Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 5 – Shapie Rô, la domina par Nicolas Solovionni
Au point où j’en suis-je peux faire deux choses : aller cuisiner Hofjom, mais ça peut être dangereux, mon enquête doit rester discrète. L’autre idée c’est de retourner rendre visite à la mère Jiker, la responsable de la sécurité de Vargala, une chance sur deux pour qu’elle m’envoie paître, on verra bien.
– Tiens, comment va mon capitaine préféré ?
– Je passais dire bonjour !
– Mais encore ?
– Trébussy, ça te parles ?
– Je suis obligée de te répondre ?
– Non, mais ça me ferait tellement plaisir !
– Je vais te dire autre chose qui ne va pas te faire plaisir !
– Méchante !
– L’exécution de Dernoul a énervé la mafia.
– Et alors ?
– Alors ils enquêtent de leur côté, et ils trouveront, ils trouvent toujours. Donc de ton côté ce n’est plus la peine de t’agiter.
Je sens confusément que Jiker a envie de savoir quelque chose, normal elle est curieuse comme une vieille chatte (c’est le cas de le dire) et en plus elle est flic, même si elle ne se remue pas des masses.
– Comment tu peux être au courant pour Trébussy ? Finit-elle par lâcher.
Vite un gros mensonge :
– J’étais dans une boite et tout d’un coup, on a entendu Trébussy dans l’hautparleur, ça n’a inquiété personne mais le lendemain je discutais avec un ami qui me disait qu’il avait entendu la même chose ailleurs…
– Et comment tu as fait le lien avec l’affaire ?
– Je n’ai pas fait de lien, c’est juste une intuition et c’est pour ça que je venais te voir.
– Personne ne s’appelle Trébussy sur Vargala, mais c’est peut-être un pseudo.
– Tu ne les a pas en fichier les pseudos ?
– Pas tous, voyons !
– Et elle en pense quoi, la mafia ?
– Le « Trébussy » au haut-parleur a été effectivement entendu dans une quinzaine de boites, c’est probablement un appel codé, il a été diffusé la veille de l’assassinat de Dernoul. Ils pensent donc qu’il s’agissait d’un appel à un tueur et que ce tueur se trouve parmi les clients des boites en question.
– Ça en fait des suspects !
– Ils savent pendre leur temps, ils trouveront, ils trouvent toujours. Bon maintenant tu me laisses ou tu me paies le restau ?
Je lui ai payé le restau mais pour que dalle car je n’ai rien appris de plus.
– Je peux avoir la liste des boites où a été diffusé le message ? Lui demandais-je d’un air innocent.
– Pourquoi faire ?
– Parce que ça m’amuse !
– Gamin ! Tu crois vraiment que tu vas trouver avant la Mafia
– J’ai peut-être des éléments qu’ils n’ont pas…
Bref elle m’a communiqué cette fameuse liste.
Reste à savoir comment je vais procéder. Réfléchissons : Hofjom téléphone à un certain nombre de boites, des restaurants, des cabarets… le numéro appelé est celui figurant sur l’annuaire électronique, donc en principe celui du régisseur ou du gérant, et le numéro d’appel n’est pas camouflé sinon personne ne pourrait lui répondre.
Cela suppose aussi que le fameux contact que cherchais à joindre Hofjom passait son temps dans les boites et les restaurants. Certes les appels ont été passés aux heures propices, mais ça reste étrange.
Il faut ensuite que dans l’établissement où se trouve le contact, celui-ci se débrouille pour savoir d’où vient l’appel. Pas évident, mais admettons. Dans ce cas il suffit de retrouver l’endroit où le régisseur a été sollicité pour lui demander d’où provenait l’appel.
Pas évident, à part deux ou trois établissements où on me connait, dans les autres, j’ai toutes les chances de me faire envoyer paître. La mafia n’a pas ces scrupules, elle est toujours en position de force. Cela veut dire qu’elle a probablement déjà le renseignement.
