Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 39 – Au nom du Père… par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 39 – Au nom du Père… par Verdon

Je reviens sur cette joyeuse saga qui se passe dans un petit hôtel d’une ville de province, le « au Coin du feu ».

Comme vous m’avez l’air de vous intéresser à ce qui s’y passe, ça va nous permettre de renouer avec quelques personnages fort sympathiques qui ont soit la cuisse légère, ou qui font preuve de beaucoup d’habileté pour user de leurs belles dispositions et dépenser leur énergie sur le dos très complaisant de leur entourage.

Bien sûr on va retrouver Gertrude, la patronne, une sacrée garce celle-là et Adèle sa nièce qui a pris de la graine, à travailler chez sa tante.

Je ne vais pas vous faire la liste des anecdotes précédentes. Vous les avez déjà lues (ou bien revenez en arrière… ).

Rappelez-vous, y a eu de la baise, des sodos, des cochonneries, des pipes et de bonnes léchouilles… enfin un tas de petits bonheurs pour vous faire bander et mouiller.

(Marinette, ma coiffeuse, me raconte que le soir, assise sur son lit, les cuisses ouvertes, elle lit à haute voix mes histoires, pendant que son mec il lui bouffe la foufoune… Hi, hi !), alors faites comme eux… profitez-en !… Retournons à nos moutons (brebis)

Aujourd’hui, notre petit hôtel reçoit un visiteur pas ordinaire.

Lorsque Adèle relève la tête pour voir qui est-ce qui se présente devant le comptoir, elle est tellement surprise à la vue de ce personnage, qu’elle en reste bouche bée, (humm ! la bouche d’Adèle… rien qu’à la décrire… ça me fait bander !), elle est incapable de dire un mot !

– !!!
– Bonjour Mademoiselle, excusez-moi de vous déranger, c’est pour savoir si je peux réserver une chambre chez vous.
– Euh ! Oui ! Non !… Bonjour… Je ne sais pas, Permettez, je vais voir si c’est possible… et elle file voir sa Tante dans la cuisine…

Si elle est tant déstabilisée notre demoiselle, c’est que devant elle, c’est un curé qui recherche une chambre pour ce soir.

Un curé, un vrai, avec soutane, tonsure sur le crâne et galoches aux pieds, un col blanc autour du cou et une toque sur le crâne… (et à savoir quoi, entre les jambes… bon, ça c’est moi qui en rajoute !).

– Ce n’est pas vrai, Tantine ! Il y a un curé à la réception… .Un curé, tantine ! Chez nous ! Ce n’est pas possible !
– Allons, du calme ! … Un curé !… ce doit être une erreur… Il s’est trompé d’adresse… On va l’orienter, il y a une cure pour cela… Je vais voir. Attends-moi, je vais arranger cela… Bonjour mon père, vous désirez réserver une chambre pour ce soir ? Vous savez, notre hôtel est très petit… je ne sais pas si ça va vous convenir, la chambre n’est pas très confortable… je crois que vous devriez… .… .
– Ça ira très bien, je ne suis pas exigeant. Je viens remplacer le curé de votre paroisse. Il prend sa retraite et en attendant son départ je ne peux pas loger à la cure. Alors si vous pouvez me recevoir pendant quelques jours, une semaine ou deux, tout au plus !
– Ah ! Deux semaines !… Voilà autre chose !… Hum !… Eh bien je vais vous donner la chambre d’ami… vous y serez bien et ce sera un honneur de vous recevoir…
– Merci beaucoup, mais ne changez rien à vos habitudes… Je serais très discret et dînerai tous les soirs si vous me permettez.
– Dîner le soir… Ah !… .Oui… On vous fera dîner, bien sûr, Adèle, ma nièce vous servira à souper

Gertrude va retrouver sa nièce pour lui dire que finalement, le curé va rester plusieurs nuits à l’hôtel.

– Je ne peux tout de même pas le mettre à la porte ! On va le recevoir. Ma fille, il faut lui réserver beaucoup d’égard et de la discrétion… Il y va de l’honneur de notre maison. Et puis un curé… C’est un client et c’est un homme comme les autres… n’est-ce pas !

La pauvre Adèle est complétement affolée.

– Mais Tatie, il ne sait pas où il est tombé ce curé !… Ce n’est pas la cure ici !… Ce n’est pas la maison du bon Dieu… On ne peut pas le recevoir… Moi, je ne sais pas comment on parle à un curé !
– Eh bien, avec ta bouche, comme avec les autres… (oui avec ‘les autres’… la bouche, elle sait faire… mais autrement !)… ..
– Bon ! On va l’accueillir. D’ailleurs, il occupera la chambre 4 et on va lui servir à souper tous les soirs.
– Non ! Pas dans la chambre 4, elle est réservée ! (pardi… c’est dans cette chambre qu’elle se fait sauter par Mr le Comte, tous les mercredis, Adèle). Qu’est-ce qu’il va dire quand il va savoir, monsieur le Comte ?…
– Eh bien, le Comte, il n’aura rien à savoir, tu seras aussi muette que ta foufoune… On le fera patienter… tiens… tu auras tes ragnagnas … .ça va permettre à ton trou du cul de prendre un peu d’aise et tu pourras t’occuper un peu du mien… petite salope ! ça fait longtemps que tu ne m’as pas grignoté le trou d’évent !
– Oui, alors, bonjour le raffut ! Pendant qu’on va se gamahucher, l’autre, à côté, il récitera ses prières !… « Au nom du Père et d… ..Hi, hi ! ».…
… … … … … … … … … … …
A 19 heures, comme prévu, arrive notre homme du culte (oui j’ai bien dis ‘culte’, voyons, ne commencez pas à avoir l’esprit malicieux, de bon matin !).

Adèle l’installe à la même table qu’avait occupée Armand, il y a quelques temps (oui celui qui lui avait mis la main au cul… rappelez-vous !). Bien sûr, ça lui rappelle un sacré souvenir, mais n’allez pas croire que c’est un fait exprès. D’ailleurs, elle ne s’est pas faite aguichante. Au contraire… Sa poitrine rebondissant, disparaît sous un voile comme sous une bâche de camouflage au débarquement, et ses jambes sont recouvertes jusque sur les chevilles.

Quand elle lui apporte la soupe, il est assis sur sa chaise. Debout derrière lui, elle le toise et peut se permettre de l’observer délibérément.

En fait il n’est pas mal ce curé… C’est un bel homme. Jeune, la trentaine, cheveux noirs, visage avenant, l’œil presque coquin (qu’est-ce qu’elle va imaginer la vicieuse !), il exprime la douceur, la bonté, et même un petit air guilleret. Du coup, il lui paraît sympathique.

– Bon appétit Monsieur le curé
– Oh que voilà une bonne soupe. Je vous remercie Mademoiselle. Vous êtes l’employée de la maison ?
– Je suis la nièce de Madame Gertrude, la patronne de ce petit hôtel. Nous travaillons ensembles. Elle a eu la bonté de m’embaucher et je m’applique à bien faire mon boulot en étant très aimable avec la clientèle.
– C’est que vous devez avoir de belles qualités, Mademoiselle. Je vous en félicite.
– Merci monsieur le curé, dit-elle en rougissant… je suis toute à votre service.

Du coup, au dessert, elle a quitté son fichu. Ses roploplos qui ballonnent dans son chemisier, n’ont pas l’air d’indisposer le saint homme. Il la dévisage avec un franc sourire, non sans un petit coup d’œil sympathique sur l’ouverture du décolleté.

Bon sang ! Mais c’est qu’il a même du charme ce curé, se dit Adèle. Quel malheur qu’il se trimballe dans ces frusques abominables !… Tiens ! Je serai bien curieuse de le voir à poil celui-là ! Hi ! hi ! Sûrement que sous sa soutane il doit y avoir du beau monde en réserve ! (on sent la réflexion d’une connaisseuse… ).

Il faut que je me l’embobine ce Monsieur… Il n’a pas l’air farouche et j’ai vu qu’il s’est intéressé à mes seins. Il va falloir jouer serré. J’en ai marre de me taper toujours le Comte et des vieux cons. Un beau curé à dévergonder… pourquoi pas ? Putain, ça m’excite… ça m’excite ! Non ! Mais je suis devenue folle…

Ce soir en se couchant ce n’est pas à la belle bite de Monsieur le Comte qu’elle pense Adèle, non, elle se dit que dans la chambre 4, à côté de la sienne, il doit y en avoir une encore plus belle, une jeune, pas usée et sûrement en pleine forme… Ah ! Elle aimerait bien l’avoir dans son lit, celle-là !… ..un doigt dans son minou, elle mouille déjà la friponne.

