Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 4 – Partie Carrée par Maud-Anne Amaro

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 4 – Partie Carrée par Maud-Anne Amaro
Vendredi 2 février

Vanessa comme toutes les semaines, rend visite à son oncle dans la matinée, ils discutent autour d’un chocolat chaud et de quelques biscuits bien lipidiques.

– Cette bizarrerie d’Ovni est revenu… Commence-t-il
– Encore ? Rien de cassé ? Demande-t-elle faussement étonnée
– Si une vitre, il est passé à travers et il est tombé par terre, j’ai l’impression qu’il est hors service.
– Oh, ben ça alors ! Tu peux me le montrer ?
– Ben non, je l’ai apporté hier chez un bricoleur que j’ai déniché sur Internet, il va essayer de regarder ce qu’il a dans le ventre. On est peut-être à la veille d’une découverte extraordinaire ! Tu te rends compte ? Exulte-t-il.
– Ah ! Dommage j’aurais bien aimé le voir, tu le récupères quand ?
– Je ne sais pas exactement, le type doit m’appeler.

Cinq minutes plus tard, Vanessa prétextait un besoin urgent et en profitait pour envoyer discrètement un message téléphonique à Octave. Celui-ci lui répondit dans la foulée en lui demandant d’essayer de savoir qui était le mystérieux bricoleur en question.

– Alors comme ça, t’as trouvé un bricoleur spécialisé dans les martiens ?
– Ce ne sont pas des martiens, il n’y a plus de vie sur Mars depuis longtemps ! Ils viennent de beaucoup plus loin !
– Quand même, je ne pensais pas qu’il existait des spécialistes de ce genre de choses !
– En fait c’est un mec qui bricole des mécanismes insolites, des automates, des trucs d’horlogerie, une espèce de touche-à-tout…
– Sur Paris ?
– Non, c’est à Louveciennes, dans les Yvelines.

« Il va me lâcher le morceau, vite un gros mensonge  »

– Louveciennes, je connais un peu, j’ai fait un stage là-bas, il s’appelle comment ton bonhomme ?
– Tu ne m’en avais jamais parlé de ce stage !
– Parce que c’était pas trop intéressant. Allez dis-moi comment il s’appelle, ton bricoleur, si ça trouve ça va me dire quelque chose,
– Je ne sais plus exactement, un nom russe, Zarkov, Titov, quelque chose comme ça !
– Non ça me dis rien ! Bon il va falloir que je te laisse, l’heure tourne vite !
– Tu ne reprends pas un chocolat ?
– Vite fait, alors !

Un bricoleur patenté avec un nom à consonance russe à Louveciennes il n’y en a pas quarante et localiser Martinov fut un jeu d’enfant pour Octave.

– On va essayer de le récupérer chez ce Martinov, je vais tenter un truc tout simple, si ça ne marche pas on fera autre chose, mais dans ce cas j’aurais sans doute besoin de tes services.
– Comme tu veux, mon petit chéri !

En plus, elle l’appelait mon petit chéri ! Bien sûr, il n’était pas idiot, il était d’abord son client et Vanessa agissait en bonne « commerçante ». N’empêche qu’elle ne forçait pas sa nature pour exprimer sa gentillesse.

En possession du numéro de téléphone du professeur Martinov, Octave l’appela « au flanc » dès qu’ils furent arrivé à proximité de sa maison à Louveciennes :

– Oui, bonjour je vous ai apporté un drone à réparer hier…
– Oui ?
– J’ai pensé à un truc, ce doit être juste la batterie qui s’est déplacée, à mon avis, il suffit de la remettre en place, vois pourriez essayer ?
– Une seconde.

Martinov ne comprend pas, le type ne parle plus d’extraterrestres mais de batterie, il ne s’agit plus de disséquer l’engin mais de le réparer !

« C’est quoi ce cirque ? »

Il appelle discrètement Béatrice.

– Je vais mettre l’ampli, écoute, ça me paraît bizarre.

