Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 3 – Orgie au couvent

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 3 – Orgie au couvent

Nous sonnâmes à la grille du couvent, une grosse bonne sœur, ne respirant pas vraiment la gentillesse, se présenta devant la grille sans en actionner l’ouverture .

– Que pouvons-nous pour votre service ?
– Nous héberger. Répondit ma mère.
– Mais vous vous égarez, c’est un couvent ici, et non pas un hospice.
– Nous sommes recommandé par maître Thomas, le palefrenier…
– Jamais entendu parler, passez votre chemin.
– Ecoutez, repris ma mère, nous sommes épuisées, nous avons été détroussées et violées par des bandits de grands chemins, nous avons faim et soif, laissez-nous au moins entrer le temps que nous envisagions la suite.
– Désolée, ce ne sont point nos règles.
– Et la charité chrétienne, qu’est-ce que tu en fait, espèce d’épouvantail ? S’énerve Pauline
– Oh !
– C’est vous la mère supérieure ? Demandais-je.
– Non, mais…
– Allez donc la chercher.

La cornette poussa un long soupir avant de disparaitre.

Nous nous demandions que faire mais cinq minutes plus tard une autre nonne fit son apparition. Entre elle et la précédente c’est le jour et la nuit. Celle-ci est beaucoup plus jeune, la trentaine probablement, un joli visage ovale, de beaux yeux bleus, un nez mutin.

Elle nous dévisage bizarrement avant d’ouvrir la grille.

– Entrez, nous allons causer cinq minutes.

Elle nous conduit dans une petite salle blanchie à la chaux et décorée uniquement d’un simple crucifix.

– Je suis Sœur Sainte Lucie, les vicissitudes du destin ont fait que j’ai été nommée abbesse de ce lieu. Maintenant racontez-moi vos malheurs.

On lui a donc raconté.

– Eh bien, en voilà une histoire. Je vais demander à ce qu’on vous apporte à boire et à manger.

Elle disparait quelques instants et revient accompagnée d’une autre bonne sœur qui nous apporte de l’eau, du pain et un plat de patates cuites à l’eau.

– Bien, maintenant qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de vous ? Nous ne sommes pas un hospice, toutes les sœurs qui sont ici ont prononcé leurs vœux, nous avons deux novices qui ne tarderont pas à le faire… je suppose que vous n’avez aucunement l’intention de prendre le voile ?
– Pas vraiment non. Répondit ma mère.
– Qu’allez-vous faire ?
– Peut-être nous diriger vers Paris et trouver des maisons bourgeoises qui voudront bien nous employer.
– Oui bien sûr. Mais rien ne presse. Je n’ai pas sollicité la fonction que j’occupe mais je n’ai pas eu vraiment le choix, je m’emmerde pas mal au milieu de toutes ces bigotes, vous ne pouvez pas savoir comme il est insupportable de supporter toutes ces simagrées. Alors j’essaie de m’amuser mais cela a ses limites et devient répétitif…
– Vous amusez ? M’étonnais-je.
– Ben oui, les cornettes, parfois je les punis. C’est très amusant les punitions !
– Des punitions comment ?
– Ça dépend, mais rassurez-vous, je reste dans les limites du raisonnable, je m’en voudrais de blesser qui que ce soit !
– Ah ?
– Donc je peux m’arranger avec le prieur afin que vous restiez quelque temps parmi nous, ce ne sera qu’une formalité, l’abbé Denis ne sait rien me refuser. Tout cela pour vous dire que si je vous garde, la contrepartie sera que vous acceptiez de m’accompagner dans mes petits jeux.

Echanges de regards avec ma mère et Pauline, on se demande toutes où nous sommes tombées.

– On va vous laisser, dit la mère, merci pour les patates.
– C’est vous qui voyez, mais pourquoi ne pas assister à l’une de mes punitions, ça vous donnera une idée ?
– Oui pourquoi pas ? Répond Pauline.

Elle est gonflée, elle aurait pu nous demander notre avis !

– Nous ferons ça demain, en attendant je vais vous faire visiter les lieux, ils ne sont pas si austères que ça.

Une chapelle avec les bondieuseries obligées, un réfectoire avec bancs en bois… rien de bien passionnant. Il y avait aussi un petit verger.

– Nous faisons pousser quelques légumes suivant les saisons, et nous avons deux chèvres qui nous donnent du bon lait pour faire des fromages, nous avons même une spécialité assez cotée, le Pissecoteau, nous élevons quelques poules qui nous donnent des œufs, sinon nous nous approvisionnons au marché de Flochville.
– Mais vous êtes envahies par les orties ! Fit remarquer Pauline.
– On les laisse tranquille, c’est parfois très utile pour les punitions.

