La vendeuse – 3 – Julie/Loïc et moi par Fabien
Julie/Loïc et moi par Fabien
Ceci est une fiction, bien évidemment il est préférable de se protéger avant de continuer à s’amuser.
Julie/Loïc et moi
– Tu finis à quelle heure ?
Si il y a bien une chose que je n’aime pas ce sont les gens qui gueulent dans leur portable et qui en font profiter tout le monde. Au resto, dans les salles d’attente, les transports en commun, les magasins…
– T’es où ? T’es où ? Non mais t’es où ? Parfois j’ai envie de répondre à la place du correspondant, j’suis chez moi, en train de couler un bronze ! Désolé pour le bruit au moins t’as pas les odeurs. Putain je ne sais pas ce que j’ai bouffé mais ça fouette grave.
Alors quand je travaille, les clients qui font profiter de leurs conversations, ça m’énerve grave.
– Hey, beau mec, je te demande à quelle heure tu termines ?
Nous étions le vendredi, je n’avais remarqué personne qui aurait pu être un de mes amants d’une nuit. Je n’avais pas de nouvelles ni de Jérôme, ni de Julie. Après tout nous ne sommes pas mariés.
– Hey Benoît, c’est à toi que je parle.
Une jeune nana s’était plantée devant moi. Très mignonne.
– Réagis mec, c’est moi Julie.
Julie ? Mince je ne l’avais pas reconnu.
– Bonsoir, désolé j’ai cru que c’était un excité du portable.
– Alors, à quelle heure terminés-tu ?
– Vingt heures ! Pourquoi ?
– Vingt heures, merde alors.
– Je travaille dans un magasin situé dans un centre-commercial.
– Fais chier quand même !
– Et tu veux quoi exactement ?
– Mes parents sont partis en Bretagne.
– Et ?
– Et ? Et nous sommes tranquille pour…enfin tu sais quoi. Comme ça demain soir tu m’emmène là où tu as été…
– Attends un peu, je ne suis pas sûr que ce soit une très bonne idée…
– Moi je trouve que si, on va s’amuser comme des fous.
Je commençais très sérieusement à regretter de lui avoir tout raconté. O. K. je peux baiser avec lui, et j’en ai foutrement envie, sans que je risque quoique ce soit. Mais pour le reste c’était impensable.
– Ecoutes, il faudrait que l’on parle de tout ça très sérieusement.
– D’accord
– Mais pas ici, je bosse si tu n’as pas remarqué.
– D’accord. On va chez-toi, on bouffe, on baise et on parle. Ça te va comme programme ?
– D’accord. Vas m’attendre en face de…
Malade, j’étais complètement malade d’avoir accepté. D’un autre côté, un, je ne voulais pas que mes collègues me posent trop de questions au sujet de Julie. Julie ? En fait elle s’appelle Loïc et il a un petit cul et une bite qui me font saliver. Et deux, mon boss traînait dans les parages.
Elle/il était à l’endroit prévu. Nous avons gagné le parking pour récupérer ma voiture. Direction mon appart.
– Je peux te demander quelque chose Loïc ?
– Tout ce que tu veux.
– Est-ce que tu peux redevenir un garçon ?
– Tu n’aimes pas comme je suis ?
– Si, mais j’ai envie de faire l’amour avec un mec. La prochaine tu pourras te vêtir comme ça et même en plus hot.
– D’accord, cela ne me pose pas de problèmes.
Une fois chez-moi, je lui indiquais la chambre et la salle de bain. Pendant ce temps je préparais un petit repas tout simple. Pain de campagne, melon, jambon de pays et fromages.
Je ne l’ai pas entendu sortir de la chambre et quand je me suis retourné pour déposer les plats sur la table… Pour sûr, Julie était redevenue Loïc et Loïc était nu. Complètement nu avec sa bite dressée vers le plafond. Et quelle bite les amis. Pas trop épaisse, mais je vous dis pas la taille. Ouah ! Il s’est lentement tourné sur lui-même et m’a montré son petit cul. Un joli petit cul tout blanc et sans poils. D’ailleurs il n’avait rien sur son pubis non plus. Je me suis sentis, soudain, très à l’étroit dans mon pantalon de travail. Je me suis approché de lui et je n’ai pas su résister. Je l’ai couvert de baisers sur tout le corps. Je l’ai embrassé sur la bouche avec fougue et avec tendresse. Pendant ce temps, lui, s’est attaqué à dégrafer mon pantalon. Il n’eut aucun mal. Ma bite déformait mon caleçon moulant. Il le fit glisser pour laisser apparaître mon érection. Le repas allait attendre. J’ai ôté toutes mes fringues et je me suis collé à lui. Nos bites étaient en contact. Nous nous mimes à bouger nos bassins dans un rythme langoureux. Je le regardais dans les yeux. Il était très beau. J’étais en train de me poser la question qu’il devait y avoir des dizaines de filles qui voudraient baiser avec lui.
– Tu baises avec des nanas ?
– Non, je suis pédé à 100%, mec.
Satisfait de la réponse, je l’ai de nouveau embrassé. J’aimais le goût de sa bouche, le contact de sa langue humide et chaude.
Je l’ai entraîné jusqu’à la chambre. Il allait falloir résoudre un problème. Nous étions tous les deux passifs. Je lui ai glissé un mot à l’oreille et il m’a fait signe qu’il était entièrement d’accord.
Il s’est mis à genoux et a commencé à me sucer. Si jeune et déjà un as de la pipe. Quel glouton. Il était vraiment très doué, tellement doué que j’ai faillis jouir dans sa bouche. Je me suis retiré et je l’ai l’embrassé. Je lui ai embrassé le cou, les épaules, les aisselles. Il me rendait fou de désir. Je l’ai saisis aux hanches et l’ai basculé sur le lit. J’ai rapproché son petit cul du bord du lit. Il écarta les cuisses et m’appuyant sur celles-ci je le pénétrais tous en douceur. Ma queue ne rencontra aucune résistance, elle glissa en lui avec une telle facilité qu’une fois encore je me disais que ce mec était une vraie petite salope assoiffée de sexe.
– Vas-y mec, vas-y je suis tout à toi me lança-t-il.
Pas besoin de me le répéter deux fois. Je pris un rythme soutenu. Je contemplais son corps, sa bite raide comme un bout de bois, son visage. Je m’enivrais de sa jeunesse. Je l’ai fait se tourner et continuais à le baiser.
La vendeuse – 3 –
– Loïc, tu es un petit démon, tu me rends fou ! Je vais jouir dans ton petit cul.
Je me suis lâché et j’ai poussé un râle profond. J’ai joui intensément en lui. Son visage était une invitation au plaisir. Il me souriait. Il était beau.
J’ai glissé ma bite hors de son délicieux petit cul et me suis agenouillé entre ses cuisses. Avec voracité j’ai léché son anus encore vibrant. Il y coulait un peu de mon sperme. J’étais comme enivré. Loïc réagissait à mes coups de langue en se tortillant et en poussant des gémissements qui accentuaient le plaisir que j’avais à lui bouffer le cul. C’était la première fois que je faisais ça avec un de mes amants.
Mon sexe avait repris de la vigueur et de nouveau je le pénétrais. Sur son visage j’ai vu un signe de reconnaissance. Oui il aimait être sodomisé. Et je me suis appliqué à faire monter son plaisir et le mien. Lorsque nous sommes arrivés au paroxysme de notre chevauchée, nous avons tous les deux jouis sans retenue. Il n’a pas éjaculé comme je l’avais fait une semaine plus tôt, lorsque le patron de la boîte m’avait baisé dans son bureau.
Épuisés, nous nous sommes longuement embrassé. Je l’ai regardé attendant son assentiment. Il m’a souri et me donna le feu vert
– Vas-y gros cochon, vas-y suces moi et après je vais te baiser.
Je n’ai pas perdu de temps et je me suis mis à déguster, lécher, sucer, avaler sa jeune et magnifique bite.
Il était resté sur le dos et je me suis levé d’entre ses cuisses et je me suis assis sur cette bite tant bichonnée par ma langue avide.
Oh oui, elle me comblait parfaitement bien. Je restais un instant sans bouger. Il était en moi et je savourais l’instant
Loïc nous fit changer de position et me coucha sur le ventre, le cul tendu vers les étoiles ou plutôt vers sa bite. Il imposa un rythme soutenu. J’étais bien ainsi. Je le laissais faire ce qu’il voulait. Quel pied je prenais.
Il se retira et approcha sa bite de mes lèvres. Je pris son chibre dans ma bouche et le suçais avec gourmandise. Il éjacula dans ma bouche. J’essayais de garder son sperme et je me suis relevé pour l’embrasser. Salives et sperme. Sacré cocktail.
J’étais repartis dans une frénésie sexuelle commets le week-end passé.
Nous sommes allés manger un morceau avec appétit. Puis nous avons retrouvé notre baisodrome. Mon lit. Nous avons de nouveau fait l’amour. Au petit matin, nous avons avalé un petit déjeuner. Je devais travailler de bonne heure. Je ne pouvais pas me permettre d’arriver en retard.
Je le déposais à un arrêt de bus.
– Comment dois-je m’habiller pour ce soir et à quelle heure y allons-nous ?
– Tu veux vraiment y aller ?
Il me fit un signe affirmatif.
– D’accord, reposes-toi. Habilles-toi en mec. Tu as toujours ton petit short que l’on a acheté chez Dita ?
– Oui
-Parfait mon chou, mais ça et un petit top qui va bien avec. Maintenant tu sais où j’habite, alors viens vers 22 heures. Ça te va ?
– Oui.
Nous nous sommes embrassés et je suis parti travailler.
À suivre…
Fabien
Mignon, sans plus