Puis il reprend le téléphone :

– Allô ! Je n’entendais pas bien à cause des travaux derrière, j’ai changé de pièce, vous pourriez me redire tout ça ?

Octave répète son laïus. Béatrice griffonne un mot sur un bout de papier : « c’est pas le même bonhomme ! » puis « passe-le-moi ! »

– Excusez-moi on m’appelle sur un autre poste, je vais vous passer ma collaboratrice, vous allez voir avec elle…
– Ecoutez, monsieur, prenons rendez-vous, si c’est juste un souci de batterie déplacée nous la replacerons devant vous ! Lui propose Béatrice
– Ah ? D’accord, je peux vous envoyer ma secrétaire ?
– Si vous voulez, mais si vous souhaitez récupérer l’objet, ce sera avec la carte d’identité du propriétaire et une autorisation de retrait en bonne et due forme. Et bien sûr nous nous autoriserons à faire un contre appel ! Vous voulez passez quand ?
– Je consulte mon agenda et je vous rappelle !
– Ça m’étonnerait qu’il rappelle ! Dit Béatrice, on fait quoi, on prévient Savourey ?
– On va se débarrasser vite fait de cette affaire pourrie, on va ouvrir le machin, faire un rapport et on l’appelle !
– On lui parle de ce coup de fil ?
– Non, ce ne sont pas nos oignons ! T’es d’accord ?
– Complètement !

Pourtant un quart d’heure plus tard Octave tentait un ultime coup de bluff :

– Allô ! Excusez-moi de vous rappeler mais j’ai un horrible doute dont je souhaiterais me débarrasser : vous ne pourriez pas juste remettre la batterie en place, ça ne va vous prendre que trois minutes !
– Non, monsieur, je vous ai proposé un protocole, nous en resterons là !
– 300 euros si vous acceptez de le faire !
– Au revoir, Monsieur

Octave est quelque peu surpris !

– Fait chier ce mec ! Il a compris qu’il n’avait pas affaire à Savourey ! Qu’est-ce qui lui a mis la puce à l’oreille ? La voix, le discours ! Va savoir ? Bon on passe au plan B. Vanessa, voilà ce que j’aimerais que tu fasses….
– Je vais essayer, mais je ne te garantis rien.
– Je ne te demande pas la lune, je te demande juste d’essayer ! Sinon faudra que je trouve un plan C !
– J’avais bien compris, mon petit chéri ! On fait ça demain ?
– Il ne travaille peut-être pas le samedi, à moins que ce soit le lundi. On fait ça mardi ?
– O.K. je bloque ma journée ! Répondit Vanessa

Dans le laboratoire du professeur Martinov, l’examen de l’objet révéla son lot de surprises : il s’agissait en fait d’un drone en alliage léger doté d’une aiguille en carbure de tungstène et muni d’une micro-caméra. Les composants électroniques pouvaient être facilement identifiés, même si les inscriptions sur les condensateurs avaient été soigneusement effacées.

– Pourquoi les avoir effacés ? Demande Béatrice ?
– Pour faire croire au père Savourey que ça vient d’une autre planète, je suppose !
– C’est vraiment puéril !
– On est en effet en pleine gaminerie !

L’électronique s’encombrait de façon surprenante de petits éléments insolites qui n’avaient apparemment aucune raison d’être là, mais un simple grossissement à la loupe permettant une vision précise montrait qu’ils ne servaient à rien. Peut-être s’agissait-il de vestige d’un circuit abandonné ?

Quoi qu’il en soit le drone relevait du bon bricolage, assez génial même mais rien non plus qui puisse prêter le flanc à des explications extravagantes. Non, le dénommé Savourey était victime d’un mauvais plaisant, et ce serait éventuellement à la police de résoudre l’affaire.

Martinov pris une série de photos et repéra dans tout ce fouillis électronique, une minuscule carte mémoire difficile d’accès.

Il aurait bien voulu l’extraire afin de la lire, mais il n’était pas équipé pour ce-faire. Martinov avait beau être un bricoleur et un inventeur génial, l’électronique, ce n’était pas trop son truc.

