– Et maintenant : détente ! Décréta Catherine. Margot, viens donc me voir, je vais regarder quelque chose.
La fille s’approcha avec un grand sourire aux lèvres.
– Oh ! Que vas-tu me faire ?
– Tourne toi et montre-moi tes jolies fesses !
– Ne les connais tu point par cœur ?
– On ne se lasse jamais des jolies choses ! Lui dit-elle en lui écartant les globes fessiers. Maintenant pousse, je suis sûr qu’il reste du sperme dans ton cul, je vais m’en régaler.
– Et si je fais caca ?
– Tu sais bien que quand je suis très excitée, ça ne me dérange pas.
– Cochonne !
– Je sais.
Alors Margot poussa pour chier le sperme que Jehan avait déchargé dans son fondement, Catherine posa sa bouche en cul de poule sur l’anus de sa sœur et l’ouvrit pour en recueillir tout ce qui en sortait. Elle en avala un peu, puis offrit sa bouche à Charlotte, car nos trois coquines avaient un sens aigu du partage.
Ainsi comme vous l’imaginez bien, l’excitation de ces donzelles n’était pas retombée, loin de là.
Charlotte vint à la rencontre de Catherine et lui goba un téton sans crier gare. Margot se dit alors que le sein resté libre risquait d’être jaloux et s’empara de l’autre. Mais les deux filles finissent pas se gêner, alors Margot « descend d’un étage » et s’en va lécher le minou de sa sœur ainée.
Sur sa couche Jehan refuse d’abord d’observer ce spectacle, puis se dit qu’au point où il en est rendu, il peut peut-être regarder juste un peu, c’est donc ce qu’il fait s’étonnant que sa bite redevienne dure comme un gourdin.
Et tandis que Margot continue de lécher l’abricot de Catherine, cette dernière la prévient qu’elle est sur le point d’uriner. Une déclaration qui est loin de rebuter sa partenaire qui ouvre une large bouche afin de recueillir comme il se doit, ce jet doré. Elle se recule un instant pour reprendre son souffle et Charlotte, rapide comme l’éclair vient lui piquer sa place.
Les trois donzelles, ivres de désir, roulent alors sur leur couche, s’entremêlant en d’impossibles postures, caressant, embrassant, léchant, suçant, seins, culs et chatte dans la plus grande confusion, ponctué par des cris de plaisirs.
Et ce jusqu’à ce que fourbues, elles tombent de sommeil.
Pas tout à fait cependant, car Catherine a gardé un œil ouvert tout en faisant semblant de dormir et surveille Jehan.
Celui-ci n’en croit pas ses yeux que les filles l’aient laissé ainsi sans surveillance alors que l’échelle de corde est toujours en place.
Il se lève, et à pas de loup se dirige vers l’échelle, ses mains agrippent la corde, mais déjà il pense à la suite, il lui faut emporter des provisions, ce n’est pas le plus difficile, il lui suffit de prendre ce qu’il faut dans la réserve. Mais il y a les bêtes, les esprits de la forêt, les pièges et surtout il ne saura se diriger. Alors il se dit qu’après tout, ici il est en sécurité, que rien ne presse et qu’il pourra toujours s’enfuir un autre jour. Il rejoint sa couche et s’endort sans voir le sourire de Catherine qui sait qu’elle a gagnée.
Dans la cabane de Florimond, les fugitifs tentaient de s’organiser
– On peut peut-être essayer d’agrandir cet abri ? Proposa le père Godefroy. Juste un peu, on serait moins serré.
– Pourquoi faire ? Objecta Florimond, on ne va pas s’éterniser ici.
– Non, et il faudra nous séparer en sortant du bois, mais pour l’instant on ne sait pas trop où aller. Ce n’est pas si simple, je ne connais pas la partie méridionale du bois, coté Vimoulin, avec le père Godefroy l’autre jour nous nous sommes perdus…Réplique Sarah.
– Père Godefroy, ais-je bien entendu ? S’écria Blanche resté fort discrète jusqu’à présent. Seriez-vous prêtre ?
– Oui répondit l’intéressé, pensant cette demi-vérité sans conséquence.
– Alors mariez-nous !
– Que je vous marie ?
– Oui, je le veux ! Confirma la jeune fille.
– Ça me parait une excellente idée ! Confirma Florimond.
– Bon, je vais me préparer et on va faire ça ! Il y aura deux témoins, ce sera parfait.
Godefroy entraîna Florimond un peu à l’écart.
– Je suis juste un moine ! Je ne peux normalement pas célébrer un mariage.
– Fallait pas dire que t’étais prêtre ! Tu vas faire semblant de nous marier et comme ça, je pourrais la baiser !
– Me voilà surpris ! Je te croyais attiré par les hommes…
– Les hommes c’est bien, mais finalement, les femmes ce n’est pas mal non plus ! Jésus a dit aimez-vous les uns les autres, il n’a pas précisé s’il s’agissait des hommes, des femmes ou des deux.
C’est ainsi que le père Godefroy unit Florimond d’Arbeville et Blanche de Dormelan en présence de Sarah et de Dame Isabelle de Beaulieu.
Pour agrémenter le repas de noces Florimond fit le tour de ses pièges dans l’un desquels un malheureux lièvre avait succombé et le fit cuire à petit feu. Pas d’alcool, il y en avait pas mais une ambiance qui s’efforçait d’être festive, malgré les désillusions des uns et des autres.
Blanche réussit à étonner son monde en invitant vertement son époux à passer aux choses sérieuses.
– Viens me déflorer, mon beau guerrier, viens me baiser !
Ils se retirèrent tous deux dans la barraque !
La chose ne dura pas bien longtemps et on entendit juste le cri de la mariée quand la bite de Florimond brisa l’hymen.
Quand ils ressortirent, Florimond paraissait joyeux mais pas Blanche qui entreprit Sarah à l’écart :
– On te dit sorcière !
– On dit beaucoup de choses !
– Puis-je me confier ?
– Si tu veux !
– Es-tu au fait des choses de l’amour ?
– T’es gentille mais qu’est-ce que ça peut te faire ?
– Tant pis, je voulais me confier !
– Confie-toi !
– On m’avais dit que l’amour pouvait être grand plaisir !
– En effet !
– Ben, j’ai rien senti ! Au moins quand je m’amusais au château à quelques plaisirs défendus mais véniels, j’appréciais les baisers et les caresses, mais là… quelle déception.
– C’est donc ça ? Je veux bien t’apprendre des choses, mais les mots ne suffiront pas, il faudra aussi faire la chose et comment être discrets ici ?
Sarah réfléchit quelques instants avant d’émettre une proposition à laquelle Blanche ne s’attendait vraiment pas !
– Si je partageais votre couche à tous les deux, je pourrais vous faire profiter de mon savoir, tu en a assurément besoin mais Florimond aussi !
– Mais cela est péché, ce que tu proposes est orgiaque !
– Les évangiles n’ont nulle part interdit ce genre de choses ! Demande donc au père Godefroy !
– Alors pourquoi les gens ne le font pas ?
– Les gens ne disent jamais tout ce qu’ils font !
– Mais que dira mon époux ?
– Ne t’inquiètes pas, je m’en occupe !
Pendant ce temps Dame Isabelle rongeait son frein. Quel serait désormais son avenir ? Le petit groupe resterait uni et groupé jusqu’à ce qu’ils sortent définitivement du bois, mais après, chacun choisirait sa route ! Quelle serait la sienne ?
Par ces temps incertains, un homme avait ses chances, un couple peut-être, mais une femme seule ? Outre le risque de se faire violer sur les routes, que pourrait-on lui proposer, sinon servante ou ribaude dans une taverne ! Elle qui rêvait de régner sur la baronnie, elle servirait bientôt la soupe à des gens de peu qui lui peloterait l’arrière-train ! Et il faudrait forniquer avec des types qui n’avaient jamais vu la couleur d’un savon ! Cette pensée lui fit froid dans le dos !
Mais il y avait Sarah, peut-être pourrait-elle l’aider, la conseiller ?
Elle l’aborda :
– Que feras-tu, une fois sortie du bois ? Lui demanda-t-elle.
– Je rentrerai au couvent ! Lui répondit la petite sorcière, provoquant la stupéfaction de son interlocutrice.
– Au couvent ? Toi ? Mais n’es-tu point sorcière ?
– Juste un peu !
– Je voudrais que tu me lises mon avenir !
– Je vais te décevoir, personne ne sait faire ça !
– Que me dis-tu là ? La vieille Marthe me l’a fait dans sa boule en cristal.
– Et elle t’a dit quoi ?
– Que je serais baronne et heureuse en amour !
– C’est raté, non ?
– Juste retardé, j’espère ! C’est pour cela que j’aurais voulu que tu me dises !
– Je peux employer les mêmes méthodes que Marthe, te prédire ce que tu souhaites entendre, et tu en seras satisfaite, seulement tout cela n’est que tromperie. Quand tu prédis tu te sers de ce que dit à demi-mot le consultant pour les répéter clairement, tu sondes ses espoirs, ses craintes, ses attentes et tu lui ressers, tu restes toujours dans le vague mais tu dois affirmer avec force.
– Alors personne ne sait lire l’avenir ?
– Peut-être de grands mages en sont-ils capables, mais je ne crois pas aux grands mages.
– Mais la sorcellerie existe bien, non ?
– Je te répondrai un jour ! Mais pas maintenant !
– Et pourquoi donc ?
– Parce qu’en ce moment nous pourrions faire autre chose ?
– Et quoi donc ?
– Profiter de ce temps clément, s’allonger toutes les deux dans l’herbe et se lécher l’abricot !
– Oh !
– Tu ne veux pas ?
– Mais si, allons-y !
Elles se dirigèrent vers une petite clairière à cinquante mètres de l’abri.
– Nous n’allons pas plus loin ? Et si nos compagnons nous voient ?
– Ils n’en perdront pas la vue.
Prestement, les deux femmes se débarrassèrent de leurs accoutrements.
– Je vais pisser ! Déclare Sarah ! Tu veux me regarder.
– Bien sûr et après je te nettoierais la chatte !
– Je sais que tu adore le goût de ma pisse ?
– Bien sûr ! Tu ne te souviens pas au dernier sabbat tous les hommes qui m’ont pissé dessus et même ce démon… dis-moi c’était un vrai démon ?
– Non, c’était le forgeron du coin…
– Il a un sexe énorme, je n’arrivais pas à le mettre en entier dans ma bouche.
– Alors allonge-toi dans l’herbe, je vais te pisser dans la bouche !
– Mais après ce sera moi qui pisserai !
– Avec plaisir. Répondit Sarah
– Ce qu’on est cochonnes !
– On est pas cochonnes, on aime les bonnes choses.
– Oui, mais on est cochonnes quand même.
– Attention, j’arrive !
La chatte de Sarah descend tout près de la bouche de Dame Isabelle. Un filet rapide ne tarde pas à s’échapper et à s’infiltrer sans son gosier, elle avale avec grande gourmandise, mais elle finit par écarter son visage, étant incapable d’ingurgiter tout ce flot qui semble ne jamais vouloir s’arrêter.
Quand sa miction fut terminée, Sarah ne modifia pas sa position. Dame Isabelle comprit l’invite, d’ailleurs elle l’attendait et entreprit tout naturellement de nettoyer la toison de sa camarade de jeu de toutes traces d’urine à grand coup de langue.
Bien évidemment les caresses buccales de la chatelaine eurent tôt fait de provoquer des frissons de plaisir chez notre jeune et délurée apprentie sorcière qui se mit à pousser des petits cris de plus en plus significatifs.
Sarah ne tarde pas à jouir en poussant un cri fort peu discret et en inondant de ses sucs le visage de Dame Isabelle.
Les deux femmes se relèvent, s’enlacent, s’embrassent, se caressent…
Un bruissement dans les fourrées… Quelqu’un les a observés.
– Holà ! Crie la belle dame, qui es-tu et que fais-tu à nous regarder ?
Nouveau bruissement ! Et patatras, l’indiscret voyeur vient de s’emmêler les pieds dans les racines.
Les deux femmes s’approchent et découvrent le père Grégoire.
– Que fais-tu là satané cochon ?
– Je vous ai vu, j’ai regardé, mais je ne voulais pas vous déranger le spectacle était joli.
– Et tu t’es branlé en nous regardant ?
– Ma foi, comme je bandais bien…
– On fait quoi, demande Dame Isabelle, on le punit, ou on lui suce la bite afin qu’il se calme.
Sarah n’en revient pas de l’appétit sexuel de sa partenaire de jeu.
– Le punir et le sucer ! On peut faire les deux.
– Bonne idée, une telle vilainie mérite bien quelques coups de badines, qu’en penses-tu, Grégoire ?
– Ma foi, si vous ne me frappez pas trop fort et si vous me sucez après, je veux bien me laisser faire.
Isabelle prépare alors une petite branche de noisetier et demande au moine défroqué de se caler contre un tronc d’arbre après qu’il a baissé ses braies.
– Oh, le joli cul tout blanc !
– Ma badine va le faire changer de couleur, il sera bientôt cramoisi.
– Pas trop fort quand même ! Insiste Grégoire.
Un premier coup bien ajusté vint lui zébrer le bas des fesses. Un deuxième coup ne tarde pas à suivre, puis ça dégringole à la volée.
– Ça fait mal ! Proteste le père Grégoire.
– Hum, c’est très joli des fesses de moine avec des traces de badines ! Commente Isabelle, fort fière de sa prestation. Tu peux te retourner maintenant. Oh ! Mais c’est qu’il bande comme un âne ! Quelle belle queue, je la veux dans mon cul ! Mais suçons là d’abord, ça ne rentrera que mieux !
Les deux femmes s’amusèrent alors avec la bite de Grégoire, jouant de la langue et des lèvres, suçant et engloutissant alternativement le gland turgescent, léchant baveusement la hampe et s’interrompant de temps à autres pour se bécoter.
Puis le père Grégoire fut invité à se coucher sur le dos, ce qui permit à Dame Isabelle de s’empaler le trou du cul comme il se doit sur sa bite bien raide et d’y coulisser avec volupté, pendant que Sarah ne voulant pas rester inactive lui suçotait la pointe des seins.
Le pauvre Grégoire n’en pouvait plus et jouit prématurément dans le fondement de la belle chatelaine.
– Connard, tu es parti trop vite ! Je veux que tu bandes encore !
Isabelle se mit alors à bouger de plus en plus vite ne laissant pas la queue de son partenaire se ramollir et finit par jouir bruyamment.
– Allez fous le camp d’ici, laisse-nous entre femmes ! Dit isabelle au moine défroqué qui s’en alla sans demander son reste mais heureux de la tournure qu’avait pris les événements, avec un peu mal au cul toutefois…
– Hum, ça fait du bien, Commenta Isabelle. Viens donc dans mes bras que je te câline.
– Avec plaisir, mais ne m’avais-tu pas promis ton pipi !
– Cela devrait se faire ! Allonge-toi.
Isabelle s’accroupit sur la bouche de Sarah, mais ce n’est point sa chatte qu’elle mit en contact avec sa bouche mais son trou du cul.
– Lèche-moi le cul, je pisserais après.
Sarah ne se fit guère prier, et fit virevolter sa langue sur l’œillet brun encore mal refermée de sa partenaire. Celle-ci poussa évacuant le sperme que le père Grégoire y avait déposé. La petite sorcière accepta cette gourmandise d’autant plus insolite que le sperme était mélangé à des choses plus sombres. Mais voulant montrer qu’elle pouvait être aussi vicieuse que sa partenaire elle quémanda un baiser permettant d’échanger ce qu’elle avait en bouche.
– Je n’arrive pas à pisser, lèche moi l’abricot, ça va venir.
– D’accord, allonge-toi !
– Ça m’a excité de fouetter ce gros cochon. Tu sais au château il m’arrivait parfois de m’amuser avec mes pages, je les accusais d’une faute imaginaire et les faisais se mettre nus, après je les fouettais bien comme il faut, je les faisais marcher à quatre pattes, puis je leur demandais de se sucer la bite. C’est très excitant de voir des hommes se sucer la queue. Je les faisais s’enculer aussi, j’adorais voir ça.
– Et ils ne protestaient jamais ?
– Un tout petit peu, mais dans l’ensemble ça se passait plutôt bien, je ne faisais pas ça avec n’importe qui, non plus. Parfois je m’offrais en récompense.
– Ils te baisaient ?
– N’exagérons pas ! Non je leur montrais ma poitrine et leur permettait de se branler en la regardant et en m’aspergeant. Et ensuite je les autorisais à me lécher mes seins maculés de sperme, il y en avait un qui adorait ça, le petit cochon… Parfois je faisais mes besoins devant eux et leur intimait l’ordre de m’essuyer… Allez maintenant trêve de bavardage, je veux sentir ta langue de sorcière dans mon trou à foutre.
C’est que c’était bien poisseux là-dedans, la chatelaine mouillait comme une éponge, mais cela n’importunait nullement la petite sorcière qui se régalait de ces sucs au goût de miel. Après avoir longuement et convenablement lapé tout ça tel un petit chat dans son assiette de lait, sa langue vint butiner le petit bouton d’amour qui fièrement redressé n’attendait que ça.
– Mets moi un doigt dans le trou du cul en même temps ! Implora Dame Isabelle.
Sarah obtempéra et fit glisser et bouger son doigt dans l’œillet plissé. Aussi la jouissance de la chatelaine fut quasiment immédiate et fulgurante.
– Et maintenant, je peux pisser ! Dit-elle après avoir récupéré pendant quelques secondes.
Elle ne se releva pas, Sarah resta entre ses cuisses, bouche ouverte et avala se précieux nectar en s’en régalant.
– Ça m’a donné faim, mais on n’a pas grand-chose à manger à part des vieilles pommes.
– J’ai repéré un buisson de mûres un peu plus loin, on y va !
– Le couvent, c’est sérieux ? Demanda Isabelle.
– Oui, l’idée c’est de ne pas m’y éterniser, quelques semaines au plus, le temps de souffler en sécurité et de me trouver une idée pour survivre ensuite. Parce que pour l’instant les idées, ça ne vient pas.
– Tu m’emmènerais avec toi au couvent ?
– Mais bien sur ma biche !
– Est-ce ainsi qu’on s’adresse à Dame Isabelle ? Rétorqua-t-elle avec un feint courroux.
– Oui ma biche !
A suivre
Si on sentait une certaine retenue érotique dans la structure des épisodes precedents, ici ça démarre au quart de tour et ça n’arrete pas. Un vrai tourbillon
J’avoue que le fantasme est plaisant. Imaginez trois fées blondes planquées dans les bois et nymphomanes en plus !
L’amour dans les bois
Me mets en émoi
L’amour près de la marre
Me fait frémir mon braquemart
Heureusement que ce récit
Vaut mieux que ces pauvres rimes
Je vais m’astiquer la pine
Et à Léna dire merci
Une saga passionnante que ce soit du point de vue du scénario ou du point de vue de l’érotisme, cet épisode est tout à fait émoustillant