Douce conséquence d’une maladresse par Daniel952

 

Douce conséquence d’une maladresse
par Daniel952

Julie aime le sexe ceci n’est pas nouveau, et je dois préciser que j’adore tout ce qu’elle aime…
Mais aimer « cela » à ce point, alors là elle m’étonne, et ce qui lui est arrivée ce jour-là m’a bouleversé !
Déjà il faut savoir que nous nous disons tout, dans les moindres détails aussi croustillants soient-t-ils, ce qui finit inexorablement par un gros câlin souvent proportionnel à l’intensité de nos récits respectifs.

– Damien, il faut que je te dise ce qui m’est arrivée, tu veux bien mon chéri ?

Imaginez la scène qu’elle me décrit :
Un après-midi ensoleillé et baigné d’une chaleur douce incitant à la détente.
Assise à sa terrasse de café préférée, Julie paresse attablée devant son verre de menthe et regardant avec intérêt les passants et les consommateurs, s’intéressant à leurs tenues, à leurs maintiens, à leurs visages, à leurs silhouettes, qu’ils soient hommes ou femmes.
Julie est, sans aucun doute possible, d’une tendance (et le mot est faible) bisexuelle, tout comme moi d’ailleurs, ce qui nous permet de petits écarts aussitôt que nous en éprouvons le besoin, ou que nous en avons l’occasion.

Justement son regard s’était arrêté depuis un moment sur le corps d’une jeune et jolie femme, assise seule à la petite table ronde à côté de la sienne. Devant sa boisson qu’elle tenait d’une main, elle ne se rendait compte de rien, tellement absorbée par ses pensées, ses beaux yeux marron dans le vide.

Elle était brune avec des cheveux très fins légèrement ondulés autour de son visage ovale si doux. Son profil dénotait par sa beauté parmi la foule. Son chemisier boutonné sur le devant s’apprêtait à exploser par la tension qu’exerçaient ses petits seins et permettait à Julie de regarder avec envie ses tétons pointant au travers du tissus, et de détailler le grain de peau de sa poitrine qui semblait d’une telle douceur qu’elle laissait aller son imagination vagabonder vers des caresses sans doute impossibles, mais qu’elle aurait pourtant voulu prodiguer à ce corps si délicat.

Revêtue d’une minijupe, ses jambes croisées laissaient voir des cuisses musclées et bronzées, et à la faveur d’un changement de position, lui permettait, l’espace d’un instant, d’entre voir ce qui lui semblait être sa petite culotte. Un délice, une vue de rêve, tout ceci troublait ma Julie si intensément qu’elle sentait sa propre culotte s’humidifier, serrant ses cuisses l’une contre l’autre pour apprécier ce liquide chaud et doux qu’elle adorait et qui dénonçait une envie folle d’aborder cette jeune inconnue.

– Excusez-moi mademoiselle, on se connait n’est-ce pas ?

C’était d’une banalité incongrue, et la jeune femme surprise dans ses pensées, eue un geste de reflexe qui bouscula la petite table ronde instable, renversant son verre sur les jambes de Julie.

– Oh, excusez-moi dit-elle réellement ennuyée, je vais réparer ma maladresse.

Elle sortit un kleenex de son sac et essuya délicatement les jambes de Julie.

– Ce n’est rien, vraiment.
– Mais si, je suis réellement désolée, regardez votre jupe, elle est toute mouillée.

Julie ne put s’empêcher de penser qu’il n’y avait pas que sa jupe qui était mouillée mais bon…

– Ecoutez, j’habite juste là, si vous voulez on va arranger cela chez moi, je vous assure que je veux absolument me faire pardonner et réparer ma maladresse, vous venez ?
– Mais je ne veux pas vous déranger, vous avez sans doute bien d’autres choses à faire.
– Mais non voyons, mon amie, et colocataire, va bientôt rentrer, mais elle est très compréhensive.

Cette dernière phrase s’accompagnait d’un clin d’œil complice qui pouvait vouloir dire beaucoup de choses selon l’état d’esprit dans lequel on se trouvait. Et justement l’état d’esprit de Julie était disposé à toutes propositions à ce moment d’échange de regard avec cette si charmante jeune femme.
Devant une telle insistance, Julie, imaginant tout un tas de scénarios qui pouvaient se dérouler selon sa réponse, accepta de la suivre en essayant de freiner son imagination débordante.

