Les cabines du premier
par Enzo
Venu à Paris pour des raisons professionnelles, je devais rentrer par le train de 18 heures. Je l’ai raté, pas bien grave, il y en a un toutes les heures, du coup je décide de traîner un peu dans le quartier et mes pas me dirigent vers une sex shop. (On est obsédé ou on ne l’est pas !)
Je fouille dans les DVD, en choisis un et en demande la projection. Le type m’indique un numéro de cabine au premier étage. Je monte et m’attends à découvrir l’ambiance feutrée et discrète de ce genre d’endroit…
Je constate que la première cabine sur ma droite est ouverte, je regarde par curiosité, un mec est installé complètement nu et se masturbe, nos regards se croisent, il me fait un sourire auquel je ne réponds pas…. La seconde cabine est fermée, mais la troisième est également entrouverte, à l’intérieur un homme est penché entre les jambes d’un autre, je ne vois rien mais n’ai aucun doute sur ce qu’ils sont en train de faire. Décidément cet étage me parait bien chaud. Il y a encore une autre cabine d’ouverte, dans celle-ci, un type qui lui est resté habillé se branle mollement, m’apercevant, il me fait signe lui aussi… décidément c’est la mode ici… je ne réponds pas et repère ma cabine.
Je m’enferme, et commence à visionner le film que j’ai choisi. Mon choix n’était pas judicieux, ce film est ennuyeux, mal fait et pas excitant du tout. Je décide donc de quitter les lieux.
Je repasse devant les trois cabines, le monsieur est toujours en train de se branler dans la 8. Le couple homo dans la 4 a tiré la porte sans toutefois la fermer, mais on ne peut rien voir, je suis quand même très troublé par tout ça. J’entends des pas dans l’escalier, un mec arrive, et passe devant la cabine 2, là ou il y a le mec à poil et s’y arrête. Je passe à mon tour devant cette cabine. Et je vois que l’homme nu est en train de débraguetter le nouveau.
Je descends, je suis très troublé, je me dirige vers la sortie, et puis me ravise, je refouille dans le bac à DVD et recherche un titre bien salace, je prends mon temps, en fait je me demande ce que je souhaite vraiment et si ma recherche n’est pas un prétexte pour retourner là haut. Finalement, je choisis un film qui, je l’espère, sera mieux que le premier… et je remonte…
Je croise dans l’escalier le « nouveau » de tout à l’heure, j’ignore s’il s’en va où s’il va remonter. Je n’ose pas trop regarder dans les cabines ouvertes de peur de passer pour un pervers, et me dirige vers ma propre cabine. Mais, contrairement à tout à l’heure, je décide ne pas m’enfermer, uniquement pour voir ce qui va peut-être se passer. A ce stade je n’ai aucunement l’intention d’aller plus loin, c’est juste un jeu.
Je commence à mater, c’est pas la 8ème merveille du monde mais la fille est bandante, je me touche un peu le zizi, puis décide de le mettre à l’air puisque cela semble être la coutume locale. Me voilà donc en train de m’astiquer de façon très modérée… Et voilà le mec à poil qui s’amène. Il ne dit rien il est là dans l’ouverture de la porte, le sexe bandé, un très joli sexe, il est intégralement rasé, le visage est fin, limite efféminé, les cheveux légèrement bouclés, il me sourit.
– Je peux rester !
Qu’est ce que vous voulez que je réponde ?
– Si vous voulez !
J’ai le regard fixé sur sa bite… il faut absolument que j’arrête… de vieux fantasmes resurgissent dans mon esprit… Si je n’arrête pas ce cirque tout de suite, je vais me retrouver avec sa pine dans ma bouche dans moins de trois minutes…
– Elle te plait ma queue ? me demande-t-il.
– Euh…
– Touche là, si tu veux…
– Non, merci !
– Juste un peu…
– Non, n’insiste pas… murmurais-je sans trop de conviction.
– Tu en meurs d’envie…
Bon, ça ne m’engage à rien, je peux toujours toucher un peu, j’approche ma main et je caresse, c’est doux… et ça me fout une trique pas possible…
– Ben ça te fait bien bander on dirait ! me dit-il.
Et sans me demander mon avis, c’est à son tour de me poser sa main sur mon sexe, je le laisse faire. Je branlotte un peu mon visiteur. L’envie de la sucer est irrésistible… J’espère simplement qu’il n’a rien contre… Quelle évolution en quelques minutes. J’attends qu’il me le propose mais ça ne vient pas… J’approche alors mon visage n’osant rien lui demander directement.
Ma bouche est à présent à quelques centimètres de cette belle queue, il ne dit toujours rien.
