Histoires de bons plaisirs – 20 – La Pharmacienne… par Verdon

Histoires de bons plaisirs – 20 – La Pharmacienne… par Verdon

Mignone, la jeune personne qui me prépare l’ordonnance que m’a prescrite mon urologue.

– Il vous faudra aussi un gobelet pour recevoir vos urines
– Oui, sûrement si vous en avez, s’il vous plaît.

Et voilà la préparatrice qui grimpe sur un escabeau pour récupérer le dit gobelet.

– Attention vous allez tomber Mademoiselle !

Je n’ai pas le temps d’en rajouter que je vois la beauté chuter de son piédestal, les quatre fers en l’air !

Moi, n’écoutant que ma bravoure, je me précipite derrière elle et je la rattrape au vol afin qu’elle ne s’écrase sur le parquet.

Mais, très involontairement (je vous le jure… ), voilà que ma main gauche se retrouve coincée entre les cuisses de la naufragée, au point d’aller lui chatouiller le minou qui à ma grande stupéfaction se trouve démuni du moindre apparat vestimentaire.

– Grand dégoûtant Voulez-vous retirer votre main, s’écrie-t-elle, courroucée…
– Oh, pardon ! Bien sûr, mais desserrez vos jambes, mademoiselle !

Ce qu’elle fait, non pas sans une certaine hésitation, me semble-t-il.…

Mon autre main, dans son dos, l’aide à se redresser, mais certainement aussi, par fatalité (quoique, il y a des moments où le destin vous force un peu la chose… !), cette main glisse sur les rondeurs de son joli fessier, et s’en va titiller au passage et outrageusement son intimité la plus secrète (dégarnie tout autant, évidemment de cache-misère… ). C’est alors que je me prends une sacrée baffe sur le museau, en guise de récompense !

Bon celle-là je ne l’est pas volée, me direz-vous…

Mais tout de même, sans mon intervention, elle se serait sûrement cassé le verre de lampe l’ingrate !…Ne croyez-vous pas ?

Vexée elle s’enfuit dans la pièce à côté, en me laissant penaud, les bras ballants et sur le doigt polisson, quelques indices bien cochons de sa visite inopinée.

– Ah la chipie ! Ne croyez-vous pas qu’une petite fessée… .

Bon, je me suis contenté de me passer le doigt sous le nez… .Oups !

Heureusement, comme il fait très chaud en cet après-midi, il n’y a personne dans l’officine…

Ah si… il y a Juliette, la pharmacienne qui, d’après son petit coup d’œil condescendant et coquin, me laisse à penser qu’elle a assisté discrètement à la scène précédente, mais elle n’a pas du tout l’air, mécontente !

Elle n’est pas toute jeune la Juliette, mais c’est une jolie personne, un peu vieille France, mais moderne par sa tenue élégante et légère qui met en valeur son opulente poitrine contre balancée il est vrai, par un confortable postérieur.

A en juger par son attitude désinvolte, j’ai tout à parier que le comportement de la jeune femme, l’a amusée, beaucoup plus que contrariée.

– Pas encore très à l’aise… me dit-elle, avec un sourire entendu, en parlant de son employée… C’est une stagiaire vétérinaire qui débute son apprentissage… c’est le métier qui entre. (petite allusion à mes inconvenances digitales… je suppose !…Hi. Hi !… ).
Mais je vais prendre la suite, si vous le voulez bien… Vous avez besoin de quoi ?…
Ah, je vois, c’est pour une analyse d’urine… Mais savez-vous que nous pouvons nous charger de tout. Venez dans l’arrière-boutique, vous faites votre petit pipi dans le gobelet et hop, on envoie tout au labo. Ça ne vous en coûtera pas plus et vous aurez les résultats dans deux jours…
-;Eh bien, ok, c’est pratique, allons-y.

Sur place elle me tend le gobelet et une cuvette pour éviter de faire tomber le précieux liquide sur le sol…

Mais me voyant plutôt embarrassé avec mes deux mains occupées :

– Ah, pardon… voulez-vous que je vous aide… je vais vous la tenir…

Me la tenir !… Surpris et abasourdi, je reste coi. Je ne sais que lui répondre ne sachant pas vraiment si c’est du lard ou du cochon !…Elle veut me tenir quoi ?

Mais je comprends très vite lorsqu’elle dégrafe ma braguette pour en sortir mon chinois qui prend de suite un air guilleret sous la chaleur de ses doigts.

Bon sang ! Se faire tenir la quéquette par une dame, pour pisser… j’en reste baba !

Pas de panique ! Ça fait sans doute partie de ses attributions, comme une infirmière, peut-être. Après-tout, je ne suis pas balourd… c’est son métier, et en plus elle fait cela très bien… , d’autre part, en se penchant elle déploie un corsage qui m’ouvre un large horizon sur les sommets voluptueux de ses nichons. Ce qui ne gâche rien.

– Alors pissons !

Sauf que dans la chaleur de sa main, ma pine prend des aises qui ne me permettent pas d’accomplir ma miction !

Elle a beau la bonne Dame, me flatter l’instrument, me toucher les couilles, m’appuyer sur la vessie ou faire couler le robinet du lavabo… le résultat et inversement proportionnel à la fonction désirée.

– Eh bien Monsieur, quelle impolitesse… ce n’est pas une tenue devant une Dame !…Voulez-vous bien débander ! (allez demander à un âne de plier son imposture devant une femelle en chaleur !..).
On va essayer une autre méthode, si vous le voulez-bien…

À genoux elle m’avale le poireau, comme Finette, (ma pute préférée), et… le problème empire.

Si elle continue, ce n’est pas de la pisse qu’elle va se prendre dans le gosier, la matrone, mais sûrement une bonne rasade de purée blanche de jus d’homme !

Pressentant l’événement, elle s’arrête. Se relève et va récupérer un préservatif (pharmacienne oblige… ) qu’elle m’enfile tout de go, sur l’impétueux os à moelle !

Pourquoi faire, nom de dieu ?
Eh bien pour baiser, mes amis !
Putain je vais baiser la Pharmacienne ! Oh Maman si tu savais !
Donc, on baise… Humm ! C’est qu’elle baise bien … presque mieux que Finette (pardon Finette… ).

Du coup je fais durer le plaisir… j’ai appris à me retenir. Elle en profite pour faire durer son plaisir et pour gober l’extrémité de mon majeur encore empanaché des faveurs de son employée (Oh la cochonne !).

Force est de constater qu’on baise bien, mais que je ne débande pas et que je ne pisse toujours pas… et comme je suis de plus en plus dur (ben voyons !)

– Bon on passe à la méthode radicale, me dit-elle.

Elle se retire, se retourne. Se penche en avant en soulevant sa robe et me tend un putain de cul à faire pâlir tous les saints du Paradis !

Ah, certes ce n’est pas le cul fringant, craintif et insolent d’une jeunette… non, il est plutôt du genre fier, avenant, confiant et pas effrayé par la taille de ma biroute qui prend des allures de bull-dog qui a trouvé un gros nonos !

D’ailleurs, à vue de nez, je vois très bien que je ne suis pas le premier à faire du tourisme dans ce monument historique. S’il porte des traces évidentes d’usure, ce n’en est pas moins qu’il est d’une solidité à toute épreuve.

Je me dis que dans cette pharmacie, la patronne a une façon particulière (et certainement efficace… ) d’accrocher le client.

Puisqu’il en est ainsi, inutile de se poser davantage de questions. Le plus utile est en l’instant, de sacrifier aux bonnes volontés de la spécialiste, vu que mes dispositions pètent singulièrement la forme !

J’y vais donc.

Le pantalon quitte mes chevilles et sans changer de préservatif, là, sur le sol, je me l’encule la mémère avec une facilité déconcertante. Ras son goulot d’étranglement, j’y fais pénétrer tout mon bazar en cognant mes couilles contre sa chatte aussi trempée que celle d’une jeune mariée.

La tête coincée sur le bas d’un meuble, elle meugle comme bovine dans un pré.

Je lui mets la main devant la bouche, et lui baratte l’intestin comme fermière qui fait son beurre.

J’entends du bruit derrière moi. Je tourne la tête. La porte du local se referme précipitamment… Une voyeuse ! Je parie que c’est la préparatrice… elle se paie gratis, un joli festival, la salope !

Cela m’excite encore plus et du coup j’ouvre mes vannes. Je lui mets toute la sauce à la vieille. Je lui remplis le troufignon à ras bord. Elle jouit en croassant et en sautant comme une grenouille.

Ça fait des ‘flocs’, ça fait des prouts… ça éclabousse quand je me retire.

Ma bite toute chaude, ressortie du cul de la bonne praticienne, finit par prendre des formes moins insolentes et bientôt j’arrive à faire mon p’tit pipi accompagné des soins expérimentés de cette dernière.

En effet, elle commence par me sucer la friandise !, (elle ne perd rien la gourmande) ensuite me la rince sur le lavabo, me la tamponne avec la petite compresse fait pour cela et termine par un petit bisou sur le bout du gland (ça ne doit pas être prévu dans le manuel d’une bonne patricienne !) en me lançant un petit coup d’œil pervers…

Et je pisse, bon dieu ! Je pisse à en faire déborder le gobelet et à en foutre plein la cuvette ! Elle se lèche les doigts, se penche pour m’avaler de nouveau le chichi et boire le bon jus qu’elle trouve tout à fait à son goût.

Pour terminer, elle me tend la cuvette. Elle s’accroupit, je glisse le récipient entre ses cuisses et elle me fait un gros pipi bruyant et odorant, comme seules, savent si bien le faire les Dames de cette classe !

La chatte grande ouverte, les mains sur ses cuisses, le regard insolent, elle grimace, elle pisse.
Oh la jolie cascade !

J’y trempe un peu mes doigts… c’est une bonne cuvée ! Un grand cru, sûrement à boire sans modération… .

Dans cette position elle a son vénérable petit trou tout ouvert… qui a droit lui aussi à une visite inopinée… je lui plante mon doigt bien profond… ça lui coupe le sifflet et elle serre les fesses en gémissant la coquine…

Mon insolent fripon dans son trou du cul, ça la propulse en avant. Je pousse un peu plus fort… et la voilà debout sur la pointe des pieds, qui cherche à échapper à la puissante pénétration, elle crie :

– Petit voyou… qu’est-ce que vous me faites !…Vous me trouez le cul… Humm !
– Quelques faveurs, ma bonne Dame, que du bien, n’est-ce pas…

Je relâche la pression. Elle se détend, et se suspend à mon cou pour faire bouger son cul et profiter au maximum de ma digitale sodomie…

– Humm… Vous êtes un voyou !…me faire ça, à moi !
– Que du profond bonheur, ma chère !

Je retire l’indomptable appendice. Je le renifle… C’est un parfum sauvage. Un ensemble curieux de douceurs vintages et d’ardeurs juvéniles.

Je remballe mon service trois pièces. J’embrasse ma dévouée pharmacienne et je sors.
… … … … … … … … … … … … … … … … … … … …
En passant devant le comptoir je croise la jeune préparatrice.

– Bonne journée, mademoiselle.
– Au revoir … Cochon !
– !!!!!
– Au revoir resquilleuse !

06/06/2024

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2 réponses à Histoires de bons plaisirs – 20 – La Pharmacienne… par Verdon

  1. Werber dit :

    Il est fabuleux ce récit !

  2. Biquet dit :

    Ça m’a rappelé une autre histoire (vrai) de pharmacien
    L’acteur Paul Meurisse rencontre un ami qu’il n’avait pas vu depuis longtemps.
    – Ça va ? demande Paul Meurisse
    – Oh là là, j’ai eu des histoires, j’ai pris trop de médicaments, il parait que ça m’a rendu un peu fou, ma famille m’a collé un garde chiourme qui ne me quitte plus d’une semelle !
    – Ah il est où ?
    – Justement je ne vois pas, il a dû avoir un empêchement, et j’ai besoin de médicaments, si le pharmacien n’a pas l’accord du garde, il ne voudra pas me les donner !
    – Ben dis donc t’as pas de bol !
    – Mais j’y pense tu peux m’aider, il suffit de rester à la porte de la pharmacie: je leur dirai que j’ai changé de garde, et quand je me tournerai vers toi, il te suffira d’acquiescer
    – OK ! dit Paul Meurisse.
    Alors le gars s’en va à la Pharmacie, et dit :
    – je voudrais de la vaseline
    – Quelle marque de vaseline
    – Oh je sais pas, c’est pour enculer Monsieur ! Répond-il en projetant son regard sur Paul Meurisse… qui acquiesce.

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