Avant de continuer notre histoire, il me faut tout de même vous présenter ce fameux hôte qui met tant en émoi, aujourd’hui, nos deux hôtelières. On va l’appeler Marcus, c’est le nom que lui a donné sa confrérie.

Donc ce cher Marcus a eu le malheur ou le bonheur (c’est selon), de naître dans une de ces familles nobles qui se vantait encore à cette époque (début du 20ème siècle), d’avoir dans leur progéniture, au moins un prêtre et un miliaire.

Lui c’est le curé. Il fait donc ses études au séminaire, on ne lui a pas laissé le choix. Pendant que son frère et sa sœur s’envoient en l’air avec les gars du coin, lui il dit des prières…

– Au nom du Père et d… ..Seigneur préservez-moi des démons et des mauvaises filles… et patati et patata… et il s’endort les bras sur la poitrine.

Nigaud, il n’est jamais allé fureter sous les jupons des filles et ne sait pas ce qu’elles ont dans leur culotte. Ce sont des tentatrices qu’il ne faut pas fréquenter.

D’ailleurs, ce sont des vicieuses… Maintenant qu’il est curé, il faut voir la langue qu’elles lui tirent le dimanche matin, toutes ces bourgeoises, quand il leur donne la communion !

Jusque-là, il n’avait jamais remarqué combien la bouche d’une femme, pouvez être ensorcelante. Elles l’ouvraient tellement qu’il aurait pu voir leur fond de culotte le malheureux ! Alors il baisse les yeux, pour ne pas pécher bien sûr, (mais aussi, sans doute, pour plonger son regard dans la profondeur de leur décolleté !).

Elles ont l’œil aguicheur. Leurs poitrines bien remontées dans leur corset ont le bel aspect des miches qui sortent du four du boulanger ! Mais lui, il ne fait pas attention à tout ça… il officie saintement… quoique, il a tout de même, des émotions et des démangeaisons qui le tracasse.

Ces langues, ces œillades et ces embonpoints, ça le trouble beaucoup le pauvre et saint homme ! Des fois il aimerait saisir une badine et leur corriger (au nom du Père… ) le charnu à ces hypocrites qui retournent à leur place en remuant leur popotin comme des femelles devant le coq !

Aussi ne se sent-il pas bien avec les femmes… Côté face, ça l’impressionne… Côté dos, c’est différent… il n’a pas à soutenir leur regard aguichant, tandis que leur bas du dos lui inspire de confortables attirances, mais aussi le souhait de vigoureuses corrections.

(peut-être quelques bons coups de bite au cul et une bonne fessée, ose-t-il, diaboliquement penser !).
… … … … … … … … … … … ..
Les garçons, il connaît mieux. Au séminaire, il s’est fait bousculer parfois par des plus grands qui lui ont expliqué justement, pourquoi le coq sautait sur la poule. (ils ne lui ont pas fait qu’un dessin !).

Il a eu un peu de mal à comprendre. Ça se traduit d’abord, par une profonde émotion. Il découvre, en même temps ce que c’est la chaleur humaine dont on lui parle si souvent au cours de ses saintes études !

Pourtant, surpris par un méchant éducateur, au cours de ces bons apprentissages, il est puni vertement par une fessée distribuée devant tout le monde, afin de lui enlever toute envie de recommencer.

Pas très traumatisé par la sévérité de la punition, il ne garde pas un trop mauvais souvenir de la paluche de son directeur, qui s’attarde avec une insistance particulièrement généreuse sur ses rondeurs fessières… .il apprécie un peu la flatterie et il remarque qu’il a un bien gros doigt, le dirlo !… ben mes amis !… .Ah ! Si vous saviez !…

C’est alors qu’il en vient à penser que le charnu des unes et des autres est un bon défouloir pour certains qui ont besoin d’exprimer leur tendresse ou leur fougue sur le dos des autres. Il en conçoit des idées bizarres et des gestes pas désagréables, qui l’amènent à se branler fréquemment, en se mettant le doigt au bon endroit.

Inquiet et gêné, il n’ose pas se confier à son directeur de conscience. Un jour il est tout surpris de trouver, cachés dans la bibliothèque de ce dernier, des manuscrits et des revues avec des écrits et des dessins très explicites qui pour le moins, n’ont rien à voir avec des livres saints !

Il subtilise un livre, pour le lire en cachette, dans les WC. Bien sûr, ça le fait bander, et tant il se branle, qu’il éjacule en trempant plusieurs pages du bouquin !

– Alors Marcus ! On ne sait pas se retenir quand on lit de belles histoires saintes ?

Il a honte notre séminariste et il craint les plus vives représailles de la part de son confesseur qui a découvert le forfait…

Il ne sait plus où se mettre et il bafouille n’importe quoi…

– Euh !… .Je ne recommencerai plus, Padre ! mais je n’ai rien vu…
– Ben voyons… Tu as seulement éternué… cachottier !… oh, ce n’est pas un péché ! À 19 ans… il est temps de t’instruire… et comme plus tard, il te faudra donner l’absolution aux pécheurs, il te faut bien connaître leurs vices et leurs dépravations… attention aux pécheresses, mon fils, toutes des garces !… Rappelle-toi d’Eve !… des perverses qui font perdre leur âme aux hommes !

Il est tout contrit et interloqué le séminariste. Alors pour le rassurer, le Padre ouvre sa soutane et sort son agrément naturel. (celui que le bon Dieu donne aux hommes). Ça impressionne Marcus.

Là, devant lui, son directeur de conscience lui déballe, décontracté, son service trois pièces, avec une dégaine déconcertante.

Il est surpris le jeune homme. Il y a de la honte sur son visage. Mais il ne détourne pas pour autant son regard. Au contraire, il ouvre grand ses yeux. Il le trouve beau ce sexe. Il a envie de le toucher. Il hésite d’abord mais devant la condescendance du vieil homme, il pose sa main sur le gros paquet. C’est chaud, c’est drôle, il s’aventure à tripoter le machin long, le soulève. Il n’est pas raide comme le sien ou celui des copains. Il est flasque, posé sur de gros roustons moelleux comme des coussins.

Prenant le tout dans ses mains, il perçoit les couilles sous la peau et les fait rouler avec délicatesse entre ses doigts, comme des billes dans un sac. Qu’est-ce que c’est doux !

Ça a l’air de faire plaisir à leur propriétaire qui écarte ses cuisses et pousse son gros ventre en avant en lui faisant signe de continuer.

– Ah ! C’est bon ! Bonté divine… que c’est bon !

Il est dérouté Marcus ! Ça ne se fait pas une chose pareille ! C’est la première fois qu’il touche la bite d’un homme âgé. En plus, c’est un curé vicieux et âgé.

Peut-être qu’à cet âge, c’est moins grave. Il est sans doute plus près du bon Dieu qui doit lui pardonner quelques incartades qui ne sont pas bien graves. (montrer ses vieux attributs à une jeune recrue, ça doit être permis !).C’est sans doute la récompense de tant d’années de privations (quoique ?).

Ça encourage Marcus qui continue ses explorations.

Avec ses doigts il retrousse la peau flasque du pénis. Ça fait émerger le gland violacé du bon père. Alors il bande, l’éducateur… Oh pas très fort ! Décalotté, ça vient !… Il se redresse son chichi… Il devient fébrile le vieux ! Et puis il y a aussi cette odeur ! Une bonne odeur, un peu forte, une odeur de vieux bouc… en somme.

Saisissant le poignet du séminariste, il l’invite à activer ses va et viens. Encouragé, le futur abbé saisit le tuyau à pleine main et il branle le vieux machin comme si c’était le sien.

– Oui ! Continue… (il s’impatiente… ) … comme ça… Oui va s’y, que Diable !… Voilà, humm ! où as-tu appris à faire cela… ça te plaît… mécréant ! Ne ralenti pas, ne change pas de main… Humm !

Le branleur finit par recevoir sur ses doigts les saintes huiles du bon père. Oh ce n’est pas les fontaines du Trocadéro, mais il jute bien encore, à son âge notre vieil homme !

Il prend le relais du jeune, agite sa pine puis la secoue deux ou trois fois avant de la remettre sous la soutane. Un peu honteux sous le regard du jeune abbé, il est satisfait… il en bave…

Il n’en revient pas le séminariste. Il s’essuie la main sur la soutane du curé.

En se relevant, son pantalon à manches courtes, fait une grosse bosse à la hauteur de la braguette.

– Misérable ! qu’il lui dit le curé… tu bandes comme un païen ! montre-moi ça et il lui desserre la ceinture de son froc qui glisse sur ses genoux.

Comme il a les fesses nues, le père en profite pour lui foutre une bonne raclée. (tiens !… il a le doigt aussi agile que celui du Directeur… ce sont des connaisseurs !).

– Tu n’as pas honte ! … Enfant du diable, mauvaise graine de curé !… Petit insolent… Te tenir comme ça devant moi ! Que Dieu te punisse mécréant !

Alors il lui fout une sacrée tannée à ce fils du diable. Ça fait longtemps qu’il n’a pas eu la joie de faire une si bonne correction. Il a la fesse si soumise et si tendre qu’il se régale le vieux à tripoter le bon charnu.

Voilà que ça le fait bander davantage, le novice. Il se dit que la sévère pénitence est méritée et peut-être, un peu maso, il trouve que ça lui fait du bien.

Oh le joli bâton pastoral, pense le vieux confesseur ! Dieu a vraiment créé de jolies choses !

– Tu vas pouvoir convertir de nombreuses païennes avec un tel outil, bonté divine !

Dépassé par son lyrisme, le vieillard avale le jeune membre et lui fait une pipe endiablée. Puis, lui soulevant les roustons, il lui glisse instinctivement un doigt entre les fesses, et rend grâce à son trou du cul (ben oui, je vous l’ai dit… c’est un connaisseur… ).

Bon sang, qu’il a le cul tendre, pense le vieil homme. Tendre mais bien serré…

Du coup, Marcus éjacule violemment en arrosant le visage de son fesseur. (eh bien oui, vous savez tous, ce que ça fait un doigt à cet endroit… ).

Le visage barbouillé, le vieil homme est furieux… enfin, pas tant que cela… car devant un si bel épanchement, il engloutit de nouveau la juteuse, pour se délecter du bon jus de l’apprenti curé qui reste médusé. Il serre bien ses lèvres le padre et lui taquine le gland avec la langue… il aspire les dernières gouttes. Il continue à flatter le beau membre. Il suce, il branle, il caresse…

Marcus est ravi… C’est sa deuxième fessée… .mais mon Dieu, l’accompagnement… que c’est bon ! (… ce doigt au cul, en bonus !).

Du coup il rebande. Et sa pine reprend des airs de ‘en veux-tu’, qui ne déplaisent pas à son suceur. Il se retourne, celui-là pour présenter son dos avec un air de ‘met-la -moi’… et vous comprenez bien que nos mauvais chrétiens ne maîtrisent plus leurs sens. Ils s’enfoncent, les misérables, dans le péché comme deux bons diables évidemment.

Bon, en réalité, il n’y en a qu’un qui s’enfonce… Hi !… Hi !…

L’autre, eh bien, il hurle et il prie…

– Mon Dieu, pardonnez-moi… je fais un gros péché… (Oh ! C’est vrai qu’il est gros !… ) ! accordez-moi vos grâces… .

Aussi, il en reçoit des grâces… oh ! Diable ! Il en reçoit bien plu qu’il n’en a jamais données…
Il a beau crier ‘miséricorde’, il se sent saisi, soulevé, écartelé, pénétré, bourré… (bref, enculé, vous l’aurez deviné !) comme tout bon pécheur l’ayant bien mérité.

Bon on ne va pas s’arrêter là-dessus… la chose est un peu grosse pour un si bon chrétien. Honteux et fébrile, il se redresse. S’essuie le cul. Plie ses affaires dans son caleçon. Enfile sa soutane, et tout étant remis en place, il reprend sa posture pastorale, non sans avoir congédié son élève, bien averti et prêt à faire un bon curé…

– C’est un secret entre nous, motus et cul cousu… Au nom du Père… je te pardonne. Le bon Dieu ne t’en voudra pas, il en a vu bien d’autres !… Comporte-toi avec sagesse et bontés… Ainsi soit-il !
… … … … … … … … … … … … … … … …

Voilà, les présentations étant faites, nous savons à qui nous avons à faire… Aussi, je vous invite à connaître la suite des événements dans notre petit hôtel « Au Coin du Feu »… où nous attendent impatiemment nos deux licencieuses hôtelières !
A bientôt…

12/06/2024

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Une réponse à Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 39 – Au nom du Père… par Verdon

  1. Harivel dit :

    La plume de Verdon est décidément intervisible et on se régale à chaque fois

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