Comment je suis devenue Agathe – 3. Une aventure au féminin par Agathe_Tv

Comment je suis devenue Agathe
3 – Une aventure au féminin
par Agathe

Cette histoire est une aventure extraordinaire que j’ai vécu il y a bien longtemps maintenant. Aujourd’hui j’ai l’impression d’avoir survolé ces moments comme dans un rêve. Et pourtant …

Il y avait maintenant plusieurs mois que je vivais mon expérience féminine. J’avais réussi à compléter ma garde robe, et je possédais à présent plusieurs perruques, plusieurs jupes, chemisiers, quelques robes, et pas mal de lingerie fine. Je faisais mes achats soit par correspondance ou chez Claude qui me prévenait dès qu’il avait un arrivage qui pouvait m’intéresser.

Je me retrouvais souvent en boîte avec mes amies Marcelle et Caroline. Parfois Caroline était Jacques en ma compagnie et nous vivions en couple, l’espace d’un week-end ou de quelques jours de vacances.

Jusqu’à présent mes proches (famille ou amis) ne connaissaient pas mon penchant pour le travestissement. Je vivais pleinement ma vie de femme dans un milieu plutôt fermé, et cela me convenait parfaitement.

Un jour je reçus chez moi, la visite d’une amie de longue date. Véronique, une jeune femme que je fréquentais depuis quelques années. Nous avions travaillé ensemble pendant plusieurs mois lors d’un stage scolaire, et nous avions lié d’amitié. Je savais que Véronique était plutôt attirée par les femmes, et nous discutions parfois de ses amours lesbiens. Elle disait qu’elle n’était pas attirée sexuellement par moi, et je respectais parfaitement ses idées.

Véronique venait me voir car elle venait d’avoir une déception amoureuse, et elle désirait se changer les idées, et me proposait d’aller ensemble le soir au cinéma.

J’étais toujours prêt à l’accueillir, sans avoir une attirance physique pour elle, je me sentais bien en sa compagnie. Peut être qu’inconsciemment une femme aimant les femmes m’attirait plus qu’une femme hétérosexuelle.

Elle arriva en début d’après midi, et je lui proposais de prendre un café avant de décider de notre emploi du temps. Après avoir discuté de choses et d’autres, je lui proposais de faire un tour dans un jardin publique, puis de nous rendre dans un restaurant et de finir la soirée au cinéma. Le programme lui convenait, et elle se dirigea vers la salle de bain pour se refaire une beauté et se préparer à sortir.

Pendant que je rangeais la vaisselle, je l’entendis sortir de la salle d’eau et entrer derrière moi dans la cuisine. « Tu as une femme dans ta vie, me demandât-elle ? ». Je fus surpris de la question, et lui répondais que je n’avais pas encore de relations féminines, et lui demandait le pourquoi de cette question. Elle me répondit « dans la salle d’eau, j’ai ouvert un placard, et j’ai découvert des perruques ainsi qu’un nécessaire de maquillage, il n’est pas dans mes intentions de t’espionner, tu fais ce que tu veux de ta vie, je posais simplement la question comme ça »

J’étais un peu gêné, elle découvrait une part de mon secret, mais je ne me sentais pas la force de lui cacher la vérité, mais comment le lui dire….

Je me décidai pour la franchise : « Tu vas sans doute être surprise, et même si notre relation doit en pâtir, je préfère te dire la vérité, tu décideras ensuite ce que tu fais ».

Elle me regardait étonnée, se demandant ce que je pouvais bien ainsi devoir lui révéler. Je lui demandais alors de s’asseoir et de rester calme, puis je lui expliquais ce qu’était ma vie secrète. Comment je vivais une vie de femme avec Marcelle, Jacques (Caroline), Claude, et nos sorties en boîte. Elle ne parue pas trop étonnée, elle m’avait vue au théâtre et m’avait félicitée de la façon dont je tenais mon rôle féminin. « C’est vrai que tu fais une femme très réaliste, m’avait-elle dit ».

Elle ne s’attendait quand même pas à ce que j’aille plus loin dans ma transformation féminine, elle me posait énormément de questions, sur mes achats, les relations que j’avais avec les autres travestis, comment ça se passait, qu’elles étaient mes préférences, etc. J’essayais de répondre à toutes ces questions, j’avais un peu peur d’une réaction de rejet, mais il en fut tout autre au contraire, elle semblait fascinée par ce que je vivais, et j’avais l’impression qu’elle me comprenait.

Bien entendu elle désira voir mes vêtements et ma lingerie. Lorsque je lui sortis mes jupes, robes et chemisiers et que j’ouvrais le tiroir ou je rangeais ma lingerie, elle désira me voir habillé en femme.

