Chanette 32 – Drogue en stock – 8 – Après l’effort, les saucisses de Frankfort

Chanette 32 – Drogue en stock – 8 – Après l’effort, les saucisses de Frankfort

Il est 19 heures et des brouettes. Max fait connaissance avec Tanya Carnot et Karine Levillain, (Tanya est une jolie blackette, Karine une grande brune, voir Chanette 27 l’affaire Manet Carrier). Max sonne au domicile de Louis Lesec alias Bosse-dur

– C’est à quel sujet ? Demande ce dernier en entrouvrant sa porte
– Police, répond Max en exhibant une très jolie fausse carte.
– Z’avez un mandat ?
– Non mais j’ai un flingue et si tu ne me laisses pas entrer je te tire dans les couilles !

Livide, le malfrat le laisse rentrer, réfléchissant à une improbable riposte.

– Mais qu’est-ce qui se passe ? Hurle une voix féminine
– Calmez-vous Madame, tout va bien se passer asseyez-vous tous les deux, les mains sur la tête. On veut juste l’adresse de Poivrevert.
– 14 boulevard Voltaire ! Répond spontanément la petite dame

« Trop facile ! »

– Ton téléphone, il est où ?
– Je l’ai laissé dans la cuisine.
– Et celui de madame ?
– Pareil !

Tanya va les récupérer tandis que Karine menotte le bandit et sa compagne

Max analyse les téléphones, a priori peu de choses intéressantes sauf que dans l’historique des derniers numéros appelés par Bosse-dur, il tombe sur le mien !

– Tiens, tiens, c’est donc toi qui a téléphoné à Chanette ?
– Chanette ?
– Je veux dire Madame d’Esde.
– C’est mon patron qui m’a demandé….
– Poivrevert ?
– Ben oui.

Et pendant ce temps-là, sa bourgeoise ne cesse de geindre et de pleurnicher

– Tu vas la fermer, toi ou on te bâillonne !
– On a rien fait, laissez-nous, c’est une erreur…

Karine la gifle puis avisant une boîte de kleenex, elle prend plusieurs feuilles, en fait une boule et l’introduit dans la bouche de la malheureuse.

Puis Max fait signe aux filles de le rejoindre en cuisine.

– Je vais vous faire faire des heures sup. Mais il faut absolument qu’on se pointe chez Poivrevert avant qu’il ne soit prévenu.
– Pas grave, on récupérera, on a l’habitude…, répond Tanya.
– On fait comment pour les empêcher de le prévenir ? Demande Karine.
– On les laisse ici, bien ligotés.
– Ils vont crier.
– Pas si on les bâillonne.
– Non, c’est dangereux intervient Max, on va les trimbaler avec nous en bagnole… Karine tu montes avec moi et tu vas surveiller ces deux abrutis, Tanya tu nous suis avec ta bagnole. Bon on descend, ne tentez rien dans l’escalier, ça vaudrait mieux !

Arrivé au 14 du boulevard Voltaire, Max fait signe à Tanya de venir avec lui, Karine restant pour surveiller le couple.

La boîte aux lettres indique « Poivrevert, 3eme droite ». Ils y vont., Derrière la porte on entend des voix d’enfants…

– Manquait plus que ça ! Mais ce n’est pas cela qui va nous arrêter.

Max écoute attentivement, il perçoit une conversation entre deux adultes, un homme et une femme.

Il sonne.

– Qu’est-ce que c’est ? Demande une voix féminine.
– Police ouvrez, on a un mandat.
– Une seconde…

Madame met un temps fou à ouvrir…

– Alors, ça vient ou on force la porte.
– Voilà, voilà ! Annonce la dame.

Ces braves gens étaient en train de dîner, trois couverts, deux gosses, un garçon et une fille.

– On voudrait parler à Monsieur Poivrevert.
– Il est en déplacement en province.
– Comme c’est dommage ! On a des trucs à vous raconter, mais ce n’est pas pour les enfants, si vous pouviez les éloigner ?
– Venez les enfants…
– J’ai pas fini mon dessert, proteste le garçon.
– Emporte le.
– Mais pourquoi ?
– Parce que c’est comme ça.

