ajoute-t-il.
Et il se la torche la gouvernante, en deux coups, trois mouvements…
– Salope tu as toujours le cul aussi bon !
Cependant Alice commence à s’impatienter dans la chambre à côté. Aussi Norbert dégaine son imposture encore bien raide, se la fait sucer (Tiens, ça ne sent plus la courge !) et courre l’enfiler dans le derrière de la jeune femme. Et pas bêcheuse, la bonne servante s’offre le plaisir de guider le sexe baveux, dans le petit trou neuf.
Mais c’est qu’il est impatient le jeune homme… il te percute la rosace avec précipitation… ça glisse, ça ripe, et ça pénètre en défrisant la rondelle !
– Ouah ! Pas si vite… .s’écrie Juliette … plus excitée qu’affolée. Tu vas casser la porcelaine !
– Aïe !
Ben oui ! Elle a crié Alice, on ne se fait pas tourmenter le trou de balle pour la première fois, sans que ça démange un peu, côté centre des plaisirs (j’en devine qui serrent les fesses… .Oups !).
Heureusement préparée par Juliette, la novice a bien soutenu la charge… Tenue aux épaules par Juliette, la tête engoncée entre ses cuisses, elle reprend son souffle tandis que Norbert enfoncé dans ses miches, savoure gentiment, dans un premier temps, puis entame des va-et-vient avec sa bite, de plus en plus rapides.
Clap… Clap… Il rebondit sur les petites fesses moelleuses de la gourgandine qui couine en enfonçant à chaque coup, sa tête un peu plus entre les cuisses de Juliette.
Elle sent le plaisir qui envahit doucement son ventre et sa jouissance finit par exploser brusquement en même temps d’ailleurs que Norbert jute dans son colon.
La jouissance est si forte, que ça la vrille tout entière, depuis les doigts de pieds jusqu’aux bouts des seins, en passant par les cuisses et les lombaires… Elle étouffe.
Maintenant, Norbert bien calé dans son cul, jouit abondement. Il termine par deux ou trois bonnes enculades (ben oui… faut bien les secouer pour les vider, ses roubignolles!), puis il se calme, confortablement affalé sur les fesses d’Alice. Il bouge lentement en lui câlinant les hanches et les épaules…
Elle trouve les délicatesses de Norbert, agréables. Lui, il continue lentement son travail, pour profiter le plus longtemps du Paradis moelleux dans lequel il est tombé.
Juliette profite du spectacle, en se glissant derrière lui. Elle admire, entre ses cuisses, le battement de ses roustons accrochés derrière son pénis. Entre chaque aller-retour, l’anus reste grand ouvert quelques secondes avant d’avaler de nouveau le beau membre, comme un poisson qui gobe un ver ! (Il a de la gueule, son petit trou !).
– Ah elle est bien gâtée l’enculée ! Se dit Juliette… Que c’est beau ! (Ben oui, elle mord à l’appât, la gourmande. Et quel appât !).
Elle est toujours subjuguée par la vue d’une sodo, Juliette. Voir un petit trou avaler une bonne bite, ça l’excite au maximum. Elle mouille. Elle est jalouse, ça l’excite, ça lui donne la rage. Elle souhaite qu’elle en prenne plein le cul cette conne.
– Vas-y ! Pète-lui la rondelle, élargit lui le trou… Fait-la crier, nom de dieu ! … Elle aime ça !… (Tout cela, elle ne le dit pas, elle le pense, c’est tout).
Alice, apprécie cette sensation d’encombrement qui lui remplit le colon. En resserrant l’anus, elle réalise combien c’est fort et étrange d’être enculée. Elle cherche à retenir le gros morceau de chair qui finit par s’échapper en lui taquinant sévèrement la porte de sortie.
Et, hop ! La voilà qui est sortie, la belle bite, encore fière, mais empanachée des bonnes œuvres de ce cher Norbert, sans compter les quelques vilenies d’un petit cul malpropre !
Une petite tape sur les fesses d’Alice, lui rappelle ses devoirs et consciencieuse elle se retourne pour engloutir respectueusement le gros morceau dans sa bouche accueillante.
Norbert s’est placé à cheval au-dessus de son visage et lui présente son équipement. Elle le saisi à pleines mains, le caresse et le prend en bouche.