Je commençais à me préparer. Elle me choisit une jolie petite culotte, un porte-jarretelles, un soutien gorges. Elle s’amusa de la façon dont je repliais mon sexe à l’intérieur de ma culotte, elle voulut toucher pour sentir mon sexe féminin. Je m’installai pour me maquiller en commençant par me raser de près, puis j’étalais le fond de teint, attaquait les yeux, repassait un peu sur les joues pour atténuer mes pommettes, passait mon rouge à lèvres et je lui demandais de me choisir une perruque. Elle en choisis une brune, mi-longue, frisée, je l’ajustais et la fixai par des épingles.

J’étais à moitié prête, je passais dans la chambre où elle me choisit une robe à volants avec une ceinture large qui me prenait bien la taille et des manches courtes bouffantes. Cette robe me donnait une allure très féminine, j’aimais me regarder dans la glace avec, et à chaque fois je ressentais des petits picotements au niveau de mon sexe. J’aurai aimé, à ces moments là, avoir un vagin et pouvoir me faire pénétrer par mon partenaire. Mais nous n’en étions pas là.

Véronique se recula pour me regarder, je sentais dans ses yeux de l’admiration et je n’y croyais pas. Elle approcha ses mains et voulu tâter mes seins. Je me laissai faire, mes prothèses mammaires faisaient une illusion parfaite, et j’avais souvent l’impression d’avoir une vraie poitrine féminine. Lorsque je marchais mes petits seins se balançaient au rythme de mes pas. Elle caressa mes seins, puis me pris par la taille en m’emmenant vers le canapé où elle me fit asseoir. Elle n’avait pas encore prononcé une parole depuis ma transformation, elle pris place à côté de moi et je crus qu’elle allait passer sa main sous ma robe pour vérifier si j’étais toujours un garçon, mais elle me prit la main et la plaça sous sa jupe, je compris qu’elle voulait que je la caresse, et ma main remontait doucement sur ses cuisses, effleurant ses bas je m’approchais de la lisière de sa culotte. Je fus surpris de constater que celle-ci était humide, je passai ma main à l’intérieur de sa culotte et constatais que Véronique avait mouillé sa culotte de la cyprine qui s’échappait de son vagin. « Tu vois l’effet que tu me fais, me dit-elle, je te trouve tellement mignonne que tu me fais mouiller de désir ».

J’en étais tout émue, ainsi elle me prenait vraiment pour une femme et je lui inspirais du désir. Je lui amenai sa main vers ma culotte où elle put voir, elle aussi, l’effet qu’elle me faisait. Mon sexe était tendu au point que ma culotte me rentrait dans les fesses. Je pensais qu’il était préférable de l’enlever, et la faisait glisser sur mes genoux et elle atterrit sur mes chevilles. La sienne suivi un chemin identique, et relevant sa jupe elle se leva devant moi et m’offrit son vagin à sucer. Je m’appliquai à passer ma langue sur ses petites lèvres et à la pénétrer au plus loin de son vagin. Je la sentais se raidir sous mes caresses, ma main lui caressait la raie des fesses et je sentais à ses soupirs de satisfaction tout le bien que je lui faisais.

Tout à coup elle me força à m’allonger en remontant ma robe et elle se planta sur mon sexe. Très rapidement je déchargeai en elle au moment ou je sentais qu’elle jouissait en même temps que moi. Nous étions à l’unisson de notre amour.

Après nous être refait notre maquillage, elle voulut absolument m’emmener dans un club réservé aux lesbiennes. Je lui fis remarquer que si l’on découvrait ma véritable nature je me ferai écharper par ses copines. Elle me dit qu’il faudrait d’abord qu’elles s’en aperçoivent, ce qui n’était pas sûr du tout. Puis tout à coup elle eut une autre idée. Elle téléphona à son club, et elle annonça à ses amies qu’elle m’amenait en précisant ce que j’étais, et elle leur demanda de tout préparer pour la cérémonie. Je lui demandais ce que cela voulait dire, qu’est-ce que pouvait être cette cérémonie ? Elle se fit très mystérieuse, en me disant qu’il s’agissait d’une cérémonie réservée aux nouvelles venues dans leur club.

Nous partîmes en voiture et après une heure de route nous arrivâmes près d’une maison en pleine campagne. Véronique frappa à la porte, qui s’ouvrit après avoir vérifier par un judas qui nous étions. Véronique étant connue la porte s’ouvrit et nous pénétrâmes dans une salle assez grande où de nombreuses filles évoluaient. Certaines portaient des vêtements masculins et avaient les cheveux plaqués sur la tête. Véronique me dit qu’il s’agissait des dominatrices, d’autres ne portaient que des sous-vêtements, certaines dansaient ensemble, nous étions en plein cœur de son club de lesbiennes.

Véronique se dirigea vers la responsable du Club qui, ayant été prévenue, nous regardait arriver en souriant. Elle nous introduisit dans son bureau et me fit asseoir face à elle.