Elle finit par se débarrasser des gamins et revient en faisant une drôle de tronche. Faut la comprendre…

Et de façon complètement inattendu, Max gifle la femme

– Vous n’avez pas le droit.
– T’en veux une autre ?
– Eh bien allez-y puisque battre une femme doit être l’expression de votre courage !
– Ton mec n’est pas en province, il est ici, on l’a entendu derrière la porte…
– N’importe quoi !
– Poivrevert, sort de ta cachette ! On n’est pas des flics et si tu ne te radines pas, madame va passer un sale quart d’heure .

Pas de réponse

– Super, ce monsieur vous adore à ce que je vois. Déshabillez-vous !
– Ça ne va pas non ?
– Et plus vite que ça sinon on va devenir méchant !
– Raphaël, au secours !

Pas de réponse.

– Il est où ?
– Dans les chiottes, mais ne lui faites pas de mal.
– Et c’est où ?
– Deuxième porte dans le couloir.

Max et Tanya y vont.

– Bon tu ouvres, si tu es armé, nous aussi, alors maintenant tu sors de là-dedans sinon on défonce la porte !

Pas de réponse. Max donne un grand coup de pied dans la porte qui craque mais ne rompt pas

– C’est bon je sors, je ne suis pas armé.

Max fait signe à Tanya de se mettre hors de portée

On entend l’homme déverrouiller la porte, il ouvre, flingue en main et avant qu’il ait le temps de réagir reçoit une manchette qui lui fait lâcher son arme, suivi d’une mandale qui l’envoie au sol. Tanya le menotte.

– Putain la trouille que je me suis tapée ! Confesse-t-elle en tremblant.

Max téléphone à Karine .

– Opération réussie, éloigne-toi sur 500 mètres, relâche les deux abrutis puis reviens vite..’
– Je les relâche ?
– Oui ce qu’on voulait, c’est le gros poisson, si les flics veulent traquer les complices ils sauront faire. On ne peut pas surveiller trois personnes à la fois dans la bagnole…

Poivrevert est embarqué sous la surveillance de Tanya.

Max connaît du monde à la brigade des stups, son contact n’est pas présent, mais qu’importe.

– On est tombé par hasard sur un baron de la drogue, on l’a neutralisé et on a l’adresse de l’endroit où il entrepose ses merdes, je fais quoi ?
– Ben venez ! Je vais vous faire signer une déposition.
– Obligé ?
– C’est la procédure.
– Alors procédons.

Passons sur les formalités administratives surréalistes… ces gens-là veulent savoir dans quelles circonstances et pourquoi et comment… Mais Max a suffisamment de bagout pour assaisonner à sa sauce tous ces événements

– Z’êtes pressées les filles ?
– Pas tant que ça, répond Tanya, pourquoi ?
– On pourrait aller chez Chanette trinquer à nos exploits, du moins chez sa copine; mais avant on va se chercher un épicier d’ouvert, je vais acheter un peu de Champagne.
– C’est que, Intervient Karine, j’aurais bien mangé un petit truc.
– OK, on va se prendre des pizzas et des saucisses de Frankfort… ah et s’il y a une pharmacie d’ouverte en va prendre des capotes.
– Auriez-vous des intentions salaces, Monsieur Max, l’interpelle Tanya avec une grand sourire complice.
– Pas du tout, mais on ne sait jamais…

J’étais en train de papoter avec Gigi quand la joyeuse bande se manifesta à la porte d’entrée.

– On ne vous dérange pas, les filles ?
– Mais non, mais non !
– On a apporté le Champagne pour fêter nos exploits…
– Raconte, raconte…
– On va vous raconter mais avant, comme on a petit creux on va se bouffer une pizza, vous avez mangé les filles ?.
– Ben oui

Pas trop gêné le père Max, mais vu les circonstances, je serais mal placée pour lui reprocher quoi que ce soit.

On fait les présentations

– Karine, détective et collaboratrice de Monsieur Remiremont que vous connaissez je crois, et voici Tanya, détective également…
– Gigi, travailleuse du sexe, mais vous pouvez dire « pute », j’assume ce que je fais !

On s’est attablé, Max nous a raconté ses exploits tout en se baffrant avec sa pizza. C’est qu’ils avaient faim, ces trois-là… l’émotion sans doute.

Et maintenant : Champagne !

Je vais sortir des coupes, on les remplit, on trinque, on boit, on rigole, l’ambiance est bonne.

– Les saucisses c’est pourquoi faire ? Demande Tanya
– Pour manger, je suppose… Mais on peut aussi s’amuser avec !

– Ça m’a excité tout ça, c’est bizarre comme phénomène, non ?
– Ah vous croyez, Monsieur Max ? lui répond innocemment Tanya.
– Imaginez ! Je suis comme qui dirait « en rut » et j’ai quatre ravissantes femmes autour de moi, C’est une situation embarrassante, mais rassurez-vous je sais me tenir.
– Laissez-vous aller, Monsieur Max, si ça peut vous détendre, il n’y a pas de mal à se faire du bien. Reprend Tanya qui m’a l’air, elle aussi bien excitée. J’ai comme une envie de m’assoir sur vos genoux, ça ne vous dérange pas ?

Mais il n’a même pas le temps de répondre, Tanya est déjà sur ses cuisses.

– Oh, monsieur Max, vous devez avoir trop chaud avec cette chemise, je vais vous la déboutonnez !

Et elle le fait, lui caresse la poitrine et lui pince les tétons.

– Mais tu fais quoi là ?
– Je t’excite, tu n’aimes pas ?
– Si, si mais la situation va devenir incontrôlable !
– Mais non ! Voyons voir l’état des lieux !

La main de Tanya est sur la braguette de Max, elle peut ainsi constater que l’homme bande comme un cerf !

– Hum, c’est tout raide, là-dedans ! J’espère ne choquer personne si je la sors de sa cachette

Moi je m’en fous et connaissant Karine, elle n’est pas du genre à se choquer non plus. Reste la réaction de Gigi.

– Monsieur Max, vous nous avez sorti d’une situation compliquée, cela mérite récompense, je réclame donc le privilège de vous faire un bonne pipe !
– Mais je vous l’accorde, chère madame !

Et on ne perd pas une minute, Tanya sort la bite de Max et la propose à Gigi qui lui met la main dessus et la branlotte quelques instants

– Euh, intervient Max, si vous vous mettiez à l’aise ce serait cool, non ?
– Ah, vous voulez voir mes nichons ? C’est ça ?
– Tant qu’à faire…
– Alors allons-y ! Mademoiselle Tanya ne me laissez pas me déshabillez seule, ça me gêne un peu… Ensuite nous le sucerons à deux.

Tanya n’est pas une fille compliquée et se débarrasse de ses vêtements, tandis que Max enlève carrément son pantalon.

Et nos deux coquines agenouillées devant l’homme le suce à tour de rôle se repassant sa bite alternativement.

Et moi, pendant ce temps-là ?

– Regarde-moi ces deux cochonnes ! Me dit Karine. Moi aussi j’aurais bien sucé Max !
– Sois patiente, la soirée est à peine commencée.
– Hum; il y a longtemps que je ne t’ai pas brouté le minou,
– Depuis la Suisse, je crois (voir Chanette 24, tribulations helvétiques)
– Et maintenant tu voudrais ?
– Pourquoi pas ?
– Alors on se dessape !
– Dessapons-nous !

Un fois nue comme une grenouille, je me rassois sur ma chaise en écartant bien les cuisses, je me tortille le bout des seins et j’attends la langue de ma partenaire.

– Ne te tripote pas les nichons, je vais m’en occuper ! M’indique-t-elle.! Oh, personne n’a touché aux saucisses, c’est dommage ! T’en veux une ?
– Ça dépend ce que tu veux faire avec ?
– T’as pas envie de t’en foutre une dans la chatte ?
– T’as de ces idées, toi !
– C’était juste une suggestion.
– Tu m’en crois incapable ? lui répondis-je avec un air de défi.