Bloqué à nouveau ? Peut-être pas. Parfois ce qu’il n’est pas possible de faire directement on peut le faire indirectement. Il se trouve que je connais assez bien Shapie Rô, la gracieuse tenancière du « Vagin d’or ».
– Tiens, te voilà, toi, je croyais que tu me boudais.! M’accueille la belle dame.
– Mais non, mais non, je suis un peu débordé en ce moment et puis maintenant j’ai ma propre boite…
– J’ai appris ça. Ça marche bien ?
– Faut pas se plaindre.
– Tu veux une petite domination, un petit truc comme tu les aimes.
– Je suis pas vraiment venu pour ça, mais pourquoi pas ?
– T’es venu pourquoi alors ?
– Te demander un service…
Je lui explique, c’est dans ses cordes…
– Je vais m’occuper de ça, je t’enverrai la réponse.
– T’es trop mignonne !
– Seulement maintenant tu vas passer à la casserole, tu voudrais une fille en particulier ?
– Pourquoi pas toi ?
– Pourquoi pas en effet ! Envoie-moi un peu de sous et on y va !
Shapie Rô est une grande brune typée, elle est restée canon même si elle n’est plus dans sa première jeunesse. Elle fait surtout de la domination et en arbore le look. Chignon sévère, ensemble haut décolleté et pantalon en latex noir
Les meilleures prostituées, c’est un peu comme les meilleures serveuses, ce sont celles qui se souviennent parfaitement ce qu’apprécie le client y compris les petits détails. Et Shapie Rô ne fait pas démentir cette assertion.
Je ne me considère pas comme maso, où alors juste un tout petit peu, mais j’apprécie parfois ce petit jeu de rôle qui fait de moi un esclave aux mains d’une jolie femme.
Elle me conduit dans son salon privé, il y a déjà une fille à l’intérieur. Après un bref et inaudible échange entre celle-ci et Shapie Rô, la fille quitte les lieux.
Le salon est constitué de deux pièces, l’une est une chambre meublée d’un grand lit douillet, ce ne sera pas pour moi. La seconde pièce est ce qu’elle nomme son donjon, j’ai déjà eu l’avantage de le pratiquer, il y a là-dedans de quoi immobiliser un soumis, croix de Saint-André, cheval d’arçon, pilori, cage, chaînes et bien d’autres choses encore.
Elle me demande de me déshabiller avant de m’y faire entrer, puis elle m’accroche un collier de chien muni d’une laisse autour de mon cou.
– Tu veux une cagoule ?
– Pourquoi ? Il y a déjà quelqu’un ?
– Peut-être !
D’ordinaire, je refuse la cagoule, me fichant complètement d’être reconnu. Sauf qu’en ce moment je mène une enquête et que ça peut être gênant… Me voilà donc avec une cagoule sur la tête. Ça donne un genre !
Me voilà à poil.
– A genoux, chien ! Me dit-elle en me conduisant dans le donjon.
Un citoyen est attaché contre la croix de Saint-André, il est cagoulé, les tétons pris dans des pinces et les couilles bondagées.
– Tu regardes la bite de l’esclave ! T’aimerais la sucer, hein ?
– Pourquoi pas ?
– Tu n’as pas honte ? Pédé !
– Pas le moins du monde.
– Quel cochon ! Relève-toi et regarde-moi en ouvrant bien la bouche. Tu sais ce que je vais faire ?
– Ben oui, je ne suis pas complètement idiot !
– Oui, mais je veux l’entendre !
– Crachez-moi dessus, maîtresse !
Pourquoi, ça m’excite, ce truc-là ?
Elle m’a ensuite pincé les seins avec une certaine poigne, les étirant, les tordant. J’adore !
– Ça te fais bien bander, hein, ma salope !
– Complètement ! Continue !
– Je continue si je veux, tu n’as pas à me dire ce que je dois faire. J’ai un nouveau gode ceinture, je vais t’enculer avec !
Elle enfile le machin, c’est un joli gode-ceinture très réaliste, mais je ne vois pas ce qu’il a de particulier.
– Lèche-le un peu, pédé !
Elle m’énerve à me traiter de pédé, d’abord parce que le terme est péjoratif, ensuite parce que je ne le suis pas. Je tente de lui expliquer.
– T’es pas tout le temps pédé, mais quand tu suces des bites t’es un pédé. Et d’abord tu n’as pas à discuter, si j’ai décidé que tu étais un pédé, c’est que tu es un pédé. Dis-le-moi que tu es un pédé ! Allez je veux te l’entendre dire.
– Mais enfin…
– Si tu ne le dis pas, tu ne suceras pas l’esclave, par contre si tu le dis, je lui demanderais te t’enculer.
– C’est du chantage !
– Absolument !
– Alors d’accord, je suis un pédé !
– Ben voilà !
Ce petit jeu de rôle m’a amusé comme un fou, je suis gamin parfois !
– Allez lèche-moi ma fausse bite, je veux que tu mette tout dans ta bouche !
Elle est amusante, elle, je n’ai pas suivi des cours d’avaleur du sabre, alors je triche, j’envoie la bite au fond de mes joues. Shapie Rô éclate de rire :
– Tu verrais ta tronche ! Allez suce encore, montre-moi comment tu suces des bites ! Voilà comme ça, super ! Et après tu me diras que tu n’es pas pédé !
– Grrr !
– Va t’installer sur le cheval d’arçon, les jambes bien pendantes et j’arrive.
On y va ! Shapie Rô a l’extrême obligeance de m’enfoncer préalablement un doigt dans mon cul et de le faire aller et venir quelques minutes, ce qui, vous vous en doutez bien, me procure d’intéressants frissons…
Et après cet agréable entrée en matière (si j’ose dire) la belle dame m’introduit le gode et le fait aller et venir, non sans avoir activité le diabolique vibrateur intégré à la chose. Quelle sensation !
– T’aime ça, hein, enculé ! Me dit la poétesse.
– C’est bon !
– Dis le que tu es un enculé !
J’aurais vraiment du mal en de telles circonstances à affirmer le contraire.
– Oui, oui, je suis un enculé.
Les meilleures choses ont une fin, mais si la séance de gode-ceinture est terminée, la domination est loin de l’être. Elle me demande de m’allonger sur une espèce de table basse.
Qu’est-ce qu’il va m’arriver, encore ?
Shapie Rô s’en va fouiller dans son coffre et revient avec deux grosses bougies dont elle allume les mèches.
J’ai compris ce qui va m’arriver. Elle attend quelques instants qu’il y ait suffisamment de cire pour la faire couler, puis elle y va : la main droite pour mes tétons, la main gauche pour mes couilles. Ça chauffe mais c’est très supportable et même excitant. En revanche quand elle retire le croutes de cire la sensation n’a rien de bien agréable.
– Tu dois avoir soif, mon biquet ! Me nargue-t-elle.
Comme si je n’avais pas compris ce qu’elle allait me faire subir ? Mais en l’occurrence cela n’a rien d’une punition, j’adore ça.
La domina retire son pantalon de latex et s’accroupit de façon à ce que sa jolie chatte ne soit qu’à quelques centimètres de ma bouche que j’ouvre en grand.
Je bois sa pisse avec gourmandise en arborant un air ravi qui ne lui échappe pas.
– La suite va peut-être te plaire un peu moins.
– Ah, non pas ça !
– Pourquoi, on l’a déjà fait, non ? Et tu ne t’en n’est pas plaint.
La salope !
– Et puis, ajoute-t-elle, dans une domination, la dominatrice doit pouvoir imposer ses choix, alors tu fermes ta gueule ou plutôt non, tu vas gentiment me demander de le faire.
J’hésite, parce que si je refuse, je n’aurais pas doit à ma récompense. C’est un peu con comme raisonnement parce que sa récompense n’a finalement rien d’exceptionnelle, des bites à sucer je peux en trouver autant que je veux, ne serait-ce que dans ma propre boite. Mais que voulez-vous un jeu est un jeu ! Ma décision est prise, mais je ne lui dis pas encore, je vous dis je suis très joueur.
– Et puis, reprend-elle, c’est un cadeau que je te fais ! Serait tu assez mufle pour refuser un cadeau de ta maîtresse ?
– Chie-moi dessus, maîtresse !
– Ben voilà !
Je ne vais pas en mourir. Shapie Rô s’est retournée, j’ai maintenant la vue magnifique de son joli fessier devant moi. Son anus s’ouvre, un étron vient y faire son timide avant de se transformer en un long boudin qui pendouille un moment avant de venir s’écrase sur ma poitrine. Le tandem répulsion/fascination fonctionne à fond, je bande comme un cerf.
Evidemment après ce petit amusement, elle m’a demandé de lui nettoyer l’anus, on va dire que ça fait partie du programme. Alors j’ai léché, et pour avoir déjà accompli ce genre de chose, je peux vous dire qu’il n’y a pas de quoi s’enfuir en courant. On peut même y prendre un petit plaisir pervers.
Elle me débarrasse de son encombrant cadeau et me demande de quitter ma position. Et c’est à quatre pattes et en laisse qu’elle me conduit devant l’autre soumis.
Je n’attends même pas qu’on me le demande, ma bouche s’empare de cette bite bien vivante et la suce avec délectation. Pas assez longtemps à mon gout puisque Shapie Rô me demande de retourner sur le cheval d’arçon et d’offrir mon cul aux coup de boutoir du soumis inconnu.
Il a commencé par m’enculer convenablement avant de s’énerver et de décharger dans mon fondement. Voilà qui n’était pas prévu ! La maîtresse l’a envoyé au coin en le menaçant des pires sévices !
Mais c’est ensuite que Shapie Rô m’a offert la plus belle des récompenses, elle s’est débarrassée de son haut m’offrant la vision de sa jolie poitrine.
– Tu peux lécher ! Je te les offre !
Vous imaginez que je ne me le suis pas fait dire deux fois et j’ai sucé comme il se doit ses jolis tétons. Puis elle m’a retiré mon collier de chien et nous sommes allés sur la grand lit. Elle s’est mise en levrette et m’a demandé de l’enculer.
C’est bien connu les dominatrices ne font jamais l’amour… sauf que toute règle possède forcément ses exceptions.
Le lendemain je recevais un message de Shapie Rô : .
« J’ai pu joindre tout le monde, dans la liste il avait deux boites où je ne suis pas très bien vue, mais je me suis débrouillée autrement. Résultat négatif, personne n’est venu demander à qui que ce soit d’où provenait cet appel. Désolée, mais reviens me voir quand tu veux. »
Allons bon ! Ça ne tient pas debout ! Il a fait comment le dénommé Trébussy pour rappeler Hofjom ?
Je me perds en conjonctures. Je demande à Dyane de me rejoindre, puisqu’à deux on est moins con que tout seul ! Je lui raconte où j’en suis.
– Hofjom et Trébussy font peut-être partie d’une même secte. Me dit-elle. Une secte où il n’y aurait pas grand monde, et à ce moment-là Trébussy quand il a entendu le message n’a pas eu grand mal à le localiser.
– Qui lui aurait dit qu’il était en clinique ?
– Va savoir ?
– Humm.
On décide de relire chacun de son côté la copie du carnet de bord de Dernoul.
– Non, ton hypothèse ne tient pas, pourquoi cette disparition de Hofjom sur la planète ? S’il faisait partie d’une secte liée aux précurseurs, ça n’a aucun sens. Fis-je remarquer
– Ils lui ont donné des instructions…
– Tu te rends compte toutes les coïncidences, c’est justement le mec qui serait lié au précurseurs qui monte au premier étage et qui reçoit des instructions ! Et puis je pense que si c’était le cas, il aurait agi intelligemment au lieu de faire le zombi.
– Ils l’ont enlevé et ils l’ont hypnotisé ! Son appel à Trébussy a été programmé dans sa mémoire !