– Tu veux me faire quelque chose on dirait ? finit-il par demander.
– Peut-être !
– Dis moi quoi ?
Il sait y faire le mec.
– Je peux te sucer un peu ? proposé-je.
– T’es une petite salope, toi, mais tu as de la chance j’aime bien me faire sucer par les petites salopes !
J’approche ma bouche
– Tu ne veux pas te mettre à poil, ce serait plus excitant ! suggère-t-il.
– Euh… on ne risque rien ?
– Rien du tout, le patron est très cool, il ne monte ici que quand ça dégénère, sinon il sait parfaitement ce qu’on fait, il y a un circuit vidéo…
– Tu veux dire qu’il nous voit !
– Oui ! Allez déshabille toi, j’ai envie…
Je me déssape. Un autre type arrive, peut-être celui de la 8.
– Si tu veux nous regarder, te gènes pas, mais dans ce cas là tu sors ta bite ! lui indique mon visiteur.
Le type n’hésite pas un seul instant et sort un très gros chibre !
– Oh, toi tu en as une grosse ! commente l’homme à poil.
Ben oui, elle est plus grosse que la mienne… mais bon… L’autre est tout content ! Me voilà déshabillé et sans transition, j’ai pris la bite de l’homme à poil dans la bouche, et je me mets à la sucer tandis que le troisième larron lui pelote les fesses. Je m’applique, passe la langue sur le gland, fais descendre le long de la hampe, m’aventure un peu sur les testicules, je remonte, la serre entre mes lèvres, la fait aller et venir, je me régale… D’autant qu’il bande vraiment superbement…
– Attends, je ne vais pas jouir comme ça ! prévient-il tout à coup.
Je me recule, il sort alors un préservatif qui était logé dans sa chaussette, et l’enfile. Ok il ne veut pas me jouir dans la bouche, me dis-je mais ce n’était pas tout à fait ça…
– J’aimerais bien te prendre ! me prévient-il.
– Peut-être pas !
– Essaie, si ça ne le fait pas, je n’insisterais pas !
Du coup, j’hésite !
– OK on essaie ! lançais-je
– On essaie quoi ? demande-t-il avec malice.
– Ben, ce que tu m’as proposé !
– Et je t’ai proposé quoi ?
– De me prendre !
– Il n’y a pas un autre mot pour ça !
– Il y en a plein d’autres…
– Dis le !
– Tu vas me sodomiser !
– Un autre mot peut-être…
– Tu vas m’enculer !
– Oui, je vais t’enculer, petite salope !
Et la petite salope que je suis se tourne et tend ses petites fesses attendant la bite de cet étrange personnage !
– T’as vu son cul ? commente-il a l’attention du troisième larron !
– Superbe ! répond ce dernier.
– Mais ç’est pas pour toi, tu vas lui faire mal avec ta grosse queue…
Et voilà que l’organe de chair quémande l’entrée de mon petit trou !
– Je vais mettre un peu de gel.
Décidément ses chaussettes sont de vrais paniers magiques !
Il entre timidement, il force un peu, me demande de pousser, je le fais, il entre, s’installe et commence à aller et venir, curieuse sensation, ce n’est pas désagréable mais ça donne comme une sensation de gène… Je me demande si je ne vais pas lui dire d’arrêter… Mais la sensation se modifie, je sens comme une sorte de frisson qui me parcourt tout le corps, c’est bien mieux, je le laisse faire tandis qu’il me pilonne de longs aller et retour.
– C’est bon ?
– Oui c’est bon, encule moi bien !
Le troisième type voudrait que je le suce pendant que je me fait prendre, mais ça ne me dit rien… du coup il s’en va. L’autre derrière pousse un râle, il vient de jouir dans la capote sans avoir déculé…
– Merci pour tout, bonne fin de soirée ! dit-il en regagnant sa cabine
– Toi aussi.
J’aurais préféré une fin de rencontre plus conviviale, Je ne sais pas, moi, un café, une mousse… et puis je n’ai pas joui…. J’ignore ce que je vais faire… Je ferme la cabine pour me rhabiller tandis que le film continue de se dérouler inutilement… inutilement… je peux toujours me branler en le regardant…. et si je me faisais sucer à mon tour ? Une fois habillé, je ressors, mais toutes les cabines sont soit fermées soit inoccupées. Je regagne ma chaise et commence à me branler, porte ouverte….
J’entends des pas dans l’escalier….
Fin
On peut avoir l’adresse ?
C’est plus un reportage qu’un récit, mais ça m’a fait bander
J’avais quelques heures à tuer dans cette ville de province et je suis allé au sexe shop près de la gare. Il y avait peu de monde. Je choisit une vidéo gay le caissier m’installe dans la cabine 3.
Je découvre que cette cabine est dotée d’une ouverture de 10 cm de diamètre sur les cabines adjacentes.
Je m’installe, commence à baisser mon pantalon et slip et me caresse tout doucement. Un coup d’œil sur le trou de la cabine de droite 4, et je vois un gland qui dépasse. Un beau gland bien tendu qui hésite à s’engager franchement… Du bout de doigts, je parvient à le caresser et progressivement il avance dans le trou. Je recule mon siège au maximum, me mets à genoux et commence à lécher le bout chaud et rond qui venait de se présenter. Qu’il était bon ! Je le gobais, l’avalais, le suçais… L’homme de l’autre côté était doté d’un beau membre qui dépassait nettement de l’ouverture. J’avalais tout ce sexe avec délice qui glissait bien dans ma bouche. J’entendais le halètement de mon voisin qui se fit de plus en plus fort au fur et à mesure de ma succion. Le gland se fit plus dur, plus tendu et je reçu dans ma bouche tout le nectar de mon bonhomme. Je continuais lentement et j’avalais tout ce bon jus.
Je repris la vision de mon film où deux jeunes minets s’enculaient… et je repris ma petite branle sur mon siège. Cinq minutes après, j’entendis le caissier qui montrait à un client, comment la vidéo de la cabine de gauche 2 fonctionnait. Par l’ouverture, je regardais et vit que l’homme était resté debout après avoir baissé son futal. Son sexe était mou et ses caresses l’amenaient à prendre forme. La vue de ce spectacle m’excita et j’attendis que cette queue soit bien tendue. Une fois la tension devenue acceptable, je glissais deux doigts par cette ouverture pour lui faire signe qu’il pouvait introduire son membre par le trou. Il comprit tout de suite et je vis sa queue passer cette ouverture. Aussitôt, je le pris en bouche avec délice et gourmandise et il commença par des petits va-et-vient puis par des grands et il lâcha toute sa crème onctueuse dans le fond de ma gorge, que je bus aussitôt.
Je revins du côté droit ou une novelle bite attendait qu’on la suce. Après quelques mouvements de fellation l’inconnu me demanda si ça me plairait de me faire enculer. J’acceptais avec enthousiasme. Le gars est venu me rejoindre, m’a indiqué qu’il préférait laisser la porte ouverte, étant un peu exhibitionniste. Et c’est ainsi que je me suis fait enculer devant trois mecs qui se branlaient frénétiquement.
Il y a quelques semaines, je suis entrée dans une sex-shop un peu come ça avec des cabines de projections mais aussi une salle commune, je m’y installe, ouvre mon pantalon et commence à me branler doucement. Un mec arrive, se pointe vers moi et bite sortie. Il me l’offre, un bel engin ma foi. Etant venu pour ça, je ne me dégonfle pas et je me suis mis à sucer le mec Un régal j’adore ça ! Un troisième larron se pointe, je le suce alternativement avec l’autre. celui-ci bande très dur, je lui ai demandé s’il voulait m’enculer. Un petit attroupement se forme, j’offre mes fesses, le mec s’encapote et me pénètre. Il n’était malheureusement pas très doux, j’ai donc mis fin à l’opération et je suis retourné m’assoir, il m’a suffit d’attendre d’autres bites sont venues
Ce que l’on peut regretter c’est le manque de convivialité dans ce genre d’endroit, à de notables exceptions près ce genre de rapport reste impersonnel, on a l’impression de sucer des bites à pattes j’ai abandonné ce genre de rencontres pour préférer le sauna, c’est beaucoup mieux
Quand j’étais encore en activité, j’allais vers Montparnasse dans une sex shop, je me déshabillais entièrement dans une cabine et laissais la porte entrouverte en attendant que quelqu’un veuille de moi. Ce n’était pas toujours le cas, mais j’ai ainsi sucé pas mal de belle bites
Effectivement, ça sent le vécu, moi aussi ça l’est arrivé de sucer de la bite dans des cabines de sex shop, mais je ne me suis jamais fait prendre, faut dire que c’est un peu exigus là-dedans
Ce texte raconte bien, il sent le vécu, c’est décontracté et plein d’humour, c’est bien, et ça fait bander ! Ça m’a rappelé des souvenirs, c’était près de la Gare Montparnasse, avec aussi des cabines au premier, la cabine fermait mal, un mec a ouvert et m’a demandé s’il pouvait rester. J’ai failli me barrer, mais quand il a sorti sa bite, il s’est passé quelque chose. J’étais troublé, excité et je me suis retrouvé avec la bite du mec dans la bouche. Un bon souvenir.