Tout en allant vers chez elle, elles papotaient, s’échangeaient leurs prénoms et assez rapidement se considéraient déjà comme deux bonnes copines. Il faut dire qu’elles avaient à peu près le même âge, la même silhouette, ce qui aidait à vouloir se connaître un peu mieux.
Arrivées devant la porte de son appartement, elles se tutoyaient et riaient des mêmes sujets.

– En effet Louise, tu n’es pas si loin du café. Tu y vas souvent sans doute. C’est drôle, c’est mon endroit préféré quand je veux me détendre.
– Ha oui ? En effet c’est drôle, on aurait pu s’y croiser. Il fallait sans doute une occasion.

Et son regard s’accompagnait du même clin d’œil que tout à l’heure.
Julie eu un petit frisson en entrant dans la pièce de Louise. Ce frisson, elle le connaissait bien. Il arrivait toujours, ce petit frisson coquin, quand une situation un peu spéciale allait arriver, et c’était toujours d’un bon présage.

– Allez, pas de « chichi » entre nous, on est faites pareil toutes les deux. Enlève ta jupe Julie, je vais te chercher quelque chose à mettre en attendant que je la nettoie. Ma chambre est par là.

Sur cette proposition, elle quitta la pièce. J’étais cependant assez gênée car en effet, comme souvent quand je sors pour me détendre, je n’avais pas mis de culotte, ni de soutien-gorge d’ailleurs. J’adore être nue sous mes vêtements, surtout s’ils sont très légers comme ce jour-là justement. Cela doit être certainement mon côté exhibitionniste. J’adore cela. Etre à la merci d’un coup de vent soulevant ma jupe et livrant aux passants mon intimité ne serait-ce qu’une seconde, sentir l’envie dans les regards que je peux croiser. Et pourquoi ne pas lier une conversation et aller plus loin…

J’avais trouvé sa chambre, et me voilà à moitié nue assise sur le bord du lit, mes jambes croisées pour cacher ma petite chatte qui décidément n’arrêtait pas de mouiller mes lèvres gonflées.

-Tiens, enfile ça en attendant, me dit Louise en entrant dans la chambre. A moins que…

Elle s’arrêta net. Me regarda longuement en détaillant mes jambes, mon corps. Elle me déshabillait du regard et j’avoue que cela ne me déplaisait pas.

– Dis donc, tu es très bien faite toi. Cela ne te gêne pas si je te regarde ?

Elle laissa tomber par terre le peignoir qu’elle avait apporté, tira les rideaux et s’approcha de moi.

Là, tout en posant sa main chaude sur ma cuisse, ses yeux pénétraient les miens, échangeant nos impressions, nos souhaits, nos envies même les plus inavouables, dans un silence déjà complice.
Le sort en était jeté. Nos décisions étaient déclarées. Plus besoin de parler. Nos regards, nos gestes, nos mains et maintenant nos caresses étaient rois et guidaient nos sens. Nos instincts éclataient au grand jour.

Nous étions ensemble avec les mêmes envies, nous nous étions comprises grâce ou à cause de ce regard si intense et qui voulait dire tant de choses.
Il semblait que nous nous connaissions depuis si longtemps. Semblant nous comprendre, nos caresses devenaient de plus en plus intimes et entreprenantes.

A cet instant je ne désirais qu’une chose, qu’elle me prenne dans ses bras, qu’elle me pétrisse les seins, qu’elle mordille mes tétons, qu’elle fouille ma chatte gluante, que ses doigts entre dans mon vagin, qu’ils en ressortent pour y revenir aussitôt, toujours plus loin, toujours plus fort, mais toujours avec tendresse, qu’elle masse mon clitoris, qu’elle caresse mon petit trou qui ne demandait qu’à se dilater par des pénétrations plus appuyées.
Tout ceci je voulais le recevoir et le lui donner aussi, et plus encore, car mes envies montaient en moi et je sentais une chaleur sensuelle parcourir mon corps.

J’écartai doucement mes jambes en les soulevant légèrement. Elle caressa mes cuisses en remontant vers mon plaisir, tout en plongeant intensément ses yeux dans les miens, comme pour chercher en moi tout ce que je désirai.

