Le lendemain matin, excité je rentre dans mon bureau et j’allume précipitamment mon ordinateur pour ainsi y consulter ma messagerie : et émerveillé je constate un nouveau message de la fameuse grande blonde :
« Bonjour Rafy, la surprise va bientôt venir : d’ici le milieu de l’après midi je vais te démontrer mes capacités à rassasier ta soif. »
Un petit peu tourmenté je me demande ce qu’elle entend par capacité à épancher ma soif. En plus Lisa est de congé ce matin elle ne va donc arriver que vers 13 heures. Peu après le coup de midi, Lisa rentra dans son bureau.Quelle jeune femme magnifique ! Elle était habillée tout en blanc avec une mini jupe qui faisait ressortir le galbe de ses cuisses toutes bronzées, de plus , son petit haut satiné accompagné d’une inscription provocante » I love Sex » plaquait comme une seconde peau ses gros seins… Je sens qu’aujourd’hui je vais être servi comme un dieu. De 13 heures jusqu’à 15 heures 30 Lisa passa son temps à bosser pour pouvoir boucler un dossier à temps. Elle devait comptabiliser toute la TVA des dernières ventes « à la découpe » effectuée puis calculer le tout.
De temps à autre elle buvait du thé et passait des coups de fils sûrement à ses amies de la région. Peu avant 16 heures, elle se leva, saisit son sac et se dirigea vers mon bureau. Mon érection ne se fit point attendre et mon pénis devint dur comme du granit. Ma bouche était toute sèche, la surprise allait donc arriver.Lisa entra dans mon bureau, ferma la porte à clé, baissa les stores, puis elle s’assit sur mes genoux. Mon sexe se durcit encore plus. De sa main gauche elle baissa la fermeture éclair de mon pantalon, puis saisit avec délicatesse ma hampe gorgée de sang. Avec des mouvements très lents elle me masturba la bite. Elle alterna quelques fois avec des petits mouvements secs qui titillaient le frein de ma queue. Je sentais que j’allais éjaculer dans quelques secondes. Tout à coup, elle empoigna mes couilles et d’un mouvement rapide du poignet gauche elle malaxa mes bijoux de famille avec force. Mon plaisir disparut aussi vite qu’il était apparut. Lisa de sa main droite me caressa les joues s’approcha de mon oreille gauche puis me dit :
– A ton avis Rafy, quelle quantité d’urine une femme peut-elle te donner en ayant bu cinq grandes tasses de thé ?
– Je ne sais pas, je pense peut-être qu’elle peut remplir un verre en entier.
– Un verre ! Un seul verre, je te parie le contraire si je gagne tu me devras 100 euros de restaurant si tu gagnes je serais à ta disposition pendant une nuit entière pour toutes les fantaisies sexuelles que tu adores ! Tu es OK ?
– D’accord, Lisa.
Ma jeune et jolie collègue de travail retira sa main gauche de mes couilles et s’agenouilla devant moi. Elle reprit avec entrain une autre branlette de mon pénis. Ses doigts de fées coulissaient autour de ma hampe et elle secoua avec vigueur la colonne de chair rosée. A un moment elle s’interrompit pour prendre ma queue dans sa bouche. Quel délice, c’était un travail de pro, une vraie reine de la pipe. Sa langue rose léchait mon gland puis elle ouvrit grand la bouche pour engloutir complètement ma bite. Son haleine chaude et sa salive sur mon prépuce m’excitèrent à mort : c’est sûr dans moins de 30 secondes je me répandrais dans sa bouche. Comme une vraie pro elle sentait que ma jouissance n’allait pas tarder; ainsi elle stoppa net la gâterie.