« Bonjour, me dit-elle, Véronique m’a prévenue de ta particularité. J’avoue que si elle ne m’avait rien dit, je ne m’en serai pas douté. Ceci dit, je dois d’abord te prévenir. Ce que nous appelons la cérémonie est une sorte d’initiation ou plus précisément le permis d’entrer dans le club. Elle est d’habitude ouverte aux femmes, qui deviennent membres du Club après. Toutefois, compte tenu de ta « nature » tu pourras seulement devenir membre honoraire, mais tu ne le seras pas à part entière. J’aimerai, maintenant, savoir en quoi tu te sens femme, et qu’est-ce qui te pousse à vouloir être femme ? »

Je lui expliquai alors comment j’avais été initiée et la façon dont ça c’était passé, je lui disais que maintenant j’étais régulièrement en femme, et que j’étais femme lorsque je vivais avec Jacques.

Au fur et à mesure que je lui parlais elle approuvait de la tête sans m’interrompre, lorsque j’eus finie elle me dit : « Je crois effectivement que nous pouvons ouvrir la cérémonie. Les jeunes filles qui vont entrer vont te préparer, tu devras suivre leurs conseils toute la soirée », et elle appuya sur un bouton. Quatre filles firent leur entrée dans le bureau, et je me levai pour les suivre. Elles portaient toutes une robe de cérémonie, taillée de la même façon, mais d’une couleur différente chacune.

Elles m’invitèrent à entrer dans une pièce assez vaste où elle me demandèrent de me déshabiller. « Maintenant tu vas te laisser faire, me dirent-elles, c’est nous qui allons prendre les choses en main, si on peut dire, laisse toi aller simplement nous allons te rendre belle ».

J’étais entièrement nue devant elles, elles ne semblaient pas gêner par mon sexe bien apparent dans mon entrejambes, et m’invitèrent à entrer dans une immense baignoire. Elles me nettoyèrent toutes les parties de mon corps, même les plus intimes qu’elles prenaient très précieusement entre leurs mains, elles me firent ressortir un moment du bain pour m’épiler entièrement, y compris entre les fesses, elles me rasèrent avec soin, puis me demandèrent de rentrer à nouveau dans le bain, dans lequel elles versèrent des extraits de parfum qui embaumaient toute la pièce.

Elles me frottèrent à nouveau, puis me séchèrent avant de recouvrir mon corps de lait déshydratant. Je me laissais faire entre leurs mains ; j’étais portée aux anges, je vivais dans un rêve.

Elles me firent passer une petite culotte blanche en satin, ornée d’un petit ruban rouge, elle était ouverte devant et derrière. Lorsqu’elles m’ajustèrent la culotte mon sexe dépassa par le trou de devant, elles trouvèrent cela très drôle, mais n’en firent pas plus de cas. Puis je dus passer une guêpière à lacet, qu’elles serrèrent fortement, j’eus l’impression d’étouffer, et je vis ma taille se réduire au maximum, mes hanches s’arrondir, et ma silhouette se féminiser. Elles remplirent les bonnets de la guêpière de mes faux seins en silicone, ajustèrent des bas blancs sur les jarretelles de la guêpière et me passèrent une combinette blanche en satin et dentelle.

Elles me demandèrent de m’asseoir dans un fauteuil devant une glace et pendant que l’une entreprenait mon maquillage, une autre me faisait les ongles des mains, et les deux autres s’occupaient de ma perruque. Pendant presque une demi-heure je sentis tout ce monde s’agiter autour de moi, je sentis qu’on s’affairait sur moi, je me laissai faire, et je suivais avec attention l’évolution du travail dans la glace, j’étais maquillée avec des coloris très doux, qui me donnaient un visage très clair, et un regard très féminin. Elles me demandèrent de me lever. Je me voyais dans la glace, en guêpière et combinette, mon sexe dépassant sous ma guêpière, il se développait au fur et à mesure que ma transformation avançait, mais cela n’avait toujours pas l’air de les émouvoir.

Elles apportèrent une ravissante robe de mariée qu’elle me firent passer et ajustèrent sur ma poitrine. Elles me fixèrent alors ma perruque sur laquelle elles avaient ajusté des petites fleurs blanches, ainsi que des petits rubans blancs et rouges qui tombaient en s’entortillant autour de mon visage. Elles relevèrent ma robe sur la taille pour me fixer un jupon ample qu’elles ajustèrent au moyen d’un cordon et d’un élastique. Lorsque ma robe fut disposée sur le jupon, elles me donnèrent des escarpins blancs à lanière, avec des talons fins d’environ 5 à 7 centimètres, que j’enfilais.

En me regardant dans la glace, je vis une mariée très gracieuse, ma robe était magnifique, blanche en satin et dentelle, les filles m’avaient fixé sur la perruque une petit voile, elles me donnèrent des gants blancs à passer, ainsi qu’un petit bouquet de fleurs.

Je faisais quelques pas devant la glace, mes pas étaient très hésitants, j’avais du mal à tenir mon équilibre sur les talons, mais j’arrivais à faire quelques pas sans tituber. Les filles tournaient autour de moi pour ajuster ma robe ou ma perruque, elles semblaient ravies du travail qu’elles avaient fourni, je les remerciais avec des pleurs dans les yeux, tellement je me trouvais émouvante dans cette glace. Elles me demandèrent de ne pas pleurer, car pour le rimmel ça ne donne pas un bon effet si les larmes coulent dessus. Je me retenais donc, et me regardais dans la glace une dernière fois.

Je sentais mon sexe bander et dépasser de ma culotte sous le jupon. Pourtant je fus surprise de constater que cela ne se voyait pas dans la glace, mon sexe était tendu, mais le jupon était tellement ample que cela ne se voyait pas à l’extérieur.

J’en fis part aux filles et leur demandais si ça n’était pas gênant pour la suite.

La plus âgée me répondit que c’était tout à fait normal. Elle-même, lorsqu’elle s’était mariée, était tellement excitée qu’elle avait mouillé sa culotte et que son clitoris était tout gonflé, elle avait dû rester comme ça pratiquement toute la journée, car elle n’avait pas osée en parler à ses proches. Il était donc tout à fait normal que je sois dans cet état, au contraire ça prouvait que mon état de femme était normalement développé pour que je puisse ressentir les excitations propres aux femmes.

Lorsque nous fûmes toutes prêtes nous nous présentâmes devant une porte. J’étais encadrée par mes quatre consœurs, j’étais très émue et en même temps très excitée, je ne savais pas ce qui allait m’arriver, même si je me doutais un peu de la tournure que prendraient les événements.

L’une des filles prit un téléphone et prévint que nous étions prêtes pour commencer la cérémonie. Le silence se fit dans la grande salle, j’entendis la gérante dirent que la cérémonie serait un peu différente cette fois-ci, que j’étais une femme à part, et qu’il convenait de faire ressortir toute ma féminité dans cette cérémonie. En fait je crus comprendre que tout le monde était au courant, mais qu’il fallait sauver la face de l’établissement et pour cela je devais être femme jusqu’au bout et l’idée me plaisait bien.

La marche nuptiale soudain retentit pendant que la porte s’ouvrait et que nous avancions toutes les cinq au même pas tout doucement. Le temps que nous arrivions au centre de la scène me parut très long pour faire un si petit chemin. Je sentais mon sexe dressé au travers de ma culotte, mon gland frottait sur le jupon et j’avais très peur que ça se voit. En baissant les yeux je fus rassurée de constater qu’on ne voyait rien.

Arrivés au milieu de la scène la musique baissa et Evelyne (la responsable du Club) s’avança. « Voici une jeune mariée, dit-elle, elle ne demande qu’à être déflorée ce soir. Y a t’il un compagnon qui voudra bien d’elle ce soir ? »

Aussitôt 4 ou 5 maîtresses se présentèrent sur le devant de la scène, il y eut un tirage au sort, et l’une d’elle fut désignée pour être mon compagnon.

Elle s’avança vers moi, me fit un baise main, puis se plaça près de moi et m’offrit son bras. Elle était un peu plus grande que moi, d’une carrure assez large, vêtue d’un costume très strict, bleu marine, les cheveux ramenés en arrière et fixés au moyen d’un gel. Elle avait une allure très masculine et semblait en imposer.

Je passais mon bras autour du sien, elle me sourit et me fit avancer vers le milieu de la salle. Je dus descendre quelques marches, et pour cela je relevais très gracieusement ma robe pour voir ou je mettais les pieds.

Arrivés au milieu de la piste de danse, il fallut ouvrir le bal par une valse. Je soufflais à mon compagnon (elle s’appelait Elodie, mais je devais l’appeler Robert) que je ne savais pas danser la valse. Il me répondit que ça n’était pas grave, je devais simplement le suivre, et ça ne durerait pas très longtemps.

Je suivais donc mon compagnon, effectivement tout se passa très bien, je remuais un peu les jambes en cadences, et comme ma robe cachait tout, mes faux pas ne se voyaient pas.

Après la première valse nous eûmes droit à un slow. Robert me prit par la taille et me serra très fort contre lui. Il sentit alors mon sexe qui était toujours dressé sous mon jupon. Il me demanda si c’est lui qui me faisait cet effet. Je lui répondis oui, car ne je voulais pas le vexer. Mais il me répondit en riant que c’était peut être le satin et la dentelle qui m’excitait à ce point là. Et aussitôt je sentis sa main descendre sur mon bas ventre et saisir mon sexe au travers de la robe et du jupon.

« Si je t’excite comme ça, il risque d’y avoir un malheur sous la robe ? »
« Oui, certainement et ce ne serai pas très agréable. »
« Oui je comprends, me dit-il, mais la soirée n’est pas finie »

Et tout en discutant il continuait à me branler pendant que nous dansions.

Après ce slow, nous étions seuls au milieu de la piste. Robert me fit avancer devant la scène. Nous étions face à la salle, et il prit la parole :

« J’ai constaté pendant que nous dansions, que ma compagne est très excitée ». Je le regardais avec anxiété me demandant ou il allait en arriver. « Et je dois constater de visu dans quel état se trouve sa petite culotte. Permettez-moi que nous le fassions donc ensemble. »

Toute l’assistance applaudit et il me retourna de façon à être de dos, je sentis ma robe se lever et il m’obligeât à me baisser de façon à montrer mes fesses. « Voyez côté derrière, un trou est pratiqué dans la culotte. » Puis je dus me tourner vers l’avant et toute l’assistance vit mon sexe dressé. « Côté devant il y a également un trou mais il est déjà occupé. Ma chérie je pense qu’il faudrait vous préparer à combler cette lacune ». Ne sachant que faire, je fis un signe de tête pour acquiescer « a la bonne heure, me dit mon compagnon, nous allons immédiatement y remédier ».

Il baissa alors ma petite culotte qui tomba sur mes chevilles, j’étais cul et sexe nus face à l’assemblée. Après avoir levé les pieds je fus débarrassée de ma culotte et on me présentât une nouvelle culotte. Celle ci était tout à fait différente. Plus grande, elle était en matière synthétique, rose avec une petite dentelle blanche, et à l’intérieur il y avait un gode assez important fixé au fond de la culotte. On me fit enfiler cette nouvelle culotte, et on m’ajusta le gode dans les fesses. Il était déjà lubrifié et entra dans mon petit trou très facilement, puis on remonta ma culotte jusqu’à la taille pour que le gode soit maintenu. Mon sexe était pressé sur mon ventre.

Je fis quelques pas en avant, le gode me remplissait les fesses, mon trou était dilaté, et il me semblait que j’étais obligée de marcher les fesses serrées, sinon le gode allait s’échapper de mon trou. Bref, j’avançais en faisant des petits pas, mes cuisses et mes fesses serrées, j’avais envie de jouir à chaque pas, et mon sexe recommençait à bander dans ma culotte.

Je fis plusieurs danses, avec Roger, mais aussi avec d’autres maîtresses qui demandaient la permission à Roger de me faire danser. Bien sur, à chaque partenaire j’avais droit à la main sur le sexe ou carrément aux fesses et dans ce cas elles m’enfonçaient le gode ce qui me faisait échapper des petits cris de jouissance.

Après plusieurs danses, Roger m’amena au centre de la piste, et il me demanda d’effectuer un strip-tease. Sur une musique douce et assez rythmée je commençais par envoyer mon bouquet dans l’assistance, puis je déboutonnais ma robe dans le dos, je la fis glisser sur mes hanches et la laissais à terre. Je faisais de même pour le jupon et la combinette qui rejoignirent la robe très rapidement. A ce moment Robert m’arrêta, j’étais en guêpière, culotte, bas et escarpins, il me demanda de rester ainsi pour continuer la soirée, les danses continuèrent, et maintenant que j’étais offerte à toutes les mains, je sentais des caresses sur mon corps à chaque fois que nous croisions un couple. Robert me caressait le sexe continuellement, mon plaisir était intense, et je sentais mon sexe, dressé au maximum, tendre ma culotte. L’effet de tension sur ma culotte faisait qu’elle était également tirée sur l’arrière, et mon gode rentrait encore plus dans mes fesses.

Je continuais à danser ainsi avec Robert, j’étais maintenant bien habituée à mes talons hauts, à mon gode dans les fesses, à ma tenue un peu dénudée. Je prenais plaisir à sentir les mains de Robert entre mes cuisses, mon sexe était tendu à me faire mal, mes seins sous ma prothèse mammaires étaient eux aussi tendus, je me sentais très féminine dans les bras de Robert.

Soudain, alors que nous dansions encore, je sentis des mains sur mes fesses qui tentaient de descendre ma culotte. Voyant que Robert laissait faire, je prenais des poses permettant aux personnes derrière moi, d’enlever ma culotte sans difficulté. Je me retrouvais à nouveau sans culotte, mais cette fois ci je dus rester ainsi, offerte à toutes les volontés de mes partenaires.

Je fus d’abord pénétrée par une maîtresse qui s’était fixé un gode ceinture. Robert me fit pencher vers l’avant, et je reçus ce gode dans mon trou déjà bien préparé. Le gode s’enfonça facilement pendant qu’une fille vint se placer devant moi et m’offrit sa chatte à sucer. Les choses sérieuses commençaient.

Je fus très rapidement allongée sur une table, qui me sembla être une table d’accouchement, j’étais sur le dos les jambes repliées et retenues sur les cales-pieds. Une femme au-dessus de ma tête m’offrait son sexe à sucer, celui-ci était très baveux et m’inondait le visage. Une deuxième était entre mes jambes et me pénétrait au moyen d’un gode ceinture qui devait être rempli d’un liquide ayant la consistance du sperme. Je recevais de temps en temps des jets de ce liquide qui me dégoulinait après sur les cuisses. Une troisième femme était assise sur mon sexe et l’avait fait pénétrer dans sa chatte bien mouillée. Mes bras étaient en croix, à chaque extrémité une femme s’était placée et me demandait de leur caresser leur chatte. Mes mains étaient pleines de cyprine. On m’avait conseillé de me laisser faire et effectivement je ne pouvais faire autrement.

Cette séance dura je pense très longtemps, peut-être plusieurs heures, je ne sais plus. Les femmes changeaient régulièrement, elles venaient à tour de rôle, et venaient s’épancher sur moi selon leurs désirs. Je ne ressentais aucune douleur, tout se passait en douceur, avec des gestes apaisants, j’étais considérée comme les autres femmes qui s’étaient données au jeu de la cérémonie.

Tout d’un coup, sur un geste de Robert, tout s’arrêta. Les filles se retirèrent et seul Robert resta entre mes jambes. Il termina de me pénétrer en me caressant le sexe, puis se retira doucement. Il m’aida à me relever, et m’attira vers lui, il approcha sa bouche de mes lèvres et m’embrassa avec fougue. Je reçus ce baiser comme un geste d’amour et je m’appliquai à le lui rendre du mieux que je le pouvais pour le remercier. Puis les filles vinrent m’embrasser, elles me remerciaient d’avoir été consentante et je les remerciais de m’avoir considérée comme une femme.

Je fus reconduit dans la salle de préparation, où mes demoiselles d’honneur me déshabillèrent et me firent prendre un bain. Je fus frottée de la tête aux pieds, puis elles me passèrent une huile sur le corps, et entreprirent de me rhabiller. Elles me donnèrent une jolie petite culotte en dentelle à enfiler, avec un soutien gorges et un porte-jarretelles assortis, des bas, une combinette assez courte, et une robe à taille haute et très évasée. Elles ajustèrent ma perruque sur laquelle elles avaient laissé les fleurs et les rubans blanc et rouge. Je mettais mes bijoux, et retournait dans la salle de danse. A mon arrivée je fus applaudie par les filles qui étaient restées.

Robert revint vers moi et m’invita à danser. Il me serrait très fort, ses mains étaient plaquées sur mes fesses. Soudain il releva ma robe, et mis sa main dans ma culotte, son doigt s’inséra dans ma raie, et il profita de nos mouvements en dansant pour entrer son doigt dans mon trou. Celui-ci déjà élargi par tout ce qu’il avait subi auparavant n’en demandait pas tant, et je sentais son doigt bouger dans mon trou.

Nous quittâmes la piste pour nous arrêter quelques instants sur une banquette. Robert continuait à me fourrer avec son doigt, et j’étais tellement heureuse que je me laissais faire. Puis il entra deux doigts et baissa ma culotte. Il me fit allonger sur la banquette et me lécha mon trou pendant qu’il me branlait avec son autre main.

Je jouissais dans sa main, il recueillit mon sperme qu’il me donna à sucer. J’avalais le tout, et nos lèvres se rencontrèrent à nouveau mélangeant nos langues dans un baiser fougueux.

Puis Robert m’aida à me relever, et sans remettre ma culotte, me donna une veste à enfiler et nous sortîmes dans la campagne.

L’air était frais, il y avait un petit vent qui faisait du bien après la chaleur du club. Je sentais le vent gonfler ma robe, la soulever doucement, pénétrer entre mes cuisses et rafraîchir mon sexe et mes fesses. Je marchais à petit pas près de Robert, il m’avait prise par les épaules et me tenait serrée contre lui comme deux amants sortant d’une boîte. Il m’ouvrit la portière de sa voiture et je m’installais en prenant soin de bien remonter ma robe pour ne pas la froisser.

Nous arrivâmes très rapidement près d’un immeuble dans lequel était l’appartement de Robert. En franchissant la porte d’entrée nous étions dans un petit couloir. Robert m’aida à enlever la veste et me demanda si je voulais boire quelque chose, devant ma réponse affirmative il me demanda de préparer deux boissons rafraîchissantes dans la cuisine pendant qu’il allait se changer. Je m’affairais à sortir les verres et les bouteilles et amenais le tout sur un plateau dans le salon.