-Viens lui dis-je tout bas tout en m’allongeant sur son lit.

Elle vint oui, toute proche. Je sentais la chaleur de son corps contre le mien, respirais son haleine, humais son parfum si particulier quand on a envie de se faire l’amour.

Tout dégageait en elle le sexe, le plaisir de se donner corps et âme, l’une à l’autre, de partager nos corps emplis de désirs, de râles et de tendresses. La sensualité de nos mouvements, quand on se frottait l’une contre l’autre, commandait nos gestes précis. Elle me pénétrait si profondément avec ses doigts que j’aurai voulu écarter encore plus mes cuisses et j’accompagnais ses mouvements avec mes hanches en lui caressant les seins.

Nous nous sommes embrassé si tendrement, avons mêlés nos langues qui ne voulaient plus se quitter, hors de nos bouches. Nos salives étaient si bonnes à déguster. Nos lèvres s’aspiraient et en voulaient plus encore.
Nous nous sucions l’une l’autre, sur tout notre corps, léchant chaque recoin proche de nos zones si sensibles. Sa peau était si douce que je l’embrassai de partout.

En position de 69, nous pouvions nous délecter de nos odeurs, de nos saveurs, de la douceur de nos peaux. Nos langues, dégoulinantes de nos salives mélangées à la mouille émanant de nos sexes, allaient de nos chattes à nos anus, et revenaient sur notre petit bouton qui grossissait de plaisir. Nos bouches aspiraient les lèvres de nos petits minous qui s’ouvraient pour recevoir encore plus de caresses.

Nos vêtements avaient disparus depuis longtemps, depuis une éternité.
Quel délice d’être nues, à la merci de l’autre, à son écoute, prête à donner et à recevoir toutes les étreintes.
Nos corps se mélangeaient, réclamant de nouvelles douceurs, frottant nos chattes contre nos cuisses. Nos langues se perdaient, léchant chaque partie du corps qui se présentait à portée de nos bouches, dans nos orifices les plus intimes, brulantes de désirs.

Nous en étions là de nos ébats, hors du temps, dans un état second que je connaissais si bien pour en apprécier chaque détail et vivre intensément ces moments de pur bonheur, quand je fus troublée par un sentiment étrange qui m’obligea à m’écarter doucement de ma compagne.

Là, tapie dans un coin de la chambre était une présence, mi-assise, mi-accroupie contre un mur, une jeune femme nous regardait en se caressant le ventre et les seins. Une belle femme pour autant que je pouvais en remarquer les traits dans la pénombre. Je voyais beaucoup plus précisément son corps à moitié nu. Elle semblait assez grande quand elle se leva en remarquant que je le regardais. Belle femme en vérité, me disais-je.

– Ne t’inquiète pas c’est Maude, ma colocataire et amie, tu sais je t’en ai parlé, elle devait rentrer, et bien c’est fait. Viens Maude ne soit pas timide, je te présente Julie, une amie avec qui je m’entends très, très bien…
– Je vois, vous me donnez des envies toutes les deux.
– Et bien joins toi à nous, si ça te dit mon chou. Tu veux bien ma chérie ?

Cela était dit avec une telle tendresse, que vraiment je ne pouvais pas lui refuser. Et puis franchement, j’étais dans un tel état d’excitation que l’idée d’un échange de caresses à trois ne me déplaisait pas du tout.
Maude s’allongea près de moi, tout près, en conservant son petit short moulant.

– Je reviens mes amours, nous dit Louise.

Seule avec Maude je me sentais un peu gênée, quand elle frotta son corps tout contre moi.

– Tu sais Julie, j’aime tout ce que Louise aime. Je partage son appartement, et parfois son intimité, alors ne soit pas timide à ton tour et, si tu le veux, laissons nous guider par nos instincts, tu veux bien ?

