Histoires de bons plaisirs – 19 – Candau… par Verdon

Histoires de bons plaisirs – 19 – Candau… par Verdon

Judith et Martin forment un couple amoureux. Marié depuis 30 ans…

Tout va très bien entre eux, et aucune anicroche n’a pu jusqu’à présent vraiment entamer leur entente…

Sauf que l’âge aidant, la routine se fait pesante…

Ils ne se sont jamais rien cachés, même si parfois l’un ou l’autre a péché dans des bras accueillants, histoire de vérifier si leur charme était toujours là et pouvait encore motiver leur sensualité.

Rien de bien méchant à vrai dire… Une secrétaire facile en perte d’épousailles… le facteur (c’est classique) pour un recommandé)…

Une pipe, une léchouille… histoire de rendre service uniquement… et puis c’est tout … ils n’en font pas un plat… et puis si on ne peut pas s’amuser la vie devient monotone…

– Dis donc, tu as le bout du nez qui pue un peu ce soir… .
– Ben vois-tu, Chéri, entre deux tournées, le facteur il na’ pas le loisir d’aller à la douche !…Hi ; hi !
– Cette salope de Finette, elle m’a fait la queue, ce matin, pendant que je téléphonais au PDG !…mais elle a fait une sacrée grimace la gourmande…
(Voilà ce que c’est d’enculer son épouse juste avant de partir au boulot… cochon !)

Donc, vous-voyez bien, rien de méchant, des petites courtoisies, en somme.… .

– Bon, on est bien d’accord, Chéri aujourd’hui, on va faire le grand jeu !… Je serai l’infidèle… Et toi le bon cocu !…C’est promis !
– Promis, j’ai tout prévu, même le martinet !
– Salaud !

Plaisirs, assouvissement, exaltation et soumission…
Adultères consentis… Ce soir, au foyer tout est permis.

Bras et chevilles attachés, il est assis nu sur une chaise.…
Elle est allongée face à lui, sur le lit matrimonial…
Vêtue d’une chemise de nuit très chic et transparente…
Sous un puissant éclairage au-dessus d’elle, elle fait semblant de dormir, bras et jambes abandonnées, poitrine relevée…
On sonne à la porte d’entrée, au rez-de-chaussée… …
Elle frémit, gémit, mais ne bouge pas…
On entend des pas dans l’escalier, qui montent à la chambre…
Une ombre dans l’entrebâillement de la porte…
C’est un homme qui s’approche du lit… Il ignore le mari assis dans l’ombre, se dénude complétement, et balance son slip aux pieds du ficelé…
Il est beau, grand, bien bâti et décontracté il présente déjà un superbe argument d’allure bien vigoureuse.
C’était le souhait du futur cocu…
Un costaud, capable de booster sa mature jusqu’en enfer… il veut l’entendre crier, sa femelle.
Il veut que l’inconnu la bouscule… Elle doit avoir les chocottes à l’instant, mais c’est leur choix : de la fureur, de l’amour sauvage, de grosses pénétrations…
Elle veut du sexe, se faire abuser, se faire dominer et jouir devant son époux afin de le rendre jaloux et plus amant par la suite.
Ils se sont mis d’accord. Elle va assumer… lui aussi…

Elle ouvre un œil, mais éblouie par l’éclairage, ne le voit pas…
Il lui saisit une main et l’aide à se relever…
Debout, dans l’expectative, mi- intriguée, mi- rassurée, elle le découvre…
Surprise ! (Dieu qu’il est beau !), elle lui sourit…
Il la serre contre lui, la cajole et l’embrasse à l’étouffer…
Elle passe sa main sur le gros sexe… Mon dieu ce qu’il est gros !
Il fouille dessous sa chemise de nuit… elle est trempée entre ses cuisses !
Brusquement et sans ménagement, il saisit son vêtement en dessous des seins…
Et la dénude en déchirant le tissu…

« Salopard ! Une chemise toute neuve »… s’écrie le mari…
(en fait il ne dit rien… il est bâillonné le cocu.)
(Et puis… Qu’importe l’emballage… n’est-ce pas le cadeau qui compte !)
(Il ne va pas nous chier une pendule pour un bout de tissu, le bonhomme !…
Nue dans la lumière, elle est resplendissante…

Il la fait tournoyer doucement, comme une toupie, en admirant ses formes…

– Alors Salope… On veut se faire baiser devant son Mari…
– Oui, faites-moi l’amour. Je suis salope, je suis toute à vous…
– Petite grue, infidèle, tu n’as pas honte… devant ton mec !…
– Non, je n’ai pas honte, montre-lui comment ça baise un vrai mec…
– Tu mérites une bonne fessée, catin !…
– Oui ! Chauffe-moi le cul, je suis salope !…

Aussi, assis sur le lit, il la prend sur ses genoux, et là sous le nez de son mari… Il lui cajole le cul… Oh putain qu’est-ce qu’il lui fout à la salope !…

Elle crie, elle bat des jambes… elle a honte devant son homme…

– Oh Oui, Tape-moi fort, regarde comme il bande mon cocu !…

Il se défoule le visiteur… elle a le cul tout rouge… .Et en plus elle mouille !

Ah qu’il fait ça bien… pense le bon mari qui se régale de voir la raclée qu’elle reçoit…
Ensuite l’inconnu saisit le martinet, et il fait glisser les lanières doucement dans la raie du cul, puis brusquement la flagelle sur les fesses… Et il recommence une fois, deux fois…

– Vas’y mon bon Monsieur, fais lui sa fête à ma salope !…Rougit-lui la couenne… .Tape-lui sur le trou du cul… oui comme ça, sur le trou du cul… .elle aime ça !…Tu vas voir… elle va mouiller du cul…

Maintenant, il s’est calmé, l’inconnu. Elle s’agenouille entre ses jambes et pour le remercier, elle lui suce sa grosse bite…

Oh que c’est bon ! Elle aime sucer, elle savoure, elle léchouille le gland…

– Oh ! La bonne queue ! …
– Tu l’aimes ma queue ?
– Oui, je n’en ai pas une aussi bonne dans mon lit… .Humm… Vous avez bien raison de me chauffer le cul !

On n’entend plus que des gémissements et des bruits de suçons…

Il bande le cocu, il n’en peut plus… il ne tient plus en place sur sa chaise… .

Maintenant, l’aimable inconnu baise Judith en bouche, il s’enfonce ras ses couilles dans sa gorge, elle étouffe… .il s’en fout… il pousse… .Elle en veut… non ?

Ensuite il s’allonge sur le dos, en travers du lit. Et il la tire à lui pour la baiser comme elle le désire… .le dos tournée vers son époux…
Ce dernier ne la voit que de dos. Il l’entend jouir. Entre ses cuisses il voit les roustons du fouteur, qui font du rentre dedans entre ses fesses rouges…

– La salope ! Qu’est-ce qu’elle jouit bien avec ce mec !…Va s’y mon gars !….

Elle fait des bonds avec son cul qui saute en l’air… Ah ! Que c’est beau !

– Oh ! Prend-moi par le cul, s’écrie-t-elle… oui prend-moi, fais-moi mal !…
– Oui, prend-la par le cul, elle aime cela… fout-la pour moi, j’ai une trop petite bite !…
– Oui je la veux ta grosse queue… toute entière…
– Allez mon gars… Quand il faut y aller, il faut y aller… Salaud d’enculeur !

Et il y va, bien sûr. Là… devant le cocu, à cinquante centimètres de son visage…

Elle s’est assise sur son bon fouteur, elle s’encule elle-même sur le gros vié…

C’est un spectacle sublime que de voir cette grosse bite pénétrer dans la rondelle infidèle… Le brave lui écarte les fesses et le gros gland fait sa place en écartant bien les bords de l’insolent petit trou… (ça vous plaît cette position … hein mes amis… vous leur faites cela à vos tendres !…..Ben oui elles aiment… n’est-ce pas mesdames !).

Va-t-il rentrer, nom de dieu !

– Va s’y !… pousse !

Il bande le cocu… il bande à voir son épouse avec cette grosse bite sur son cul…

– Ah quelle salope ! … Putain la beauté !

Putain le cul qu’il se paie le salaud… Et c’est celui de ma femme !

C’est un peu dur à passer… Elle crie… Elle veut y mettre sa main pour empêcher le bel outil de faire son boulot…

– Mais vas-tu donc t’ouvrir… salope !

Trois tapes sur le cul et ça entre un peu mieux… .

– Ouille ! Salaud !…
– Pousse, couillon ! Elle en veut !…
– Elle va s’ouvrir ! Cochonne…

Ben oui, elle s’ouvre. Sous les yeux écarquillés de son mari, le gros cylindre de chair fait sa place et s’enfonce dans le fondement de la Belle…

– Ah ! Quelle santé ! Quel beau travail ! Elle est gâtée ma chérie !…

Superbement outragée, elle serre un peu les dents, bat des mains sur le matelas, puis souffle fort en se redressant légèrement pour subir puis accompagner les bons coups de bite qui lui encombre le fondement… .

– Ah oui, ça va mieux maintenant… C’est bon… Oui pousse, comme ça …
– Oh chéri, il m’encule le Monsieur… .regarde comme il m’encule bien… Oui c’est bon, je vais jouir, c’est trop bon !…

Alors c’est l’envolement, des grands coups de reins, des cris, des gros mots… Salope, putain, trou à bites… fiée, fiée enculée !…et des tapes sur les fesses… .Bref… de la puissance, de la Jouissance, l’explosion de leurs sens…

Le cocu médusé n’en croit pas ses yeux et ses oreilles… Rouge comme une pivoine, il bande, il s’agite, il arrive à se débarrasser du bâillon et il crie…
– Bourre-la cette cochonne ! Troue-lui le cul ! achève-la l’enculée, la putasse, la fille à soldats…
– Ta gueule ! Lui répond le fouteur… Elle est bonne, elle adore, elle est serrée comme une huître ta gourmande !…Tu n’as pas dû beaucoup l’user avec ta zigounette… bon à rien…

Il a honte le cocu… il a honte mais il est fier de voir sa moitié si bonne à l’ouvrage… et si heureuse… Il en est bien sûr un peu jaloux…

– Putain ce n’est pas ma bite qu’elle a dans le cul, et elle jouit !

Il continue à pomper le Monsieur…

Ça fait floc… Floc… entre les fesses de la bonasse… ça fait des bruits d’égouts… Il a dû bien lui assaisonner le couloir… même qu’il en bave son trou du cul, tout grand ouvert quand il retire sa queue toute reluisante des bonnes faveurs et de quelques pépites chocolatées de la dame cochonne…

Oh ce trou !…On y verrait presque au fond, la luette de la bavarde qui gémit, la bouche ouverte… ça va faire du courant d’air, si elle ne le referme pas tout cela aussitôt…

Orgueilleux, l’enculeur se redresse et admire le joli chantier qu’il vient de terminer, tout en secouant sa pine sur ses fesses… .

Vlan, vlan sur les fesses et elle se relève aussi la dame… ça coule le long de ses cuisses… elle cherche à l’embrasser, il la repousse, elle tombe assise sur le lit…

Il se tourne vers le cocu qui le regarde béatement heureux, avec un air stupéfait et affamé…

Il n’a pas le temps de réaliser que ce dernier lui a déjà enfilé sa grosse bite entre les babines…

Ben, c’est qu’il n’y a pas beaucoup de place pour un si bel outil… Il fait des grimaces le Martin, ça fait rire son épouse qui ne l’a jamais vu sucer une pine…

Sûr ! Un honnête cocu ça ne se refuse rien, ça prend… C’est un bon pourboire… .Hi… Hi !

Encore toute chaude et nappée des faveurs du Monsieur et des tiédeurs de sa cochonne, la bonne pine a ce bouquet fortement musqué du mâle en rut, et le fumet sans doute, d’une chaude andouillette. Ce qui n’a pas l’air de déplaire à notre admirateur.

Il l’avale avec volupté. La lèche, la grignote, la fait reluire, toute propre, brillante, rose et encore bandée… Il n’y a rien à dire… Elle a le bon goût du cul de sa femme. Présenté ainsi ce beau braquemart est encore meilleur !

Puis il la rend à son propriétaire qui se la secoue sur ses joues pour la ressuyer.

Sans autres formes de procès, l’inconnu ramasse ses affaires, se rhabille et quitte la pièce, suivi par l’épouse qui l’accompagne jusqu’à la porte d’entrée…

Avant de sortir il saisit Judith par la taille pour l’embrasser vigoureusement… Il la repose… .

Elle le regarde et lui dit :

– On ne se connaît pas, on n’oublie tout, on ne se revoit plus… Ok ?…
– Promis, juré, Adieu ! Une tape encore sur le cul et il se barre…
… … … … … … … … … … … … … … … …
Sur la table de la cuisine … de gros billets de banque !…Elle court pour les lui refuser… trop tard il est parti…

Un homme honnête en somme ! Un peu dur… c’est ce qu’elle voulait… mais si fort et si généreux !….et quelle bite !

Elle n’en dira rien à son Mari… ( il vaut bien son pesant d’or son trou de balle !)

Elle grimpe les escaliers quatre à quatre…
Détache son Mari…
S’allonge sur le lit…
Ecarte les jambes…

– Viens vite, je t’aime mon amour, je te veux !

Elle est à lui pour toujours… pour le meilleur et pour le pire…
… … Mais c’est si bon le pire !

30/05/2024

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Histoires de bons plaisirs – 19 – Candau… par Verdon

  1. Harivel dit :

    Encore du bon Verdon, du Verdon qui fout la trique !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *