Le clos doré
2 – La voisine se découvre…
par Choidanladate
Quelques mois plus tard nous emménagions dans notre nouveau nid ou comme je l’appellerai plus tard « ma prison dorée ». Je ne m’étais pas trompée sur mes nouvelles occupations lors de la visite de cette maison. De secrétaire je suis passée à maîtresse de maison ou plus simplement bonne à tout faire. Je ne vais pas commencer à me plaindre car effectivement avec la superbe situation de Jean-François, j’étais couverte de cadeaux. Il n’est pas aussi souvent à la maison (comme il me l’avait promît), mais maintenant au lieu de communiquer par post-it sur le réfrigérateur, on communique par mail…
Oui oui… de son hôtel, car maintenant ces réunions se terminent très tard avec de gros clients… Enfin j’aime mon compagnon et je comprends qu’il privilégie sa carrière à notre vie de couple, mais il ne faudrait pas que cela dure trop longtemps quand même !!
Heureusement il y a Jacqueline, elle vient régulièrement me voir et me remonter le moral. Parfois nous passons des journées entières à papoter sur tous les sujets et en particulier sur la gente masculine… Je la trouve si rigolote, si attentionnée et douce avec moi. Elle comble vraiment les absences de Jean-François et si ce n’était pas une fille, j’en tomberai certainement amoureuse. Une après midi nous avions décidées de nous faire un défilé de lingerie avec petit gâteau et champagne car mon petit chéri m’avait fait envoyer une dizaine de parure par la poste (il sait se faire pardonner celui là !). Et nous voilà partie pour une bonne partie d’essayage et de rigolade.
TOC TOC TOC
– Salut ma chérie, je peu entrer ?
– Oui bien sur ! Waouh comme tu es belle !
Elle était habillée dans un tailleur noir en cuir, elle portait des bas résille avec de superbes bottes dont le talon était en inox. Nous nous faisons la bise, et je remarquais qu’elle sentait Shalimar, mon parfum préféré.
– Une occasion comme celle-ci mérite bien une jolie tenue non ?
Il faut dire que je n’avais pas l’habitude de la voir habillée de la sorte, et pour s’occuper des chevaux il est vrai que le jean’s c’est bien plus pratique.
– Oui oui tu as raison.
J’étais troublée par sa beauté et son style genre dominatrice, je la trouvais vraiment superbe et très sexy mais je sentais qu’il y allait avoir du neuf dans ma vie. Du coup je suis montée me changer pour être dans le même ton…disons jupe et chemisier. En descendant les escaliers je la voyais me scruter du regard, elle me fit :
– Waouh tu n’es pas mal non plus ! Je te draguerai bien ??
Et elle partie dans un fou rire, je ne savais pas si c’étais du lard ou du cochon, mais je la suivie dans son rire et je lui répondis sans réfléchir :
– Attend de me voir défiler en dessous…, je vais te faire craquer !!!
Et c’était reparti pour un éclat de rire. Nous nous installions sur le canapé, j’avais préparée des petits gâteaux et mis le champagne dans un seau rempli de glaçons, toutes les parures étaient exposées sur la table basse, nous pouvions commencer notre délire. Je servis le champagne.
– Tchin belle diablesse…
– Tchin ma belle
– Comme elles sont magnifiques, il t’a vraiment gâté Jean-François !
– Oui elles sont magnifiques. On les essaye ?
Elle me sourit et me dit :
– Je suis venue voir un défilé ma belle, alors je vais me faire un malin plaisir à te regarder, mais si cela me plait j’en ferai plus…
Elle me tendit un modèle tout en dentelle noir chic, le string avait à l’arrière une forme de papillon.
– Ok mais tu ne te moqueras pas de mes bourrelets !
– Promis mais j’espère que tu seras sage…
Je ne comprenais pas bien ce qu’elle voulait dire par « sage » mais ce qu’il était sûr, c’est que j’allais faire de mon mieux pour lui plaire. Je bu d’un trait ma coupe de champagne pour me donner des forces pour le spectacle car j’avais le trac.