Et sans feindre, elle suce, la goulue, en regardant Juliette avec de gros yeux blancs et narquois… Et va s’y que je te lèche… il n’y en aura pas pour toi !
– Ah oui ! Il a bon goût mon trou du cul, qu’elle s’écrie, en s’essuyant la bouche… fière d’avoir dépassé ses appréhensions et prête à se soumettre à la prochaine occasion.
Juliette se précipite pour se gaver du bon nectar qui s’écoule à flot entre les fesses de la donzelle qui lève ses jambes pour permettre à la bonne ouvrière de lui tourmenter délicieusement le bouton marbré.
L’épreuve de la sodo s’est donc très bien passée et Norbert étant parti, Alice se jette dans les bras de son éducatrice pour la remercier de son aide précieuse.
Du coup, collées l’une à l’autre, elles se gamahuchent. En 69 elles se patinent le clito et le trou de balle comme deux folles !
– Ouah, s’écrie Juliette, regarde, le charmant Monsieur !… Il t’a glissé un gros billet entre les fesses … nom de Dieu !
– C’est quoi ce gros billet… il a dû tomber de sa poche !
– Mais non, pétasse ! C’est pour te remercier… c’est un honnête homme ce Norbert…
– Voyons, j’en ai de l’argent… je n’ai pas besoin de ses sous ! il m’a prise pour une pute le salaud !
– Pour une pute, si tu veux… mais surtout pour une jolie femme qui lui a offert le plus intime de ses secrets et ça se paie un si beau geste… en plus il t’a dépucelé le joli coin, alors tu ne vas pas rechigner pour quelques sous, tu les mérites bien… ton mari ne t’en donne pas autant quand il te baise !
– Quand même Séraphin… c’est son devoir !
– Justement, je trouve qu’il le fait bien mal son devoir… il ne te l’a pas encore décapsulé ton croupion ! Alors pour une fois qu’un brave homme s’en charge, tu peux être heureuse. Bravo la pute !
– Oh oui, tu as raison, il est très doux Norbert, c’est un homme d’honneur ! Tant pis pour Séraphin puisque mon cul ne l’intéresse pas ! et je suis fière de la reconnaissance de ce brave jardinier…
– Voilà de sages remarques. Ton cul vaut bien son pesant d’or ! Je sens que d’autres rencontres du même genre ne te déplairaient pas !
– Oh, oui Juliette… Avec d’honnêtes gens… Mais où tu m’entraînes ?
– Pas loin… pas loin, juste quelques centimètres de quéquettes… Hi !… Hi !…
– Tu en connais beaucoup des quéquettes qui voudraient de mon cul ?
– Eh bien met-le à la fenêtre et ce sont des kilomètres qu’il va s’avaler ton mignon… sacrée vicieuse !
– Oh !
Alice a vite pris goût aux bonnes choses. Avec Juliette elles s’entendent bien pour partager de bons plaisirs saphiques. Elle connaît de bonnes maisons, la gouvernante et elle a tôt fait d’emmener son élève voir des Dames très distinguées qui s’ennuient quand le mari n’est pas là, et toutes disposées à parler chiffons entre elles.
Et on sait bien où ça mène tout cela.
Les chiffons tombent, les nichons pavoisent, les culottes s’échappent et bientôt sur l’épais tapis, nos Belles approuvent la douceur d’un téton, la profondeur d’un minou ou bien le parfum d’un entre-fesses.
Au milieu de ce charivari, Alice (la plus jeune de toutes), passe de mains en mains et se régale des faveurs de ses hôtes.
Elle a droit en bonus à quelques bonnes misères de ces Dames jalouses qui lui fricotent les fesses ou les seins, histoire de mater l’insolence de ses trésors.
De sévères fessées la ramènent à sa réalité de femme soumise. Elle se fait sodomiser par une ribambelle de doigts très futés, sans oublier de bons godemichets boursouflés. Elle a un beau cul… Voilà qu’il plaît aux Dames … C’est dans l’ordre des choses… C’est donc bien mérité.
D’ailleurs, parmi toutes ces femmes mûres, elle ressent ce noble sentiment de vengeance qui les inspire. C’est bien féminin. Elles ont envie de corriger gentiment cette novice, comme elles l’ont été quand elles étaient plus jeunes, à la merci de leurs aînées dominatrices.
Des femmes entre elles, vous ne les arrêtez pas ! De vraies tigresses… Des griffes, des morsures, des raclées et des patins enflammés, à se bouffer la langue… Mais c’est si bon !
Juliette n’est pas la dernière à participer à ces festivités.
Mais cette soirée débridée ne peut pas s’arrêter ainsi sans un nouvel intermède.
On sait bien que des dames en folie ne se satisfont pas toujours, de tripotages entre elles, de suçons, de léchages et de joyeuses libations en s’abreuvant directement à la source de leurs émois, au trop plein de leur vessie.
Il leur faut parfois un plus, plus ou moins gros d’ailleurs, plus ou moins dur aussi, mais qu’importe, pourvu qu’elles jouissent de ce bon bout de chair que seul un homme peut leur offrir.
Certes, en bois d’olivier il y a de superbes reproductions toujours prêtes à les honorer, et dieu seul, ou le diable, savent combien d’entre elles ont ce genre d’amoureux dans leur sac ou dessous l’oreiller ! (n’est-ce pas chères lectrices !… ).
Mais malgré toutes les ressemblances et les qualités de ces merveilleux trésors, ils ne pourront jamais remplacer la superbe cambrure d’un véritable Amant, dont elles ne peuvent se passer. !
Déjà la simple vue d’un beau pénis, les trouble. Le parfum et la prestance, n’en parlons pas. Son insolence leur plaît beaucoup. Un joli membre bien bandé les rassure plus qu’il ne les effarouche. S’il bande ainsi c’est qu’elles ont du charme… elles sont bien foutues… ’cul mettable’ diront des mecs grossiers. Eh bien c’est ce qu’elles aiment : émoustiller ces messieurs, les impatienter, les torturer en quelques sortes en leur faisant miroiter leur cul !
Mais le moment venu, quand l’approche se fait, que le dos tourné, en position obscène, elles savent que le mâle est là, derrière, le vireton tendu, elles prennent conscience qu’elles vont y passer… .Elles prennent des risques. Elles deviennent moins fanfaronnes, encore un peu dociles, elles ne savent plus très bien s’il faut serrer les fesses ou au contraire les ouvrir… (allons-donc, Mesdames, j’en connais beaucoup qui n’hésitent pas longtemps… et des maris aussi !).
Eh bien, justement, dans ce groupe de femelles en chaleur, notre bonne Juliette, connaissant la nature féminine, a prévu de faire entrer deux ou trois hommes, pour égayer un peu plus la soirée.
Il y a là, d’abord notre ami Norbert qui ayant pris goût à la chose arrive fringant comme un jeune coq. Un bon gros copain ne refuse pas de l’accompagner bénévolement (pardi !), et un pépé diablement vicieux, ne se fait pas prier pour leur donner un coup de main.
Arthur le copain, a un tel embonpoint, qu’il ne peut plus voir son service trois pièces qui pend sous sa bedaine, grosse queue et belles couilles. Mais qu’importe le bonhomme… le bel équipement n’a pas échappé aux regards envieux de ces dames. Devant la taille de son braquemart, elles ont les yeux qui brillent et la chatte qui mouille. Pourtant elles se débinent nos pisseuses, de peur de se faire fracasser le fenestron pourtant déjà aguerri, courageuses mais pas téméraires, elles poussent Alice à faire les frais d’un vigoureux taraudage. (Les salopes, elles veulent prendre plaisir à voir la jeune se faire débourrer le trou de balle).
Volontaire désignée, elle est un peu inquiète, cette dernière. Mais subjuguée par la beauté du sexe, elle s’approche timidement, prend l’outil dans ses mains. Curieuse, elle le tripote, décalotte le gland qui jaillit, prétentieux, papillonne tout autour avec sa langue et sans hésitation elle l’introduit entre ses lèvres pour le lécher.
– Tu aimes ça, salope ! C’est bon la bite … hein ! Cochonne ! Poufiasse, avaleuse de foutre ! Baronne de mes couilles ! Dis-moi qu’elle est bonne ma pine ! Tu la veux dans ton cul, salope !
Oh ! Elle est surprise, on ne lui a jamais parlé sur ce ton ! Ça l’offusque !
