Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 16 – Pauline et Edouard

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 16 – Pauline et Edouard

Pauline adorait sœur sainte Lucie, son corps, sa peau, ses jolis seins, ses moments de tendresse, mais aussi ses moments où se faisant dominatrice elle l’humiliait en lui faisant rougir le cul, en lui pissant dessus voire pire. Cependant une autre personne hantait ses fantasmes, et cet autre personne c’était Edouard, ce beau jeune homme qu’elle avait rencontré en allant porter des œufs fraîchement pondus chez l’abbé Denis

– Jeune personne, l’éclat de votre visage est un rayon de soleil dans la brume. Lui avait-il dit.
– Je suppose que vous racontez la même chose à tous les jolis minois qui passent ?
– Non pas tous.
– J’ai de la chance alors ? Mais qu’en est-il de vos vœux de chasteté ?
– Je ne les ai jamais prononcés.
– Et vous les prononcerez quand ?
– Sans doute jamais, entrer dans les ordres n’était pas une bonne idée. L’idée de passer ma vie entière sans embrasser une jolie bouche… sans lécher un joli sein… Rendez-vous compte, très peu pour moi…
– Et vous faites ce genre de confidence à tout le monde ? Ironise Pauline.
– Vous n’êtes pas tout le monde, vous êtes là beauté incarnée…
– Arrêtez donc votre baratin, j’aimerais mieux que vous me répondiez.
– Ma foi, être pris pour un homme d’église possède quelques avantages, je ne vais donc pas crier sur les toits que cela n’est que déguisement.
– Et l’abbé Denis est tombé dans le panneau ?
– Eh bien non justement…L’abbé Denis est un cochon mais il est intelligent.
– Cochon ? Vous l’avez vu faire des cochonneries.
– J’en ai été l’acteur ! Ce coquin a voulu que je l’encule, mais je le confesse, la chose ne m’a pas déplu !

Edouard se lève afin de prendre un pichet de cidre et deux verres qu’il remplit.

– A votre santé !
– Vous avez des projets ? demanda Pauline
– J’attends que les démarches de l’abbé me permettant de consulter les archives du couvent de Ture aboutissent. Si ça ne le fait pas j’ignore ce que je ferais, il me reste cependant une piste…
– La carriole ?
– Oui, la carriole, mais l’abbé ne semble pas pressé de m’autoriser à entrer dans votre couvent. Dieu sait pourquoi ?
– Les desseins de Dieu sont impénétrable…
– Tu parles ! Et vous, vous ne pouvez pas me faire entrer ?
– Ce n’est pas évident, mais je peux toujours vérifier la carriole et t’en parler.
– Faisons comme ça. Savez-vous que nous sommes tous damnés ?
– Hein ?
– Nous sommes tous des pêcheurs, à quoi bon lutter contre les tentations puisque c’est notre destin à tous.
– Un peu de mal à suivre, là.
– Me permettrez-vous d’introduire mon diable dans votre enfer ?

Pauline éclata de rire.

– Ce n’est point l’enfer qui siège entre mes cuisses, c’est le paradis. Et n’y pénètre pas qui veux.
– Il faut une clé je suppose ?
– C’est cela, la clé du paradis.
– Ça tombe bien, je possède cette clé, je vais vous la montrer !

Et Edouard déballa son matériel.

– En voici une drôle de clé !
– Une clé de chair, ma chère !
– Hum, cette clé se suce-t-elle ?
– Bien sûr, une clé bien sucée entre mieux dans la serrure.

A ces mots, Pauline se jette sur le membre viril d’Edouard et fourre tout ça dans sa bouche gourmande.

– Oh, la, la, tu vas me l’avaler !
– Humpf, humpf !

Pauline se livre à quelques mouvements de gorge profonde avant de se livrer à des choses plus délicates, comme titiller le méat avec le bout de sa langue, lécher la hampe avec passion, tourner autour du gland, serrer avec les lèvres… Bref toute la gamme…

– Tu es vraiment une experte ! Qui t’as enseigné à faire de si bonnes pipes ?
– Ma mère !
– En voilà une curieuse éducation !

Pauline préféra ne rien répondre et continua le travail, elle s’amusa à gober les couilles pendantes de l’homme tandis que sa main gauche glissait derrière lui et s’approchait stratégiquement du troufignon.

Une petite pression du doit sur l’anus, elle attend une réaction.

– Mais que fais-tu donc ?
– Eh bien vois-tu, je vais te mettre un doigt dans le cul !
– Mais ce sont des choses qui ne se font pas…
– Alors tant pis pour toi, tu rates quelque chose.
– Essayons, je ne veux pas mourir idiot.

Quel hypocrite cet Edouard, car non seulement il aime ça, mais son trou de balle a connu des introductions bien plus conséquentes, notamment quelque bonnes bites… et il ne s’en est pas plain, bien au contraire.

Feu vert pour Pauline qui agite son doigt frénétiquement dans le fondement du jeune homme qui se pâme de bonheur.

La jeune femme sent qu’Edouard est proche de la jouissance, aussi veut-elle lui offrit un joli final. Elle s’affale sur le fauteuil, lève ses jambes permettant l’accès à tous ses trésors.

– Oh que c’est beau ! S’écrie le jeune homme, béat d’admiration.
– Encule-moi bien comme il faut !

Il ne faut pas lui dire deux fois, à Edouard, il donne quelques bons coups de langue sur l’œillet brun puis approche sa bite…une poussée, ça entre… une autre poussée, ça entre à fond… Quelques va-et-vient et excité comme un jeune loup, il lâche sa purée.

Il décule faisant ressortir une bite spermeuse et un peu merdeuse que Pauline s’empresse de nettoyer de sa petite bouche coquine. Elle adore ça, cette belle coquine !

Le lendemain Pauline rencontrait de nouveau Edouard, l’entrevue fut brève et elle lui indiqua que la cariole du couvent ne présentait aucune anomalie.

La déception fut terrible, Edouard était proche de la déprime, mais l’après-midi une missive parvint au presbytère à l’attention du père Denis qui autorisait en bonne et due forme une personne désignée par lui, à consulter les archives du couvent de Ture.

Edouard vola un cheval en ville puis gagna le couvent de Ture à vive allure.

A suivre

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3 réponses à Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 16 – Pauline et Edouard

  1. Diri Dindire dit :

    Trop coquine cette Pauline !

  2. Bellamy dit :

    Si le mariage des prêtres était autorisé, les curés seraient-ils moins cochons ?

  3. Forestier dit :

    J’aime bien les récits avec des curés cochons

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