Confessions de Travestis – 2


Et jamais deux sans trois… par Pascal01

Je m’appelle Pascal et j’ai 37 ans.

Bien que j’adore les femmes (ainsi que les hommes, à condition qu’ils soient entièrement épilés et qu’ils n’aient pas un sexe trop gros), je suis un fervent adepte, et depuis longtemps, des jeux érotiques en solitaire et je vous propose de vous raconter une de mes soirées.

Tout d’abord, travestissement : j’ai en effet, comme je viens de le dire, un côté «bi», et je me mets en condition avec des vêtements féminins. Ce soir, ce sera une tenue classique, perruque rousse, bas résilles noirs, body porte-jarretelles, petit haut en résille, string, bottes cuir à talons hauts et gants vinyle.
Mais puisque me voici déshabillé, je vais commencer par me raser de frais les couilles, le cul, le haut des cuisses, ainsi qu’en dessous du nombril. Je ne laisse qu’une petite bande de poils au-dessus de la bite.
Une fois le rasage terminé je m’habille donc, me maquille et me voilà femme. Et pour confirmer cette féminité, et puisque le rasage ainsi que la toilette qui l’a suivi m’ont excité, je choisi un petit «anus picket» dans ma panoplie de godes. Avant de l’enfiler, je me prépare soigneusement le trou avec un doigt, puis deux, enduits de gel.

J’écarte le string, et voici le gode à sa place et bientôt l’envie se fait sentir d’un plus gros, qui prend sa place tout naturellement.
Je sens le plaisir monter, et malgré l’anneau de caoutchouc qui m’enserre les couilles et la bite, je suis déjà en érection. Je décalotte le gland et commence à me caresser ; ma bite a déjà dégouliné ses premiers filets intimes et comme elle coule en général beaucoup, très vite je peux l’enduire entièrement de cette «mouille».
Je sens le sperme qui vient, alors j’enfile une capote et je jouis longuement pendant que mon cul se resserre par à-coups sur le gode.
Je reste quelques minutes ainsi, entre ciel et terre.

Puis j’enlève le préservatif, ainsi que l’anneau qui commençait à me gêner.
Je laisse le gode en place encore un moment, puis je le retire avec soin.
Je me caresse à nouveau la bite mais une autre envie commence à poindre : en effet, un bon moment avant de me raser, j’avais bu deux bières suivie d’un café et je sens que ma vessie est bien pleine. L’uro, voici un autre plaisir qui peut très bien être solitaire et auquel je m’adonne depuis longtemps.
Je vais en profiter pour me faire quelques photos : pendant ce temps je laisserai un peu de répit à mon sexe. J’attrape un récipient adéquat et devant l’appareil photo qui mitraille je laisse monter mon envie d’uriner.
C’est presque une autre jouissance quand jaillissent les premières gouttes, tellement le soulagement est de taille ! Des frissons de plaisir me parcourent le dos pendant que je remplis presque le récipient qui fait trois-quarts de litre. Le pipi est bien clair, comme chaque fois avec la bière. J’y trempe les lèvres : il est excellent, mais il sera encore meilleur après une petite demi-heure au frigo.

Pendant ce temps je visionne et sélectionne mes photos. C’est une chose que j’adore faire, me photographier sous toutes les coutures et visionner ensuite les images. D’ailleurs j’aimerais bien pouvoir échanger mes clichés avec d’autres personnes (de tous les sexes).
Ensuite, comme je suis curieux par nature, j’aime bien mesurer la quantité de sperme que j’ai fournie. Il y a quelques jours que je ne m’étais pas masturbé, aussi j’en ai presque dix centimètres cube !
J’ai mis une cassette de nanas qui se font des parties très arrosées et je recommence à bander. Je reviens au frigo, et constate que le champagne est à température idéale ; je m’en verse plusieurs petits verres toujours en compagnie de ces dames qui dégustent aussi du pipi. Il va de soi que j’ai longuement trempé ma bite dans le verre avant de boire ce nectar.

Puis je remplace la cassette des filles par une de transsexuels qui se défoncent et se font défoncer à outrance. Il va sans dire que j’adore les trans et je possède des centaines de photos et pas mal de cassettes.
Et bien sûr, j’éprouve bien vite le besoin de me goder à nouveau. Cette fois-ci ce sera le gode ventouse qui ne se fait pas prier pour rentrer dans mon petit trou bien lubrifié. Je ne sais pas combien de temps dure cette séance d’engodage tellement c’est agréable d’être ainsi empalé debout!
J’abandonne à regret cet amant fidèle pour m’occuper de ma queue qui dégouline littéralement. Je récupère le sperme de tout à l’heure que j’étale sur ma bite et mes couilles : une photo s’impose ! Je me masse bien, surtout les testicules, puis avec ma main toute humide j’entreprends une masturbation tout d’abord douce, puis un peu plus rapide.

L’érection est très ferme et je la fais durer le plus longtemps possible. Mais au bout d’un dizaine de minutes, tout en reluquant les trans qui ne vont pas tarder à juter eux aussi, je ne peux plus retenir le sperme qui bouillonne à nouveau. Mes couilles sont libres cette fois-ci de remonter au maximum et de l’autre main je continue à les masser : c’est terriblement agréable tellement elles sont douces et humidifiées de semence.
Le plaisir m’envahit, me subjugue et comme je suis bien assis dans mon canapé, les giclées brûlantes aboutissent sur mon ventre.
MMMMMMMM…
Je n’en peux plus, et je reste pendant un bon moment à respirer par à-coups.
Quel pied !
Je suis étonné de la quantité de cette seconde éjaculation si rapprochée de l’autre ; mais c’est cool, je vais pouvoir me faire un autre super massage et aussi quelques bonnes photos. Une bonne rasade de pipi bien frais ne sera pas de trop pour requinquer une fois de plus mes quatorze centimètres.

Et jamais deux sans trois !

Un délire entre potes qui a dévié par Eric

Je m’appelle Eric, j’ai tout juste 20 ans, je ne suis pas très musclé et plutôt mince, je traîne toujours avec Xavier et David, qui ont 19 ans tous les deux. Au niveau des filles c’est le calme plat, à peine un baiser pour moi, et oui nous sommes encore puceaux. David a la chance que ses parents lui laissent leur maison quand ils partent en week-end. C’est le samedi soir que l’on se retrouve ensemble, pour rentrer chez nous le lendemain après-midi. Les programmes de ces soirées sont souvent des soirées jeux vidéo, mais de temps en temps c’est visionnage d’un film pornographique. Un délire entre potes, on décrit ce qui se passe à l’écran, on rigole, mais aussi on sort nos sexes pour se masturber

Un soir Xavier propose qu’il nous masturbe, après avoir lu ça sur un Forum. C’est David qui accepte, moi à ce moment je suis totalement contre. C’est donc avec Xavier et David se masturbant mutuellement à côté de moi que je me fais du bien devant la télévision. Et depuis, tous les samedis c’est le même jeu. Comment j’ai accepté ça ? Intrigué j’ai aussi trainé sur des Forums et lu des témoignages et un soir j’ai sauté le pas. C’est David qui m’a masturbé pour la première fois. Lentement, minutieusement, mon éjaculation n’a jamais été aussi forte.

C’est à la vision d’un film où un homme se travesti pour postuler un poste de secrétaire, que tout a basculé. Xavier lance l’idée de mettre des collants ou des bas pour se masturber. Nous avons fait l’armoire de la mère de David. Et des dessous, il y en a. Je jette mon dévolu sur un porte-jarretelles et bas gris, Xavier des bas résilles noirs et David met une guêpière léopard et bas noirs. C’est simplement affublé de ces tenues, que nous nous masturbons mutuellement devant le film. C’est quand commence une scène où le PDG pose la main sur la cuisse du travesti, que je sens celle de Xavier sur la mienne et commence à me caresser. Etonnamment je ne dis rien et savoure cette délicieuse sensation. Je lui rends la pareille, je lâche son membre dressé pour parcourir sa jambe. Je tourne mon visage vers le sien, nous nous sourions. Nous prenons autant de plaisir par les caresses que par la masturbation. Le travesti à l’écran est maintenant en train de sucer le PDG. Je vois encore les témoignages d’hommes sur les Forums racontant leur première fellation avec un partenaire masculin. Sans me demander ou me prévenir Xavier se penche sur mon gland et passe sa langue pour goûter à ma liqueur qui suinte. Je me contracte immédiatement, je ferme les yeux, c’est fantastique.

Sa bouche est douce, il est maladroit mais ça n’a pas d’importance. David, dont j’ai abandonné le sexe, nous regarde avec gourmandise, il a pris le relais pour les caresses sur ma jambe. Il s’aventure aussi sur mon ventre. A l’écran, le travesti est penché sur la table et se fait lécher l’anus. David se penche aussi sur ma queue, j’ai maintenant deux langues qui s’occupent de ma tige. J’éjacule sans les avertir, ils en reçoivent sur le visage. Xavier passe son doigt dessus et le porte à la bouche. David lui se met debout sur le canapé pour avancer son sexe à ma bouche. C’est à mon tour de sucer. Après quelques coups de langues, trouvant la position inconfortable, je lui demande de s’asseoir, me mets à genoux devant eux et les suce à tour de rôle. Eux aussi ne mettent pas longtemps à jouir, Xavier sur mon visage et David dans ma bouche. Je savoure ce jus chaud et salé pour la première fois. A l’écran le PDG sodomise le travesti et un collègue entre dans le bureau.

Nous n’avons pas débandé, David pose sa main sur mes couilles et lentement arrive à introduire son index dans mon anus. Je le laisse faire et l’aide même en me mettant mieux dans le canapé. Après quelques instants, il me pousse pour me faire comprendre que je me mette à quatre pattes sur le canapé. Je lui obéis. Je sais où il veut en venir. Je suis trop excité pour refuser. Je sens son gland se poser sur ma rosette. Il me caresse les fesses, le bas du dos. Xavier présente son sexe devant ma bouche. David s’insinue doucement dans mon cul, difficilement, je suis étroit. Son avancée est longue et un peu douloureuse. Une fois à fond il commence ses mouvements. J’en oublie la bite de Xavier qui doit forcer l’entrée de ma bouche. Je suis leur salope, David m’insulte, il est déchaîné, me tape sur les fesses et éructe fortement quand il éjacule en moi, presque immédiatement ma bouche aussi est inondée. Cette soirée est formidable, nous nous maquillons changeons de tenues, nous nous caressons mutuellement nos corps, décorés de colliers. C’est moi qui embrasse Xavier le premier alors qu’il a encore le sperme de David dans la bouche, chacun présente son fessier pour se faire sodomiser. C’est épuisés que nous nous couchons ensemble, lovés l’un contre l’autre, se promettant de recommencer.

FIN

Un trans me domine par Guillaume

Des chaps – pour ceux qui ne le savent pas – c’est comme un pantalon mais largement ouvert à l’entrejambe.

Ceux que je porte sont en vinyle. Je porte également un top de la matière ouvert aux tétons.

Et un collier de chien.

Difficile de faire plus obscène, je suis une invitation au sexe.

La soirée avait pourtant débuté « normalement ». Un restau avec des amis puis un dernier verre. Mais ceux sont tous d’affreux couches-tôt; j’ai décidé d’aller finir la soirée ailleurs.

Et c’est dans ce bar que je l’ai rencontrée. Pas tout fait certain de prime abord que ce soit un trans mais notre conversation m’a vite mis sur la voie.

Une jupe en cuir, des bottes hautes, un top en résille, une perruque platine. Elle était terriblement sexy. Je me décidai donc à sauter le pas. Le courant est vite passé. Je lui ai avoué que je flashai complètement sur sa tenue. Elle me demanda alors si j’avais déjà expérimenté la soumission. À part quelques liens, pas vraiment.

Sa voix m’envoûte, elle me fait tâter son sexe, on se roule une pelle. Et elle me dit « viens mon cœur, je t’emmène chez moi ».

À peine arrivés, elle me déshabille, me caresse, me pince les tétons et me fait mettre à genoux. Elle sort son sexe, je commence à la sucer.

Elle m’arrête et prend quelques instants pour choisir ma tenue.

Une fois habillé, elle me fait tenir debout et passe derrière moi. Elle se colle à moi et me travaille les seins ; je bande comme jamais. Je lui appartiens me dit elle et elle commence à écarter mes fesses, à introduire un doigt. Je suis serré mais elle m’élargit, me crème et introduit un deuxième doigt. Je sens son souffle sur ma nuque et l’entend me traiter de pute, de salope ; je suis sa chose. Bientôt, si je continue à lui plaire, elle m’exhibera.

Elle me fait mettre à genoux, fesses bien remontées. Elle prend un gode. Je lui dis que je le trouve très gros mais elle me dit sur un ton sec :

– Une petite pute qui se fait enculer doit pouvoir prendre ça entre ses fesses.

Elle m’introduit le gode doucement. La douleur initiale peu à peu s’estompe, j’apprends à l’accepter dans mon cul.

Elle se met alors devant moi et introduit sa bite dans ma bouche. Je la sens de plus en plus dure. J’aime sentir ce sexe dans ma bouche et le plaisir monter chez elle. Elle s’arrête, me fait lever, enlève le gode et repasse derrière moi. Je sens son sexe contre mes fesses pendant qu’elle me caresse le torse et me masturbe.

– Mets-toi sur le dos jambes relevées ! je vais te prendre comme une femelle.

Elle met une capote et me pénètre alors. Doucement au début puis elle se met à me pilonner. La douleur est là mais le plaisir aussi. Son pilonnage est de plus en plus fort et elle ahane. Dans un ultime cri, elle jouit. Très fort.

Mon plaisir n’est pas loin, elle le sait.

Elle me prend alors en bouche. À peine une minute plus tard, je jouis en tremblant de tout mon corps.

On se love l’un contre l’autre. On s’embrasse. Elle me dit que, pour une première, je me suis bien comporté. On se reverra.

 

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4 réponses à Confessions de Travestis – 2

  1. TransMonique dit :

    Pas mal, l’histoire de Guillaume, dommage qu’elle soit si brève !

  2. Ivanel dit :

    Comme c’est mignon ! (2ème histoire)

  3. Isidore dit :

    Le récit de Pascal est peu confus, non ?

  4. transmonique dit :

    les fantasmes de Pascal sont intéressants mais c’est raconté n’importe comment

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