Lisa se releva puis extirpa de son sac plusieurs verres de champagne dont une splendide coupe en cristal gravée à la main.Ensuite, elle retira sa petite culotte noire et me fit un clin d’oeil complice.Elle disposa la coupe de champagne en cristal sur mon bureau. Elle monta sur mon bureau et mon regard ne pouvait s’empêcher d’admirer ses belles cuisses bronzées.Lisa s’accroupie devant le verre à pied et plaça son entrecuisse juste au centre du verre. En poussant un petit soupir, le liquide doré sortit brutalement de sa cachette blonde pour remplir la coupe de champagne. A l’aide de sa main droite, elle saisit un autre verre qui se trouvait à ses côtés et avant que son urine ne déborde du premier verre, elle ajusta le second pour le remplir aussi. Et ainsi de suite jusqu’au sixième et dernier verre que Lisa n’arriva toutefois qu’à remplir que de la moitié de sa contenance. J’étais fasciné par ce spectacle, une jeune femme blonde se soulageait devant moi et remplissait six coupes de champagne à la suite de son pipi chaud. Je ne pensais pas jusqu’à présent qu’une femme pouvait uriner autant. A la fin du remplissage, Lisa se tenait toujours accroupie juchée sur ses talons hauts blancs et d’une voix suave mais néanmoins autoritaire elle me dit :
– Bois ce breuvage, Rafy et tout de suite. (Elle tendait vers mon visage une première coupe remplie de son urine fraîche)
D’une main tremblante, je saisis le verre et je commençai à boire son pipi.Quel bonheur! son urine avait un goût tel que les bières Irlandaises Guiness, c’était doux et onctueux.Je finis de boire son trésor doré au bout de quelques gorgées tout excité.
– Bien, bien Rafy, bon tu va continuer sur ta lancée et finir entièrement de boire ma pisse.
Je fronçais les sourcils :
– Ecoute Lisa, je ne suis pas habitué à boire autant de pipi et …
– Ta gueule, Rafy me coupa t-elle!!! Quand je dis bois le tout, tu bois le tout et tu ne pose pas de questions, OK ?
– Très bien, je continue…
Au bout du troisième verre déjà, mon estomac grognais car je n’étais pas du tout habitué à avaler autant d’acide urique même si je sais que cela n’est pas dangereux pour la santé.Lisa qui avait la jupe retroussée jusqu’aux hanches se leva et se posa sur le siège de mon bureau.Elle écarta les cuisses à l’équerre puis, de sa main gauche sortit de son sac un mouchoir.Lisa se nettoya la chatte à l’aide de celui ci. Malgré que j’étais un peu impressionné, j’avala jusqu’à la dernière goutte l’urine de ma jolie collaboratrice.
– Excellent Rafy me dit Lisa, bon maintenant à genoux et vite.
– Mais! Éructais-je dans un souffle.
– Il n’y a pas de mais A GENOUX cria t-elle.
Rapidement j’obéis et dans ma tête j’espérais que personne ne travaillait encore dans les bureaux à cette heure car sinon ce serait la honte le lendemain pour moi, » le grand macho » dirigé par une femme!!! Lisa enleva ses chaussures blanches à talons hauts puis colla son pied droit contre mon visage.
– Lèche m’ordonna t-elle.
Un peu surpris, j’ouvris la bouche et tira la langue. Par de vifs et petits mouvement circulaires je lui léchais la plante de son pied droit.Lisa de son côté se caressait le minou avec l’index. Son doigt remontait lentement entre ses petites lèvres puis à l’aide de son pouce, elle emprisonna son clitoris déjà en érection. Son pied sentait la sueur, elle avait dû courir quelques temps auparavant entre son bureau et la photocopieuse. Cette odeur de sueur enveloppait mes narines et créa chez moi une excitation sans précédent. De temps à autre ma dominatrice s’enfonçait un ou deux doigts dans la chatte. Je commençais à bander comme un cerf, ma langue lapait ses orteils puis vint vers son talon. Au bout de quelques minutes, ma maîtresse jouit abondamment, son con était tout humide, d’un réflexe vif elle plaqua sa main droite contre sa bouche pour étouffer un cri.
Tout à coup, son portable se mit à sonner.Lisa regarda, le petit écran de son mobile et me signifia d’un air désolé:
– Rafy, je suis vraiment navrée mais je dois partir, mon fils a besoin de moi, on se retrouve demain matin et MERCI pour le sacré coup de langue.A demain.
D’un geste rapide, elle prit son sac et se rechaussa puis repartit vers l’opposé du couloir.
J’étais à la fois ravie et un peu déçu car je n’avais toujours pas éjaculé avec elle ni dans sa bouche ni dans sa chatte et encore moins dans son cul. Je me masturbais donc la queue et la jouissance très violente ne se fît guère attendre.
La suite au prochain épisode.
Rafy.
Que cette prose est délicieuse !
De l’uro, de la domination douce et du fétichisme du pied ! Que du bonheur, ce joli texte !
Original et assez excitant