Histoires de bons plaisirs – 16 – Nina par Verdon

Histoires de bons plaisirs – 16 – Nina par Verdon

– Oh ! Monsieur le Conte ! Ce n’est pas bien ce que vous faites là ! …Si Madame nous voyez !
– Comment ça ! Je ne fais rien de mal ? Petite salope !
– Je ne suis pas salope ! Je suis votre servante, dévouée à votre service et à vos douces familiarités…Monsieur, mais Madame peut être jalouse…
– Ecoute, tu as un beau cul et tu sais t’en servir. C’est pour cela que je t’ai engagée n’est-ce pas ! Tu es bien rémunérée, d’autant que mes bonnes attentions n’ont pas l’air de te déplaire, que je sache ! Quant à ta maîtresse, elle a eu sa part il me semble ?…
– Oh oui… C’est que Monsieur a la main douce et une bonne queue qui ne peut pas se contenter que d’un seul cul !
– Ah ! Eh bien voilà… On se comprend. Tu les aimes bien mes câlins, petite vicieuse…
Alors, au travail, si tu veux être bien récompensée. Suce-moi la pine que je te dis… sens donc comme elle est moelleuse ce matin et tellement goûteuse !…
– Oui c’est vrai, Monsieur, elle est bonne !… pas très dure, peut-être, mais si tendre ! Humm… En plus, elle a le bon goût de Madame ! Vous avez dû bien l’enculer ce matin… Je vois qu’elle vous a laissé quelques petits souvenirs, la cochonne ! Pouah !… Il est fièrement empanaché votre gland !
– Ben ! Tu vois bien !… Encore une fois, ta fainéante de patronne n’a pas fait le ménage… Elle sait très bien que tu y pourvoiras…

C’est vrai qu’au petit matin, elle n’avait pas le cul très propre ma dormeuse…

– Bon tu ne vas pas faire la chichiteuse… Tu lui a déjà éché le cul, à ta patronne… Et puis ça te plaît bien, nom de dieu !
– Wouaf… Wouaf !… [ comment voulez-vous qu’elle réponde, la gourmande, avec le nœud de son patron au fond de la gorge!).
– Tu es une bonne fille, lui dit-il en reboutonnant sa braguette.
– Et la Lorette, elle vous suce toujours le chichi quand vous arrivez au bureau, Monsieur le Conte ?
– Catin ! De quoi te mêles-tu… jalouse petite garce… [en lui tapotant le cul, avant de partir).

Ça se passe ainsi, souvent le matin, quand Bertrand [Monsieur le Conte), toujours pressé, se retire du cul de son épouse encore endormie, pour filer dans la cuisine, s’avaler un petit déjeuner réconfortant tout en se faisant licher [comme disent les Québécois) l’os à moelle, par Nina, la soubrette, une jeune femme qui, n’en doutons pas, a une très bonne éducation. [mais qui se plaît à faire la chochotte, rien que pour l’exciter le maniaque).

En effet Nina est une jeune personne qui a fait de bonnes études ménagères, comme on en faisait en ce temps des années 30, pour se mettre au service ensuite auprès de gens de la ‘Haute’, soucieux d’un service soigné, discret et bien payé.

Mais, il est certain que la petite Dame, si elle gagne beaucoup d’argent, elle n’est pas toujours disponible, certains soirs, pour flatter son chéri. Ce dernier a fini par la quitter. C’est qu’un jour il a remarqué quelques zébrures bizarres sur le moelleux fessier de son aimée. [sûrement que son patron avait dû mettre la main à la pâte pour l’encourager à bien faire son métier ! mais tout de même… lui abîmer son patrimoine !).

Alors, quand ça se renouvelle, il a des doutes, il se pose des questions. Il ne s’en pose même plus quand il s’aperçoit un beau jour, que la rosette de sa bien-aimée s’est fait apparemment, quelque peu bousculer !

C’est que ce jour-là, ses braves patrons recevaient un invité important et très distingué… Alors, ils lui ont demandé à la gentille Nina de faire un petit extra… Oh, juste une petite complaisance pour faciliter leurs affaires avec ce Monsieur, tout en l’aidant à oublier son récent veuvage. Rien de bien méchant. Juste lui montrer un peu ses fesses pour le contenter le Monsieur. La vieillesse aidant, ça n’irait pas bien loin, et puis il fallait faire attention à son cœur. [de l’humanisme, en fin de compte !).
Ce qu’elle fait très volontiers, Nina… elle aime tellement faire plaisir, surtout aux vieux messieurs !
Bien sûr il lui montre aussi sa bite et lui demande une petite turlute… Bon, au point où elle en est, ce serait moche de refuser. Et puis une bonne bite, ça ne fait du mal à personne Pas même à son jaloux de mari, puisqu’il n’en saura rien [ça l’excite la friponne !).

Eh bien, tout vieux qu’il était, ça le fait bander, l’impudent… c’est normal.

Seulement voilà… devant une telle gâterie, il ne sait pas se retenir le pauvre excité !

Ça fait des lustres qu’il n’a pas bandé aussi fort, il est tout guilleret le vieillard
!
Aussi veut-il voir ce joli petit cul, d’un peu plus près…

Donc elle ouvre ses fesses… [Complaisance oblige !)

– On regarde, Monsieur, mais on ne touche pas !… C’est à mon chéri tout ça !
Un petit cul si tendre ! Il s’approche encore plus près… et du bout d’un doigt il lui caresse l’œilleton… [en somme, rien de plus naturel).
– Oh ! Monsieur ! Hi, hi… C’est coquin ce que vous me faites !

Elle est toute en émoi, Nina. C’est si bon ce qu’il fait !… Elle n’ose pas se retirer… C’est trop doux !… Bon sang, il fait ça si bien !… Mais quand elle sent la fraîcheur de la tête de son nœud, lui taquiner l’ouverture, elle ne résiste pas, elle se laisse faire… peut-être ne bande-t-il pas assez ? [et pourtant s’il pouvait !… ).Eh bien oui il bande bien… alors il pousse l’’impatient…

– Ohh !… Qu’elle dit la Nina… [sans chercher à s’esquiver, la salope).

Mais, putain, comme il bande ! Et ça rentre, évidemment. Pas possible ! Elle sent bien son anus qui s’ouvre et le gland qui pénètre… Vaillamment, comme un jeune ! C’est fou ! … Ça ne lui fait pas mal à la mignonne [c’est une petite bite… ). Elle trouve que c’est bien bon !

Du coup elle n’a plus d’hésitation… Le mari oublié, elle s’en fout, la garce… C’est trop bon.

Maintenant ça coulisse tellement bien qu’il lui fait de profonds va et vient dans son trou du cul en soufflant comme un bœuf, le vieillard ! Il éjacule violemment… petitement, mais sûrement !… Il n’y a rien à dire, il a de la couille le vieillard !… Elle jouit la coquine.

– Oh oui ! Va s-y Pépé… Continue !

Il y va, il s’épuise !

– Eh Pépé !… .Ne t’arrête pas… Secoue-les tes roubignolles… Tu me troue le cul… Continue !

Hélas, ça ne peut pas durer. Il devient tout mou le chichi. Elle sent le bon jus couler entre ses fesses quand il se retire.

Essoufflé, fatigué, il s’écroule à côté d’elle…

Il est beau son vieil amoureux ! Tout fripé du front jusqu’à la bite, mais beau tout de même !

Nina le caresse avec plaisir. Elle saisit entre ses cuisses son zizi qui est tout petit.

Boudiné, rétracté sur ses bourses il a encore une goutte d’amour au bout du bout. Elle se penche, lape le dernier bonheur, mais déjà endormi, il ronfle de bonheur, elle en profite pour se dégager et sort discrètement de la chambre
.
Elle est un peu honteuse de se retrouver face à ses patrons qui, curieux, la toisent avec des sourires insidieux, coquins, insolents et finalement satisfaits, quand ils découvrent à la commissure de ses fesses, quelques séquelles amoureuses…

– Tu es une brave fille… lui dit Bertrand, en lui tapotant le cul, pour la féliciter de sa prestation et l’assurer de sa satisfaction.
– Salope ! Rajoute la patronne. Tu t’es payé le vieux … ma chère !… Tu ne l’as pas tué, j’espère ! Hi ! Hi ! et elle l’embrasse à pleine bouche pour profiter de ce bon parfum de vieux bouc, qui embaume encore les joues de la fellatrice.
Grâce à toi, ma chérie, en voilà un qui va sûrement nous assurer de sa reconnaissance !

[Ah, la salope !ce n’était pas gratuit… Vous, vous en doutiez, je parie !).

Elle retourne encore plus honteuse à la maison, pas très bien à l’aise devant son mari… mais un joli magot dans son soutien-gorge, ça aide à oublier la honte…

C’est là que son mec a tout compris… Tant de sous et le cul tout rouge !

Elle a droit à une fessée bien méritée et il la met à la porte, le salaud, comme une scélérate, non sans lui défoncer le cul, de rage, avec sa grosse pine qui est entrée comme dans du beurre, [c’est toujours ça de gagner… Hic !… Mais heureusement le bon vieux avait fait du bel ouvrage, en graissant le conduit)

– En gage de souvenir… s’écrie son mec, en lui talochant une dernière fois le popotin !

S’il s’est fâché. C’est normal. Il n’a pas compris que chez ces gens-là, à l’époque, il fallait donner un peu de sa personne pour mériter quelques dollars de plus. [des sous, dont il profitait bien lui aussi).

– « Je ne mange pas de ce pain-là », qu’il lui a dit le saint homme… .et il l’a renvoyée.

Elle a beaucoup pleuré, l’infidèle… mais par gentillesses ses patrons l’ont accueillie chez eux. Elle s’est vite consolée, heureusement.

Il faut vous dire que Mathilde, la Maîtresse de maison, est aussi très gentille avec la soubrette. La complicité et la discrétion de cette dernière, lui permet quelques coups de griffes vis-à-vis du contrat de mariage. Et ni vus, ni connus elle reçoit des amants quand Monsieur n’est pas là.

Et si je vous dis que les effets de fesses de Nina attirent bien sûr la concupiscence de sa patronne qui se complaît avec elle, dans certains plaisirs saphiques très agréables, vous comprendrez pourquoi Nina n’a pas du tout le désir de quitter sa place.

Ainsi, Nina, installée dans la maison même de ses patrons, prend une place prépondérante dans la vie de ce couple sympa et très porté sur les bonnes choses de la vie.

Bertrand, le patron, a maintenant une soixantaine d’années et sa virilité, malheureusement en prend un coup.

Mathilde, l’épouse est de moins en moins satisfaite sexuellement et, grâce à Nina [on le sait), elle compense avec Fernand, son amant qui n’est ni plus, ni moins le meilleur ami de son cocu.

À vrai dire, ce dernier est au courant et ça ne le dérange pas. Il connaît bien Fernand car ils ont passé de bons moments ensembles. Il est ravi de se faire cocufier par son ami et souhaiterait le voir faire.

Mathilde est très portée sur le sexe et le cul en particulier. Elle rêve de voir un jour son mari se faire sodomiser par son amant, mais ces deux couillons n’osent pas.

Elle a envie de jouir, Mathilde. Insatisfaite d’être confinée ainsi entre deux mecs qui débordent plus d’élégance que d’intentions un peu perverses, elle souhaiterait faire diversion avec plusieurs gars un peu rustres … et se faire bousculer sexuellement. Elle a envie d’amour ‘sauvage’, comme elle dit à Nina.

Or, cette dernière étant au courant de tous les petits secrets et les envies de ces trois personnages, se met à gamberger le projet d’une belle orgie pendant laquelle tout serait permis, au profit des uns et des autres.

La soubrette, met Fernand au parfum, et se charge de proposer une soirée cul à sa patronne qui se réjouit de se faire séduire par une bande de chenapans devant son époux, ficelé tout nu sur une chaise ! Elle ignore que Fernand est dans le coup.

Mathilde est de suite partante, il lui faudra jouer le jeu, elle en est très consciente.

Averti, Bertrand se réjouit de la bonne soirée. Il est ravi de savoir que son épouse va passer à la casserole, devant lui, entre mains et bites de quelques malotrus vicieux, dénichés par sa fidèle Nina, la soubrette. [Assister à son propre cocufiage… voilà de quoi exciter un joyeux cocu !).

Quand la fête commence, c’est Nina qui règle le tempo.

En tenue légère, seins débordant de son corsage et pas de culotte sous sa jupette, elle fait entrer son patron qui découvre son épouse nue, assise sur les genoux de Fernand, lui aussi tout aussi nu. Elle le masturbe et ils s’embrassent.

– Salope, s’écrie-t-il, furieux… Tu me trompes avec mon meilleur ami !
– Mais non !… C’est Fernand qui ne fait que passer, mon chéri !
– Que passer !… Et par quel trou il passe, salope ?
– Par le trou de l’amour mon chéri… Et il le fait mieux que toi… Lui c’est un homme !

Excédé, il va pour lui foutre une baffe, à l’impertinente. Mais Fernand l’arrête en le saisissant à bras le corps et cherche à le calmer.

– Oui, oui… attache le sur une chaise, ce fou furieux. Mets-le à poil. Il va se calmer.

Alors Nina arrive déjà avec une corde et tandis que Fernand lui retire ses brailles et l’assoit, elle le ficelle sur la chaise, comme un poulet sur un barbecue.

– Oui je baise avec ton copain, mon chéri… et tu vas voir comme il baise bien !
– Salope, putain, tu vas voir ce que tu vas prendre à la maison !
– Faudrait pouvoir, couillon. Regarde la belle queue de ton pote… Je n’en ai pas une aussi belle à la maison ! As-tu vu comme il me la met bien !… Hi ! hi elle se fait bien baiser ta chérie… Hein !… ça te plaît ! Regarde, il va m’enculer sous ton nez le brave !

Alors il se la baise, le Fernand. Il se la bouscule, la tripote, la fait hurler de plaisir…

– Ah que c’est bon une grosse queue ! … J’en veux d’autres … Oui d’autres !… Au moins trois bons gars que je veux ! J’en veux par tous les trous !

Alors il se la soulève, les mains sous le cul, il lui écarte les fesses et la présente sous le nez de son cocu.

– Tiens, lèche-lui le cul que je l’enfile ta salope, mouille-lui la pastille! Régale-toi, mon ami… c’est gratuit ! Je vais l’enculer pour toi, mon ami !

Ben oui, ce n’est pas cher… Il te lui enfourne sa langue au fond de son trou crapuleux… Oh putain que c’est bon !… Il a toujours dit : il a bon goût le trou du cul de sa femelle !

Fernand la retourne et il se l’encule, d’un coup d’un seul, là, sur le tapis, aux pieds même de son époux qui trépigne de bonheur et de rage, le salaud… [Ah que c’est chouette, d’avoir un bon ami !).

– Oui vas-y, bourre-la pour moi… elle aime ça !Elle crie la garce !… C’est qu’il a une grosse bite ce con de Fernand !… Mais il s’en fout… elle aime ça !

Pendant ces amusements, Nina fait rentrer les deux autres invités.

Oh les sacrés numéros, nom de dieu !

Des clochards, des crado… des charretiers sans doute, qui ne se sont pas lavés depuis leur naissance !

Ça pue, ça rote, ça crache… ils sont effrayants !

Des ours mal léchés, en fin de compte !

Non ! Pas ceux-là. Ce n’est pas pour elle ! Elle ne va pas se faire sauter par ces anomalies de la nature ! Au secours… Bertrand ?… Fernand ?…

Personne ne répond.

Ah ! Bon…

Et pourtant, malgré une grosse grimace, elle leur sourit aux deux bonshommes ! Elle choisit la solution la plus sage. Toujours enfilée par Fernand, par défit, elle les invite.

– Venez Messieurs, venez montrer à ces conards, comment on fait l’amour.

Vous pensez bien qu’ils ne se sont pas fait prier les braves !… ils accourent.

Il y en a un qui va direct aux seins de la Belle pour lui pincer les tétons comme une fermière qui traie sa biquette… [remarquez que je n’ai pas dit : sa vache… Oups !… Oui pardon… elle a de si grosses tétines !), et vas-y qu’il te les pressure… elle encaisse Mathilde mais on devine sur son visage autant de jouissance que de souffrance … Aussi il l’embrasse avec ses grosses lèvres qui puent la soupe à l’oignon à moins que ça soit l’odeur du cul de la dernière grognasse qu’il s’est enfilée l’autre jour sous le pont du canal !

L’autre il s’est déjà mis à poil et présente sa bite au cocu :

– Suce-la moi bien pour que j’enfile ta mule, qu’il dit au cocu qui ne peut faire autre chose que de la sucer avec plaisir… [en voilà un qui est bien aimable !), tant elle a le goût d’un bon vieux fromage de chèvre ou de brebis.

Ensuite ils culbutent notre aristo de Fernand qui n’en finit plus d’enculer la patronne avec délicatesse. Et ils se l’enfilent tous les deux dans le même trou, [la patronne bien entendu !), dans son clapet à pisse.

Putain ! Ils vont lui péter l’échancrure… ils vont lui faire des quadruplets à la mémère ! C’est qu’en ces temps-là, le préservatif, ils ne connaissent pas !

Comme c’est un peu serré dans ce coin-là, il y en a un qui fait le tour par derrière… [Ben oui, c’est plus confortable, elle n’attendait que ça, la Bergère… ).

– Ah c’est mieux qu’elle dit… Mon cul était jaloux… Oh oui… Humm !

Quel joli spectacle pour un gentil cocu… Il est ravi Bertrand.

Fernand qui s’est fait éjecter du trou de la patiente, s’est mis à cheval sur son visage et lui présente sa pine pour qu’elle lui fasse une bonne turlute agrémentée des saveurs épicées de son propre postérieur [la cochonne !).

Si vous savez bien compter, mes amis, vous pouvez donc constater que le compte y est, les trois trous sont bouchés ! Satisfaite elle ne peut plus rien dire, ni péter, ni pisser… et je ne vous parle pas du reste… elle est comblée Mathilde !

Quant au cocu, il rigole, il trépigne et voilà même qu’il bande comme un âne le couillon !

Par pitié, la soubrette lui suce un peu la bite, juste un peu pour le consoler son patron. Elle lui pince aussi les tétous, ça le fait crier et bander davantage. Elle ne l’achève pas. Il faut qu’il reste très excité pour la suite.

Putain, ça sent le chacal dans la boutique. Ça bite de partout et ça tourne, chacun à tour de rôle prend la place de l’autre, et ainsi de suite, tant qu’il reste assez de munitions et que ça coulisse dans les tuyaux.

Il en a de sacrées moustaches le patron chargé de ressuyer chaque bite qui sort des profondeurs obscures de sa belle infidèle ! [c’est le rôle assuré de tout honnête cocu patenté).

Arrive le moment de se reposer. Car tout le monde est fatigué. Les bites pendouillent, les couilles sont vides, Mathilde dégorge de tous ses trous, des flots de sécrétions diverses et odorantes. Aussi, chacun se prend une petite douche réparatrice.

Sur la table un bon repas est servi par Honorine, la vieille femme de ménage de la maison qui se retrouve seule à être habillée au milieu de cette troupe de ‘branleurs’ [comme elle dit), après lesquels elle maugrée en les traitant de vicieux cochons. Ce qui lui vaut d’être honnêtement houspiller par nos artistes qui cherchent à lui taquiner le postérieur en allant fouiner dans sa culotte de lin cachée sous ses jupons.

Inutile de vous dire qu’ils n’y arrivent pas, tant la mémère se défend hardiment et ne se laisse pas faire.

Cependant quelques bonnes rasades de vin de Bourgogne qu’elle a elle-même apporté, ont tôt fait d’assouplir ses sentiments. Et en fin de repas, ne la voilà-t-elle pas, sauter dessus la table et soulever ses jupes, pour montrer à ce joli monde, son cul dégarni de culotte et assez fier encore pour faire rebander ces messieurs qui n’en croient pas leurs yeux !

– Et dix légionnaires à la suite… pour fêter la victoire en 18 ! Qu’elle dit à ces voyous, en leur montrant son trou du cul passablement flétri !

Mais elle en reste là, non sans avoir reçu de tout ce petit monde, une bise sur son trophée.

Et Bertrand, allez-vous me dire, que devient-il ?

Eh bien, lui aussi a le droit au repas et à la bise sur le joufflu de l’ancêtre, qui détaché, a la bite encagée et peut naviguer au milieu des autres, mais sans pouvoir se branler.

Le repas terminé, il faut maintenant repasser aux choses sérieuses.

C’est le patron qui va en faire les frais.

Après ce gueuleton, les esprits bien qu’un peu ensommeillés se réveillent et les pines retapées, recommencent à tourniquer un peu dans tous les sens.

Cependant les ventres sont lourds et nos deux hommes des bois qui rotent et qui pètent vont soudainement se soulager sous la vigne, côté jardin.

Mathilde en ferait bien autant mais elle a peur des bêbêtes [les petites… pas les grosses.), aussi, juchée dessus la table, c’est dans un saladier qu’elle va opérer, sous les yeux et le nez de ses invités assis tous en rond autour d’elle pour admirer le joli colombin qui sort de son anus [et sans toucher les bords !) et s’écroule en serpentant tout au fond du beau vase
!
Subjugué par tant de beauté, chacun bande, prêt à lui sauter dessus.

Mais elle ne voit pas la chose ainsi. Elle referme son joufflu, saute à terre, saisit le saladier et le présente à son cocu.

– Tiens c’est mon cadeau … dis-moi s’il est à point !

Pris au dépourvu, Bertrand ne sait que faire. Elle lui glisse le présent sous le nez…

– Lèche ! Mon cocu chéri !

Désemparé, son chéri prend le vase. Il se demande si c’est du lard ou du cochon… Il jette un œil désespéré à l’entourage qui retient son souffle en imaginant la suite probable… Il ne sait pas quoi faire, il se penche au-dessus et c’est alors que sa salope, d’une tape sur la nuque lui fout le nez dedans !

Il lâche le saladier qui s’écrase au sol, laissant le pauvre diable affublé de bacchantes, les bras ballants, « honteux comme un renard qu’une poule aurait prise ». [ la poule en l’occurrence, est une sacrée salope !).

Hi ! Hi !… Il a le nez d’un clown !

Alors là c’est le déchaînement…

Les deux jean-foutre rigolent. Il y en a un qui soulève Bertrand et qui l’encule tout net, debout en pinçant les tétons de Mathilde qui enculée par l’autre, est serrée entre les trois hommes. Collée contre son mari, elle lui lape le bout du nez avec une ostensible joie. [j’espère que vous avez suivi… Si non lâchez-vous la bite ou le clito, et faites-vous un dessin… ).

Fernand avec sa grosse queue sodomise Nina qui hurle de bonheur en criant des gros mots.

– Salaud ! Putassier ! Connard ! Putain qu’elle est grosse ! ça ne va pas passer !
– Ne t’inquiète pas petite pute je vais te la débrider la rondelle ! Elle n’est pas bonne ma pine ?
– Oh oui qu’elle est bonne… Va s-y mon salaud !… Tu me troue le cul !

C’est qu’elle en avait envie, depuis le temps qu’il lui tourne autour… la chevrette !

Mathilde qui se fait fourrager le gazon par son mec, lui écarte les fesses pour voir avec bonheur aussi, une belle pine lui tarabiscoter le trou de balle.

C’est qu’il est heureux son cocu et putain qu’il est beau avec une bite dans le cul.

– Ça va…
– Ça vient…
– Ça sort… en laissant la porte grande ouverte…
– Ça replonge…
– Ça se remplit de foutre…
– Et ça dégueule ensuite comme une bouche d’égout !
– Ah qu’il est «chouette » mon chéri de cocu !

Oh qu’il est content le cocu… On ne lui a jamais autant rempli le cul !

Et le troisième larron, vous savez ce qu’il fait,… Je vous le donne en mille !

… .Il s’est assis à côté de notre fameuse Mémé, [oui, celle aux dix légionnaires). Et un doigt dans l’échancrure, il la drague, le Monsieur, gentiment, poliment…

– Je ne vous fais pas mal, ma Chère…
– Ben non gamin ! Mais que tu as des gros doigts mon garçon…
– C’est pour bien vous aimez, mon amour…

Alors il la prend dans ses bras et il la dépose doucement sur les genoux de son collègue qui a rappliqué derrière elle. Il lui pelote ses deux gros seins, tandis que l’autre lui taquine doucement le minou…

– Oh qu’il est bon ton gros doigt, humm ! encore… encore !

Elle est plutôt sèche la cavale, il suce son doigt…

– Ah ça rentre mieux comme ça !

Et tout doucement, il envahit la place toute chaude… .

– mais on dirait qu’elle mouille la Mémé !

Mais oui elle mouille. Le gros doigt fait sa place dans la pulpe moelleuse, tournicote au fond de la vieille échancrure. Le clito se redresse et notre petite Dame s’émeut et geint comme une jeune amoureuse !…
– Oh que c’est bon…

Un doigt dans son vagin d’autres qui lui pincent les tétons…

Elle est aux anges, dans les bras de ces Messieurs. Alors ils la baisent amoureusement, ensembles…

… Sur le front… Bien entendu !

Et dans le cul, savez-vous ce qu’elle a la gourmande… .

… … … … … … … … … ..Elle a un gros doigt bien gourmand … la Salope !

[À la lecture de ces dernières lignes, vous avez bien compris que nos deux ours mal léchés ne sont en fait, que de bons et honnêtes gentlemen embauchés par Nina, pour bien corser la fête ! Elle en a fait des heureux !)

02/05/2024

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Histoires de bons plaisirs – 16 – Nina par Verdon

  1. Harivel dit :

    Moi je l’aime bien cette Nina

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *