Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 18 – Henri de Longdard, voyeur et branleur

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 18 – Henri de Longdard, voyeur et branleur

Flash black

Après que René fut appréhendé suite à son esclandre devant l’hôtel particulier des Préhardi, il fut conduit en prison. Monsieur de Préhardi usa alors de ses relations.

— J’aimerais savoir qui nous a envoyé ce malotru.
– Ce n’est pas un problème, nous allons le torturer bien comme il faut.
– Il y a sans doute mieux à faire, libérez-le et faite le suivre discrètement, je suis persuadé qu’il y aura un bon coup de filet à la clé.
– Pourquoi pas, mais cela demande un peu d’organisation….

Quelques jours après le dispositif se mit en place, deux gens d’armes suivirent très discrètement l’individu jusqu’à son repaire.

Quand il y pénétra, les suiveurs se mirent en standby (comme on dira quelques siècles plus tard). Et une heure plus tard ils eurent la surprise de voir en sortir un visage qui leur parlait.

– Ce ne serait point Philibert, le bandit de grand chemin ?
– On dirait bien !
– Que faisons-nous ?
– Retournons au poste, demander des instructions.

Le capitaine est stupéfait du rapport des deux rombiers. Il en réfère lui-même à ses supérieurs.

– Donc apparemment sa bande est éparpillée, attendons qu’ils soient tous là pour les cueillir en groupe

Mais la bande ne se reconstituait pas (et le lecteur sait pourquoi) . La nouvelle instruction fut donc de continuer à surveiller le lieu mais d’intervenir militairement si la situation devenait dangereuse.

Fin du flash-back

Et c’est ainsi qu’Edouard avant de récupérer sa nouvelle monture pu voir les gens d’armes sortir de force Philibert de sa tanière et le conduire vers un sort funeste.

Son plan tombait donc à l’eau, il lui faudrait trouver autre chose ! Un cambriolage bien sûr, mais il ne parvenait pas à se décider.

De mon côté je me débrouillais pas trop mal au bordel de madame Galoubet. J’avais un certain succès, ma mère aussi. Et nos cagnottes se portaient bien. Oh, ce n’était pas non plus tous les jours paradis, il fallait composer avec des nouveaux riches qui se prétendaient gentleman mais qui nous prenaient pour des sacs à foutre en nous jetant tout leur mépris en pleine poire. En revanche d’autres, beaucoup d’autres s’avéraient d’agréables partenaires de chambre sachant user d’humour et de fantaisie.

C’est ainsi que nous fîmes connaissance avec le Baron Henri de Longdard, le bien nommé.

Celui-ci s’enquit dès son arrivée auprès de Madame Galoubet de la présence de nouvelles filles

– Catherine et Margot, elles sont mères et fille
– Ciel, voilà qui me tente.
– Elles plaisent bien, elles travaillent bien. Mais il vous faudra faire antichambre, elles sont occupées avec deux bellâtres.
– Qu’importe, ne dit-on pas qu’il n’est point de meilleur plaisir qu’un plaisir retardé ?
– Vous êtes un philosophe, monsieur le baron
– Hi, hi !

Et voilà, même pas le temps de se reposer qu’on nous prie de nous présenter devant ce nouveau client.

Belle prestance sur celui-ci, regard de braise et port altier, il en impose.

Il nous déshabille du regard, bien qu’il n’y ait pas grand-chose à déshabiller, notre seul vêtement étant une nuisette légèrement transparente

– Je craignais que l’on ne m’abuse, mais je vois que vous vous ressemblez beaucoup, vous êtes bien mère et fille
– Pour vous servir, monsieur.
– Allons en chambre !

On y va, on y va…

– Alors, vous faites quoi ensemble ? Demande le baron.
– Tout !
– Vous vous gamahuchez ?
– Assurément.
– Montrez-moi je vais vous regarder faire

Ce doit être la loi des séries , parfois on nous demande séparément, parfois on nous demande ensemble, mais aujourd’hui c’est la troisième fois, ça commence à être lassant, mais bon, business us businesses comme on dira trois siècles plus tard.