« Doucement » me dit-elle nous avons toute la journée et ceci tout en remplissant mon verre.
Je me levais, et je commençais par retirer mon chemisier lentement bouton après bouton en ne quittant pas son regard. Puis je fit glisser ma jupe le long de mes jambes et l’éjecta derrière elle d’un coup de pied rapide. Elle se dandinais en me regardant, je faisais mine de ne pas voir qu’elle se caressait délicatement en s’attardant sur les pointes de ses seins qui je le devinais, commençaient à s’ériger. Elle me souriait, motivée par celui-ci je retirais mon soutien gorge tout en cachant mes seins, je voyais ces yeux briller par le jeu que je lui faisais. Puis je lui tournais le dos pour faire glisser sensuellement mon slip le long de mes jambes, l’alcool commençait par faire effet. Je me pencha pour prendre la parure qu’elle m’avait choisi et donc lui montrai mon postérieur façon gros plan. Je la sentais excitée, elle me félicitait pour le beau paysage que je lui présentait puis je me relevais et je commençai par mettre rapidement le string puis le soutien gorge.
– Alors comment tu me trouves ??
Avec un sourire polisson elle me tendit ma coupe et me dit :
– Buvons à la plus belle mannequine de sous vêtement que je connaisse…
Je bu mon verre cul sec comme si c’était du jus de fruit.
– Waouh tu es une rapide…
– Il est si bon et faire cela devant toi m’a donnée très soif…
– Tien en voilà encore…
– Heu non…non je commence à être pompette.
– Moi aussi mais je ne dirais rien à personne et puis pour une fois que l’on s’éclate !
Et elle me remplissait à nouveau la coupe en me faisant un clin d’œil
« A notre amitié ma belle » tout en levant son verre et bien sur je l’accompagnait car de toute façon il n’était plus la peine de résister :
Elle me fit signe de m’approcher, mon string était plié à moitié et dans la précipitation je ne m’étais pas rendue compte quel avait vu sur la moitié de mon sexe. En me regardant, elle glissa sa main contre ma cuisse en remontant vers mon string en le dépliant délicatement, j’eu comme un frisson. Bien sur elle ne se gêna pas pour bien appliquer ces doigts sur ma vulve qui était… trempée par ces jeux d’exhibition. En retirant sa main elle passa ces doigts sous son nez pour en humer les effluves. Je sentais que je devenais toute rouge et elle me demanda si j’avais une grande glace quelque part ? Je lui répondis qu’il y en avait une en haut dans la chambre.
– Viens on va te regarder dans la glace… Tu verras comme tu es belle et désirable…
Du coup nous montions dans la chambre, je titubais légèrement en m’agrippant à la rambarde de l’escalier. Arrivées devant la glace elle se mit derrière moi, mit mes cheveux en arrière, prit ma poitrine avec ses deux mains comme si elle les remettais en place. Elle redescendit ces mains en frôlant mon buste et s’arrêta au niveau de mes fesses. Je ne bougeais plus comme figée par la douceur de ses gestes. Elle m’observait au travers du miroir et je me sentais comme possédée, prête à tout. Elle me chuchota à l’oreille :
– Caresse toi ma belle… !
J’en rêvais secrètement et elle me le proposait. Sans même réfléchir, je commençais par me caresser le corps, les seins et je titillais la pointe de mes seins au travers du soutien gorge en fermant les yeux.
– Ecarte tes jambes, je vais te faire partir…
Elle posa directement sa main sur mon sexe, son doigt alla comme dans un couteau chaud dans du beurre tellement j’étais humide. J’entendais mon cœur battre fortement comme un animal après une course poursuite.
– Cela t’excite ma petite salope, tu es plus que mouillée !
Son intonation de voie changea, elle devenait diabolique, puis Jacqueline enleva ses doigts de ma chatte et me les mis sous les yeux.
– Regarde dans quel état tu es ! Lèche !!
Mon état ne me permettait pas de l’arrêter, (et l’aurais-je voulu ?) je me mis à lui sucer ces doigts comme si c’était un sexe d’homme. De son autre main elle replongea dans ma vulve, elle jouait à l’entré sans me pénétrer complètement… à mon grand désespoir. Mais le champagne commença à faire son travail et j’eus une envie de me soulager.
– Reste là ! Mes caresses ne te plaisent pas ?
– Si si tu as des doigts magiques…
– Bien alors profites en !
– Mais c’est que j’ai envie de faire pipi…
– Et bien tu nettoieras si cela devait arriver !
– Mais c’est que….
– Je vais faire de toi mon esclave ma petite! Tu vas connaître un plaisir dont tu n’as même pas idée ! Alors est tu prête à obéir ?
J’étais soufflée par ce qui m’arrivait et l’alcool faisant, et surtout tailladée par cette nouvelle expérience je lui répondit la voie tremblante:
– Oui …
– Bien ! Tu es une bonne petite, allons aux toilettes ensemble…
Arrivées aux s elle me fit me mettre accroupie sur le siège, puis elle se mit à presser mon clito et à enfoncer ses doigts à l’entrée de ma chatte.
– Mais je ne pourrais jamais te faire pipi sur la main !
– Puisque je te le demande, tu ne veux pas me faire plaisir ?
– Comme tu voudras
– Maintenant je souhaiterais aussi que tu m’appelle Maîtresse, le veux tu ?
– Oui Maîtresse…
Cette sensation de soumission m’excitait, c’était ma première fois et je ne savais pas ce que je pouvais faire mais ce qui était sûr : c’est que j’y prenais beaucoup de plaisir… De plus, voir Jacqueline dans cet état, sans me le dire je savais qu’elle prenait son pied à me dominer, elle jubilait de plaisir… Je n’en pouvais plus de me retenir de faire depuis la chambre. Sa main tiraillait ma chatte, et enfin je lâchais mes sphincters pour asperger sa main d’un premier long jet d’urine.
– Bien… mais retiens toi un instant…
Elle alla dans la salle de bain et revint avec un verre qu’elle plaça devant ma chatte.
– Vas y lâche tout ma petite salope !
A peine à t’elle finit sa phrase que ma chatte coulait par a coup. Je ne m’arrêtais plus, d’ailleurs cela débordât du verre. Une fois fini je voulu m’essuyer mais elle refusa et me demanda de a suivre le cul nul vers le salon. Elle posa le verre sur la table juste à coté des coupes de champagne et me fit mettre couchée sur la table à manger en tenant mes chevilles. J’étais offerte comme jamais je ne l’avais été auparavant, ma chatte était ouverte et trempée de mon urine. Elle me rendait folle, je venais de faire pipi et elle me léchait comme si c’était du miel. Puis elle commença par jouer avec ses doigts juste à l’entrée de ma vulve, entrant et sortant doucement et juste ce qu’il faut pour me faire mouiller comme une petite gamine. Elle me faisait chanter comme jamais je ne l’avais fais avec Jean-François, la pointe de mes seins me faisait presque mal tellement ils étaient dur, puis elle s’arrêta.
– Relève toi ma petite ! Met toi là près de la petite table et à genoux…
Elle s’approcha de moi, écarta sa jupe posa un pied sur la petite table, m’exhibant sa vulve prêt de ma bouche. Elle se pencha pour récupérer d’une main le verre que j’avais remplie de mon urine, se redressa et avec son autre main elle me prit la tête et la plaqua sur son sexe.
– Bouffe moi la chatte et comme il le faut ! Je veux sentir ta langue me fouiller !!
C’était la première fois que je voyais un sexe de femme aussi près de mon nez, il était lisse et rond avec de petite lèvre épaisse. Son clitoris était plutôt petit et je commençais par le lécher avec de petit coup de langue.
– C’est bien, mais je veux que tu te serves de ta langue comme si c’était une bite…
Encouragée par Jacqueline, je lui enfonçai ma langue dans sa fente. Son sexe était trempé d’excitation, elle me pressait la tête pour que j’aille au plus profond en elle. Etonnée par moi même car j’appréciait beaucoup son goût acre et légèrement salé. Je la fouillais avec gourmandise pour récupérer un maximum de cyprine, et j’arrivais enfin à lui faire lâcher un gémissement de plaisir. Elle se frottait bien contre ma bouche, j’étais barbouillée de ses sécrétions. Je sentais son regard, plus elle m’humiliait et plus elle mouillait mais là je sentis un liquide chaud venir sur sa chatte… La salope ! Elle était en train de me faire lécher ma propre urine….
Je voulu me retirer mais elle me maintenait fortement …
– Te voilà baptisée ma belle !!! Je ne pensais pas que tu serais aussi chienne mais ce qui est sûr c’est que l’on va bien s’amuser toute les deux !!
Elle descendit sa jambe de la table, me regarda fixement prit une gorgée de mon urine et vint poser sa bouche contre la mienne. J’aurais due essayer de me soustraire à son désir et être écœurée par sa perversité mais bien au contraire cela m’excitait encore plus ! J’ouvris la bouche pour qu’elle puisse faire couler le liquide dans ma bouche et je me délectais de ma propre urine. Nos langues se mélangèrent passionnément et j’en redemandais encore !!
– Cette fois tu vas boire à la source…
Elle monta sur la grande table, s’accroupie en écartant bien ses cuisses et m’offrait son sexe ouvert et prêt à gicler.
– Viens me téter ma chérie et caresse toi en même temps …
Je m’approchais de sa chatte, ouvrant grand ma bouche, la gobant comme une sangsue et comme elle me l’avait permit, je me pénétrais dans un premier temps avec frénésie. Puis ma main allait en moi de plus en plus vite, de deux doigts je suis passée à trois puis quatre. Mes allée et venue devenais saccadé et je me tortillais de plus en plus.
– Asperge moi je vais prendre mon pied en même temps !!!
Un violent spasme me traversa et je me suis mise à hurler de jouissance, cela à été tellement fort que j’en ai pissée de plaisir. A peine après avoir déclenchée en moi ce tsunami, que Jacqueline m’inonda le visage de son urine, je lâchais mon sexe pour m’appuyer sur ses cuisses et avaler son champagne à pleine gorgée. Cette femme avait fait de moi une bête, je bus tout ce qu’elle pu me donner, comme une chienne buvant dans sa gamelle.
Epuisées par les événements nous nous entrelaçâmes à même le sol, elle me remercia du plaisir que je lui avait donné. Je la gratifiait d’un baisé long à pleine bouche, heureuse et pleine de désir pour cette femme qui venait d’ouvrir la porte de Pandore de ma sexualité. On se releva et nous sommes allé prendre une douche avant de nous allonger sur le lit pour faire une petite sieste en amoureuses.
A suivre….
choidanladate21@hotmail.fr
Ce récit à eu l’honneur d’être nommé Prix Spécial Saga pour 2007 (ex-aequo)
Evidemment si vous cherchez la vraisemblance vous risquez d’avaler votre chapeau. Mais une histoire érotique n’est pas une tranche de vie, mais une ranche de rêve, et ici le rêve (je devrais dire le délire) est beau !
cela va bien vite en besogne (mais on dira que la dame avait des prédispositions 😉 ) sinon c’est mignon comme tout et plutôt excitant
Fabuleux ! un coup de champagne avec la voisine et la nana devient goudou et fan de pipi ! Mais bon c’est de la fiction on pardonne d’autant que les descriptions sexuelles sont assez réussies. ♥