Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 6 – Retour chez la Duchesse par Nicolas Solovionni

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 6 – Retour chez la Duchesse par Nicolas Solovionni

Une fois sortie, Marisa Tongo s’empressa de téléphoner au dénommé Kederest.

– Il y a un couple qui va venir dans ton fourbi acheter le collier que je t’ai laissé en dépôt vente. Tu vas leur répondre que tu viens juste de le vendre. Ils vont te demander les coordonnées de l’acheteur, évidemment tu refuseras même si on te propose du fric. Mais tu ne seras pas perdant, on s’arrangera. Quand ils seront partis, fais-moi porter le collier chez moi dans un paquet discret, chez moi, pas au bureau.
– Oui ma biche !

Alors évidemment quand nous nous sommes pointés au Drugstore, le Kederest en question y est allé de son bagou.

– Ah ! C’est dingue, je n’arrivais pas à le vendre, et là, un mec est passé l’acheter il y a dix minutes.

Vraiment pas de bol, Dyane n’aurait pas fait des galipettes avec la grande blackette nous serions arrivé les premiers. Maudits soit les commissaires-priseurs libidineux et les amateurs de colliers tarabiscotés !

– Eventuellement pourriez-vous me fournir les coordonnées de l’acheteur, on aimerait discuter avec lui ?
– Non, c’est contraire à tous les usages.
– Allez soyez sympa, les usages ça peut se monnayer…
– Je ne mange pas de ce pain-là, et je vais vous demander de sortir de mon établissement, immédiatement !

Et c’est qu’il est en colère le bonhomme !

– Calmez-vous on ne vous demande pas la lune.
– Sortez ! Hurle-t-il.

Nous voilà bien ! Et si près du but ..

Je réunis mon staff.

– Qu’est-ce qu’on peut faire d’intelligent ? Demandais-je à la cantonade.
– On ne va tout de même pas faire une opération de commando pour récupérer une adresse, on aurait toute la police locale au cul. Nous dit Dyane.
– Alors on laisse tomber ?
– Non ! Reprend-elle, on connaît deux personnes qui semblent avoir beaucoup d’influence ici, la duchesse et Maître Tongo, on peut voir si elles peuvent nous aider…

Proposition adoptée, je vais solliciter la duchesse et Dyane s’occupera de Marisa Tongo.

Marisa Tongo, parlons-en justement ! La revoilà en possession du collier de Marcia. Elle se dit que si des gens viennent d’aussi loin pour le récupérer, c’est que ce bijou doit cacher quelque chose de singulier. Aussi s’empresse-t-elle de le faire analyser.

Le résultait est décevant : un peu d’or, du nacre, du verre, aucun alliage insolite, aucun isotope exotique… la fabrication semble relativement récente ce qui exclut l’hypothèse d’un artefact archéologique. L’examen des clouds informatiques montre qu’il n’a pas non plus été porté par une personnalité connue…

– Mais pourquoi s’acharnent-il sur ce machin qui n’a aucune valeur ? Parfois, il ne faut pas trop chercher à comprendre ! Inutile de continuer à me prendre la tête avec ça, je vais le remettre en dépôt chez Kederest, il ne va rien comprendre mais je m’en fiche !

Je suis donc retourné chez la duchesse.

– C’est quoi ce cirque ? Kederest est un voyou, ce n’est pas spécialement mon copain mais je peux toujours essayer

Elle l’appelle, met l’ampli, la conversation tourne court, Kederest invoquant les grands principes, la déontologie et tutti quanti. La duchesse use de diplomatie mais rien n’y fait et le bonhomme finit par raccrocher.

– Je suis désolée, j’ai fait ce que j’ai pu mais ce mec est décidément trop con
– Tant pis et merci quand même, Dyane est allé voir Tongo, elle aura peut-être plus de chance que moi.
– Je vous le souhaite, un petit café ?
– Volontiers !

Vu la façon dont elle me regarde, j’ai comme l’impression que la Duchesse ne va pas tarder à me sauter dessus. Pourquoi pas, ça me détendra ?

Mon spacephone sonne, c’est Dyane

– Ça a marché ? demande-t-elle.
– Non et toi ?
– Elle a téléphoné devant moi sans mettre l’ampli, et j’ai comme un horrible doute.
– Pardon ?
– Je me fais peut-être des idées mais j’ai comme l’impression qu’elle téléphonait dans le vide, elle faisait semblant avec personne au bout.
– Mais dans quel but ?
– Va savoir ?

J’interroge la duchesse.

– Vous la croyez capable de duplicité ?
– Elle peut, oui !
– Ça devient compliquée cette affaire !
– Bof, Tout problème à sa solution, et si je peux vous aider… je ne vois pas trop comment mais on peut y réfléchir… On se détend cinq minutes, c’est bon pour les neurones. Mais avant nous allons trinquer ! Swan fait le service s’il te plaît !

Quels instants plus tard Swan venait nous servir du Potenza avec des glaçons.

– Swan, tu manques à tous tes devoirs, ouvre ta braguette, sors ta queue et propose-la au capitaine !.

Swan est un valet obéissant il fait ce que sa patronne lui demande et s’avance vers moi, la bite sortie.

Moi, quand je vois une belle bite, je ne résiste pas. Alors je la prend en bouche et me régale en la suçant. J’aime son odeur, j’aime sa texture et ça me fait terriblement bander.

– Tu aimes ça : sucer des bites, n’est-ce pas Capitaine ?
– J’avoue !
– Tu aimeras qu’il t’encule
– Pourquoi pas ?
– Tu aimes ça ?
– Quand c’est bien fait, oui !
– Swan le fait très bien ! Déshabille-toi, on va te préparer.

Vous allez penser que toutes ces turpitudes sexuelles vont commencer à me lasser ! Eh bien pas du tout, je suis obsédé, j’en ai aucune honte, j’assume complétement et j’emmerde les empêcheurs de baiser en rond !.

On me fait me mettre en levrette sur un grand fauteuil.

– C’est un fauteuil style Louis XVI ! M’indique la duchesse
– Ah
– Louis XVI était un roi de France à qui on a coupé la tête, il est passé à la postérité grâce à ses fauteuils et comme Louis XVI avait un gros cul ses fauteuils ont beaucoup de place.

Comme quoi on peut parfois s’instruire en se faisant enculer !

Une fois installé, la Duchesse vient me lécher la rondelle. Oh, quelle langue! Je bande et je frétille du cul à ce point que mon anus s’entrouvre. Un doigt inquisiteur ne tarde pas à remplacer la langue. Elle va me tuer, la duchesse !

Elle retire son doigt, je sens maintenant le gland de Swan quémander l’entrée de mon cul. La Duchesse m’écarte bien les fesses afin de faciliter l’introduction… Et hop, ça passe !

Oh ! Que c’est bon !

Et pendant que Swan me fait subir les derniers outrages (quelle expression débile, j’espère bien que ce ne sera pas mon denier outrage, j’en veux plein d’autres), la Duchesse maintenant complétement à poil se régale du spectacle en se paluchant le berlingot !

La notion du temps devient incertaine quand on baise, mais Swan a bien dû me limer un bon quart d’heure avant de sortir sa bite de mon cul gluante de sperme et d’autres pollutions plus sombres.

J’ai le cul béant mais ça m’a fait du bien.

La duchesse après avoir nettoyer la bite de son valet de bouche gourmande me vire du fauteuil, prend ma place dans la même position et me demande de l’enculer à son tour. Vous pensez bien que je n’allais pas refuser.

– Alors, je vous aide comment ? Me demande la Duchesse après avoir retrouvé ses esprits.
– Je ne vois pas trop… une équipe de gros bras chez Kederest peut être ?
– Allons, Allons, capitaine ! Déjà c’est une source de complications et puis si vraiment la mère Tongo est derrière ça, on ne trouvera rien chez Kederest !
– Je vais laisser tomber alors ?
– On va quand même faire une petite vérif !

Elle téléphone à un dénommé Dario et lui explique ce qu’elle attend de lui…

Ça l’amuse Dario de faire ce genre de choses…

Il tente de se connecter à l’ordinateur de Kederest. La sécurité y est minimaliste, il n’a plus qu’à rechercher le journal comptable et à en envoyer une copie chez la Duchesse.

L’opération n’aura duré que 30 minutes.

– Aucune trace de la vente de ton truc, ça confirme ce que je pensais ! Mais pourquoi Tongo l’aurait-elle repris ? Ça n’a aucun sens !
– Et elle le garderait où ?
– Dans son coffre, pardi !
– Et ton hacker, il ne pourrait pas…
– N’y pense même pas, il est inviolable son truc.
– Que faire alors ?
– Je ne vois vraiment pas, tu peux toujours y aller au flan et lui réclamer, mais elle te dira qu’elle ne l’a pas.
– Alors je laisse tomber, je vais rentrer sur Vargala
– Attends deux ou trois jours avant de repartir, on ne sait jamais, si j’avais une idée géniale…

J’ai donc réintégré le vaisseau, le cœur lourd, j’ai horreur de l’échec.

– Elle est où Sierra ? Demandais-je
– Partie faire un tour… bizarre elle devrait être revenue…

Mais le lendemain, la belle transsexuelle n’était toujours pas rentrée, je tente de la joindre sur son spacephone, ça ne répond pas. Il ne manquait plus que ça, je commence à m’inquiéter

Sierra

Sierra déambule dans le quartier jouxtant le cosmodrome, elle aperçoit un bistrot, « le bar des nuages », elle y entre et s’assoit. Une entrée qui ne passe pas inaperçue, pensez donc !

Les quolibets vont bon train, mais elle s’en fiche, elle a l’habitude et en est vaccinée.

Un type vient s’assoir à sa table sans en demander la permission.

– Euh, je peux consommer tranquille ?
– Ne soyez pas agressive ?
– Je tiens à ma tranquillité, monsieur.
– Professionnelle ?
– Mais vous allez me foutre la paix ?
– Je peux vous proposer une opportunité qui vous ferait gagner beaucoup d’argent

Excédée, Sierra appelle un serveur

– Vous pourriez dire à ce monsieur de quitter ma table..

Le loufiat n’en fait rien, Sierra se lève et va pour sortir de l’établissement, un gorille la stoppe dans son élan.

– Vous n’avez pas payé.
– Attendez, c’est quoi ce rade où on laisse des abrutis emmerder les honnêtes gens ?
– Parce que c’est honnête de partir sans payer ?

Ils sont maintenant trois autour d’elle et ils ne rigolent pas. Sierra est maîtrisée et entraînée vers le sous-sol, on lui fait une piqûre, elle perd connaissance.

A suivre

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2 réponses à Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 6 – Retour chez la Duchesse par Nicolas Solovionni

  1. Gontran dit :

    « Comme quoi on peut parfois s’instruire en se faisant enculer ! »
    Fallait la trouver (et la placer) cette réplique !

  2. Forestier dit :

    Impressionnante et bougrement excitante cette duchesse

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