Une soirée à gages par Emeline
(Rewrité par Marie-France Vivier)
J’ai joué hier soir avec une amie et deux de ses copains à un jeu qui n’était pas du tout prévu au programme initial de notre soirée… L’idée en est venue quasi spontanément après que nous ayons pas mal trinqué ensemble ! Je ne sais pas exactement pourquoi, mais l’idée d’un « jeu érotique » a recueilli l’enthousiasme général, question d’atmosphère, bien sûr, ou parce que nous avions tous assez envie de mieux nous connaître… D’emblée, il fut décidé que le (ou la) première entièrement dénudée aurait pour gage ultime d’écrire en détail son expérience… M’y voici donc ! D’abord, je me présente : Emeline, 35 ans, divorcée. aucune expérience antérieure de l’exhibition ni de la soumission, mais assez attirée par le jeu et l’insolite… j’ai été abondamment servie, de ce côté-là, hier soir, comme vous allez le lire…
D’un commun accord, nous nous sommes tous attribués chacun un chiffre entre 1 et 6. jetant le dé chacun notre tour, celui ou celle qui tirait son numéro devenait la « victime ». il fallait alors relancer le dé qui devait décider du « bourreau » (désigné par le numéro tiré) ou de la relaxe, si aucun des trois autres n’était tiré, si le bourreau était désigné, la victime s’en remettait alors à ses exigences pour 10 minutes, violence exclue, et yeux bandés par un foulard. (si vous trouvez que les règles sont mal expliquées, cela n’a aucune conséquence pour la suite, rassurez-vous !)
D’entrée, j’ai tire mon numéro (le 3). ça commençait mal pour moi, d’autant qu’en rejouant, Laurent s’est vu aussitôt offrir mon obéissance pour 10 minutes. je n’en menais franchement pas large en enfilant le bandeau… Il m’a fait agenouiller entre ses jambes. J’étais en jupe (sage, aux genoux), et en sweat, avec des dessous très classiques; rien de sexy ni de provocant à priori ! Il m’a demandé de retirer les bras des manches de mon sweat, et de retourner les bonnets de mon soutien-gorge sous mon sweat, de façon à en faire ressortir mes seins. Ça m’a a fait tout drôle de me toucher la poitrine comme ça, sous mon sweat, les yeux fermés ! Mais ils ne pouvaient encore rien voir… sauf que Laurent m’a ensuite demandé de poser mes mains au-dessus de ma tête… vous imaginez ma honte ! En levant mes bras, j’ai moi-même relevé complètement le devant de mon sweat et exhibé mes seins présentés de façon ostentatoire par mon soutien-gorge réduit au rôle de petits balconnets. Il m’a alors caressé les pointes, et les a pincé doucement jusqu’à ce qu’ils deviennent tout durs. Je tremblais, j’avais la chair de poule et je les ai senti durcir très vite, alors que je rougissais, le souffle presque coupé. je me sentais complètement exhibée et docile, et ça me troublait énormément… Au bout de 5 minutes, il m’a fait remettre mes bras sous mon sweat et demandé de les retirer des bretelles de mon soutien-gorge avant de les remettre à nouveau à la verticale. Cette fois-ci, je ne sentais même plus le support des « balconnets », ceux-ci s’étant laissé glisser sur mon ventre, ma poitrine était entièrement offerte ! Il me l’a alors définitivement dégrafé lui-même avant de les caresser vigoureusement. je croyais manquer d’air en pensant aux autres qui regardaient ce spectacle de mon offrande silencieuse. Finalement, il m’a fait retirer mon sweat complètement avant de me retirer le bandeau pour reprendre la partie..
J’étais donc la seule à être partiellement déshabillée, les yeux rougis et le fard aux joues. L’ambiance était électrique ! Je passe sur les nombreux tours pendant lesquels aucun n’a tiré son propre numéro ou alors sans designer de « bourreau »… J’ai encore été la « victime » suivante, livrée aux caprices de Simon, cette fois-ci… il m’a fait agenouiller à côté de lui, qui était assis sur une chaise. il m’a demandé de me pencher jusqu’à ce que mon ventre repose en travers de ses genoux. J’étais ainsi livrée comme une gamine qui va recevoir la fessée, avec le « raffinement » supplémentaire de Simon qui me palpait librement la poitrine tout en me donnant ses ordres :
– Relève complètement ta jupe sur ton dos !
J’étais un peu effrayée, là ! Mais je l’ai fait…
– Fais lentement rouler ta culotte sur elle-même jusqu’à tes cuisses !
C’était fou, parce que j’entendais les autres se rapprocher pour mieux m’inspecter. Simon m’a alors caressé les fesses pendant toute la durée de mon gage, laissant parfois un de ses doigts se glisser entre mes fesses, jusqu’à l’entrée de mon anus, et deux fois même vers mes lèvres. Ce salaud a alors lâché à la cantonade :
– Mais ça lui fait de l’effet, de perdre, à Emeline ! Regardez comme elle mouille ! Ça promet pour la suite !
J’en étais rouge de honte !
Après le gage que m’avait fait subir Simon, j’étais donc, de plus en plus rouge, dépoitraillée complètement avec, de surcroît, ma culotte roulée sur elle-même sous mes fesses, heureusement cachée sous ma jupe. car il avait été précisé qu’aucun déplacement de vêtement subi lors d’un gage ne pouvait être modifie par la suite ! Seule, ma jupe était retombée naturellement sur mes jambes en me relevant. J’étais cependant très émue de sentir ce bourrelet de tissu sous le gras de mes cuisses en me rasseyant, au lieu du contact rassurant de ma culotte sur la surface de mes fesses ! Après ce gage, Laurent a été la victime expiatoire de Simon pendant dix minutes, à devoir se masturber doucement devant nous. spectacle intéressant, en vérité, car Simon n’a pu résister dix minutes à ses pulsions érectiles. Cela aussi m’a troublée je l’avoue, ce fut ensuite au tour de Nadège d’être la victime de Simon… N’ayant pas été touché lui-même précédemment par les autres joueurs, il rassura aussitôt Nadège en lui disant que personne ne la toucherait. une fois ses yeux bandés, il lui demanda simplement de dégrafer son soutien-gorge sous le large tee-shirt qu’elle portait ce soir-là. Elle obtempéra sans aucune difficulté ! En revanche, elle hésita et rougit énormément avant de réaliser la seconde requête :
– Rentre bien nettement ta culotte dans ta raie et dans ta fente !
Obligée par notre stupide règlement, elle s’y résolut finalement, mais en le faisant de façon « relativement » pudique, sa jupe toujours baissée .elle se rassit alors en demandant d’un air mi-rassuré, mi-inquiet à Simon :
– Et maintenant ?
Et lui, bref et goguenard de répliquer sèchement :
– Le poirier au milieu du tapis pendant 8 minutes, ma belle !
Imaginez alors Nadège, avec ses dessous à présent inutiles devoir redresser ses jambes à la verticale, entièrement dégager sa jupe ainsi de l’exhibition de sa culotte réduite à l’état de string impudique, et dégager en même temps son tee-shirt de la vision de sa poitrine dénudée par la chute sur ses yeux de son soutien- gorge ! Après deux minutes d’un silence glacial, Simon insista lourdement :
– Jambes à l’équerre !
L’exhibition de son sexe et de ses fesses était alors à son paroxysme, et elle dut le supporter pendant 5 redoutables minutes après lesquelles elle se releva enfin, cramoisie et suffocante…
– On continue ? demanda Laurent.
– Comme prévu ! répliqua Simon.
La victime suivante fut encore moi… et c’est Nadège, fausse-amie qui s’amusa à me martyriser devant les deux voyeurs attentifs ! Elle me demanda simplement de m’allonger à mon tour sur le tapis (je n’avais plus sur moi que ma jupe, mon slip roulé au ras des fesses, et mes sandales !) et de retirer ma culotte sans user de mes mains, en ne me servant que du frottement offert par le tapis. il m’a donc fallu tout d’abord faire glisser totalement ma jupe pour que mon slip puisse adhérer au tapis, et commencer une série de contorsions obscènes qui m’ont paru interminables, avant de me débarrasser enfin de mon gage… et de me sentir encore plus nue que nue… Brave fille malgré tout, Nadège considéra alors que mon gage était terminé, bien qu’il n’ait duré que 5 minutes ! Mais la partie n’était pas terminée.
Je restais donc vêtue de mes seules sandales et de ma jupe… Pour le reste, mes seins s’affichaient de façon arrogante aux yeux de mes partenaires qui en outre, avaient pu juste auparavant bien profiter de mes trémoussements visant à me débarrasser de ma culotte. Heureusement, ma jupe était retombée sur mes genoux. je n’en menais pas large cependant, étant la plus déshabillée de nous quatre, et devant un sort contraire d’être plus souvent victime que bourreau dans ce jeu idiot que nous venions d’inventer et que nous étions en train de vivre a 100 a l’heure jusqu’à… ?
Dieu soit louée, ma bonne étoile s’est remise à briller l’espace du gage suivant, quand Laurent, victime auto-désignée, m’a choisie malgré lui comme ordonnatrice de mes caprices sur sa personne. une joyeuse occasion de me venger de mes tourmenteurs… N’hésitant pas, j’ai exigé qu’il se déshabille sur le champ, après avoir bandé ses yeux, et qu’il ne garde que son slip pour toute parure. Laurent étant assez mignon, le spectacle n’était pas désagréable du tout, d’autant que j’en étais la scénariste ! Une fois ainsi mis de sa personne, je lui ai demandé de me prendre dans ses bras et de m’allonger sur le tapis, lui pesant de tout son corps nu sur mon buste, nu également. J’adore la chaleur d’un tel contact. je lui ai alors intimé l’ordre de se trémousser sur moi, de façon à caresser mon corps de toute la douceur de sa peau. passive et alanguie, j’ai pris un immense plaisir à me faire caresser ainsi, sur commande. Laurent n’a pas été non plus indiffèrent non plus, puisque son slip était ridiculement tendu (et même légèrement humidifié) lorsqu’il fut libéré à l’issue de son gage. Rouge à son tour, il paraissait très gêné en se débâillonnant. La pauvre Nadège dut ensuite retirer son tee-shirt, à la demande de Simon, ainsi que sa jupe.(je rappelle aux lecteurs que son soutien-gorge avait été déjà dégrafé précédemment, et que sa culotte était réduite au filet d’un string après avoir été roulée entre ses fesses. pour savourer davantage le spectacle). Il la fit alors marcher à quatre pattes autour de nous dans cette tenue, les yeux bandés. A chaque fois que Nadège se cognait, Simon la remettait sur sa trajectoire en la guidant par la seule pression de ses mains sur ses seins, celles-ci étant alors glissées (et agrippées) sous le pauvre tissu qui ne lui servait même plus de soutien-gorge !
Puis ce fut à nouveau mon tour. et Nadège de se venger de cette dernière humiliation dans laquelle je n’avais été pour rien ! Elle exigea aussitôt que je retire ma jupe. c’en fut fait, donc, de mon dernier rempart, mes seules sandales ne protégeant guère ma pudeur ! Je dus en outre m’allonger sur la table rectangulaire du salon, recouverte d’une couverture, (merci Nadège ! ) et agripper mes mains à deux des pieds de table. les yeux bandés, évidemment, comme pour tous les gages, très difficile d’imaginer ce qui vous attend alors. Mon cœur battait la chamade pour toutes sortes de raison. Nadège avait dû distribuer aux deux autres quelques-unes des plumes de paon qui ornaient un vase du salon, car je fus alors parcourue de frissons sur tout mon corps, sous l’effet d’un nombre incroyable de caresses légères et simultanées. c’était terriblement excitant. mes seins, mon cou, mes pieds, mes cuisses, mon ventre, étaient l’objet de mille frôlements… Nadège, perverse en diable, et sans doute un peu excitée par le spectacle, m’a demandé, sous le feu de mes mouvements incontrôlés de plier mes genoux, ramener mes pieds à plat sur la table, puis d’écarter mes jambes au maximum… Je me suis senti la dernière des salopes à accepter de prendre cette position quasi-gynécologique, les yeux fermés, devant des mecs qui ne m’avaient jamais vu nue une heure auparavant. De surcroît, mon excitation était telle que j’étais morte de honte en pensant que je devais leur présenter un coquillage béant et sûrement dégoulinant de miel ! Toutes les plumes de paon ont alors convergé sur mon sexe, le frôlant, glissant entre mes lèvres, appuyant sur mon clitoris hypertendu. Mes cuisses me faisaient mal à être autant écartées, et je sentais la jouissance commencer à venir…
Après cela, ce fut Simon qui dut subir les caprices de Laurent. intégralement nu, il lui fit évidemment se bander les yeux avant de le faire allonger à son tour sur le tapis.
– Ouvre la bouche, tu vas me sucer la bite !
Je n’en croyais pas mes yeux car c’est sans aucune réticence que Simon se mit à effectuer une fellation en règle sur le sexe tendu de son camarade de jeu. Profitant d’une pause dans cette action, Nadège n’hésita pas à lui caresser délibérément le gland qui dominait telle une vigie le sommet de son sexe érigé. elle y mit tant de cœur à l’ouvrage que Simon fut persuadé que seul Laurent pouvait lui prodiguer une telle caresse ! Et ce qui devait arriver arriva… il s’aspergea abondamment le ventre sous nos regards hilares mais excités par le spectacle ! Je passe sur ses tentatives d’arrêter son gage qui lui furent naturellement refusées. Evidemment, Simon fut ensuite moins chaud pour continuer la partie, n’acceptant de continuer que pour la durée d’un seul gage. et cet ultime gage me fut réservée par le sort contraire et acharné de mon lancer de dés ! Simon fut aussi désigné pour se transformer de victime en bourreau…
* Ah s’exclama-t-il… On m’a fait jouir en public ! Eh bien, Emeline, ça va être à ton tour, à présent !
J’étais à la fois extrêmement angoissée, mais aussi terriblement excitée par tout ce que nous venions de vivre, et quitte à monter au paroxysme de l’exhibitionnisme et de la honte en jouissant devant des spectateurs, j’étais aussi soulagée de penser qu’enfin ce plaisir qui ne demandait qu’à monter de mon ventre allait bientôt pouvoir s’exprimer…
– Je dois aussi m’allonger sur le tapis, je présume ? Dis-je en me nouant le bandeau sur les yeux.
– Mais non, ce serait bien trop facile ! Répliqua ce salaud de Simon ! Tu peux d’ailleurs retirer ce bandeau, tu n’en auras pas besoin !
Simon m’enjamba, sa bite à présent demi-molle était à quelques centimètres de mon visage…
– Ouvre la bouche, je vais te pisser dedans !
– Non, non ! Protestais-je.
– Et pourquoi « non » ? Tu voulais de l’humiliation, tu vas être servie ! Et cesse de geindre c’est une fantaisie très apprécié.
Je me résignais donc à accepter cette offrande insolite, je savais que ce genre de chose se pratiquait mais ne l’avait pour ma part jamais expérimenté. J’avalais les première gouttes trouvant le breuvage « particulier », mais en aucune façon repoussant. Je ne pouvais tout avaler et de l’urine coulait sur mes joues, mon cou, mes seins. Je me sentais humiliée mais proche de l’extase. Quand Simon eut terminé sa miction, j’allais pour me relever, mais Il m’ordonna de conserver ma position. Et c’est cette salope de Nadège qui prenant la place de Simon vint à son tour déverser sa pisse dans ma bouche. Le goût en était légèrement diffèrent, plus subtil.
– Et maintenant lèche, nettoie-moi la chatte !
Rien ne m’aura été épargné et j’acceptais de me livrer à cet acte saphique avec résignation, je devrais dire dans le plaisir de la résignation). Je me pris au jeu et ma langue caressant le clitoris érigé de Nadège, je la fis jouir dans un geyser de mouille.
Je me relevais, pantelante et c’est là que j’aperçu Laurent en train d’enculer Simon. Acte sans doute gratuit car à ce stade aucun gage n’avait été décidé.
Le jeu semblait terminé, je m’assis sur une chaise en regardant les garçons s’enfiler et entrepris de me soulager de la main. Bonne fille, Nadège vint entre mes cuisses m’aider à faire venir mon plaisir.
Et voilà, je viens de rédiger tout ça, je suis nue et seule dans ma chambre, j’ai un gode dans le tiroir de mon chevet, il va m’aider à conclure cette séance d’écriture.
Fin
Rewriting d’un texte truffé de fautes diverses et trouvable sur Internet (il s’agissait probablement d’un texte en langue étrangère traduit par un robot)
C’est sympa ces soirées à gages… à condition que tout le monde joue bien le jeu, ce qui n’est pas toujours évident, il suffit parfois d’un grincheux pour que ça parte en couille