Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne –13 – Le réconfort de Béatrice par Maud-Anne Amaro
Le lendemain
Les outils se trouvaient dans une cabane de jardinier, Et Martinov put avec d’infimes précautions déceler la première pierre, cela prit un certain temps ? Ensuite ce fut plus facile.
Le trou laissait passer une odeur nauséabonde de pourriture, Martinov activa sa lampe torche.
– Pouah, c’est quoi ce bordel ? S’il y a un trésor là-dedans, il pue la charogne.
Et puis…
Grégoire Lamboley est confortablement affalé dans un fauteuil moelleux du salon, Camilla est entre ses jambes prête à lui prodiguer une ces turluttes dont elle a le secret…
Le professeur entre en trombe dans le salon…
– Hé, vous ! On ne vous jamais appris à frapper avant d’entrer ?
– Monsieur Lamboley, on a trouvé quelque chose derrière le mur…
– Un trésor ?
– Non, un squelette !
– Quoi ? un squelette récent ?
– Non, il n’a pas l’air vraiment récent, c’est un squelette de femme, je présume.
– Vous savez reconnaitre un squelette de femme, vous ?
– Oui l’os du bassin est plus large chez les femmes.
– On en apprend tous les jours, je vais aller voir ça, Camilla nous reprendrons nos fantaisies un peu plus tard.
– Je peux voir le squelette, moi aussi ? Demanda-t-elle.
– Mais bien sûr !
Ils se dirigèrent tous trois vers le mur à moitié dégagé.
– Pouah, quelle odeur ! J’ignore comment nous allons gérer cette découverte, si vous avez une idée je suis preneur.
– Il faudra donner une sépulture décente à cette malheureuse ! Suggéra Camilla.
– Sans doute, sans doute…. Monsieur Martinov je vous suggère avant toute chose de vous occuper des autres petites pièces…
– C’était prévu, monsieur Lamboley.
– Mais je ne vois pas Béatrice.
– Disons que cette découverte l’a un peu remué, elle est partie en cuisine s’hydrater un peu.
– Oh ! Camilla allez rejoindre cette pauvre enfant et réconfortez-là.
– Avec grand plaisir, monsieur !
Camilla se rend donc dans la cuisine, elle y trouve Béatrice assise sur une chaise et pâle comme un linceul!
– Besoin d’aide, Mademoiselle Béatrice ?.
– Non, ça va aller, je ne sais pas ce qui m’a pris, c’est ce squelette qui m’a perturbé, c’est complétement irrationnel.
– Je peux faire quelque chose ?
– Non, je vais retourner là-bas, mais t’as le droit de me faire un bisou.
Mais quand on est coquine et qu’on se fait un bisou, il devient forcément profond et baveux. De plus Camilla en profite pour peloter les seins de la chimiste. (Quelle coquine celle-ci !)
– Attends, on ne va pas se gouiner dans la cuisine ! Proteste Béa assez mollement.
– Moi j’aime bien baiser dans des endroits insolites. Assis-toi sur le plan de travail, j’ai envie de te faire une léchouille.
– Tu exagères ! Répondit la blonde tout en adoptant la position suggérée.
Béatrice baissa son pantalon, mais conserva son string, se contentant de l’écarter afin de laisser le passage à la langue de la blackette, laquelle se mit lécher cette chatte accueillante avec gourmandise..
– Relève un peu tes fesses, j’ai envie de te lécher le petit trou !
– Cochonne !
– Bien sûr que je suis cochonne ! Hum il est délicieux ton troufignon ! Commente-t-elle avant de tenter d’y introduire le bout de sa langue.
– Camilla ne revient pas, il se passe quelque chose… s’inquiéta le professeur Martinov.
– Allons voir ! Proposa Grégoire Lamboley.
Les deux hommes s’attendaient à une scène dramatique, à la place ils ont droit à une scène érotique.
– Ouf, tout va bien… mais c’est très excitant ce qu’elles font là ! Annonce Grégoire.
– On pourrait avoir un peu d’intimité, messieurs ? Déclare Béatrice (sans trop de conviction d’ailleurs)
– Faites comme si nous n’étions pas là, nous on regarde.
– C’est cela mettez-vous en plein la vue, vieux cochons. !
– Mais quelle impertinence ! J’ai bien envie de me branler en les regardant, ça ne vous choque pas, Monsieur Martinov ?
– Faites comme chez vous !
Et voilà donc Grégoire Lamboley qui sort de sa braguette une bite déjà bien bandée.
– Vous avez une bien jolie bite ! Ne peut s’empêcher de constater le professeur.
– Si elle vous intéresse, ne vous gênez surtout pas.
Ben justement puisqu’il en a la permission, il ne va pas se gêner, il prend en main cet intéressant membre de chair, le caresse un peu puis… hop dans la bouche.
– Monsieur Martinov vous êtres un cochon !
Le professeur ne répond pas (on ne parle pas la bouche pleine) mais pompe allégrement jusqu’à s’en décrocher la mâchoire.
– Aimeriez-vous que je vous encule ? Lui suggère Grégoire.
– Puisque vous me le proposez gentiment, je ne saurais refuser.
Et pendant qu’il se débarrasse de son pantalon, la cuisine se remplit d’un son qu’on entend d’ordinaire en chambre, celui de la jouissance de Béatrice.
Celle-ci, qui va donc beaucoup mieux, invite Camilla à inverser les rôles, ce que cette dernière s’empresse d’accepter.
Martinov c’est placé en levrette sur le carrelage de la cuisine et attend que Grégoire vienne lui défoncer le fion.
– Merde… les capotes ! Se rend compte Lamboley. Camilla allez donc me chercher un préservatif.
– Mais Monsieur voit bien que je suis occupée !
– Camilla, il est meilleur plaisir qu’un plaisir retardé !
– J’y vais, j’y vais.
Moment calme en attendant le retour de Camilla, personne ne sait quoi dire…
Et puis ça repart, Camilla reprend sa place, Grégoire s’encapote et sodomise le professeur avec vigueur, tandis que la langue de Béatrice envoie sa partenaire au ciel.
– Oh, qu’est-ce que c’est bon une bonne bite dans le cul ! S’exclame Martinov
Grégoire après s’être agité comme un beau diable, jouit et décule. Le professeur se relève et fait comprendre à l’assistance qu’il aurait aimé jouir lui aussi.
Qu’à cela ne tienne, Camilla et Béatrice se précipitent et lui prodiguent une turlutte à deux bouches au terme de laquelle son sperme gicle sur les gros nichons de la blackette qui s’amuse à se l’étaler comme s’il s’agissait d’une crème de beauté…
Bien sûr, Béa ne peut la laisser ainsi et vient lécher ce délicieux foutre.
– Faut que je pisse ! Déclare Martinov en reprenant ses esprits.
– Offrez-moi donc votre pipi ! Répond Camilla
– Moi je veux bien mais on va en mettre partout…
– On s’en fout, je passerais la serpillère…
– Dans ce cas… Répond le professeur en ouvrant les vannes.
Son urine atterrit dans le gosier de la petite blackette. Evidemment Béatrice ne peut rester insensible à ce spectacle et vient quémander sa part… Le contraire eut été étonnant.
A suivre
Mais c’est vraiment un gros coquin, ce professeur Martinov
Un très excitant black and white