Oups.

J’ai quelques cellules vides, vous allez pouvoir y aller vous reposer, ce soir vous partagerez notre repas collectif. Ensuite il y a les prières, j’ignore si ça vous amusera, mais vous pourrez toujours faire semblant, c’est ce que je n’arrête pas de faire.
– Vous ne croyez pas en Dieu ? Osa ma mère.
– Mais si bien sûr. Répondit Sœur Sainte Lucie sans grande conviction. Ah, je préférerais que vous délaissiez vos habits tant que vous serez parmi nous, nous allons vous prêter des tenues de novices.

N’importe quoi ! On a l’air de sac de patates dans ces machins informes.

– Ce soir pendant le souper vous vous installerez près de moi, personne ne vous posera de questions.

Après une brève prière collective, on nous a servi une soupe insipide dont je n’ai même pas pu discerner la composition. Mais le pain était bon, on se console comme on peut. Ensuite il a fallu se farcir une interminable séance de prière dans la chapelle.

Mon esprit s’évade, je le demande ce que nous faisons ici ? Je pense proposer à ma mère et à ma sœur de déguerpir demain au chant du coq. Ah oui, la cornette en chef veut absolument nous montrer de quelle façon elle punit ses ouailles, qu’est-ce que j’en ai à faire de cette cinglée ?

J’ai très mal dormi parvenant mal à trouver le sommeil en me remémorant les péripéties de cette sombre journée. La médiocre qualité de la literie n’ayant pas été d’un grand secours.

Je me suis levée en baillant afin de faire mes besoins dans un pot de chambre hideux, puis j’ai voulu sortir…

– Mais ce n’est pas vrai que ces filles m’ont enfermé !

Je cogne contre la porte, je hurle, je tambourine. Tant et si bien qu’au bout de quelques minutes j’entends des bruits de pas dans le couloir.

Ouf !

– Qu’est-ce qui se passe ? Vous êtes souffrante ? Me demande une voix chevrotante à travers la porte
– Non, mais on m’a enfermé, je veux sortir.
– Et c’est pour cela que vous vous livrez à un tel raffut, c’est un lieu sacré ici, vous devriez avoir honte !
– Bon, vous m’ouvrez ou non ?
– Ce n’est un pas encore l’heure des matines, calmez-vous.
– Vous n’avez pas le droit de m’enfermer…

Mais déjà les pas s’éloignent .

J’ai rongé mon frein un bon moment puis de nouveau des pas, des cliquetis, on débloque ma serrure, on entrouvre ma porte.

– Matines ! Hurle la cornette.

Je t’en ficherai, moi des matines ! Je sors dans le couloir où toute une envolé de nonnes sortant de leurs cellules se précipitent vers je ne sais où. Je suis le mouvement cherchant ma mère et ma sœur.

On arrive dans la chapelle. J’ignorais ce qu’étaient les matines, mais nous voilà parties pour une interminable séance de prières et de récitations pieuses. Je m’assois, ma mère et Pauline sont déjà installées devant, je ne peux donc pas leur parler.

Je prends mon mal en patience et lorsque ces pitreries prirent fin, toutes ces vierges folles se dirigèrent vers le réfectoire d’un pas lent

Je m’approche enfin de ma mère.

– On fait quoi ? On se barre ? Chuchotais-je.
– Attendons un peu. Répondit-elle, cette bonne sœur en chef pourra peut-être nous aider.
– Je n’y crois pas trop, si vous voulez rester ce sera sans moi.
– On peut peut-être attendre un peu, on n’est pas à une journée près.
– Alors juste une journée.

On nous a servi une collation à la limite du comestible. J’en ai marre, mais marre.

Ensuite il m’a semblé que tout le monde allait vaquer à ses occupations. On essaie toutes les trois d’approcher la sœur Sainte-Lucie mais elle est constamment occupée.

– Si vous savez pas comment vous occupez, ne restez pas là à ne rien faire, allez donc prier dans la chapelle. Nous suggère une cornette maigrichonne.
– Nous attendons que Sœur Sainte Lucie soit disponible afin de nous entretenir avec elle. Répondit ma mère.
– Notre abbesse n’est pas à votre disposition. Répondit sœur Gertrude de toute sa hauteur qui de n’était pourtant et pas bien haute
– Et ça vous arrive d’être aimable ? Lui lança Pauline.

On est resté sur place, puis comme la situation s’éternisait on est allé patienter dans la chapelle.

Sœur Sainte Lucie est venu nous chercher quelque temps après.

– Venez, je vais vous montrer ce qu’est la discipline dans ce couvent. Je suis certaine que vous allez apprécier le spectacle.

Nous nous dirigeons vers la « Chapelle des Repentances », une assez large pièce éclairée par un vitrail naïf.

– Asseyez-vous et attendez-moi.

Quelques minutes plus tard Sœur Sainte-Lucie revenait accompagnée de trois nonnes, deux d’entre elles encadrant une troisième.

– Ça va, lâchez-là ! Sœur Colette, est-ce que tes mauvaises pensées ont disparu depuis ta dernière punition ?
– Pas complétement, ma mère !
– Tu vas donc être punie !
– Oui, ma mère !
– Dis-moi ce que tu es ?
– Je suis une catin, ma mère.
– Décris moi tes dernières turpitudes
– Hier je me suis introduit une statuette de la vierge dans le con et je l’ai fait aller et venir jusqu’à ce que mon plaisir éclate.
– Et tu n’as point honte ?
– Oh, si !
– Déshabillez-là, puis attachez-la, on va commencer.

Elle est très jolie la sœur Colette dans sa nudité. Elle se laisse attacher les poignets au bout d’une chaine descendant du plafond, sans récriminer.

– Sœur Fernande, prend la badine et colore les fesses de cette pécheresse.

Et c’est qu’elle y va de bon cœur, la sœur Fernande, manifestement elle prend un pied d’enfer à martyriser le popotin de sa consœur. La pauvre Colette crie et se tortille en tous sens.

Au bout d’une cinquantaine de coups, Sœur Sainte-Lucie fait stopper la flagellation.

– Dite voir, Sœur Fernande, j’ai comme l’impression que vous avez pris grand plaisir à corriger cette fille perdue ?
– Non, ma mère, j’ai simplement voulu bien faire.
– Ben voyons, viens donc ici et relève ta robe que je vérifie ça !

La mère supérieure accède à la culotte qu’elle descend, elle plonge sa main dans l’épaisse toison de son pubis, lui introduit un doigt dans la chatte… qui ressort tout humide.

– Dis donc, morue, tu m’expliques ?
– Je ne l’ai pas fait exprès…
– Déshabille-toi ! Margot rejoins-nous tu vas m’aider à attacher cette ribaude, et ensuite tu vas la fouetter… et comme tu n’as pas prononcé de vœux tu as même le droit de mouiller.

Je n’ai rien contre les petits jeux où l’on se fait de petites misères mais en la matière je serais plus soumise que dominatrice. Mais ce n’est pas pour cela que je vais refuser de faire ce qu’on me demande.

Fernande est une femme d’une cinquantaine d’années, assez corpulente et visage intéressant. J’ai une envie folle de lui pincer ses grosses mamelles, mais j’ignore si je peux me permettre cette privauté…

Je prends donc la badine et cingle comme il faut le joufflu de sœur Fernande.

Ma mère n’est pas insensible à ce spectacle et sa main tripote gentiment son entrejambe. Pauline assise à côté d’elle vient lui porter main forte (c’est le cas de le dire). Spectacle insolite, où la fille caresse le con de sa mère laquelle lui rend la politesse.

– Mais regardez-moi ces deux salopes ! Fait mine de s’offusquer Sœur Sainte-Lucie. Déshabillez-vous donc vous serez plus à l’aise.

Elles obéissent un peu timidement, se demandant à quelle sauce elles vont être baisées…

Sœur Sainte-Lucie m’ordonne de détacher les deux suppliciées, puis demande à Pauline et à ma mère de se positionner de telle façon que l’on puisse leur lécher le cul.

Et moi qu’est-ce que je deviens ?

– Est-ce vraiment une punition de lécher un joli cul ? Demandais-je à la supérieure.
– Pour certaines oui, pour certaines non… mais qu’importe ça me plait de leur faire faire, et ça me plait de les regarder faire.
– Moi j’aime bien le faire ! Répondis-je.
– Tu voudrais me lécher la rondelle ?
– Oui.
– Alors vas-y !

Sœur Sainte Lucie soulève sa chasuble sous laquelle elle ne porte aucun linge et me tend son joli popotin en écartant les globes afin de me dévoiler son petit antre brun.

J’ai connu des trous du cul plus propres, mais n’allez pas croire que cela me répugne. Bien au contraire, ces petites taches marrons m’excitent terriblement et je les lèche avec gourmandise. Avant de tenter de faire pénétrer ma langue dans l’étroit conduit.

Mais au bout d’un moment Sœur Sainte Lucie me fait stopper mes léchouilles. Et s’adresse à Sœur Perrine (il s’agit vous l’aurez sans doute compris de la seconde « accompagnatrice ») une nonne bien en chair comme on dit

– Dis donc, toi qu’as-tu à rester plantée là, à ne rien faire, ? Nos jeux ne t’excitent plus ?
– Oh, si, ma mère !
– Déshabille-toi.

Elle a de sacrées rondeurs la sœur Perrine et des mamelles de concours agricole. La supérieure m’ordonne de lui donner des coups de badines. Du coup, la nonne se retourne et me présente son énorme joufflu.

– Non, non ! Personne ne t’a demandé de te tourner ! Margot, cingle-lui les nichons.

Je le fais volontiers, prenant un plaisir sadique à martyriser les seins de la grosse nonne.

– Aïe, ça fait trop mal !

J’hésite à poursuivre.

– Continue, elle aime ça, et tape plus fort.

Mon excitation est à son comble, je tape comme une damnée, y prenant un plaisir trouble à ce point que la Mère supérieure est obligée de me dire de stopper.

L’orgie bat son plein, Sœur Sainte Lucie a redistribuée les rôles. Ma mère est occupée à se gamahucher avec la sœur Pauline, les sœurs Colette et Fernande se pelotent à qui mieux mieux, Perrine se masturbe à l’aide d’un crucifix en bois… imaginez l’ambiance !

Et moi ?

Sœur Sainte Lucie m’ordonne de me coucher sur le sol.

– Ouvre la bouche, j’ai une grosse envie de pipi !

Même pas le temps de réaliser, sa pisse me coule dans le gosier, évidemment je ne peux tout avaler et une flaque d’urine se forme à côté de mon visage.

– Pas grave, me dit-elle, puis s’adressant à ma mère et à la sœur : vous deux nettoyez moi ces saletés.

Elles regardent autour d’elles cherchant de quoi éponger…

– Avec la langue, espèces d’idiotes.

Et les voilà toutes les deux en train de faire le travail, le croupion bien relevé,

– Regarde-moi ces culs de putains, Margot, reprend ta badine et fouette-moi tout ça.

Alors je fouette ma mère, je fouette la sœur et je mouille comme une éponge, j’ai la chatte en feu. Et bientôt d’insolentes zébrures viennent leur décorer les fesses.

– Assez, viens me faire jouir ! Me dit sœur Sainte Lucie en se couchant sur le sol, cuisses écartées, chatte offerte et dégoulinante.

Je me précipite langue en avant afin de me régaler de ces chairs imbibées du jus du plaisir et d’un arrière-goût d’urine (car évidemment la nonne ne s’est pas essuyé après sa douce miction.)

La nonne ne tarde pas à extérioriser son plaisir, d’abord des râles de plus en plus bruyants, puis je sens son corps se raidir…

Il est temps de porter l’estocade, ma langue s’entoure autour de son petit berlingot gonflé de désir, sœur sainte Lucie jouit en hurlant provoquant un écho insolite dans les murs de la chapelle.

La mère supérieure se relève, chancelante.

– La partie est terminée, vous pouvez regagner vos cellules ou vaquer à vos occupations.

Et sans autre discours, elle suit la chapelle bientôt suivie par les trois autres cornettes nous laissant seules, ma mère, la sœur et moi.

– En voilà un bien singulier couvent ! Commente ma génitrice
– Choquée ?
– Non, Juste surprise… j’ai un peu mal aux fesses, qu’elle idée de frapper si fort !
– Pardon maman, ce devait être l’excitation, mais ceci dit je n’ai même pas joui.
– Tu voudrais que je te lèche ? me propose ma mère.
– Tu voudrais bien ?
– Non tu le mérites pas, va te palucher dans un coin.
– Méchante maman…
– Mais non, allez viens on va te faire ça à deux avec Pauline.

Se faire lécher la chatte par sa mère et sa sœur après une bonne séance orgiaque, c’est génial, non ?

A suivre

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4 réponses à Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 3 – Orgie au couvent

  1. Heurtebise dit :

    Nonne en cornette
    Nonne à quéquette

  2. Vermeulen dit :

    Vous ne trouvez pas cela puéril et facile de se moquer des religieuses ?

  3. Baruchel dit :

    Ah ces bonnes sœurs lubriques, qu’est-ce que ça eut être excitant !

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