Cinéma porno par Gérald01

A 20 ans, en 1976, j’avais vu un film porno dans lequel un type se
faisait une auto-fellation tandis qu’une femme l’aidait à tenir la position,
jambes ramenées au-dessus de la tête et genoux posés de chaque coté . En
même temps, elle le sodomisait avec une courgette. Cette scène m’avait
terriblement excité et donné envie d’essayer.

Chaque fois que je me masturbais, et à l’époque je le faisais 4 à 5 fois par
jour, je recueillais mon sperme dans ma main et le léchais. C’était devenu
pour moi non seulement une manie mais un véritable plaisir. De manière à
mieux imaginer la sensation que peut apporter une éjaculation directe dans
la bouche, je tentai de reproduire la scène du film. Allongé sur le dos, je
faisais une bascule arrière de façon à poser mes genoux de chaque côté de ma
tête, la verge se trouvant ainsi en face de ma bouche à quelques
centimètres. Quand je sentais l’éjaculation venir, j’ouvrai grand la bouche
pour tout avaler. Ce qui m’a surpris la première fois, c’est la force avec
laquelle le sperme gicle. Au fil des semaines, je me suis assoupli et
j’arrivais en tirant la langue à me lécher le bout du gland. Je ne suis
jamais arrivé à aller plus loin malheureusement et l’auto-fellation reste
pour moi un fantasme.

J’ai testé ainsi plusieurs façons d’avaler. Soit j’avalai la première giclée
et attendais d’avoir reçu tout le reste pour l’avaler d’un coup. Soit
j’avalai au fur et à mesure mais l’inconvénient était que bien souvent je
n’avais pas le temps de rouvrir la bouche à temps et je m’en mettais plein
la figure. Enfin, ma technique préférée, attendre de tout avoir reçu dans la
bouche, cela permet de ne rien perdre, et le garder en bouche quelques
secondes avant d’ingurgiter. Cette dernière méthode permet de mieux
distinguer les différents arômes qui remontent à travers le palais et le
goût persiste très longtemps.

L’idée de prendre en bouche une bite et de goûter au foutre d’un autre
revenait de plus en plus souvent et un jour de novembre, en fin
d’après-midi, je décidais de franchir le pas. Je rentrais dans un cinéma
porno dont le titre du film m’inspirait : les pipes de Mme SAINT-CLAUDE.

Après avoir payé ma place, l’ouvreuse m’accompagna avec une lampe de poche
car le film était déjà commencé. Je choisis la dernière rangée du fond pour
être tranquille si l’envie de me branler se faisait trop pressante. Le titre
du film n’était pas une attrape couillonne. C’était un festival de pipes et
de giclées gluantes et abondantes sur le visage et dans la bouche de jolies
filles. Alors que je me croyais seul dans la rangée, à l’occasion d’une
scène un peu plus lumineuse à l’écran, j’ai aperçu un type à l’autre bout de
la rangée. Une dizaine de sièges nous séparaient, mais je distinguai
nettement qu’il avait la bite à l’air et se branlait. S’étant aperçu que je
le regardais, il se leva rapidement et vint s’asseoir juste à côté de moi.
Puis m’attrapant le poignet avec une force incroyable, il posa ma main sur
sa queue dressée. Mon premier réflexe fut de chercher à la retirer, mais il
me tenait si fermement que je n’ai pas pu. Guidant alors ma main, il
commença à se branler. Excité par la situation, je finis par l’empoigner et
fit coulisser ma main sur son membre raide. Voyant que je ne cherchais plus
à refuser ce qu’il souhaitait, il relâcha son étreinte et ouvrant ma
braguette il glissa sa main dans mon slip et me pelota les couilles. Je le
branlai alors avec plus de vigueur tout grisé par la situation et me disant
qu’au fond il me facilitait la tâche pour le but que je m’étais fixé.

Au bout d’un moment il mit sa main derrière ma tête pour m’obliger à la
descendre vers sa bite. Je le laissais faire et me retrouvai avec son sexe
sous le nez. Une forte odeur s’en dégageait, odeur spéciale. Sans doute
lavée du matin mais enfermée dans le slip toute la journée et ayant pissé
plusieurs fois. Oui l’odeur était un mélange de pisse et de transpiration
mêlée à autre chose d’indéfinissable, bref une odeur de bite.

J’ouvris les lèvres et enfonçais la moitié de sa queue dans ma
bouche. La douceur du gland sur ma langue me surpris. Le goût m’excitait et
mon sexe en érection coincé dans mon slip me faisait mal. En plus ma
position était inconfortable car l’accoudoir qui séparait les sièges me
rentrait dans les côtes. Je me redressais et lui glissais à l’oreille de me
suivre. Je me suis alors dirigé vers les toilettes qui étaient juste à côté
au bout de la rangée. Il n’y avait personne aux urinoirs et la porte du wc
était ouverte. Je rentrai rapidement suivi du type. J’ai fermé le verrou et
sans plus attendre pour ne pas revenir sur ma décision, je me suis
agenouillé devant lui. Il a alors baissé son pantalon et son slip déballant
en pleine lumière une verge longue et plutôt fine totalement dépourvue de
poils. Je l’ai prise en main et j’ai commencé à donner quelques coups de
langue sur le gland. Puis je l’ai léché sur toute la longueur avant de
descendre vers ses couilles. Il a pris alors ma tête doucement entre ses
mains m’invitant à le pomper. Ouvrant la bouche, je l’introduisis entre mes
lèvres et l’enfonçais au maximum. Son gland touchant le fond de ma gorge me
provoqua un réflexe nauséeux et je reculais rapidement.

Empoignant alors son membre à la base, je le remis en bouche en me servant
de ma main comme butée pour empêcher une trop profonde pénétration. Mes
lèvres coulissaient sur sa bite et j’essayais d’imiter la façon de faire des
filles du film porno. Sa bite était de plus en plus raide et agitée parfois
de quelques soubresauts. Son odeur et son goût m’envoûtaient. J’accélérais
la cadence le pompant de plus en plus fort. Soudain il se mit à haleter et
la pression de ses mains sur ma tête se fit plus forte. Bien décidé à aller
jusqu’au bout, je maintenais le rythme de mes va et vient et soudain un jet
chaud frappa l’intérieur de ma joue, immédiatement suivi d’un autre qui
cogna mon palais et enfin une quantité incroyable de sperme gluant et chaud
se répandit dans ma bouche. Je le laissais finir puis j’avalais tout ce qui
m’encombrait la bouche. Son sperme était plus épais que le mien mais le goût
était le même. Plus tard lors d’autres expériences je me rendis compte que
les éjaculations étaient moins liquides et moins abondantes chez les hommes
ayant passé les 40 ans, mais lui, bien que devant être proche des 50 m’avait
déversé une quantité très impressionnante. Sans doute n’avait-il pas joui
depuis plusieurs jours ? Ressortant son membre qui commençai à débander je
constatais que quelques traces gluantes demeuraient. je passai alors
rapidement quelques coups de langue puis le remettant en bouche, cette fois
en totalité vu qu’il était moins long, je l’aspirai et tournant ma langue à
l’intérieur de ma bouche tout autour de son gland et le nettoyai en
totalité.

L’excitation avait été si forte qu’au moment où il a joui j’ai éjaculé dans
mon slip sans même m ‘être touché.

Tout en se rhabillant, il me dit que je suçai vraiment bien et qu’il venait
ici tous les samedis après-midi. Je me suis relevé puis nous sommes sortis
des toilettes. Lui est retourné s’asseoir pour voir la suite du film, mais
moi j’avais hâte de rentrer chez moi pour me changer car le sperme séchait
dans mon slip et collait les poils de façon très désagréable.

Sur le chemin du retour, j’étais assailli par deux sentiments
contradictoires. d’une part j’avais un peu honte car je me demandais si je
n’étais pas en train de virer pédé, mais d’autre part j’étais content et
excité d’être allé au bout de mon fantasme.

Arrivé chez moi, je me suis déshabillé et douché. Puis, trop agité pour
m’endormir, j’ai adopté ma position préférée et me suis masturbé lentement
en revoyant les images des évènements de l’après-midi. En moins de dix
minutes, je me suis régalé d’une bonne dose de mon propre foutre et je me
suis couché sans me laver les dents. Toute la nuit fut agitée de rêves
érotiques au cours desquels je suçais des dizaines de verges dressées qui
giclaient à la chaîne sur mon visage et m’emplissaient la bouche de salves
visqueuses.

Le matin au réveil j’ai de nouveau été obligé de me branler tant ma bite en
érection me faisait mal.
Cette première pipe reste pour moi la meilleure dans mes souvenirs et chaque
fois que je me rends dans des toilettes publiques et que je retrouve cette
odeur très spéciale d’urine, je repense au type que j’ai sucé dans les wc du
cinéma et je me mets à bander.

Dès que l’on a commencé à parler du SIDA en France, j’ai arrêté de courir
après les bites à sucer. Maintenant marié depuis plusieurs années, j’aimerai
bien regoûter à mon plaisir préféré mais sans prendre de risque, mais sucer
du latex, même parfumé à la fraise ou autre ne me tente guère. Si seulement
les fabricants de préservatifs étaient un peu plus imaginatifs et
parfumaient leurs capotes au goût et à l’odeur de bite ou de sperme, là ce
serait un vrai plaisir.

Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a eu que 15 années de
véritable liberté sexuelle (quand je dis véritable, cela veut dire sans
risque majeur non soignable) de 1968, développement de la pilule à 1982,
apparition du SIDA. Cela fait peu, mais j’ai eu la chance de vivre cette
époque et je plains les jeunes de maintenant qui sont obligés de sortir  »
couverts « .

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

3 réponses à Cinéma porno par Gérald01

  1. Augustine dit :

    C’était le bon temps, j’y allait en fille et je suçais toutes les bites qui voulaient bien de moi, mais je ne repartais jamais sans en avoir pris une dans le cul !

  2. Bernardin dit :

    Ben oui c’est bon la bite !!!

  3. Harivel dit :

    Assez troublant et parsemé de réflexions intelligentes

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *