Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne –12 – Les cousins par Maud-Anne Amaro

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne –12 – Les cousins par Maud-Anne Amaro

Jean-Yves Lamboley arrivé à Bourg-la-Nonne repère de suite le château, il l’a déjà vu en photo sur le courrier du notaire, mais là il est devant lui

– C’est loin d’être le plus beau château de France mais il a de la gueule malgré son côté rafistolage, et bientôt ce sera peut-être MON Château !

Il se présente à l’entrée, Camilla lui ouvre et l’introduit auprès de Grégoire Lamboley.

– Bonjour, je suis Jean-Yves Lamboley, nous sommes cousins m’a-t-on dit ?
– Enchanté.
– Je me devais de faire cette visite de politesse.
– Asseyez-vous, puis-je vous offrir un vieil armagnac, il provient de la cave de notre grand oncle
– Volontiers.
– Si j’ai bien compris, nous sommes les deux héritiers, quoi qu’il y a ma mère également…
– C’est en effet ce que m’a indiqué le notaire.
– Sans doute devrions nous en discuter ?
– Très certainement, mais comment trouvez-vous cet Armagnac ?
– Il déchire. Mais pourquoi cette digression ?
– J’ai envie de vous dire quelque chose.
– Je vous en prie.
– Je vous trouve très beau, vraiment très beau !

Jean-Yves s’attendait à tout sauf à ça.

– Seriez-vous attiré par les hommes ? Répondit-il par reflexe
– Cela m’arrive, cela m’arrive …
– Confidences pour confidences, je suis gay
– Eh bien au moins les choses sont claires, en d’autres circonstances je vous aurais dragué.

Un ange passe, les deux cousins paraissent aussi embarrassés l’un que l’autre. Mais c’est Jean-Yves qui relance au culot :

– Remarquez, nous pourrions oublier les circonstances, je vous plais et vous ne m’êtes pas indifférent non plus. On ne vit qu’une fois sacrebleu !
– Eventuellement seriez-vous contre un petit trip sexuel, cela nous détendrait et permettrait de briser la glace ? relance Grégoire Lamboley.
– Mais ce serait avec grand plaisir mon cher cousin !
– Je peux me permettre de vous toucher la braguette ?
– Je vous en prie, faites comme chez vous !
– Hum, je sens quelque chose de dur !
– Comme c’est étrange ! Fouillez à l’intérieur vous avez ma permission.

Grégoire Lamboley plane complétement, il est fasciné par la beauté trouble de son cousin, il lui dégrafe sa ceinture, fait tomber le pantalon, le caleçon à fleurs suit, la bite se dresse fièrement.

– Bel organe !
– Nous pourrions peut-être nous déshabiller tous les deux, se serait cool.
– Alors soyons cools.

Les deux cousins se déshabillent donc et se font face, bites bandées et ne peuvent s’empêcher de se rouler une gamelle bien baveuse.

– Vous me faites un de ces effets ! Murmure Grégoire.
– Au point on nous en sommes nous pourrions sans doute nous tutoyer.
– Cela va de soi, mon prénom c’est Grégoire, juste Grégoire, j’ai horreur qu’on m’appelle Greg. j’aime bien tes tétons, tu aimes qu’on te les pinces.
– Oui pince-les fort ! Et toi tu aimes aussi ?
– J’adore !
– Nous sommes décidemment fait pour nous entendre.

Et nos deux joyeux gays s’amusent à se tortiller les bouts de seins, fantaisie propre à saisir leur bite comme des bouts de bois.

Et à ce stade, qui va le premier sucer la bite de l’autre ?

Eh bien c’est Grégoire qui d’une simple flexion se retrouve bouche contre pine.

Elle est trop belle cette queue, bien droite, la peau diaphane laissant apparaître une impertinente veine bleue, le gland brillant et violacé… un véritable bijou d’amour !

Grégoire pompe cette bite avec une frénésie incontrôlable tandis que sa main passé derrière Jean-Yves, lui flatte les fesses et s’approche stratégiquement du trou de balle.

– Tu suces bien…Mais j’aimerais bien profiter aussi de ta queue…

Grégoire lui fait signe qu’il a compris mais qu’il souhaite encore profiter de sa fellation quelques instants.

Il lèche la hampe, titille le gland, flatte les couilles… toute la gamme du bon suceur de bites…

Puis les deux hommes échangent leurs rôles, Jean-Yves suçait divinement et faisait se pâmer d’aise son cousin, mais Grégoire voulait jouir d’une autre façon…

– Tu aimerais que je te baise ?
– Volontiers.

Il se dirige vers le buffet, cherche des préservatifs, ne les trouve pas et sonne l’interphone.

– Camilla, je ne trouve plus les capotes…
– Ah ? Dans votre chambre, sans doute !
– Bien sûr, suis-je bête !
– Vous pouvez me les apporter ?
– Bien sûr, monsieur !

Et quelques minutes après, elle apparaissait avec les préservatifs dans sa main, pas plus étonnée que ça de découvrir son patron et son visiteur nus et en pleine forme.

– Merci Camilla, c’est pour sodomiser mon cousin !
– J’avais compris, amusez-vous bien !
– Elle est marrante ta soubrette ! Indiqua Jean-Yves, une fois qu’elle fut sortie.
– Elle est adorable.

Jean-Yves s’est retourné, il est arcbouté contre un fauteuil, cul tendu. Grégoire vient lui lécher la rondelle à grands coups de langue, puis après s’être encapoté le zigouigoui, il encule son cousin .

– Ou, vas-y met la moi bien profond !

Justement c’est ce qu’il fait ! La bite fait de longues allées et venues dans le conduit rectal, Jean-Yves pousse des gémissements de plaisir tout en se branlant., Grégoire s’agite de plus en plus vite, son sang lui monte à la figure, il sent sa jouissance proche, il tente de ralentir mais s’en avère incapable, alors il se laisse aller et prend son pied avec un grognement de satisfaction.

– Eh bien, ça m’a donné chaud, je n’étais pas vraiment venu pour ça. Déclare Jean-Yves en se rhabillant.
– Les choses ne se passent jamais comme on croit qu’elles vont se passer. Répond doctement Grégoire.
– Oui mais à ce point… Il nous faut malheureusement revenir sur terre, et parler du château…
– Le château ? Et si nous l’achetions à deux ?
– Voilà une proposition inattendue, mais elle ne me déplaît pas.
– Topons là, mon cher cousin !

Mais voici que le professeur Martinov se pointe comme une fleur.

– Euh, je suis désolé, j’aurais dû frapper, je ne pouvais pas savoir…
– Allons, allons, Monsieur Martinov, ne jouez pas les jeunes filles, nous sommes entre adultes, que diable ! Ah, je vous présente Jean-Yves, mon petit cousin. Il a un jolie bite, n’est-il pas ?
– Enchanté ! Monsieur Lamboley, nous avons fait des sondages à l’aide d’instrument pointus…
– Oui, le coupe Grégoire, ce château est plein de mystères, des passages secrets, des chambres secrètes j’ai même cru un moment qu’il était hanté, heureusement que vous êtes là, mon cher professeur Martinov pour m’aider à y voir clair.
– Donc, put reprendre le professeur, je pense que ces pièces sont murées, on ne va pas donner des coups de pioches, je vous suggère que nous descellions les pierres avec précaution.
– Faites, mon vieux, faites, souhaitez-vous vous faire assister par un maçon ?
– Non mais il va falloir me dire où sont les outils, sinon je peux toujours aller en acheter.
– Voyez avec Camilla, elle va vous indiquera où se trouve tout ça ! Je vais l’appeler…

– Monsieur me demande ?
– Camilla, le professeur Martinov va avoir besoin de vous, vous verrez avec lui…
– Bien Monsieur
– Ce n’est pas tout, ce soir prévoyez un diner pour quatre personnes,
– Faut que je fasse des courses, alors ,
– Mais faites, mon petit, faites ! Et dernière chose vous préparerez une de nos chambre d’amis pour mon cousin Jean-Yves.

A suivre

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne –12 – Les cousins par Maud-Anne Amaro

  1. Stablinski dit :

    Un cousin qui sort de nulle part… Un cousin coquin

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *