La blackette du comptoir par Firmin Dumigron
22 h 30 ! Je sors enfin du bureau après avoir travaillé toute la journée et une bonne partie de la soirée sur un projet important. Bref, en sortant j’étais épuise, et a vrai dire, je n’avais aucune envie de rentrer chez moi pour me retrouver encore enfermé, et seul (puisque bobonne est parti avec son prof de fitness… la salope !). On a beau dire, mais Barcelone la nuit c’est fantastique, surtout au mois de juin. Le soir, les rues sont peuplés de gens qui profitent du temps et des vacances. Je décidai d’aller au café du coin prendre un remontant. J’ai commandé une Vodka orange, puis je me suis allumé une clope. C’était vraiment tranquille, il n’y avait pas trop de monde dans ce rade.
En sirotant tranquillos mon verre, j’aperçois au comptoir une jeune femme qui venait d’arriver. Elle a toute de suite attiré mon attention. Elle devait faire quoi ? 1 m 70, une ravissante blackette habillée d’une robe verte avec des fleurs, très décolleté mettant ses seins, assez gros à mon gout, très en valeur. Elle avait aussi une longue chevelure crépue, qui lui descendait au milieu du dos.
Tout en la fixant, j’ai vidé d’un trait mon verre, et je me suis approché d’elle. J’ai toute de suite entamé la conversation, elle ne semblait nullement surprise par mon approche un peu trop directe, elle me dit s’appeler Ida et n’être à Barcelone que depuis 6 mois. Nous avons bu quelques verres, et nous étions un peu éméchés. Enfin, surtout moi !
Je l’ai regardé dans les yeux, et lui dis que j’avais envie d’elle. Là, tout de suite ! Je me suis dit que j’avais complètement foiré le coup. Mais elle me sourit, me prit par la main, et nous sommes sortis du café. Nous sommes allés jusqu’à sa voiture. Au moment où elle s’est retourné pour ouvrir sa portière, j’ai posé mes mains sur ses fesses, je les lui caressais, tout en l’embrassant dans le cou lui susurrant :
– Ida, j’ai trop envie de toi !
– Moi aussi ! Me répondit elle en gémissant.
Je sentis le plaisir gonfler entre mes jambes. Je ne pouvais attendre plus longtemps. il devait être minuit passé, la rue était déserte, alors nous sommes montés à l’arrière de sa voiture.
Elle s’est allongé sur le dos, a retiré son chemisier et relevé sa robe verte. Je pouvais alors distinguer sa chatte, très poilue, l’entrée de son vagin, et ses lèvres toutes mouillées.
Tout en se malaxant les seins, elle me lança :
– Viens me lécher la chatte, ouiii viens…
Moi je ne pus me contenir, j’ai approché mon visage entre ses jambes et commencé à lui lécher frénétiquement sa chatte, tout en massant les pointes de ses seins pointus comme des flèches. Je l’entendais pousser des petits gémissements. J’ai introduit ma langue entre ses lèvres, plus je lui ai léché son clito qui avait doublé de volume. J’étais impatient de la baiser, je ne pris pas le temps de me faire sucer, je retirai tant bien que mal mon pantalon, baissais mon calfouet, et laissai ma bite prendre l’air. Je pris la précaution de m’enfiler une capote Nestor (Capote Nestor, Pas Né Pas Mort !) Et hop, c’est rentré comme dans du beurre. Son vagin était bouillant et spacieux. Hmmm, de suite son bassin fut pris de crampes, je sentais qu’elle n’était pas loin de l’orgasme, alors j’accélérai la cadence. Elle gémissait, criait, hurlait, j’en fus surpris. En plus, je ne voulais pas qu’elle attire l’attention. Le milieu de la banquette était trempé de sa mouille, une vraie fontaine, à croire qu’elle n’avait pas baisé depuis la bataille de Poitiers. Mais bon, moi j’étais comblé. Avant qu’elle ne jouisse, je me suis retiré juste à temps pour changer de position. Je voulais faire durer le plaisir et lui ai demandé de se mette à quatre pattes.
– Oh oui, prends-moi par derrière…Vas-y défonce moi la rondelle !
Ok j’avais compris, j’étais tombé sur une nympho. Ses yeux me suppliaient de la baiser. Alors je commençai à introduire ma bite gonflée à bloc, dans son anus, et d’un coup sec, je fis tout rentrer, et recommençai à lui donner de grands coups de butoirs, j’y allais franchement, et de ma main droite je lui caressai la chatte, et son clito… Et là, elle partit au 7eme ciel. Elle dandinait ses fesses comme une vraie chienne, et je commençai à mon tour à gémir, je sentais que ma bite allait bientôt exploser.
Pour finir en beauté, je fis un dernier tour en enfonçant ma queue dans sa chatte brulante, ça ne dura pas longtemps, car son corps se raidit, elle hurla et retomba sur la banquette en suffoquant, moi je me suis retiré, j’ai ôté ma capote, j’ai tout juste eu le temps de la retourner, et d’éjaculer dans sa bouche. Son corps se remit à se crisper, je sus qu’elle venait d’avoir un deuxième orgasme. Elle avala tout mon sperme, et me nettoya le gland comme jamais une fille ne me l’avait fait. 15 minutes après, nous nous rhabillâmes, nous nous sommes longuement embrassés, puis elle me dit :
– Normalement on paye avant, mais toi tu me plait bien, je sais que tu ne vas pas me la faire à l’envers !
– Ah parce que…
– Ben oui !
– Tu veux combien ?
Elle m’indiqua le prix et je la payais, elle me gratifia du plus beau de ses sourires et partit en me faisant un signe de la main dans le rétroviseur. Moi j’étais épuisé, complétement mort. Je n’avais pas la force de prendre le métro pour rentrer chez moi. Alors je suis retourné au bureau, et j’ai dormis sur la moquette, ma braguette ouverte et ma chemise trempée. Je n’avais jamais eu d’expérience avec une pute nympho, et franchement, franchement, ça m’a complétement crevé pour la journée du lendemain.
Moralité: Les putes nymphos, sont à consommer avec modération. L’abus de nymphos peut nuire à la sante
Belle
Si elle fait ça avec tous ses clients elle va faire faillite