Ces paroles étaient accompagnées de caresses avec quelques doigts sur mon visage, mon cou, mes épaules pour descendre sur mes seins dont les tétons pointaient fièrement, dénonçant mon désir d’aller me fondre dans les bras de cette belle nouvelle inconnue.
Oh oui je voulais bien, et plus encore, mais comment lui avouer mes désirs sans passer pour je ne sais quoi ?
Un simple tout petit « oui » chuchoté à son oreille suffit à Maude pour se permettre des caresses, plus appuyées et plus précises, à ma grande satisfaction. J’étais encore une fois libérée des contraintes idiotes qui freinent chaque être, lui empêchant de libérer son amour du sexe.
– Tu as un petit copain ?
– Oui.
– Comment s’appelle-t-il ?
– Damien, et je l’aime.

J’avais besoin de lui dire que j’aimais mon Damien, que si j’étais là aujourd’hui, cela n’avait rien à voir avec un quelconque manque de tendresse, mais simplement parce que j’aimai faire l’amour, tout simplement.

– Il a bien de la chance ton amoureux, viens.

Elle s’était mise sur le dos et guidait ma main, d’abord sur ses seins qu’elle se caressait en même temps que moi, nos mains emmêlées dans une même étreinte.
– Donc tu aimes les hommes aussi ma chérie.

Ce n’était pas une question qui appelait une réponse, mais bien une affirmation.

Elle emmena doucement ma main toujours mêlée à la sienne, dans un effleurement sur son ventre. J’entendais sa respiration s’accélérer, je sentais son bassin se tendre en avant, attendant l’instant fatidique où nos mains allaient frôler son entrecuisse.

– Julie, ne soit pas fâchée…

Que me disait-t-elle ? De quoi parlait-t-elle ? Cela m’intrigua un instant.

J’eue la réponse quand nos mains atteignirent son bas ventre et où je senti… un sexe d’homme, une verge qui se tendait doucement, libérant un liquide chaud et doux que je sentais sur mes doigts hésitants !

Sa main maintenait la mienne doucement, dans un mouvement de haut en bas et de bas en haut sur son pénis maintenant tendu. Elle (ou il, je ne savais plus…) se caressait et me faisait le caresser, décalottant son gland pour son plus grand plaisir, et le mien aussi je l’avoue.

Quelle surprise, quelle découverte, une femme avec un sexe d’homme, un homme avec des seins de femmes ? Qui était tout près de moi, que faisais-je à son sexe bandant ?
Je le masturbais avec tendresse, une transsexuelle couchait avec moi !

Maude prévoyait ma surprise, et d’un doigt sur ma bouche, elle me susurra :

– Chut, ne dit rien. Caresse-moi, j’en ai envie. Laisse-toi aller à notre plaisir, laisse venir tes désirs et tes pulsions, viens sur moi.

En effet, je ne dis rien. J’appréciais, tout simplement.

Elle guida mon corps en me prenant par les hanches pour aller m’empaler sur sa bite toute droite, toute bandante et bien trempée.

Je plaçais doucement ma chatte brulante d’envie devant sa verge qui entra avec jouissance dans mon ventre. J’aimais cette position qui me permettait de commander les mouvements en dégageant ma chatte et en permettant à sa bite de rentrer à nouveau, encore et encore, dans mon vagin dégoulinant de mouille.

Je ne me posais plus de questions. Ça m’était complètement égal que Maude soit une femme, un homme, pour moi elle était l’amour, l’amour du sexe avant tout, au diable les préjugés, au diable les conventions. Le plaisir de la chair était là, maintenant si proche, à notre portée, ensemble dans un même amour, dans une même recherche d’érotisme !!!

Maude m’attirait tant, que je me penchais en avant pour embrasser et aspirer ses seins, mordiller ses tétons turgescents, tout en continuant mes mouvements de vas et viens avec mes hanches et en m’asseyant un maximum sur elle, pour sentir sa belle bite dans mon ventre, ses couilles contre mes fesses. Je léchais ses tétons tout tendus, je pétrissais sa poitrine de mes deux mains. Je sentais un bonheur complet m’envahir.

Maude maintenait à présent mes deux fesses en les écartant doucement, pour lui permettre de titiller mon petit trou, ce qui me fit me dandiner de manière à ce qu’elle puisse entrer un doigt dans mon cul mouillé qui réclamait aussi d’être branlé.

Comprenant mes désirs, elle attrapa derrière elle un petit vibromasseur qu’elle pénétra dans mon anus en lui donnant des mouvements de rotation. J’avais envie, envie de plus de sexe, tout mon être, en pleine excitation sexuelle, réclamait des caresses partout sur mon corps. Je pris mes seins dans mes mains pour me les peloter dans une recherche de plaisirs et décupler ainsi encore plus mes sens et mes envies.

Je senti que Maude quitta d’une main une de mes fesses, et se mit à se doigter son petit trou qui très vite devint bien dilaté. Elle branlait à présent son anus avec le vibromasseur qu’elle m’avait retiré à mon grand regret, et lui donnait des ondulations, avec des va-et-vient de plus en plus rapides, en accompagnant son bassin de brusques mouvements. J’appréciais tous ces changements de rythme, qui permettait à mon corps de se libérer totalement. J’aimais que Maude se donne du plaisir en masturbant son cul.

J’en avais presque oubliée Louise quand je sentis sur mes fesses, près de mon anus dilaté, une forme légèrement dure, et les deux mains de Louise qui me prenaient par les hanches, ce qui me ralenti un instant.

– Continue mon amour, donne à Maude ta belle chatte, et donne-moi ton petit trou ma chérie, je vais te donner du plaisir, j’en ai envie.

Elle s’était équipée d’un gode ceinture qui me surpris au premier abord. Mais quand, après avoir bien salivé mon anus, après avoir pénétré un, puis deux, puis trois de ses doigts, après avoir prodiguer des va-et-vient dans mon petit trou, en les tournant, en les pliant doucement et tirant légèrement vers l’extérieur sans les sortir, après avoir bien jouer à l’intérieur de mon cul, ma dilatation était telle que son gode entra avec délicatesse dans mon ventre, loin, très loin, ce qui me déclencha des gémissements et de nombreux cris de plaisirs.

Je me cambrais un maximum tout en conservant la bite de Maude dans mon vagin.

-Oh oui Louise, encule-moi, baise mon cul, c’est booon… J’adooore. Encore ! Plus loin !!!

Louise se pétrissait les seins tout en avançant son bassin, sa chatte derrière son gode sur mes fesses voulait comme me pénétrer.
Maude était encore en moi, sa bite brulante remuait à l’intérieur de mon ventre, me faisant dandiner des fesses, ce qui augmentait mon plaisir en sentant davantage le gode de Louise.

Maude fini par éjaculer très profondément dans mon vagin, avec un râle de jouissance, ce qui fit accélérer les mouvements de Louise et déclencha également ma propre jouissance. Je criai de plaisir, accompagnant les gémissements de Louise qui s’était délicatement retirée, et qui masturbait avec violence sa chatte à l’aide de son gode qui avait changé de destination.

Oh que c’était bon, quel délice, quel plaisir, quelle volupté.

Ces moments de pur extase resteront à jamais gravés dans ma mémoire, et je n’aurai qu’une hâte, c’est de recommencer, me faire prendre par mes deux sources de plaisirs, mes deux trous prêts à recevoir des bites bien chaudes. J’aurai voulu que Damien soit là pour sucer son membre bandant et le faire éjaculer dans ma bouche. Peut-être une autre fois ?…

– Voilà Damien, il fallait que je te le raconte mon chéri, je t’aime.
– Je t’aime ma Julie et je suis tellement heureux que tu ais pu vivre un tel bonheur mon amour.

Un silence tendre s’installa, nous revivions chacun des brides de cette jouissance, imaginions ce que l’on aurait pu faire si Damien avait été là, avec nous.

– Au fait Damien, Louise m’a demandée si on pouvait venir manger un morceau un de ces soirs chez elle. Maude est toujours sa colocataire pour pas mal de temps encore, ça te dit ?…

Ce soir-là nous avons fait l’amour comme des bêtes, dans une même envie d’amour, de sexe et d’extase…

Post scriptum : Si je n’ai pas décrit d’usage de préservatif dans mon texte, il est bien évident qu’une telle protection est malgré tout indispensable pour le bien de toutes et de tous…

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3 réponses à Douce conséquence d’une maladresse par Daniel952

  1. Breton dit :

    Ce n’est pas relu ! Julie veut emmener Louise chez elle, et elles se retrouvent chez Louise !!!!

  2. Villanova dit :

    Joli texte, bien érotique et bandant pour ma bite

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