Tant va le Temps…Tant va le Cul… 32 – De l’Art… À la Manière… par Verdon
J’ai plaisir à écrire régulièrement des histoires sur le site d’Eddy, riche de nombreuses anecdotes réalistes, bien documentées et souvent un peu fofolles. Point de tabous, point de publicité et respect de la charte de publication. Les passages scabreux pour certaines âmes sensibles sont signalés et personne n’est obligé de lire ou de regarder. (et tant pis pour les tartufes qui se régalent de lire avant de récriminer…)
Si j’aime à écrire, c’est non seulement le plaisir lubrique que ça provoque, mais aussi la joie de savoir que par la lecture, d’autres personnes peuvent partager et fantasmer sur mes écrits… se faire du bien et pourquoi pas chercher à en faire autant.
Ainsi quand je décris les amours d’une femme qui jouit dans mes bras ou bien qui se fait chahuter par une troupe de joyeux lurons, peut-être est-ce vous, chère Madame qui dévorez mes histoires, en vous mettant à la place de mes acteurs ? Vous, vous gansaillez la pachole, vous vous gamahuchez avec une coquine ! À moins que votre amant impatient, soit en train de vous taquiner le bas du dos !
Et vous Monsieur… n’est-elle pas délicieuse votre branlette ?
Certains diront que ce n’est que du fantasme. C’est déjà bien et ça ne fait de mal à personne, au risque seulement de vous retrouver sur un petit nuage pendant quelques instants et de vous réveiller les doigts trempés d’amour.
Le vécu, c’est l’affaire de ceux ou celles qui écrivent. Tout le monde a le choix de se projeter dans l’histoire, voire de concrétiser. Le chemin est tout tracé. Si ces récits peuvent aider…Tant mieux. A chacun de se décider ou d’entraîner son mari, son épouse, sa belle-maman sur les chemins sinueux de son imagination.
Vous pouvez lire en restant seul à vous branler la queue ou le clito, en pensant que vous enculez un copain ou que votre dame est en train de se faire sauter devant vous… Hi ! Hi ! C’est ce qu’on appelle l’amour solitaire.
La lecture à deux c’est un plus… il y a davantage d’ouvertures… (ben oui !…plus il y a de trous, plus on joue !…). Oups !
Etre l’acteur de ses textes, c’est encore mieux… Il faut d’autres qualités. Ce sont les actes qui donnent à l’auteur la trame et les idées de ses histoires… Les idées sont vites trouvées et il n’a plus qu’à les coucher sur du papier, ou sur l’ordi…, ou sur un lit (hi ! hi !…).
Pour écrire ou fantasmer, je peux vous donner quelques idées, mais vous saurez en trouver bien d’autres et des meilleures. (ne me dites pas que vous avez la libido dans les chaussettes !…).
Ben oui, lequel ou laquelle d’entre nous n’a jamais gambergé sur le charme de sa voisine, de sa collègue (oui vous savez… celle qui tortille toujours son cul en montant l’escalier devant vous)… ou sur les seins de la boulangère, quand ce n’est pas ceux de la Tante Ursule ! (…oui on a bien tous une tante Ursule… non ?). Ah !… vous l’avez donc déjà baisée ! (ben vous voyez !…).
– Il doit avoir une grosse bite ! m’a dit Corine, l’autre jour, en remarquant la bosse qu’un mec avait dans son froc… (il ne faut pas les lâcher ces nanas… elles sont toujours à courir le guilledou !).
Combien de fois n’avez-vous pas été surpris par des paroles, des sourires équivoques, évoquant des situations scabreuses, qui vous ont fait comprendre que les gens ont des affinités naturelles pouvant permettre des comportements coquins, rien que très naturels.
Ainsi, ce petit con de Bertrand… Oui, vous savez ce beau jeune homme avec ses petites manières d’enfant de Marie !… Eh bien on vous a dit qu’il a été surpris l’autre jour, dans la cave avec le pantalon sur les chevilles et le père Tapedhur qui lui collait au cul !
En voilà une histoire à raconter… pine et plume en main, allez-y, démarrez…
Une tapette, un cul rose…
Un vieux vicieux… une grosse pine… des couillons !
Qui qui suce ? Qui encule ?
La voisine qui arrive ! Oh putain… « La salope,… elle y va à la sucette ! »
Bon là vous en avez pour deux ou trois chapitres, sans compter la bonne branlette et le jus sur la dernière page ou sur l’écran de l’ordi !
Tiens, ça me fait penser que pour écrire une bonne page, il faut toujours y mettre une Belle-mère. Oui, une bonne mature… pourquoi pas la vôtre. Avec un cul comme ça ! … ( le cul c’est toujours important…) et des seins à revendre. (Et oui de bonnes choses qui prennent autant de place dans un lit que dans un roman…).
Les belles-mères sont des femmes merveilleuses. Elles ont besoin d’un retour de jeunesse, c’est vieilles couennes. Oups !… (et la jeunesse vous l’avez entre les jambes… nom de dieu..).
Il faut savoir les prendre, au propre comme au figuré ( au propre… c’est mieux !). Elles sont de bonne composition. Elles prennent votre défense quand leur fille n’est pas sage. Pour peu que vous leur fassiez un peu de charme, elles vont vite la remplacer leur grincheuse. En plus elles sont très pédagogues (parle à mon cul, ma tête est malade…), si non une petite fessée… ça décoince toujours la fesse.
C’est beau une belle-mère. Ce n’est pas pudique, elle ne vous montre pas son cul, elle vous l’offre, c’est tout. Elle sait qu’elle a des dispositions… (vous n’êtes pas son premier…) … à vous de faire le reste… elle n’attend que ça, avec fierté et distinction.
Ce sont souvent de bonnes salopes qui se vengent du mari dans les bras du beau-fils… alors pour peu que vous en ayez une de ce genre… ne la lâchez pas… c’est un trésor !… il y a des pages à imaginer…
Bon ! La besogne peut être parfois un peu rude, alors il vous faut vous la bousculer… ou l’attendrir… là, encore, la fessée, ça aide … elle a le cul pour… allez-y, ça lui plaît… et si elle joue à la petite fille pas sage… alors défoulez-vous ! Ecrivez !…Fantasmez !…
Quand elle pisse aussi, ça a du charme, de l’odeur et du goût et un de ces bruits d’enfer, quand le flot jaillit de la chatière… mais attention le tsunami si vous glissez le visage entre ses cuisses ! (elles ne savent pas se retenir, les joyeuses et vous en foutent plein la vue si ce n’est pas… plein le nez !).
Il faut dire, qu’à voir de près c’est tellement beau la nature. La fente est large et jamais frileuse !
Elles sont inépuisables les belles-mères… Observez bien la vôtre, tâtez-là et vous verrez avant d’en finir le tour, vous aurez beaucoup de choses à raconter !… les tétons boudinés (tellement ils ont été sucés…), la fesse crapuleuse, la touffe foisonnante et pisseuse…
Quant à la craquette, il y en a tant à dire : la largeur, la profondeur et l’odeur… bon sang l’odeur… allez chercher sur le dico tous les belles expressions pour qualifier le bon fumet de cet endroit charmant.
Et le trou de balle… bon je ne vais pas vous mâcher le travail… mettez-y le nez et puis un doigt, elle ne dira pas non… et l’imagination suivra.
Ah ! Et ce grand couillon de Gaston… Oui le fermier du village d’à côté. Il a surpris sa nénette dans les bras du garçon de ferme !
Alors là vous pouvez y aller… l’épouse qui se prend une branlée pendant que l’amant détale la queue entre les jambes… (vous rendez service et…).
À moins que plus sociable, le brave cocu heureux se plaise à mater le garçon qui fait des prouesses sur le cul de sa femme… Ben oui, une situation qui pourrait vous plaire… peut-être… alors si vous avez l’imagination aussi rapide que la quéquette de l’amant… facile à raconter !
– Oh mais c’est ma femme’, quand même !
– Ben oui ! Votre dame, n’a-t-elle pas un cul comme les autres ?… vous le savez bien vous !… Vous y êtes passé avant lui… Alors ce n’est pas parce que maintenant, vous l’avez molle, qu’il faut qu’elle se prive… nom de nom !
Si vous êtes en panne d’imagination… si vous avez un trou de mémoire, je peux vous aider sur un autre terrain.
Tiens, par exemple, puisqu’on parle de compagne, on peut parler de la ‘première fois’. Un nouvel amour à qui on fait des câlins, des gros câlins… on lui apprend plein de choses… des par ici, des par là-bas, des petites choses cochonnes… oh juste un peu… avec la bouche, avec le doigt… Avec…
– Ce soir chérie, on fait l’amour autrement….
– Comment autrement ?
– Eh bien met toi sur le ventre… Je vais t’expliquer, tu vas voir, tu vas vite comprendre…
– Comment sur le ventre… qu’est-ce qu’il y a à comprendre ? je ne vais rien voir, qu’est-ce que tu racontes ?
– Ce n’est pas pour voir… c’est pour sentir !
– Sentir !… mais ça va sentir quoi ?
– Façon de parler… en fait… c’est un amour plus profond !
– Plus profond comment ?…
– Aussi profond que tu veux, ma chérie ! comme mon désir…
– Aie ! Ouille !! Mais qu’est-ce que tu fais sur mon cul… Cochon ! Tu me fais mal ! Sors delà !
– Attends, pour sortir il faut d’abord entrer… Ben voilà !… On y est, cochonne !… C’est bon, non ?
– Ouf !…pour être profond, putain c’est profond dans mon cul ! ça me donne envie de chier… c’est drôle quand même ! je sens tes couilles sur ma chatte !
– Je t’aime mon amour… qu’est-ce que tu es bonne !… Il fait bon chez toi !
– Oui, ça va… maintenant j’en ai plein le cul… Alors dégage !
– Oh attend un peu… c’est tellement gras dans ton cul… tu me sens bien… chérie !
– Oui ! mais je te dis de dégager… j’ai mal au trou du cul… salaud !
Dès le lendemain, suite à son amour si profond, elle a droit, la chérie, à une gratification de la part de son homme. Un superbe collier aux perles bien aussi précieuses que les larmes d’Amour qui la veille, sortaient du trou de son cul. (Humm !… quand avec le trou du cul on fait de la poésie !).
– Ah je t’aime mon amour !
– Oh ! moi aussi… mais hier soir tu m’as agrandi le trou de balle !
– Ben voilà maintenant ça va mieux passer !
– Et ta sœur !… Crétin !
– C’est déjà fait… Oups !
Vous voyez qu’avec un peu de finesse et de bonnes dispositions, on ne manque jamais d’occasions pour boucher, par-ci, par-là, un petit trou de… notre imagination….
Allez…écrivez !
Quant à Josette et Véro… Vous savez bien ce qu’elles font entre elles quand elles se retrouvent chez la tendre Manon !…
Bon vous allez me dire que c’est comme Frank et Jojo…C’est certain ! Mais deux garçons qui s’enculent, ils ne font pas de bruit, ça ne s’ébruite pas. (chacun tient à son honorabilité, n’est-ce pas ?), on est un homme. On crâne… ça ne fait pas mal (ça dépend de quel côté on se trouve !!). n’empêche que là il y a de sacrées descriptions à faire !… (des longueurs, des grosseurs, des cris… et j’en passe.
Tandis que la petite Manon qui va se marier demain, elle se prend toutes les tendresses de ses deux grandes sœurs… les salopes !…
C’est que tout y passe…les fessées, les orties, le poignet dans la chatoune et le goulot de la bouteille dans le cul… (révision complète avant passage à la chambre nuptiale !).
Alors là pas de problème…Il y a tant de choses à inventer et à écrire !
Bien sûr si vous n’avez jamais vu des nanas se crêper la foufoune ou se torcher le cul sur le nez des unes et des autres, vous aurez du mal à assembler tout ça… mais pas de soucis, un livre ou un petit film érotique et vous voilà partis sur les rotondités et les profondeurs de ces dames vicieuses.
Vous voyez vos deux plumes ne vont pas s’ennuyer, sans aller chercher très loin…
J’allais oublier le tonton !…Oui, vous savez, celui qui vous a défrisé la rondelle un beau soir !… ( chacun en a un dans sa famille là aussi… hi, hi !)… un sacré loustic !… Et son gros doigt dans le minou de votre dame alors que vous étiez au bureau… nom de dieu ! (ben ça ne lui a pas fait de mal à la garce !).Après tout vous lui foutez bien autre chose… Alors pour un doigt !… Surtout que la cochonne ça ne devait pas être le premier !
Je pense ainsi à vous toutes, tendres salopes qui vous payez le facteur quand il dépose son pli ailleurs que dans la boîte à lettres !… sans parler de l’électricien … vachement excitant celui-là… et quand il vient avec un collègue, c’est bien vous madame qui recherchiez une prise à deux trous… (et ça flash !).
Et votre bon mari qui ce soir barbotte allégrement dans votre trou du cul encore plein des bontés de votre dernier amant…
– Oh comme tu es bonne ce soir ma chérie ! ça glisse comme une lettre à la poste ! (mais c’est qu’il aurait des soupçons ce couillon !).
(Il y a vraiment des braves gens sur la terre qui vous facilitent le travail…c’est mieux que la vaseline !…).
Et combien d’entre vous recherchent la fessée ou rêvent d’en donner… (voyons, Messieurs, ne rougissez pas, vous n’êtes pas les derniers à en prendre ou à en donner… Non ?).
Il ne faut pas omettre non plus, (Tant dans les bureaux, les couloirs sont étroits…), vous toutes qui poussées par derrière, ont beaucoup d’avancement dans leur carrière !… (n’est-ce pas !). Les entrebâillements des portes ne sont pas très larges non plus… avez-vous remarquez ? Surtout celui de la porte du patron.
Voilà quelques détails qui peuvent vous permettre d’échafauder de belles coquineries dans ces milieux-là, très bosseurs évidemment !
Chez les cocus ! Là aussi il y a beaucoup à exploiter : Il y en a combien d’heureux cocus parmi vous… comptez-vous !… Tous ? Vous m’étonnez !… Eh bien ça fait autant de femmes heureuses ! (Ah les garces ! Toutes les mêmes…Oups !).
Alors bien sûr, il y a aussi, ceux ou celles qui n’ont pas froid aux yeux (ou ailleurs…) pour se procurer des plaisirs qu’on dit bizarres !
Je pense à tous ceux et celles qui font pipi, caca, se tapotent les fesses, se pincent, se flagellent avec tant de réjouissances et de soumissions parfois… il ne faut pas les oublier non plus, il y en a pour tous les goûts ! Mais attention de ne pas vous salir les doigts… (oh remarquez que tant que vous fantasmez…).
Voilà qui me fait penser justement, à la Gertrude, une forte femme au cul appétissant, (elles sont toutes jolies les femmes et celles qui sont dodues, encore plus que les autres… elles débordent d’amour… c’est tout !). Je l’ai connue cette garce (oui elles peuvent aussi être garce…), elle se met en 69, au-dessus de vous, pour vous présenter son cul et vous en mettre plein la vue, la cochonne ! Et elle vous déballe depuis son étui fessier grand ouvert, un de ces jacobins ! Un putain de magot qui fuse entre ses reins avec une vigueur, une insolence, une désinvolture diabolique, pour chuter finalement, égrillard et malicieux, dessus vos pectoraux ! (ce n’est pas de l’outrance faite au mâle, cela ?… Oui, je sais que certains…).
Mais ce cul, je vous le dis, est d’une si dégueulasse beauté que vous en restez babas, médusés, ébahis autant que son trou de balle avant qu’il ne se referme. Scotchés devant ce majestueux paysage en relief et technicolor vous réalisez alors combien la nature est vive et combien la femme peut être terriblement provoquante.
Voilà donc de quoi faire encore pas mal de pages d’écriture odorantes…
Si vous y ajoutez à grands coups de pinceau, de la peinture et des couleurs, vous aurez tôt fait d’en faire un roman, à condition de tourner les pages avec délicatesse, sans vous lécher les doigts… Hi !… Hi !…
Remarquez que si votre compagne est tentée par l’insolent soulagement, de vous présenter à son tour ses honorabilités empressées, soyez sûr que vue de ce côté-là il est certain qu’elle ne vous fera pas la tête !….Oups !
Ah, il n’y a pas à dire, elles ont du charme ces Dames et savent vous exprimer toute leur reconnaissance ! ( j’ajouterais, qu’ayant le privilège de la situation, elles ne feront pas cas de vos récriminations, si tenté que vous en manifestiez. En d’autres termes il vous faudra fermer votre gueule, au risque d’être très mal embouché).
Mais attention, si vous envisagez (…pas mal ce mot !) de lui rendre la pareille sur sa frimousse ou entre ses seins blancs, je ne suis pas sûr qu’elle ne vous laissera le temps d’en écrire un roman…
Bon, j’ajoute qu’en ce qui concerne le fouet, les orties, la cire chaude, si vous voulez raconter, il est préférable d’en faire l’essai auparavant. Ça vous permettra d’apprécier la chose et de bien en décrire les effets.
Certes vous aurez du mal à vous asseoir pendant quelque temps, mais au moins vous aurez des idées précises sur les plaisirs qu’on en retire. Les orties sous les couilles ou bien autour des seins, mettez-vous à écrire… et vous allez voir la quiquette se raidir et la chatoune va suer !
Vous aurez tôt fait d’écrire des pages et des pages…
N’oubliez pas cependant d’envelopper tout ce que vous imaginez, dans une histoire qui tient la route.
Une saga, un roman policier, une affaire de sous ou d’amour ou d’héritage, etc… pensez aux vieux vicieux (ça ne manque pas…), aux bonnes sœurs et leurs confrères les curés, ainsi qu’aux vieilles dames avec leur toutou et sans vouloir clôturer la liste, on peut évidemment ajouter l’esprit chevalin ou canin de bien des amoureuses…
Donc, ne devient pas romancier qui veut. Alors autant lire parfois ou écouter les autres qui savent faire et peuvent introduire (ou plutôt sortir !) le bon événement juste là où il faut, quand il faut, comme il faut… C’est plus sûr, vous évitez ainsi les dégâts collatéraux et vous vous branlez tranquillement…
Maintenant, je vous sens capables d’entrer dans mes histoires et d’en faire autant, si non plus…
N’est-ce pas, bande de voyous lubriques ? (si non, pourquoi êtes-vous là, entrain de vous branler et de mouiller comme des fontaines ?).
Bien sûr, pas tout à la fois… une fois ceci, une fois cela… un peu de débrouillardise, de la volonté, du consentement toujours et beaucoup de joies !
Et de nos jours, il faut se couvrir.
Il faut oser… il faut doser… il faut changer… c’est bon pour le moral (et pour le trou de balle !).
Allez, aujourd’hui c’est à votre tour ! Ne soyez pas sages.
Bonnes fantaisies.
11/02/2024
Quel plaisir de lire ça !
Suivez les sages conseils de Tonton Verdon : Branlez vous la nouille 😉