Alors on y va, on enlève nos nuisettes afin que le miché puisse zieuter la marchandise. En principe à ce stade les mains deviennent baladeuses. Pas avec lui, il est peut-être uniquement voyeur ?

Qu’importe, on gagne la literie et on se met en soixante-neuf, ma mère en dessous, moi sur elle.

Les circonstances font que l’on est guère excitées, il nous faut donc faire semblant, mais nous avons parfaitement appris à le faire (merci madame Galoubet !)

Le baron assis devant nous dans un fauteuil semble apprécier le spectacle et s’astique le mandrin.

S’il pouvait jouir comme ça, ce serai très bien

– Léchez-vous le cul, mesdames.

Qu’à cela ne tienne, une petite torsion pour faciliter la chose, et allons-y pour les feuilles de rose

– Un doigt, enfoncez-vous un doigt.

C’est tout, oui ? Mais on obtempère, alors que sa branlette devient de plus en plus frénétique.

– On va conclure mettez-vous à genoux l’une à côté de l’autre.

Ah bon, qu’est-ce qu’il veut nous faire faire ?

Il s’approche de nous toujours en se branlant, ça y est j’ai compris !

Il est sur le point de jouir… son visage se congestionné et le voilà qui balance sa purée. On en reçoit partout, le visage, les seins, on est peinturlurée.

Fin de la passe.

– J’espère vous revoir bientôt ! lui dit ma mère…
– Tout le plaisir aurait été pour moi, mais je dois partir pour la Louisiane, le régent m’a confié une mission qui va bien m’occuper six mois durant, alors nos retrouvailles ce ne sera qu’à mon retour…

Flash black

Après que René fut appréhendé suite à son esclandre devant l’hôtel particulier des Préhardi, il fut conduit en prison. Monsieur de Préhardi usa alors de ses relations.

– J’aimerais savoir qui nous a envoyé ce malotru ?
– Ce n’est pas un problème, nous allons le torturer bien comme il faut.
– Il y a sans doute mieux à faire, libérez-le et faite le suivre discrètement, je suis persuadé qu’il y aura un bon coup de filet à la clé.
– Pourquoi pas, mais cela demande un peu d’organisation….

Quelques jours après le dispositif se mit en place, deux gens d’armes suivirent très discrètement l’individu jusqu’à son repaire.

Quand il y pénétra, les suiveurs se mirent en standby (comme on dira quelques siècles plus tard). Et une heure après ils eurent la surprise de voir en sortir un visage qui leur parlait.

– Ce ne serait point Philibert, le bandit de grand chemin ?
– On dirait bien !
– Que faisons-nous ?
– Retournons au poste, demander des instructions.

Le capitaine est stupéfait du rapport des deux rombiers. Il en réfère lui-même à ses supérieurs.

– Donc apparemment sa bande est éparpillée, attendons qu’ils soient tous là pour les cueillir en groupe

Mais la bande ne se reconstituait pas (et le lecteur sait pourquoi) . La nouvelle instruction fut donc de continuer à surveiller le lieu mais d’intervenir militairement si la situation devenait dangereuse.

Fin du flash-back

Et c’est ainsi qu’Edouard avant de récupérer sa nouvelle monture pu voir les gens d’armes sortir de force Philibert de sa tanière et le conduire vers un sort funeste.

Son plan tombait donc à l’eau, il lui faudrait trouver autre chose ! Un cambriolage bien sûr, mais il ne parvenait pas à se décider.

De mon côté je me débrouillais pas trop mal au bordel de madame Galoubet. J’avais un certain succès, ma mère aussi. Et nos cagnottes se portaient bien. Oh, ce n’était pas non plus tous les jours paradis, il fallait composer avec des nouveaux riches qui se prétendaient gentleman mais qui nous prenaient pour des sacs à foutre en nous jetant tout leur mépris en pleine poire. En revanche d’autres, beaucoup d’autres s’avéraient d’agréables partenaires de chambre sachant user d’humour et de fantaisie.

C’est ainsi que nous fîmes connaissance avec le Baron Henri de Longdard, le bien nommé.

Celui-ci s’enquit dès son arrivée auprès de Madame Galoubet de la présence de nouvelles filles

– Catherine et Margot, elles sont mère et fille
– Ciel, voilà qui me tente.
– Elles plaisent bien, elles travaillent bien. Mais il vous faudra faire antichambre un moment, elles sont occupées avec deux bellâtres.
– Qu’importe, ne dit-on pas qu’il n’est point de meilleur plaisir qu’un plaisir retardé ?
– Vous êtes un philosophe, monsieur le baron !
– Hi, hi !

Et voilà, même pas le temps de se reposer qu’on nous prie de nous présenter devant ce nouveau client.

Belle prestance sur celui-ci, regard de braise et port altier, il en impose.

Il nous déshabille du regard, bien qu’il n’y ait pas grand-chose à déshabiller, notre seul vêtement étant une nuisette légèrement transparente

– Je craignais que l’on ne m’abuse, mais je vois que vous vous ressemblez beaucoup, vous semblez bien être mère et fille
– Pour vous servir, monsieur.
– Allons en chambre !

On y va, on y va…

– Alors, vous faites quoi ensemble ? Demande le baron.
– Tout !
– Vous vous gamahuchez ?
– Assurément.
– Montrez-moi, je vais vous regarder faire en m’astiquant le mandrin !

Ce doit être la loi des séries, parfois on nous demande séparément, parfois on nous demande ensemble, mais aujourd’hui c’est la troisième fois, ça commence à être lassant, mais bon, business is businesses comme on dira trois siècles plus tard.

Alors on y va, on enlève nos nuisettes afin que le miché puisse zieuter la marchandise. En principe à ce stade les mains deviennent baladeuses. Pas avec lui, il est peut-être uniquement voyeur et branleur ?

Qu’importe, on gagne la literie et on se met en soixante-neuf, ma mère en dessous, moi sur elle.

Les circonstances font que l’on est guère excitées, il nous faut donc faire semblant, mais nous avons parfaitement appris à le faire (merci madame Galoubet !)

Le baron assis devant nous dans un fauteuil semble apprécier le spectacle et se paluche le bigoudi.

S’il pouvait jouir comme ça, ce serai très bien !

– Léchez-vous le cul, mesdames.

Qu’à cela ne tienne, une petite torsion pour faciliter la chose, et allons-y pour les feuilles de rose

– Un doigt, enfoncez-vous un doigt dans le cul.

C’est tout, oui ? Mais on obtempère, alors que sa branlette devient de plus en plus frénétique.

– On va conclure, mettez-vous à genoux l’une à côté de l’autre.

Ah bon, qu’est-ce qu’il veut nous faire faire ?

Il s’approche de nous toujours en se branlant, ça y est j’ai compris !

Il est sur le point de jouir… son visage se congestionné et le voilà qui balance sa purée. On en reçoit partout, le visage, les seins, on est toute peinturlurée.

– Vous n’allez pas rester comme ça, léchez-vous la tronche !

Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire !

– Le spectacle était ravissant, j’ai bien joui, vous êtes charmante, merci mesdames !

Ah, un petit mot gentil ! Ça fait toujours plaisir !

Fin de la passe.

– J’espère vous revoir bientôt ! lui dit ma mère…
– Tout le plaisir aurait été pour moi, mais je dois partir pour la Louisiane, le régent m’a confié une mission qui va bien m’occuper six mois durant, alors nos retrouvailles ce ne sera qu’à mon retour…

A suivre

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Une réponse à Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 18 – Henri de Longdard, voyeur et branleur

  1. Kriss Baxter dit :

    C’est pratique les voyeurs, on n’a même pas besoin d’y toucher 😊

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