J’attendis quelques minutes, et m’asseyais sur le canapé, jambes serrées, buste bien droit en feuilletant une revue féminine qui se trouvait dans un porte-revues près du canapé. Soudain Robert apparu, mais maintenant c’était Elodie qui était devant moi, elle avait refait sa coiffure, cheveux courts mais gonflant, et portait un déshabillé blanc transparent laissant apercevoir des dessous très féminins. Elle était maquillée légèrement, et je fus stupéfaite de la transformation. « Me voici dans ma seconde nature ou ma première, comme tu préfères, j’aime bien aussi être en femme, même si je prends du plaisir à être séducteur et à dominer ».

Nous bûmes notre rafraîchissement en trinquant ensemble, et je ne pus m’empêcher de toucher son déshabillé et de passer ma main sur sa culotte. Celle ci était déjà tout humide et je compris qu’elle avait encore envie de moi. Je passais ma main sous sa dentelle et caressais d’un doigt sa petite chatte toute humide. De son côté elle me caressait le sexe qui se tendit à nouveau sous ma robe.

Elle se releva, et baissant sa culotte, m’offrit sa chatte à sucer. Je passais ma langue tout autour de ces petites lèvres, ce qui lui arracha des soupirs de plaisirs. Elle m’aida à me relever puis souleva ma robe pour me l’enlever complètement. Puis nous nous dirigeâmes vers sa chambre, et allongées l’une à côté de l’autre nous continuâmes nos ébats amoureux. Cette fois ci c’est moi qui la pénétrais, tous ses trous y passèrent : devant, derrière, sa bouche m’enfourna le sexe et j’éjaculais au moment où elle prenait son plaisir en criant de joie.

Je fus réveillée par des caresses sur mes parties intimes, je restais immobile quelques instants, savourant le délice de ces attouchements. Puis je me retournais et rendais ses caresses à Elodie qui était déjà toute émoustillée.

Je me levais et enfilais une petite culotte ainsi qu’un déshabillé vaporeux et entrepris de nous préparer le petit déjeuner. Je n’avais plus ma perruque et ma barbe avait repoussé, mais je me sentais heureuse et légère.

Elodie me rejoignit, elle était entièrement nue, sa petite poitrine était dressée, pointant en avant ses mamelons, elle avait dans sa démarche une allure de princesse. Je m’émerveillais de la découvrir sous un jour nouveau, contrairement à la veille, elle avait une allure gracieuse et féminine.

Après le petit déjeuner, nous prîmes notre bain ensemble, ce fut encore l’occasion d’attouchements très intimes et très agréables. Nous prîmes le temps de nous sécher mutuellement, et je dus me raser, j’avoue que j’avais un peu honte de sacrifier à cette activité toute masculine, mais c’était aussi une tâche obligatoire.

Une fois prête et après la séance de maquillage je m’apprêtais à reprendre mes vêtements de la veille. En faisant l’inventaire je m’aperçus qu’ils n’étaient pas très propres. Elodie me proposa de choisir parmi les siens, je pourrai lui rendre plus tard. Elle m’ouvrit son placard et je commençais à choisir parmi sa garde robe.

Nous passâmes la matinée à faire une séance d’essayage. Il fallut d’abord commencer par les dessous. Elodie ouvrit un tiroir où se trouvait un tas de lingerie de toutes sortes et de toutes les couleurs. J’essayais des petits slips qui cachaient à peine mon sexe, des culottes qui retenaient bien mon sexe mais lorsque j’avais fait mon choix j’en découvrais une nouvelle qui me plaisait beaucoup, et ainsi de suite. Je finissais par fixer mon choix sur une culotte « ventre plat » en satin blanc, et ornée de dentelle blanche qui formait une sorte de petits volants devant et derrière. Je trouvais un soutien gorge assorti à la culotte et un porte-jarretelles. Je fixais des bas au porte-jarretelles, et mon soutien gorge rembourré des prothèses mammaires me donnait déjà une allure plus féminine. Je passais une combinette coupée pour jupe droite, un chemisier très sage et très classique, et trouvais un tailleur avec une veste mi-longue et dont la jupe m’arrivait juste au-dessus des genoux. Je reprenais mes escarpins et voulu remettre ma perruque. Mais celle-ci était toujours ornée des fleurs et des rubans, ça n’allait plus du tout avec ma tenue, et comme il aurait fallu trop de temps pour les enlever, Elodie me proposa d’essayer les siennes. Elle en possédait 5 ou 6 toutes disposées sur des présentoirs, toutes brunes, mais avec des cheveux longs, des frisées, une mi-longue avec des mèches ondulées, de quoi encore hésiter, et il fallut les essayer toutes. A chaque perruque, il fallait que je me déplace, je faisais quelques pas devant Elodie, me regardait dans la glace, et vérifiait si elle allait bien devant mais aussi derrière, si ça allait bien avec ma tenue, etc. Notre choix se porta finalement sur une perruque cheveux mi-longs, frisée avec une mèche sur le front, qui m’allait très bien, et Elodie me la fixa avec des épingles. Je terminais ma tenue par un collier, des boucles d’oreilles, et des bracelets. Nous étions enfin prêtes.

Il était déjà l’heure de manger, et comme il n’y avait rien dans le frigo, nous décidâmes d’aller dans un petit restaurant prêt de chez Elodie. Le patron la connaissait et nous accueillit chaleureusement en nous plaçant à une table située dans un coin de la salle. Ca nous convenait bien, je ne voulais pas être trop exposée aux regards des clients.

Le repas se passa très bien, j’aimais cette façon d’être à table, se tenir droite en serrant les jambes, de papoter avec Elodie, et de faire semblant et de ne pas tenir compte des gens autour de nous, tout en épiant ce qui se passe.

L’après-midi nous entreprîmes de faire du lèche vitrines. Nous étions intéressées par tout ce qu’il y avait dans les vitrines. Nous rentrions parfois dans les magasins pour regarder sur les présentoirs : une jupe, une petite robe, un chemisier, un pull, à deux reprises j’essayais une jupe que je trouvais mignonne. Lorsque les vendeuses voulaient nous aider à choisir c’est Elodie qui parlait, et je faisais « oui » ou « non » sans aller plus loin dans les conversations. Elodie voulut essayer des dessous et nous entrâmes dans un magasin de lingerie. C’était la première fois que je pénétrais dans un tel magasin, jusqu’à présent j’avais toujours acheté ma lingerie en grande surface ou par correspondance. L’accueil était très chaleureux, un peu intime, nous passâmes du temps à chercher des modèles, à toucher, vérifier ce que ça donnait, puis Elodie, après s’être fixée sur 2 ou 3 modèles, entra dans une cabine pour essayer. Je l’attendais dans le magasin en faisant les 100 pas, regardant dans les rayons, et jetant un coup d’œil sur les clientes qui sortaient des cabines sans complexe, pour montrer à la vendeuse comment le modèle se présentait sur elle. Si elles avaient su !

Elodie me fit signe en écartant le rideau, je passais la tête et la découvrit dans une ravissante culotte, très échancrée, bleu ciel, avec de la dentelle, le soutien-gorge et le porte-jarretelles assortis, elle se tourna devant moi, ça lui allait très bien et elle décida de tout prendre. En sortant sur la rue nous continuâmes de regarder les vitrines, mais c’était aussi l’occasion de nous regarder dans les vitrines, de profiter de ces moments là pour nous regarder dans les reflets de la vitre, pour vérifier notre tenue, éventuellement ajuster notre jupe ou notre veste ou le chemisier ou même admirer la femme que je découvrais devant moi. Il arrivait parfois que mon reflet me fasse bander, et dans ces cas là je devais arrêter très rapidement, sinon on aurait pu découvrir ce qui se cachait sous ma jupe.

En arrivant chez Elodie nous étions éreintées, la marche en talons hauts n’est pas de tout repos. Il nous fallut plusieurs minutes, assises sur le canapé, pour reprendre nos forces, et commencer à déballer ce que nous avions acheté. Il fallut réessayer, vérifier dans la glace, l’occasion aussi de se caresser à travers nos dessous, autant pour sentir la douceur de la lingerie, que pour faire plaisir à sa partenaire.

Pour passer la soirée, j’empruntais à Elodie son déshabillé dans lequel je me trouvais très bien, la petite culotte bouffante me permettait de bander sans que ça se voit de trop, la nuisette suffisamment courte pour cacher mon intimité et suffisamment ample pour me laisser libre de mes mouvements et par-dessus, la robe de chambre qui laissait entrevoir les trésors secrets de ma personnalité.

La nuit fût plus calme que la nuit précédente, le lendemain je devais rentrer chez moi, travail oblige.

Voilà, encore une fois ma féminité se révélait à moi d’une façon merveilleuse et tellement envoûtante. Mais peut-être était-ce vraiment un rêve, allez donc savoir…

(ndw : la photo ne représente pas l’auteur)

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Une réponse à Comment je suis devenue Agathe – 3. Une aventure au féminin par Agathe_Tv

  1. Bertrane_TV dit :

    La plupart des récits de travestis sont des autobiographies arrangées. Tout le monde joue donc le jeu, auteurs et lecteurs, encore faut-il que ça tienne la route. Or ici ça devient n’importe quoi, croyez-moi, le milieu je le connais bien et ce que nous raconte ici l’auteur n’existe nulle part et n’a aucun sens. Alors c’est vrai que l’on peut délirer encore faut-il en ce cas écrire sans délayer le texte. Or ici c’est tellement délayé que l’on saute des lignes à la lecture et que tout intérêt disparaît. Dommage

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