– Dommage ! J’aurais bien voulu savoir ?
– Ce doit être le programme de vol ! Supposa Béatrice.
– Sur une carte ?
– Pourquoi pas ? Puisque c’est du bricolage !
– Evidemment
– Si vraiment tu veux savoir, tu n’as qu’à demander à Framboisert, mais à mon avis on perd notre temps.
– Framboisert ! Je l’avais oublié celui-ci ! (Voir professeur Martinov et le Fidélitas) Mais c’est pas une mauvaise idée !

Romain Framboisert fut ravi d’être contacté par Martinov.

– Mais bien sûr, passez donc me voir, je vais vous regarder ça ! Au fait Béatrice travaille-t-elle toujours avec vous ?
– Bien sûr, elle vous passe le bonjour !
– Venez donc avec elle, Edith et moi nous serons ravis de vous revoir. Passez en fin d’après-midi, après nous dînerons ensemble.

Et le soir ce fut donc les retrouvailles.

A 18 heures, Martinov et Béatrice en petite robe noire sexy, se présentèrent avec des fleurs pour Edith, une bonne bouteille de whisky pour Romain et évidemment le drone dans un carton.

Edith, jolie brune mature à lunettes, s’était simplement vêtue d’un jeans et d’un petit débardeur assez fin, sans soutien-gorge en dessous ce qui fait que ses gros tétons dardaient avec insolence sous le tissu.

Framboisert n’eut aucun mal à extraire la carte sur lequel était enregistré un programme protégé par un code.

– C’était tout simple, alors ?
– Quand on connait c’est toujours simple…

L’ordinateur de Romain explora la carte :

– Ça c’est le programme de la webcam, un truc classique, et ça c’est un fichier MP 3, on va l’écouter :

« Boreshmush zimolefok krek. »

– C’est quoi ce truc ? S’étonna Romain Framboisert.
– Du martien du sud ! Plaisanta Martinov. C’est un gamin qui s’amuse à foutre la trouille à un type…
– Et il veut lui faire croire que ce sont des martiens, faut être un peu con !
– N’empêche que mon client, il a l’air d’y croire dur comme fer !
– Tu vas lui retirer ses illusions ?
– Peux pas faire autrement ! Et d’abord je ne le sens pas ce type.
– Il m’a l’air vraiment pas mal ce drone ! Tu pourrais me le prêter une journée ou deux ? Normalement quand tu bricoles un truc comme ça, il y a toute une réglementation, il faut le breveter, l’enregistrer, l’immatriculer. Apparemment, il n’a rien fait de tout ça, c’est dommage, il y doit y avoir du fric à se faire avec ça !
– Pas de soucis !
– Si on pouvait retrouver le bricoleur, je pourrais lui proposer une sorte d’association.
– Ça risque d’être compliqué !
– Je verrais bien, tu me donneras les coordonnées de ton client, et j’essaierais de remonter la source.
– Et si tu n’y arrives pas !
– Dans ce cas, je ne me gratte pas, je ferais breveter le machin à mon nom ! Bon, on prend l’apéro ?
– Un apéro coquin ? Intervient Edith en caressant les doux bras de Béatrice, laquelle lui répond en lui offrant ses lèvres.
– Embrasse-moi ! Répondit Béa, ça va exciter les hommes.

Les deux femmes se roulent alors un patin d’enfer sous les yeux plein de concupiscence des deux mâles.

– Ils sont encore trop sages ! Tiens embrasse-moi les nichons, ça va peut-être les motiver ! Demande Edith en soulevant son débardeur.

Béatrice se jette sur les fruits offerts à grand renfort de langue et de lèvres.

Hé, les mecs, on se connait maintenant, pas de fausse pudeur, s’il vous plaît ! Lance Edith Framboisert.

Romain prenant conscience que l’intervention d’Edith rend la partouze inéluctable, sort carrément sa bite de sa braguette. Martinov qui n’a rien contre, bien au contraire, ne peut alors que l’imiter.

– Oh ! Regarde comme ils sont mignons, les hommes avec la bite à l’air ! Se moque Edith.
– Trop mignons !
– On va les sucer ?
– C’est parti !
– Mais attention ! Reprend Edith, on vous suce mais après on veut s’en foutre plein la vue ! Je ne vous fais pas un dessin.

Les deux hommes s’échangent un regard complice !

– Tu voudrais que je t’encule ? Demande Romain à Martinov.
– Avec grand plaisir, mon cher !
– Alors viens me sucer d’abord !
– J’arrive !

Le professeur s’approche alors de Romain, mais les filles protestent :

– Oh, les garçons, déshabillez-vous d’abord !
– C’est que tout nu, je ne suis pas très sexy ! Croit devoir préciser le professeur.
– Mais si, t’es un beau petit vieux, allez à poil.

Les deux hommes maintenant nus se font face, Romain attrape les tétons du professeur et les pince, ce dernier lui rend la pareille. A ce régime les bites ne tardent pas à montrer le ciel de leurs glands arrogants.

– Hum, il a vraiment une belle biroute, Martinov ! commente Edith, je crois que je vais me régaler !
– Celle de Romain me plait bien aussi ! Croit devoir préciser Béatrice.
– Tu vas la prendre dans ton cul ?
– J’espère bien !
– On est vraiment tous des enculés !
– T’as raison !

Martinov, excité comme un pou se penche pour emboucher la bite de Romain.

– Tss, tss ! Vous ferez ça après ! Proteste Edith, c’est d’abord nous qui suçons.
– Laisse-le cinq minutes, répond Béatrice, il y a pas mal de temps qu’il n’a pas sucé une vraie bite. Il est en manque !
– Dans ce cas… Admit Edith tout en s’amusant à tripoter la chatte de Béatrice.

Le professeur se régalait de cette queue bien bandée qu’il aurait été capable de sucer pendant des heures, il pratiquait par d’incessants mouvements de va-et-vient dans sa bouche et en même temps faisait virevolter sa langue sur le bout du gland.

Une goutte de liquide séminal se mit à perler à l’extrémité de la pine de Romain. Cela donnait un gout délicieux à la bite, mais Martinov fut bien conscient que continuer de la sorte finirait par faire jouir prématurément Romain. Il fallait donc faire un break.

Les deux hommes s’apprêtèrent à inverser les rôles, mais ces dames les rappelèrent à l’ordre.

– Bon, nous aussi on veut sucer ! Protesta Béa.
– Non si tu me suces, je risque de jouir trop vite, Martinov m’a trop excité. Fais remarquer Romain
– On s’en fout, on a nos pilules miracles, si tu jouis ça nous fera repartir pour un tour. Rétorque notre espiègle chimiste
– Dans ce cas, venez nous sucer, les poulettes !

Et nos deux coquines entrent dans la danse, et de suite Edith à la bite du professeur dans la bouche, tandis que Béatrice engloutit celle de Romain.

Toutefois, Béatrice entend se régaler de cette bonne petite chose et ne souhaite pas que Romain Framboisert parte trop vite, aussi multiplie-t-elle les diversions, d’abord en lui gobant les couilles, puis en allant voir derrière ce qui se passe.

Elle lui écarte les fesses et tente de la langue de pénétrer dans son petit trou.

– T’aimes ça, hein, te faire lécher le cul ?
– J’adore !

Elle revient vers la bite et se met à la pomper en cadence, sentant Romain proche de la jouissance elle ne ralentit pas, fait comme de rien n’était, et bientôt l’homme jouit par soubresauts successifs dans la bouche de la jolie chimiste.

Elle aurait bien partagé ce sperme avec quelqu’un mais ces messieurs dames étaient tous très occupés. Alors elle avala.

– Sont où tes pilules, Martinov ?
– Dans ma poche de veste à gauche.

Elle en donna une à Romain et demanda la permission de se servir un jus de fruit. Hé, c’est que ça donne soif, tout ça !

Martinov de son côté, se pâmait d’aise sous les mouvements de bouche de la belle Edith. Mais il ne sentait pas l’orgasme venir. Que voulez-vous ? Quand on plus vingt ans…

Edith abandonne sa fellation pour le moment et nos deux baiseurs s’en allèrent s’assoir dans le canapé où ils s’échangèrent quelques bonnes caresses, elle en pinçant les tétons du professeur, et lui en lui pelotant les seins.

Voilà qui donna une idée à Romain qui a défaut de rebander entrepris de peloter Béatrice qui se laissa faire volontiers. Elle adorait qu’on la caresse.

Le temps passant plus vite quand on baise que quand on attend l’autobus, (théorie de la relativité urbaine) Romain ne tarda pas sous l’effet de la pilule miracle de Martinov à retrouver sa forme. Quant à ce dernier qui lui aussi avait absorbé du produit, il contemplait sa bite redevenue arrogante qu’Edith masturbait doucement.

Romain vint se caler entre les cuisses du professeur et lui emboucha la bite. Ennuyé que son mari lui vole son joujou, Edith décida alors d’aider son mari dans cette noble tâche.

Sucé par deux langues, une masculine, une autre féminine, il est aux anges, le professeur Martinov. D’autant que l’index d’Edith vient subrepticement de s’égarer du côté de son troufignon afin d’y faire quelques allers et venues.

Il ne manque plus que Béatrice, elle s’approche et vient embrasser goulument notre chanceux professeur sur la bouche tout en lui agaçant les tétons.


Romain se relève, le groupe se disloque.

– Viens je vais t’enculer ! Propose-t-il au professeur.
– Oui, oui, oui ! Répond le professeur avec enthousiasme, je me mets où ?
– Sur le canapé, tu seras plus à l’aise ! Les filles vous vous poussez un peu, il nous faut de la place, merci.

Martinov se met en levrette, attendant l’assaut, mais Romain fait durer le plaisir en allant butiner de sa langue le trou du cul professoral, puis en y glissant un premier doigt bientôt rejoint par un deuxième. Puis Romain passa aux choses sérieuses, encapotage de la bite, et badigeonnage du trou de balle avec du gel intime…

La queue de Romain s’approche, Martinov l’aide en écartant les fesses et s’en ouvrant. Ça passe, ça s’enfonce et ça se met à bouger en cadence.

Notre joyeux professeur sent comme une vague déferlante de plaisir l’envahir.

– Oh ! C’est bon, tu m’encules bien !
– T’aimes ça ma salope ? Hein ?
– Ouiiii !

Les filles, elles, sont au spectacle !

– Que c’est beau deux mecs qui s’enculent ! Commente Edith un doigt dans la chatte de sa complice.
– Je ne sais pas si c’est beau, mais qu’est-ce que ça peut m’exciter ! Répond Béatrice en lui rendant la politesse.
– Après ils vont inverser les rôles, ça va me plaire encore plus !
– Il fait ça souvent, Romain ?
– Pas tant que ça, disons qu’on a quelques amis avec qui c’est possible. Cela dit il ne me raconte pas tout ce qu’il fait au dehors et je ne lui demande pas non plus. Sinon, il aime bien que je l’encule avec mon gode-ceinture, mais ce n’est pas tout à fait la même chose.
– Dis, si tu allais me le chercher, ton gode-ceinture ?
– Mais bien sûr, ma coquine !

Romain Framboisert sodomisait le professeur en de larges mouvements de bite, sans aucune brutalité. Ce dernier était aux anges en poussant des petits cris de plaisir, ne souhaitant qu’une seule chose, que ça dure le plus longtemps possible,

Edith revint harnachée avec son gode ceinture.

– Tiens ! dit-elle à Béatrice en s’asseyant, suce-le et près je vais t’enculer avec.

Béa suça le pénis en plastique quelques instants, juste quelques instants, pour le fun, parce que ça ne l’intéressait pas trop, mais cela avait l’air de plaire à sa partenaire. Puis elle vint s’empaler à califourchon sur l’objet, contrôlant ainsi elle-même sa pénétration. Elle ne tarda pas à jouir et peu discrètement, Béatrice adorait jouir du cul.