Je sens qu’on touche au but, mais il y a quelque chose qui cloche.
– Et comment le mec, perdu à des années-lumière, il fait pour savoir que le port d’attache du vaisseau était Vargala ?
– Hofjom leur a dit pendant l’hypnose !
– Admettons et le mec connaitrait le nom de tous les tueurs liés aux précurseurs sur toutes les planètes…
– Parce que Trébussy c’est le nom de personne, c’est un nom de code qui doit être utilisé partout !
– Putain t’as raison !
Du coup je lui roule un patin, c’est ma façon à moi d’exprimer ma joie.
– On a peut-être trouvé, mais ça ne résout pas ton problème. Objecte Dyane en s’essuyant les lèvres.
– Ça ne le résout pas, mais ça l’explique, ces gars-là pratique l’hypnose. Donc quand le « Trébussy » est allé voir le gérant de la boite, il l’a hypnotisé avant de lui demander d’où venait la communication. Donc pas de traces !
– Et donc on ne peut pas remonter la piste !
Et là on s’est creusé la tête, je me suis d’abord dit que j’avais un point d’avance sur la mafia, puisqu’ils ne peuvent être au courant de cette histoire d’hypnose. Je pourrais leur proposer ma collaboration, mais ça n’a rien d’évident, la mafia est une force invisible, on ignore qui en fait partie et qui n’en fait pas partie. On ne connait que les petites mains, ceux qui font le sale boulot et ceux-là ne sont jamais inutilement bavards.
– Tu sais ce qu’ils vont faire les maffieux ? M’interpelle Dyane.
– Parce que tu le sais toi ?
– Il vont écumer les boites où le message a été diffusé et ils vont se faire passer les fichiers de télésurveillance jusqu’à ce qu’ils trouvent un mec en train de poser la bonne question au gérant !
– Tu te rends compte le temps qu’ils vont mettre.
– Ils ne sont pas pressés.
Et le pire c’est qu’elle a raison.
Encore une fois je ne sais que faire. Dyane a décliné mon invitation au restaurant, tant pis je mangerais tout seul…
J’ai ensuite été faire un tour au « Diable rose » voir si tout allait bien.
Riquita m’informe qu’elle a embauché à l’essai une nouvelle transsexuelle pour remplacer je ne sais plus qui…
– Tu veux la voir ?
– Pas la peine , je te fais confiance !
– Juste une seconde tu le regrettera pas !
Alors allons-y !
– Voilà, c’est Kimberly, elle est belle, non ?
– Ravissante !
– Enchanté de vous rencontrer, capitaine Stoffer !
– Tu veux peut-être la voir à poil ! Me suggère Riquita.
Non, je n’ai pas envie, je suis crevé… bien que quand même cette beauté est fort troublante. Je lui fias signe qu’elle peut y aller.
Putain quel corps de déesse, déesse androgyne mais déesse quand même ! Et cette bite, demi-molle qui me regarde et qui m’hypnotise. Elle est trop belle cette bite ! Du coup je band tandis que ma main s’approche de ce magnifique organe que je palpe. La Kimberly me laisse faire et arbore un sourire craquant.
L’instant d’après j’avis sa bite dans la bouche. Riquita passe derrière moi et me palpe le paquet, de quoi elle se mêle celle-ci, je ne l’ai pas autorisé à faire une telle chose ! Mai bon, mon pantalon me fène tellement je bande, je m’en débarrasse, me voilà à quatre pattes avec de nouveau la bite de Kimberly dans la bouche. A tous les coups Riquita va profiter de la nudité de mon fessier pour me faire des choses inavouable. Je l’encourage.
– Si tu as envie de m’enculer, ne te gêne pas
Quelques courte minutes plus tard, j’avais le sperme de Kimberly dans la bouche et celui de Riquita dans l’anus. Les gens vont finir par penser que je suis complètement dépravé… Je m’en fous j’assume !
Après ces petites plaisanteries, je suis rentré me coucher, parfois la nuit porte conseil.
Au petit matin, la nuit ne m’avait fourni aucun conseil, je commandais un café à mon robot-perco, puis j’ouvrais mon spacephone qui m’indiquait que Shapie Rô aimerait beaucoup qu’on la rappelle.
– Je ne sais pas, si c’est en liaison avec ce que tu cherches mais Sigéa s’est fait massacrer cette nuit…
– Sigéa ?
– Le patron du Lupercus, on l’a passé à tabac et on lui a coupé deux doigts. Il est à l’hosto ! Ce sont les méthodes de la mafia !
O.K. plus besoin de chercher l’établissement où se tenait « Trébussy », c’est donc le Lupercus. Quand la mafia est venue le voir, il a juré ses grand dieux que personne ne lui avait posé de question sur l’appel mystérieux. Ensuite ils sont revenus et ont demandé à voir les fichiers de télésurveillance, et ils sont tombé sur le pot aux roses sans comprendre que le gars avait été hypnotisé et ils l’ont massacré !
Si je pouvais voir l’enregistrement ! La mafia a dû l’embarquer… Mais il y a toujours une sauvegarde. Mais comment y accéder ?
– Tu étais comment avec ce Sigéa ? Demandais-je à cette charmante maquerelle.
– En très bons termes, je vais d’ailleurs aller le voir à l’hosto pour lui faire un bisou !
– Je vais peut-être te demander un service ?
– Dis toujours…
Et le lendemain, j’avais la copie du fichier avec la tronche de « Trébussy » !
Comment le retrouver ? Il doit être bien planqué, si la Mafia l’avait retrouvé, elle l’aurait fait savoir.
Où peut-il bien être ? Dans la ville au fond d’une cave ? La mafia a probablement mis le paquet en postant des espions dans tous les coins. Quelqu’un ne peut rester planqué qu’avec des complicités solides. Je me trompe peut-être mais je ne vois pas un tueur membre d’une secte d’illuminé avoir des complicités solides et discrètes.
Parti dans l’espace ? J’ai envoyé une fois de plus Dyane à la capitainerie du port, ils n’ont pas forcément les bonnes identités des gens qui partent mais ils ont leurs trombines, mais rien qui ressemble au Trébussy, même masqué !
Reste donc les fermes et la presqu’île des exclus. Les fermes, je n’y crois pas, les fermiers ne sont pas du genre à s’encombrer d’inconnus potentiellement source de problèmes. La presqu’ile c’est une autre paire de manche.
Vivait là-dedans toute une communauté de reclus, des gens ayant eu des problèmes en ville et ne pouvant plus y revenir de peur de représailles. La Mafia les laissait tranquilles en échange de divers produits, notamment du poisson, des baies issues de la cueillette, et même des objets artisanaux, mais cette tranquillité était à géométrie variable. Si la Mafia épargnait ce qu’elle considérait comme du menu frottin, certains n’échappaient pas à son bras vengeur.(voir Vargala station 3 la maison parme)
Je ne me vois vraiment pas aller barouder dans cette zone sauvage, d’autant que je suis persuadé que la Mafia a dû y envoyer une délégation bien musclée.
A suivre
Il ne faut jamais dire à la dominatrice qu’on aime sucer des bites, elle risque alors de zapper l’épisode. Non, il faut jouer un peu la comédie et comme ça on peut se régaler !
Bien vu !
Sucer une bite au cours d’une séance de domination, est-ce vraiment une punition ?
Pour certains cela doit être ressenti comme une humiliation
Mais en ce qui me concerne j’adore sucer une bonne bite, et si on veut m’enculer c’est encore un autre plaisir
Une petie domination comme on adore les lire
Eddy, tu semble très productif..
Combien en a tu écrit au total?
environ 25 sous la signature d’Eddy + quelques articles
Mais ce présent récit n’est pas de ma plume !
Quel coquin ce Stoffer !
Il y aurait donc une copine à Chanette sur la planète Vargala 😉