Et saisi d’une pulsion soudaine, je m’empare de l’une des saucisses et me la fourre dans la minette, la faisant aller et venir. Elle n’en revient pas la Karine qui pour faire bonne mesure se met à faire la même chose.

Et contre toute attente cette introduction insolite me conduisit à la jouissance, Je sors la saucisse, trempée de ma mouille, et la fait lécher par Karine qui ne la refuse pas. Complétement partie, je prends une autre saucisse et me l’introduit dans le cul, je fais deux trois mouvements de va-et-vient et la ressors dans trop regarder son état. Karine l’a toute sucé.

Mais elle en veut plus, sa langue me lèche mes lèvres vaginales encore bien humides tandis que ses mains projetées vers l’avant agace mes tétons

De l’autre côté de la pièce, les choses ont évolué, Max a carrément renversé Gigi qui est maintenant le buste couché sur la table, les jambes pendantes et qui se fait peloter virilement le joufflu.

Max est derrière elle, à tous les coups, il va l’enculer… Je sais pour l’avoir pratiqué plusieurs fois qu’il fait ça très bien avec tact, rien à voir avec son physique de macho.

Et ça y est, il la sodomise en cadence, la faisant gémir de plaisir. Joli spectacle bien excitant dont je me régale pendant que Karine me gratifie d’une langue diabolique.

Je vais bientôt exploser, je mouille, je coule, je dégouline, je suis une éponge, Elle attaque mon clitoris, je n’en puis plus, je joui en braillant comme une damnée de l’enfer.

Elle est contente d’elle, la Karine, elle me nargue :

– Alors ? Je ne suis pas une bonne brouteuse !
– Tu m’as tué !
– Ben alors tu vas me ressusciter, on va invertir les rôles !

Je suis bien obligée d’accepter et de toutes façons ce ne sera pas une corvée.

Gigi gueule comme une baleine tellement la bite de Max lui donne du plaisir. Tout en continuant à limer il fait signe à Tanya de se positionner à côté de Gigi, ce qu’elle fait donc.

Il se dégage du cul de Gigi, change de capote et s’en va limer la jolie blackette qui n’attendais que ça.

Bon c’est bien beau tout ça mais j’ai promis à Karine de la faire jouir et je tiens à respecter cette promesse.

Je me positionne donc entre ses cuisses, mais avant un dernier regard vers le trio, c’est très beau, pendant que Max encule Tanya, celle-ci s’échange un baiser profond avec Gigi !

La chatte de Karine comme vous vous en doutez bien est dégoulinante de mouille, mais ce n’est pas pour me déplaire, au contraire, j’adore lécher ce jus et je fais durer le plaisir.

Karine halète, geint de plaisir, je porte l’estocade, la fait crier dans un geyser de mouille. On s’étreint, on s’embrasse, on est bien.

Max a un nouvelle fois changé de partenaire et c’est dans l’anus de Gigi qu’il conclut ses assauts. Il enlève sa capote et offre sa bite poisseuse de sperme aux bons soins de la bouche de Karine qui n’attendais que ça

Restée en plan, Tanya s’est retournée, jambes écartées, chatte humide… et c’est Gigi qui vient calmer ses désirs

Une belle orgie qui nous a donné soif mais pas que…

– J’ai une de ces envies de pisser, ça intéresse quelqu’un ? Demande Max à la cantonade.

Karine lui attrape la main et l’emmène aux toilettes… mais c’est que moi aussi je ferais bien un petit pipi.

Les toilettes chez Anna sont plutôt exiguës et Max et Karine prennent toute la place. Alors je ne me gêne pas et pisse allègrement sur Karine qui m’offre sa bouche grande ouverte.

Ah, ça fait du bien !

A suivre

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2 réponses à Chanette 32 – Drogue en stock – 8 – Après l’effort, les saucisses de Frankfort

  1. Chung dit :

    Moi, je prendrais bien la place de la saucisse !

  2. Muller dit :

    Ce fantasme est a mon avis trop peu présent sur ce site. Mais là on est récompensé ! Marci Chanette 💕

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