Pourtant elle ne répond pas et ne lâche pas le joli membre, au contraire elle le suce davantage et se l’enfonce dans la bouche, lui pétrit les couilles. Humm il est velouté le bel instrument ! Et l’autre qui la conspue de tous les noms d’oiseaux, ne fait que l’exciter davantage. Ça la change des soirées missionnaires de son époux.
Ça lui plaît d’être traitée comme une salope, comme les autres… elle ne se démonte pas. Elle est fière d’être la proie d’un inconnu et de se faire bousculer vicieusement comme une grue, devant les autres femmes. Oui, elle fait la pute, elle est à son deuxième coup d’essai et son cul va s’y faire…
Il l’attrape par les cheveux et la tire en arrière pour dégager son sexe.
– Tiens ! c’est du bon ! Et il lui trimbale son gland dessous le nez…
Elle pue sa queue. Elle sent fort, il n’a pas dû se la rincer depuis longtemps… Elle s’en fout, c’est une bonne pine d’homme… Elle respire fort et cherche à la reprendre en bouche…
– Dis-moi que tu n’as jamais eu une aussi bonne queue sous ton tarin… ! Il lui tapote les joues avec sa bite, lui représente sur la bouche, elle essaie de l’engloutir, il l’en empêche…
– Oui ! oui !… donne-la-moi… elle est bonne !… je la veux, met-la-moi !
– Tu vas voir où je vais te la mettre, connasse ! je vais t’enculer devant ces Dames !
– Oui !, comme une traînée… mets-la-moi !… Encule-moi !
Bien sûr qu’il va lui mettre à cette salope. Mais il est de petite taille notre bonhomme, alors qu’elle est plutôt grande. Il a son nombril à la hauteur du trou du cul de la gourmande. Aussi Juliette qui ne manque pas d’imagination, empile deux poufs sur lesquels elle fait se courber Alice, les cuisses grandes ouvertes, le cul offert. Saisissant le gros mandrin elle le présente devant l’anus de la jeune dame, (après l’avoir sucé, évidemment) et donnant une claque sur le cul du conquérant…
– Vas-y mon con et pousse … encule-la, elle aime ça ! Défonce-la, avec ta belle queue…
Il pousse, que diable, en criant bien fort… et ça entre à fond et d’un seul coup… Oh, putain que ça entre bien !!… Les roustons ras la raie du cul !
On ne sait pas si elle a crié. Ecrasée sous son bienfaiteur (comme un crapaud sur l’autoroute… ), elle ne peut rien dire. Elle digère à l’envers !… oui ce gros morceau qui l’encombre jusqu’au fond du colon, lui donne l’impression qu’elle l’a dans l’estomac.
– Putain, se dit-elle ! Il me remplit le cul… J’étouffe… C’est gros. Ouille !… c’est ça, se faire enculer… Oh ma Mère si tu me voyais !…
Tandis que son enculeur continue consciencieusement son travail en lui pilonnant l’arrière-train, les autres dames la cajolent, la caressent, la félicitent. Elles jouissent du beau spectacle. Qu’est-ce qu’il fait ça bien ! Elles regrettent finalement de ne pas être à sa place, et sont surprises de la voir se faire si gentiment bousculée, les jalouses !
Et puis, voilà que des grimaces de jouissance éclairent soudain son visage. Oh que c’est bon cette grosse chose qui lui envahit le bas du dos… et ça monte, ça monte… ça lui tortille les ovaires… elle mouille… elle gémit… elle crie… oui ce coup-ci on l’entend crier de plaisir, ce n’est pas de la fanfaronnade, c’est la jouissance, le bonheur, l’explosion de ses sens !
– Oh ! Diable… vas-y !… Tant la bite me va !
Puis soudain c’est le calme plat. Après avoir bien joui… Elle reprend doucement ses esprits, toujours écrasée par son amant affalé sur son dos, le gros pachyderme… Il est paf ! Il l’a bien sautée. Il a joui comme un porc, il ne bouge plus, il s’endort le paresseux !
Bon sang ! Ce qu’elle est bien Alice ! Après tant d’agitation, elle savoure cette présence masculine dans son arrière-train. Elle ne bouge plus, elle serre son anus pour retenir le bienfaiteur qui cherche à sortir. Ça lui fait des frissons dans les cuisses.
Au bout d’un court instant, il refait surface. Il se retire, décule, lui tapote le cul… Il lui a tout donné… Il s’est vidé… .Elle ne l’intéresse plus…
Elle veut lui sucer la pine, c’est dans son rôle… Il la refuse (le malappris !)… C’est le petit vieux qui accoure pour faire le ménage, qui n’en laisse rien aux femmes qui n’auront droit qu’à sucer ensuite une bite molasse et bien propre.
Juliette se régale de lécher le petit trou d’Alice, qui se referme lentement, débordant des humeurs salées de son bienfaiteur, agrémentées de quelques embarras indélicats mais diablement parfumés.
Norbert tourne autour de ce joli monde et tâte de ci, de là, une bouche, un cul, pour terminer finalement dans celui du petit vieux qui adore se faire ramoner la boutonnière pendant qu’il lèche ces dames. C’est un spectacle ravissant pour ces vicieuses. Elles regardent le gros nœud du jardinier, s’enfoncer dans le troufignon de l’ancien qui frétille de bonheur, comme un gardon sorti de l’eau. Ça a du charme deux hommes qui s’enculent, couilles contre couilles… elles adorent !
Devant cet amalgame de chairs en ébullition, Arthur qui a une forte envie de pisser, asperge tout ce petit monde sur le cul, sur les seins et dans la bouche de chacune qui se gave du délicieux breuvage
.
Je ne vous dis pas dans quel état la femme de ménage trouve la pièce, au petit matin. Norbert est encore en train de fouiner dans le cul d’Alice qui a la tête entre les cuisses de Juliette. Le petit vieux se fait torpiller l’anus par Arthur et les femmes se gamahuchent en se bouffant la pachole.
– Quel bordel !… Furieuse devant ce carnage, elle commence par bougonner la servante… en les insultant.
Bien lui en prend, car elle se trouve rapidement coincée entre les hommes qui pour la calmer, ont vite fait de lui virer sa culotte et de lui foutre une fessée carabinée !
– Voyons ma petite dame, où a-t-on vu une servante venir emmerder ses maîtres pendant leurs petites affaires matinales !
Aussi, après la bonne correction, ils lui font faire le ménage de tous les culs, les cons et les bites de la troupe, ce qui n’a pas l’air de lui déplaire, d’autant qu’elle se retrouve complétement à poil, et joyeuse comme les autres.
– Bouffe moi les couilles lui dit Arthur qui lui chevauche le visage…
Elle fait ça si bien, que tous les autres en demandent tout autant…
Revenue à de meilleurs sentiments, elle se pend au cou de Norbert. Aidé par Arthur de l’autre côté, à tous les deux ils lui foutent un sacré pourboire de part et d’autre. Tandis que le pépé, monté sur une chaise, lui carambouille la glotte avec son petit chichi qui pisse comme une fontaine
– Putain ! ça me rappelle mes vingt ans ! Qu’elle s’écrie la vieille en jouissant comme une jeunette.
Après ce retour de jeunesse, affalée sur le canapé, elle dégouline de tous les bords, la mémère.
– Ah mes aïeux ! Vous m’avez fait toute neuve ! Vous êtes merveilleux ! Vive le cul ! Je vous aime, mes salauds
Alors pour la remercier, ils la passent sous la douche en la tripotant de partout et pour la requinquer, ils l’assoient sur un fauteuil, lui servent un bon grog et remettent tout en ordre pour qu’elle n’ait pas à faire le ménage. (Tous des braves gens, je vous le dis… ).
Ben voyez-vous, quand elles veulent, elles ont du charme les petites vieilles, il suffit d’être gentil avec elles et de savoir par où les prendre…
Juliette est satisfaite. Elle est arrivée à pervertir gentiment Alice qui maintenant avec consentement peut apprécier ces plaisirs sexuels que son mari ne veut pas lui faire partager.
De la soumission, elle est d’accord, mais dans la joie et le plaisir.
Ce n’est pas parce qu’elle est Comtesse notre héroïne, qu’elle va rester enfermée à la maison, pendant que son mec ne se prive pas d’aller fouiner sous les jupons des Dames qui l’entourent.
07/09/2024
Un vrai délire… J’apprécie
La truculence de l’ami Verdon semble defilement inépuisable !