Lorsque ma bite m’habite ! par Sapiens1

 

Lorsque ma bite m’habite !
par Sapiens1

Histoire de bite ? De ma bite !
Qu’est-ce que j’ai envie de jouir !!!
Je rêve d’une jolie nana qui vienne me sucer la bite, me vider les couilles ; c’est urgent.
Evidemment, je pourrais aller me branler dans les douches du camping, mais ça a un côté tristounet !
Tout à l’heure, je me suis coupé les poils du pubis à 10 mm ; dans la caravane j’ai la bite bien à l’air, et puis, je la trouve jolie, bien dégagée, lorsqu’elle est gonflée comme maintenant. J’aime la tenir en main, mais il n’est pas facile de jouer du clavier d’une main, ni de se branler en écrivant !
Comme il est difficile de mettre des mots pour exprimer le ressenti lorsque je me caresse la queue, le gland, le frein…
Et si c’est une main étrangère (peu m’importe qu’elle soit masculine ou féminine), alors je deviens muet, rien que d’y penser !
Pourtant, hier, je suis allé dans un sex-shop, j’ai regardé une vidéo : une jolie infirmière pompait longuement un malade, tandis qu’un aide-soignant, passant par là lui présentait une superbe bite; pendant ce temps, je me branlais tout en photographiant ma bite… c’est génial, le numérique !

Je regrette de n’avoir pas fait plus de sport, étant jeune, je pourrais me pomper la bite : j’ai toujours rêvé d’autofellation : ce doit être génial !!! Se sucer, se déguster, se vider, et puis se laver la bite après usage !!! Un beau fantasme que je ne réaliserais pas !
A mon âge, j’en ai un certain nombre qui me restent : je n’ai jamais réalisé de double pénétration, et pourtant, j’ai l’impression qu’il doit être génial de sentir une bite contre la sienne, au rythme d’une femme déchaînée : jouir à trois en même temps, évidemment (les fantasmes, c’est toujours parfaitement réussi).

Pendant que j’écris, ma bite bien gonflée verse une larme, de temps en temps, je la goûte…
Et je fantasme à nouveau…

Qu’ils étaient mignons, mes petits amoureux de Peynet, elle lui tenait gentiment la bite, il l’enlaçait, lui enveloppant le sein de sa large main, je les suivais de loin, ils se croyaient seuls au monde : A cette heure, la dune était déserte.
Soudain, ils s’arrêtent, regardent autour d’eux ; m’ont-ils vu ? C’est probable, mais ils ne laissent rien paraître ; au contraire, il la saisit par la taille et se plante devant elle, la bite dressée, provocante.
Elle le regarde, droit dans les yeux, le sourire aux lèvres, puis de ses deux mains, cette fois, elle se saisit tendrement de ses petits trésors ; sa langue se met à explorer cette magnifique hampe tandis qu’il se cambre pour mieux lui offrir son sexe.
Je ne perds rien du spectacle, tandis que je sens mon ventre s’échauffer et que je me prépare à vivre une branlette explosive, et un peu nostalgique, lorsque je le vois tourner la tête vers moi et me faire signe…
Je m’approche doucement, tenant ma bite à la main, tandis que Paule, (j’apprendrai bientôt son prénom ainsi que celui de Michel) déguste à pleine bouche le gros sucre d’orge de son homme : je crois qu’elle ne se doute de rien.
Je m’approche timidement, il me sourit…
Je suis maintenant derrière Paule, Michel me prend doucement par la bite pour m’amener prés de lui, tandis que la jolie Paule continue sa dégustation à pleine bouche. Elle n’a rien entendu.
Michel lui prend doucement la main et l’amène sur mon sexe.
Paule se recule ébahie, la bouche restant grande ouverte, puis elle s’écrie :

« Mais tu me gâtes, mon amour ? Est-ce pour notre anniversaire de mariage ? Alors, tu y auras droit aussi. »

Elle me regarde des pieds à la tête, non sans s’arrêter sur mon sexe.

– « Je sais que tu aimes aussi les belles queues ! Regarde celle que le ciel nous envoie »

Michel me soupèse les couilles et me regarde dans les yeux :
« Ça me paraît très comestible, gentil voyeur qui se nomme ?  »
« Jack, pour les intimes, mais je crois que nous le sommes déjà, je n’ai pas besoin de dire que vous êtes fichtrement bandants, l’un comme l’autre. »

Et n’y tenant plus, ma main gauche saisit la queue de Michel, tandis que l’autre remonte lentement le long des cuisses de Paule ; je remarque alors que l’un et l’autre ont le pubis parfaitement rasé et lisse : un vrai… des lisses !

« Mon chéri, reprend Paule, tu me vois, tenant deux bites en main, la tienne, forte et vigoureuse, que j’adore sentir me ramoner, et puis ce cadeau que tu m’offres, plus mince, plus élancé.

Pour te remercier, je te laisse le soutirage de « première pression », le meilleur, dit-on, mais je me réserverai le second cru, la sève que l’on fait monter petit à petit, à coups de langue, d’aspirations gourmandes, de gorges profondes : tu vas le pomper, lui vider les couilles, jusqu’à épuisement, et lorsque sa bite sera complètement amorphe, annihilée, anéantie, je la ressusciterai, je lui rendrai sa vigueur, sa superbe, tandis que tu laboureras ta chienne… »

De mon côté, j’hésitais encore tellement ils me tentaient tous deux :

« Allongez-vous sur le sable, mes hommes, que j’assiste au spectacle tout en vous préparant un écrin de velours ; jouissez à fond les couilles, beaux mâles, mais vous ne serez pas trop de deux pour m’envoyer au paradis ! »

Michel s’allonge le premier sur le dos et je suis à peine au-dessus de lui que, sans hésiter, Paule prend la bite de son homme et me la présente, puis elle me saisit fermement les fesses afin de me guider.
Michel me suce et me pompe le nœud avec une telle ardeur que j’avale le sien au point que ma gorge se contracte à plusieurs reprises sur son gland. Puis sa langue s’enroule et se déroule lentement, je le pompe et l’enveloppe, il soutire et puis soudain ce grand vide au fond des tripes tandis qu’il lâche giclée après giclée, j’avale en hoquetant, il crie de plaisir et pendant ce temps, je me vide, je me vide sans reprendre mon souffle…
Paule sourit, un doigt dans son minou…
Ce n’est pas la première fois qu’un homme me vide les couilles, mais la séance est magistrale et nous explosons littéralement, avant que j’aie pu prononcer un seul mot.
Paule me soulève littéralement par les fesses :

« Montre-moi maintenant dans quel état t’a mis mon mari »

Elle me renverse sur le sable,

« Laisse-moi redresser… la situation, tu ne t’en plaindras pas »,

Et en trois tours de langue qui réveilleraient un mort, Paule me rend une jeunesse et me refait une bite d’enfer, ou plutôt de paradis.
Elle vient s’empaler sur mon dard, se penche en avant sur les coudes, appuyant ses jolis seins sur ma poitrine, tendant une superbe croupe à Michel qui n’attendait que ça !
Mettre des mots sur ce qui suivit est impossible : Michel s’est glissé doucement dans la fine pastille de Paule qui gémit de plaisir; à chacun de ses mouvements, et se tord sur ma queue qui, dans le même temps, sent cette superbe bite se frotter contre la mienne à travers la fine paroi.
Tout mon être se tétanise, ma gorge se serre, mon ventre se contracte, ma respiration se bloque, et pourtant je ne veux pas jouir pour permettre à Paule de bien profiter des spasmes de son homme, que je sens monter, à chacun de ses mouvements, et qu’elle me transmet, amplifiés par son plaisir qui monte.
Je n’en peux plus, Michel va exploser, Paule se tord littéralement sur ma queue, je vois le ciel tournoyer, j’étouffe, je râle, je n’en peux plus…
Paule, dans un dernier cri, s’écrase sur moi, j’ai peur de la transpercer, tandis que je sens les spasmes de Michel, je fonds, je coule, j’explose à mon tour, mes contractions alternent avec celles de Michel, amplifiées par les mouvements et les cris de Paule: nous sombrons tous les trois dans un ouragan de plaisir qui nous submerge, les vagues se succèdent et déferlent de nos ventres enflammés, il n’y a plus d’accalmie, nous atteignons un absolu de jouissance…..
Petit à petit, le calme revient dans nos corps effondrés, tandis que Paule, par d’imperceptibles mouvements de son bassin, récupère tendrement les dernières gouttes de plaisir, et que mes mains glissent sur ses seins, que ma langue lui dit toute ma reconnaissance.
Nous nous dégageons, mais je garde un sein dans la main, Michel, caresse l’autre, tandis que Paule pose tendrement les mains sur nos sexes effondrés.

Vous comprendrez, cher ami lecteur, comment je me suis retrouvé embarqué sur le yacht de Paule et Michel pour une croisière en Méditerranée, accompagnés du cuisinier vietnamien et de sa petite compagne ivoirienne: le règlement du bord était simple : mettre ses pensées à nu, ses désirs à nu, les corps à nu, dans le respect absolu des désirs des autres membres et du fonctionnement… du pilote automatique, seul maître à bord !
Je vous ferai déguster les bananes préparées par notre couple de gastronomes orientaux, les salades assaisonnées d’une sauce qui n’était pas toujours à base d’huile, les queues d’écrevisse et autres, au Grand Marnier, la mousse au chocolat au coulis de sperme tiède…
Je vous raconterai les mille et une façons de baiser sous la mer, ou la manière de reconnaître la bite de son amant ou le clito qui nous est cher, en ayant les yeux bandés et en ne les touchant que de la pointe de la langue.
Mais pour l’instant, je suis seul devant ma bécane, avec une furieuse envie de me branler !
Qui donc viendra me sucer, ma pomper pendant que je suis au clavier ?
Où est le magicien qui m’inspirera les mots qui font jouir ?
Où est le poète qui chantera les mots de la jouissance ?
Le chanteur qui chantera l’orgasme déchaîné ?
Le peintre qui dessinera ma bite en feu ?
Le cinéaste qui filmera mon sperme jaillissant ?
Le compositeur qui orchestrera mes râles de plaisir ?
L’œnologue qui dégustera ma liqueur ?
J’ai faim et soif de plaisir, mais qui viendra pomper un vieux mâle de… 80 balais !

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3 réponses à Lorsque ma bite m’habite ! par Sapiens1

  1. Renard75 dit :

    Un très joli texte qui m’a bien fait bander la bite

  2. Dumigron dit :

    Magnifique !

  3. Edmond dit :

    Superbe texte même pas gâché par quelques répliques trop littéraire

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