Romain se retira du cul de Martinov, mais pour y revenir aussitôt pour quelques va-et-vient supplémentaires. Il refit la même chose plusieurs fois de suite, avant de déclarer forfait. Que voulez-vous, tout ça c’est bien beau, mais ça fatigue !

– A ton tour ! Bourre-moi bien le cul ! Dit-il au professeur.

Celui-ci se mit en devoir de lécher à son tour le trou de balle de son partenaire, de le doigter un peu avant d’entrer dans ce conduit accueillant.

Au bout de quelques minutes, Edith vint se positionner en levrette à côté de son mari signifiant ainsi à Martinov, qu’elle aimerait à son tour sentir sa bite dans son cul. Celui-ci changea donc de cible tandis que Romain, le gosier complétement sec s’en alla ingurgiter un grand verre d’eau.

Edith ne tarda pas à prendre son pied et ressortit de l’épreuve trempée de sueur.

– Faut que j’aille pisser ! Clame-t-elle, ça intéresse quelqu’un ?

Et les voilà tous les quatre dans le carré à douche, Béatrice et le professeur s’accroupissent tandis que Romain et Edith leur pissent dessus d’abondance.

Béatrice a reçu de l’urine sur les cheveux, et son maquillage est partie en sucette.

– Il faudra que je me shampooine avant de partir !
– Ce n’est pas un problème ma toute belle, il y a tout ce qu’il faut ici

Nos quatre libertins se rincent sous la douche, se sèchent et reviennent au salon. Edith demande aux deux hommes de se rapprocher et entreprend de les masturber tandis qu’ils s’embrassent sur la bouche en se pinçant les tétons.

Béatrice regarde le trio en s’envoyant le gode d’Edith dans le cul, ce qui ne tarde pas à la faire jouir une nouvelle fois.

Edith sent que Romain va jouir en premier, elle lui embouche la bite et recueille son sperme, puis la bouche toute gluante, elle termine le professeur par une petite pipe à laquelle il ne résiste pas longtemps.

– C’était un beau trip ! Conclue Edith qui la bouche pleine de la semence des deux hommes s’en va prodiguer un baiser profond à Béatrice.

Edith va pour ramasser le gode ceinture que Béatrice a laissé trainer.

– Dis donc, ce n’est pas bien propre ! remarqua-t-elle avec un curieux sourire.
– Pas bien grave je vais nettoyer ! C’est juste un tout petit peu de merde.
– T’as vraiment pas de tabou, toi !
– Non pas beaucoup ! Répondit-elle en léchant le gode merdeux pour le nettoyer de toutes ses traces suspectes. T’as jamais fait ça ?
– Juste un peu, on a jamais eu l’occasion d’en parler, mais tout ça c’est une question d’excitation… Quand Romain m’encule, j’aime bien nettoyer après, même si c’est pas toujours très propre.

Elle offrit ensuite ses lèvres à Edith qui ne les refusa pas.

– On est quand même deux sacrées salopes ! Conclue cette dernière
– Oui, mais on assume !

A suivre

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

6 réponses à Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 4 – Partie Carrée par Maud-Anne Amaro

  1. Rodrigo dit :

    Les meilleures partouzes sont celles où les mecs se font des trucs entre eux !

  2. Voisin dit :

    Encore une page fantastique

  3. Brendaduaro dit :

    Quelle belle partouze, ça donne le tournis, je bande comme un cochon, je crois que je vais me branler, Merci Maud-Anne

  4. Stablinski dit :

    Maud-Anne, vous êtes une déesse
    Je vous glisse un doigt entre les fesses
    Dans mes songes je m’invite à vos partouzes
    Et je partage mon épouse
    Une bite me sodomise
    Et je pousse des vocalises

  5. Isantis dit :

    C’est décontracté et décomplexée, et en plus l’écriture est agréable, du bon travail

  6. Forestier dit :

    Tout est dans les deux dernières répliques ! J’adore !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *