Jacques… 2ème par Biamat

Je suis assis devant mon PC. Je « tchattes » un peu, histoire de voir si un internaute peut m‘exciter.

Rien de bien affolant, aujourd’hui !

Tant pis, pas marrant, mais il va falloir que je me soulage tout seul !
Je pense avec nostalgie au temps de la pêche (voir autres récits) où je me faisais mettre au moins une fois par jour !
Je programme un diaporama des images de ma femme (elle aime se faire prendre en photo, mais n’est pas prête pour la diffusion sur le Net, alors pas de photos pour vous), j’empoigne mon sexe, décalotte entièrement et commence une branlette sensuelle.

Le téléphone sonne !
Qui vient me faire ch…, juste à ce moment là ?

– Allô ! avec une voix à décourager n’importe quel emmer…….. !
– Cool, c’est Jacques,
– Oui.
– Je suis seul et un peu de distraction ne me ferais pas de mal !
– Tu tombes bien, j’étais en train de me faire du bien, alors, à deux, c’est mieux !
– Tu viens de suite ?
– J’arrive, comme l’autre jour ?
– Si tu veux.

Je fonce dans la salle de bains, me déshabille. J’enfile une paire de bas résilles noirs, je cherche dans le tiroir de ma femme pour y trouver sa petite culotte noire (je l’adore, celle-là), remets mon jean et me retrouve dehors.

Evidement ! Je tombe nez à nez avec un voisin qui engage la conversation. Pourvu qu’il ne voit pas les résilles ! Je n’ai rien mis par dessus pour les cacher et entre les chaussures et le bas du pantalon, on en voit un peu. De toutes façons, trop tard ! Advienne que pourra !

– Excuses-moi, il faut que j’y aille, une course pressante.
– OK, je te verrai plus tard, j’ai un service à te demander !
– Oui !

Enfin il me laisse tranquille. Je monte en voiture et part chez Jacques !

Quel service veut-il ? Aucune idée ! On verra plus tard ! Il faut que je me reconcentre sur mon rôle de salope que je vais jouer !

J’arrive chez lui. Il m’attend devant la porte de son garage. Je rentre la voiture, la gare et descend.

Il me regarde et je vois ses yeux descendre vers mes mocassins !

Ses mains sont derrière son dos ! Je n’ai pas le temps de sortir de la voiture qu’il me dit :

– Mets ça et vient à l’ordinateur !

Il me tend un petit sac qu’il cachait. Il part. J’ouvre le sac et j’y découvre une petite jupe plissée ainsi qu’un petit débardeur noir ! Je me change directement dans le garage. Je résiste à une furieuse envie de me toucher. Mais après tout, il s’en chargera bien.

J’ouvre la porte de la maison et me dirige vers la pièce du fonds, vers l’ordinateur. Il y est assis, me jette un coup d’œil approbateur, et continue de surfer sur le net. Je reconnais la page de Vassilia ! Il a du goût, le bougre !

Je prends la chaise qui est à coté et je m’installe près de lui. Il lit les récits ! J’approche ma main de sa braguette et je constate qu’il est déjà tout dur ! Il bande, le salaud !

Il ne me dit rien, seul un soupir s’échappe de ses lèvres ! Il se lève et m’ordonne de changer de place. C’est moi qui doit surfer à présent. Je ne comprenais pas pourquoi, quand j’ai senti ses deux mains commencer à se promener partout sur mon corps !

Evidement, je retrouve les textes que j’ai déjà envoyés. A leur simple lecture, j’ai une bosse qui commence à monter sous ma jupette. Jacques le voit, descend de son siège, me fait écarter les cuisses et me pose un bisou à mi-hauteur ! Il remonte doucement et arrive à mon sexe, déjà bien tendu !

Mes excuses à Eddy, mais je n’étais plus concentré sur le site, mais sur cette bouche qui virevoltait sur ma bite. Avec ses mains, il tira sur l’élastique de ma culotte, je me lève et il la fait glisser sous mes fesses, mais sans l’enlever, juste pour dévoiler mon engin ! Délicieusement érotique ! Il me suce un peu, histoire de me réchauffer le gland. Je le vois quand même descendre son pantalon. Il est quasiment nu, le sexe et le cul à l’air !

Il se relève, resserre mes jambes, se retourne et s’assied sur moi. Je prends ma queue dans la main, la promène dans sa raie !
Je trouve son entrée, le lui fait comprendre en avançant le bassin. Il continue doucement sa descente au paradis.

Ma queue est presque entièrement en lui ! Je me jette en avant pour encore plus lui en mettre ! Il a les coudes sur les genoux, son cul monte et descend ! Je suis cambrée au maximum pour qu’il profite de toute ma longueur ! Il monte, tourne le cul, descend, resserre son sphincter, remonte ………

Au bout de 10 minutes de cet élan de baise, je lui dis que je n’en peux plus, que je vais lui en mettre plein le fion !

– Non attends

Il se désempale, va sur la table qui est derrière, se couche sur le dos, relève les jambes à la verticale, et me supplie de venir !

Je n’y vais pas, j’y cours !

Juste le temps de relever ma jupe, de la coincer sous le menton ! Il me guide vers sa rosette !

D’un seul coup, comme dans une chatte ultra mouillée, je m’y renfonce !

– Vas-y, tu peux jouir maintenant !

Je le besogne à fonds, sans retenue, l’agrippant par les hanches !

Je sens mon gland qui gonfle encore et tout le sperme fabriqué par mes couilles cette nuit, lui lubrifie les intestins !

Je râle tout en le serrant un maximum pour enfoncer ma queue le plus possible !

– Oui, vas-y

Il crie que c‘est bon et subitement, il décharge aussi son foutre sur son ventre ! Il a jouit du cul ! Cette salope a joui du cul ! Il a du sperme partout ! Un sourire béat est sur son visage.

Je commence à débander, et sors petit à petit de son trou. Il se remet debout, va tranquillement dans la baignoire pour prendre une douche bien méritée.

Je fais une rapide toilette, me déshabille et redevient un homme tout à fait normal. Une petite bise sur sa bite toute molle et je repars chez moi, avec la satisfaction du devoir accompli.

Il me manque bien une petite introduction dans mes fesses, mais ce sera pour la prochaine fois.

Je suis de retour à la maison, je pianote cette histoire (réelle) sur mon ordinateur pour l’envoyer quand un coup de sonnette m’interrompt.

Encore un Emme…… ! Décidément, c’est la journée ! !

C’est le voisin de tout à l’heure qui vient. Il lui arrive souvent de venir boire l’apéro !

– Oui, tu avais un service à me demander, tout à l’heure !
– Oui, mais je ne suis venu pour ça !
– Ah bon, pourquoi ?
– Quand tu es monté en voiture, tout à l’heure, j’ai vu un truc bizarre, et comme j’ai vu ta voiture, je voulais le vérifier !
– Quoi ? (mais j’ai déjà compris ……)
– Tu peux me faire voir ce que tu portes sous ton pantalon ?
– Ça va pas, non ?
– Non, non, au niveau des chevilles ! !
– Pourquoi ?
– J’ai vu des résilles quand tu as pris le volant !

Heureusement que je les avais enlevé ! Je remonte le bas du Jean, je n’avais pas de chaussettes !

– Tu deviens « liquide », toi !
– Je suis pas fou pourtant !
– Tu as eu des visions !
– Je sais pas
– Et, de toutes façons, au cas où, ça ne te regarde pas !

Phrase de trop ! Il me regarde, intrigué !

– Je sais, maintenant que j’ai raison ! Tu avais des résilles ! Des bas ou des collants ?
– Puisque je te dis que non !
– Montre les moi …………………… s’il te plaît ……………….

Je craque. En tout cas, quand je suis parti d’avec Jacques, je pensais qu’il me manquait quelque chose …. Je le laisse dans le salon retourne à ma voiture, prend mon nécessaire et revient.

– Tu étais où ?
– Patiente un peu je reviens!

Je monte à la salle de bains, remets mes bas, une culotte bleue en dentelle et redescends. Il est assis et attend sagement.

– Alors, tu me montres ?

Je relève le bas de mon pantalon et lui fait voir 5 cm de mes bas !

– Ça te va ?
– Tu aimes ça, de mettre des collants ?
– Oui, j’adore ce contact !

D’un seul coup, il se lève, descend son pantalon. Je n’avais pas remarqué qu’il s’était préparé !

– Tu suces aussi ?

Il avait son engin à la main ! Joli, ma foi ! Il s’approche de moi, me prend la main, la dépose doucement sur sa queue !

Je le caresse, comme on fait à un chat. Il se tend encore un peu plus ! Ses mains s’approchent de mon pantalon, défont le bouton !
Il fait glisser ma fermeture à glissière et mon pantalon descend doucement !

Peut-être à bientôt, pour la suite ! ! ! ! ! ! ! !

illustration fournie par l’auteur