Tant va le Temps… Tant va le Cul… 38 – La Meilleure Place… par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul… 38 – La Meilleure Place… par Verdon

Nous avons laissé Adèle et Armand, en pleine discussion philosophique, sur la taille et le talent de la bite de notre ami Julot et sur l’éventuelle bonne disposition de leur propre trou du cul à se faire affranchir par le bel objet. Figurez-vous que Léonie, l’épouse chaste et soumise de ce brave Armand, au même moment, à mille lieux de là, est en train de pomper de bien bonne manière, la queue de son cher oncle.

On sait bien comment dans une bonne famille, un tonton peut être sympathique et attentionné pour soulager les petites misères de ses nièces ou de ses neveux qui ne jouissent pas suffisamment des biens faits de la vie conjugale.

Léonie est dans ce cas. Son mari est toujours au boulot et parcourt la France en la laissant toute seule pendant de longues semaines. Alors bien sûr, au retour c’est le grand jeu, mais elle en souffre, il est trop débordant d’amour, elle passe à la casserole dès qu’il arrive et bonjour la tendresse et les longs câlins.

Evidemment elle est très docile Léonie et dévouée. Elle se soumet gentiment à toutes les attentions du bon garçon. Il lui en coûte souvent d’avoir la mâchoire fatiguée, les seins en capilotade, la chatte enflammée et je ne vous dis pas le trou d’aisance !

Elle ne lui en veut pas la pauvre chérie. C’est son homme et c’est si bon un homme. Même que ça ne lui déplaît pas du tout ce qu’il lui fait. D’ailleurs, elle en tire un certain orgueil de pouvoir le satisfaire comme il veut.

Il a des couilles son mec ! Ce n’est pas comme Gustave, le gringalet de la Lolette, qui se fait traiter comme un toutou… « et fais ceci… et fais cela… essuie toi les pieds avant d’entrer… et pourquoi pas le cul en même temps !!…la mégère ! »

Non, avec Armand, ce n’est pas ça.

Bien sûr, on l’a compris, il a un peu le sang chaud quand il revient… On sait pourquoi.
Aussi à l’arrivée, une bonne fessée ça le détend. Elle le mérite sûrement (le tonton… ), et puis elle s’y attend. Alors elle crie, elle pleure, elle mouille, elle jouit et des fois elle pisse aussi… il la corrige un peu la souillon… (Oh, juste un peu… de peur qu’elle ne recommence pas… c’est si doux le bon jus de sa chatte !). Depuis elle s’y est faite… elle a la couenne dure et ça lui fait de belles fesses à la mignonne.

Au début elle était apeurée dans ses bras. Elle ne savait pas ce que c’était un homme !

Maintenant elle a tout appris, (enfin presque tout). La baise, les pipes, les pinçons, le doigt au cul et le trou aussi, le ‘petit trou’ comme il dit, le voyou…

Alors là, le trou mignon… ça a été dur !

Ben oui, la première fois, ça ne s’ouvre pas facilement un petit trou… ça fait mal… (Vous le savez bien vous tous et toutes qui êtes déjà passés par là… ..Non !…Ah bon, pas tous !… Mais qu’est-ce que vous foutez, là !…Il va falloir y remédier… Oups !).

Maintenant, ça va bien. Il faut dire qu’il s’est appliqué Armand. Ben oui je vous l’ai dit, il a de bonnes manières le mari (une bite de fer dans un cul de velours !). Au début c’est la cervelle qui a eu du mal à s’y faire. Car le cul a ses raisons que la tête n’a pas. Aussi il l’a éduquée sa revêche, tout doucement, en cours du soir.

La tête dans l’oreiller, elle lève bien le cul, et il lui dit…

– Je t’aime, Chérie… Oh que je t’aime…

Et il la baise le bon gars…

– Humm que tu es bonne !

Ça la surprend… elle tend le cul et c’est dans la chatte qu’il prend place !

Ben oui, c’est exprès, c’est pour la faire languir… de crainte et puis d’envie.

Jusqu’au jour où elle lui dit :

– Et mon cul, Chéri ! Je ne sens pas ton amour dans mon cul !

Alors là, il se l’enfile sans coup férir dedans son trou du cul !

– Tu le sens-là, mon amour !

Bien sûr qu’elle le sent son amour… Oh qu’il est fort son amour !…

C’est ainsi que complétement pénétré de son amour, elle comprend combien c’est bon… depuis elle est entièrement à lui, elle est heureuse.

Léonie, éduquée sévèrement dans une famille religieuse, finit donc de comprendre ce qu’est un homme quand elle se marie vers l’âge de trente ans, avec notre Armand.

Certes elle a connu les amabilités de son oncle, mais c’était de l’affection, des bisous un peu prononcés, des embrassades, quelques flatteries aussi, mais ça n’allait pas loin… ça n’avait pas cours dans l’ambiance familiale. Mais elle l’aime beaucoup son tonton et il y a comme une petite complicité innocente entre elle et lui.

Quand elle se marie, Armand, le bon garçon, a de suite compris que le tonton est, si non jaloux, tout de même un peu déçu de voir sa nièce s’éloigner ainsi de lui. Aussi il lui dit franchement :

– Tu sais Tonton, tu aimes beaucoup Léonie, alors n’hésite pas, viens souvent nous voir, notre porte t’est ouverte et ne te gêne pas de venir lui rendre visite pendant mes absences. Ça lui fera plaisir et t’aidera, toi, à supporter ton veuvage.

Il a vite appliqué les conseils du neveu le monsieur. C’est qu’ils se connaissent bien les deux voyous. Ils ont eu l’occasion de faire des bêtises ensembles, auparavant. Ils se sont retrouvés plus d’une fois, tous les deux sous les mêmes draps (je ne vous dis pas… ), avec ou sans une nana entre eux !… Enfin maintenant ils sont rangés des voitures… Soyons sérieux ! (Ce peut-il ?).

Alors quand Armand s’éloigne un peu, il accoure le tonton, il vient consoler la Belle esseulée à qui il apporte beaucoup de réconfort.

– C’est gentil, Tonton de venir me voir, je t’aime beaucoup.

Il la prend dans ses bras et la serre bien fort par la taille.

Elle aime bien cette attention et ses seins collés contre le buste du tonton, ça lui fait chaud au cœur et même un peu ailleurs. C’est plus doux qu’avec Armand qui est toujours trop pressé.

Ainsi, doucement elle s’abandonne un peu dans ses bras. Oh ce n’est pas méchant, juste pour sentir sur son bas-ventre une certaine pression assez troublante et délicieuse.

(Bon ce n’est pas parce qu’elle va se complaire un peu dans cette bonne situation, qu’on va lui faire des reproches à la dame !…C’est normal, c’est l’instinct femelle !… le petit côté un peu salope de toutes ces Dames !…Hi ! hi !).

Dans la matinée, un jour, elle est en tenue de nuit, revêtue simplement d’une petite chemise lorsque son invité arrive.

– Oh pardon Tonton, je suis en retard ce matin, je vais me rhabiller ! (Je vous l’ai dit… le petit côté salope !).
– Mais non, je ne fais que passer… je ne veux pas te déranger.

Et elle se niche dans ses bras…

– Mais tu ne me déranges pas !

Bien sûr, le tissu de la chemise de nuit étant si léger et le froc du tonton étant si lourd… ça renforce la fameuse petite impression ‘troublante et délicieuse’, dont on a parlée plus haut.

Oui cette pression sur une partie si délicate de son abdomen, ça lui donne instinctivement cette envie d’ouvrir ses jambes, de s’abandonner à ces mains qui la saisissent sous les fesses, et la serrent encore plus fort… (C’est là que le sensuel se déconnecte du cérébral et qu’elles s’ouvrent toutes seules les gambettes… n’est-ce pas chères lectrices ?).

Elle ne sait plus quoi dire, elle ne peut rien dire d’ailleurs car il lui fout un de ces patins le tonton, à lui décrocher la langue. Et puis c’est si bon !

Il la relâche. C’est pour défaire sa ceinture et laisser tomber son pantalon sur les chevilles. (C’est un sacré coquin ce tonton !).

Courageuse sans doute, intrépide c’est sûr, elle lui descend son caleçon et déniche avec émotion, l’instrument de ses désirs. (mais n’est-elle pas, elle aussi une sacrée coquine !).

Oh ! Il n’est pas raide comme celui d’Armand, ni même aussi long. Elle est certes déçue, mais surtout curieuse, elle s’empresse de le saisir dans ses mains.

– Oh ! Qu’il est doux ! Il est moelleux, il est mignon comme un petit écureuil apprivoisé… Il n’est pas dur, ton chichi, tonton !
– Caresse-le, ma biche… Tu vas voir il va te sauter dessus !

Habituée au molosse toujours prêt à mordre, que lui présente son mari, elle n’en revient pas de trouver celui-ci si tendre et si beau à la fois et elle se plaît à le caresser avec envie.

Ça lui fait du bien au tonton. Putain, depuis son veuvage on ne lui a jamais fait cela… Si, une fois avec une prostituée, très belle et très gentille par ailleurs, mais Léonie elle a des mains extraordinaires.

Alors il arrive, bien évidemment, ce qu’il devait arriver. En douceur cependant, avec plein de précautions et de finesse… ils se sont retrouvés nus sous les draps ! (et qu’est-ce que peut donc faire ce tonton avec sa nièce… sous des draps ?).

– Sous les draps !
– Ben oui !…On ne voulait pas attraper froid !

(Il faut vous dire que mon récit se poursuit maintenant chez le Tonton, à qui Armand est venu rendre visite, un de ces jours où il était de retour à la maison).

– Tu me dis que vous étiez nus tous les deux !…Alors tu l’as baisée… Nom de dieu !
– Je l’ai baisée… Euh … Non… Si peu !
– Comment si peu oui ou non ?….
– C’est-à-dire, comprends-tu, je ne voulais pas te faire un marmot. Crois-moi !
– Ben oui, j’ai tout compris, mon salaud… Tu l’as sodomisé ma Chérie ! Oui, c’est ça, dis-moi ! Tu m’as fait cocu !
– Un peu… Oui, sans faire exprès… Quoi !
– Comment sans faire exprès ? C’est bien ta bite que tu lui mets au cul… Salopard !
– Je ne voulais pas. Mais ça a été plus fort que moi… Tu sais bien quand… .
– Oui, mais n’empêche que tu l’as enculée, ma catin !
– Que veux-tu… avec ma pine impatiente, je l’amusais juste un peu sur les rives de son médaillon, juste pour lui faire passer le temps, comprends-tu ?… Oh le sublime médaillon… tout luisant… tout ouvert… Humm !…Ce n’est pas un trou… c’est un écrin velouté !…et en plus c’est tellement glissant cet endroit-là !….
– Voilà, et pour t’amuser un peu plus, tu as glissé, involontairement, évidemment… et le champ étant libre… Tu as poussé un peu plus !…
– C’est que ta garce, elle a trouvé que c’était bon… Elle m’a dit « encore !… pousse ! ».
– Ah la salope, je m’en vais lui en mettre… tu vas voir !…Elle te dit « pousse ! » et toi tu pousses … Bien sûr !
– Et toi, tu aurais fait quoi ?
– Certes ! Vu par ce bout-là !…Et devant un trou pareil !…Je te l’accorde… Je n’aime pas le travail inachevé !
– Tu as tout compris ! Mais je t’en prie, soit gentil avec elle. C’est de ma faute !

Bon, il se fait une raison, Armand. Ça devait se passer ainsi. Il est fautif lui aussi, ne lui a-t-il pas confié son épouse à ce brigand !… Et puis c’est un brave garçon ce tonton. Il ne l’a pas maltraitée sa garce, il en a pris soin. Il faut avouer qu’un peu distrait, une femme jeune dans ses bras alors qu’il est veuf depuis plusieurs années… Elle lui a dit « pousse ! » et il n’a pas su se retenir, le vilain ! (et vous qu’auriez-vous fait ?).

– Bon ! Mais elle, qu’est-ce qu’elle foutait là, avec son cul nu !…La garce ! (rétorque Armand.).

Allons donc, encore une bonne petite fessée bien méritée à sa tendre infidèle… et puis les choses rentrent dans l’ordre. Et après tout le tonton, ça reste en famille… Cependant il lui faudra quand même lui couper un peu les ailes à la garce pour qu’elle n’ait pas l’idée d’aller voler plus loin !

D’ailleurs, lui aussi il lui fait des infidélités, n’est-ce pas ? Oui mais lui c’est un ‘homme’… alors !…Oups !

Il fait donc amande honorable notre fier à bras et il en conclu avec le tonton que finalement, les choses étant claires, il n’y avait pas péril en la demeure.

– Bon, ce samedi, on t’attend à la maison, mon cher oncle !

Ce week-end est très agréable. Armand est en train de faire cuire des grillades dans le four en pierre, côté jardin. Il fait beau et chaud. Léonie prépare le repas sur la table de la terrasse et Gaston (le Tonton), vient d’arriver avec une bonne bouteille, du pain et un bouquet de roses pour sa nièce qui resplendissante, navigue entre la cuisine et la table dans une tenue légère, elle est appétissante !

Elle lui saute au cou pour le remercier. Ils manquent presque de tomber tous les deux, sous le poids, léger sans doute, mais imprévu, de la jeune femme qui s’accroche à son cou, en équilibre sur un pied, une jambe relevée en arrière de façon désinvolte.

Ils rient, se félicitent mutuellement, se remercient et vont voir ensemble où en est le chef cuisinier.

L’affaire va bon train. On raconte des histoires, on rigole, on boit…l’atmosphère et au diapason du beau temps.

Tonton a de bonnes blagues à raconter. Plus elles sont crues et plus elles font s’exclamer Léonie qui se tape sur les cuisses quand ce n’est pas sur celles du conteur. Sous le regard coquin de son mari qui renchérit en ajoutant quelques détails plus croustillants.

Bientôt l’ambiance s’échauffe davantage. Léonie, délicieusement éméchée, joue à la soubrette un peu polissonne. Elle rajoute elle aussi, son grain de sel. Se permet des réflexions désobligeantes vis-à-vis de ces Messieurs. Renverse un verre ici, fait tomber un couvert, là.

– Il m’est d’avis qu’il y a quelques fessées qui se méritent, dit Armand en s’adressant à Gaston…
– Ça se pourrait !…ça se pourrait, répond le tonton très enjoué.

Alors Armand saisit l’impertinente effrontée par un bras et l’oblige à se courber devant son oncle qui magnanime, lui relève la robe et faisant descendre la culotte, découvre en beauté le jolie cul de la mignonne.

– Ben ça ne va pas qu’elle s’écrie, mine de rien… je vais le dire à ma mère…
– C’est ça, c’est ça… amène-la nous, ta maman, hi, hi !…et ce disant il la couche en travers de ses genoux en dégageant son beau fessier.

Il la présente au tonton assis devant elle…

– Vas-y, corrige-moi donc cette petite dame inconvenante…

Vous pensez bien que c’est avec beaucoup de plaisir et d’application qu’il se charge, notre nouvel éducateur, du joli cul de la vilaine Dame.

Il te la caresse d’abord. Doucement, il tâte la bonne chair, fait glisser le creux de sa main sur le moelleux fessier. Il la sent qui frémit légèrement. Elle a la chair de poule… Est-ce du lard ou du cochon… (moi je suis sûr… c’est de la cochonne… hi ! hi.).

Il repasse, gentiment, lentement et puis… plaff !…une bonne tape sur le gras… Aïe !…Oh la surprise !

Et puis il recommence… Elle s’y attend, elle serre les fesses… Mais plaff !…Ouille ! Salaud !

Ah bon ! Alors il recommence… encore et encore… elle a le cul tout rouge et fait des bonds.

Armand, qui aime le travail bien fait, lui écarte les fesses pour qu’avec la tranche de sa main, Gaston puisse aller punir la vilaine, bien au fond de son cul… (c’est si bon de laisser glisser sa main dans la raie d’un joli cul !).

Alors elle ne dit plus rien. Elle se laisse faire… elle se soumet… c’est normal elle a péché, elle est punie… elle ne recommencera plus… (mon œil !).

Du coup, le tonton s’est calmé… il lui cajole un peu les fesses rouges.

– C’est tout ! … .S’écrie-t-elle, insolente et radieuse, en relevant la tête !
– Salope ! Eh bien tiens, en voilà une autre… (Quel toupet ! c’est Armand qui s’exprime ainsi ).
– Oui, oui, c’est tout, lui dit Gaston, en arrêtant le bras du mari. Aller, relève-toi, tu l’as bien mérité mais avec brio… et il lui embrasse le cul tout chaud.

Eh bien elle est contente, notre pénitente. Elle saute cette fois-ci sur les genoux de son oncle et ils s’embrassent comme des amoureux sous l’œil interloqué du mari.

Devant cette scène touchante, il a compris Armand, le bonheur du tonton et le jeu de Léonie qui, il le sait bien, adore se faire fesser. Alors il se glisse derrière sa chérie et il se presse contre elle qui se trouve resserrée entre ces deux bons mâles.

Humm que c’est bon de sentir cette petite coquine se réjouir entre eux !

Elle a le cul nu et sa grosse poitrine débarque de son décolleté, sous le nez de Gaston. Il louche sur les tétons de l’affamée, et se précipite pour en gober un, puis l’autre, à grosses bouchées.

Eh bien ce soir elle va apprendre à l’être encore plus salope. Deux fois plus, elle va se prendre deux maris à la fois… Ah… la veinarde !

La température grimpe tellement entre tous les trois, qu’Armand se relève, l’empoigne par-dessous les épaules et, aidé par le tonton qui la prise aux jambes, la dépose comme un sac de patates sur le grand lit de la chambre nuptiale. (ce merveilleux lit où il la si souvent doigtée, baisée, sodomisée et lui a appris à devenir une si bonne salope!).

Allongée sur le lit elle n’a plus un chiffon sur elle. Armand a perdu son froc, mais pas sa bite qui pointe en avant comme une baïonnette en 14 ! Gaston et en train de se dépatouiller fébrilement pour se dépouiller de ses fripes et finit par tomber le cul parterre, la pine en débandade et l’air tout con.
Léonie se relève et éclate de rire en sautant sur le lit…

– Qui m’attrape me baise, s’écrie-t-elle ! Qui me baise m’encule … en riant aux éclats.
– Tu vas voir ton cul, si on t’attrape, salope !
– Il a perdu ses couilles ! Hi, hi !…il a perdu sa pine ! S’écrie-t-elle encore en montrant son tonton qui a du mal à se débarrasser de son froc pour se relever.

Les garçons essayent de reprendre la situation en mains… il y a des claques qui fusent sur ses fesses… ils cherchent à la saisir la sauterelle qui rit tant, qu’elle en pisse à tout vent… et sur l’un, et sur l’autre… la garce !

Debout sur le lit, les jambes écartées, elle tend son pubis et mitraille de pisse les deux gars qui s’approchent.

Elle leur échappe constamment, mais elle finit par se faire coincer. L’un lui calfeutre la fuite, une main sur la chatte, l’autre un doigt au cul lui taraude l’anus…

Armand la saisit à bras le corps et la dépose en travers du lit et il l’encule la sauvageonne comme on encule une cochonne, une débauchée, une pisseuse, une joyeuse !

Et il lui bourre le troufignon comme baudet sur son ânesse !

Vigoureusement surprise, elle n’en jouit pas moins… Elle frappe le matelas de ses deux mains et appelle son oncle à la rescousse…

– Tonton, viens !…Viens je te veux !

Alors il se place devant elle, pour qu’elle l’embouche et lui fasse une telle pipe qu’il en bande aussitôt comme un gars de vingt ans !

Du coup, changement de style… Armand se lève. Gaston s’allonge sur le dos à côté d’elle et elle se couche sur lui en s’enconnant tout de go, tandis que son époux l’encule de nouveau.

Oh, putain, ce qu’il lui met au cul !

Alors là, inutile de vous dire la joyeuse partie… et ça bourre et ça crie, ça s’étouffe et ça pète… ça vous en dit des mots… des plus gros que des doux… des encore !… des salauds !…et des ‘flocs’ et des ‘plaffs’ … des pines qui se vident et des couilles qui battent, un trou du cul qui baille… ça gicle sur l’échine,… ça mouille comme une grenouille… et ça sent l’homme en rut et la femme négligée, l’entre jambe embaumé de vapeurs anales et de cuisses en sueur…

De grâce n’en ajoutez ! Jouissez… c’est parfait !

Bon, mais il faut avouer que le tonton, écrasé par le poids et l’agitation des deux amoureux au-dessus de lui, il n’a pas joui, le malheureux !

Eh oui, vous savez bien, ça a dû vous arriver, la place du rez-de-chaussée, n’est jamais la meilleure ! Vous êtes écrasés. Vous étouffez. On vous casse les couilles nom de dieu ! Et la grenouille, boostée par l’autre qui la bourre au cul, elle prend votre abdomen pour un trampoline… la garce !…

Suffit pas qu’elle jouisse du cul, elle en veut aussi pour son con ! Mais votre bite elle ne tient pas dans sa moule, tant elle fait des bonds de cabri !

Il n’est donc pas très satisfait de sa situation le pauvre homme.

Devant son désappointement, Armand qui bande encore, demande au tonton de se coucher en 69 sur Léonie.

Tandis qu’il a la tête entre les cuisses de sa nièce, de l’autre côté elle lui suce la bite tout en lui écartant bien les fesses pour qu’Armand le gratifie à son tour des dernières vigueurs dont il dispose encore.

Il est heureux le tonton. Il profite en même temps et de part et d’autre, des amabilités de sa nièce et se fait enculer par son neveu.

Il a encore une pêche d’enfer, Armand !

Au-dessus de son nez Léonie apprécie le beau travail que fait son mari dans le trou du tonton. C’est impressionnant.

– Vas-y mon chéri, encule-le mon tonton… avec ta grosse bite !…Oh que c’est beau ! Pousse… ça y est, il rentre ton gland… pousse encore, pousse donc… Ouah… il ressort !…Remet-le… Zou ! Oui ! Ras tes couilles…

Elle sent que ce dernier va bientôt jouir, dans sa bouche… Alors si vous ne l’entendez plus c’est qu’elle suce…

Oh tant elle suce qu’elle en a plein la bouche, la cochonne et vous savez bien qu’on ne parle pas la bouche pleine… .On déguste… C’est tout !

Ah vraiment c’est quand on est au milieu qu’on a la meilleure place !

Bon, les gars, à écrire tout cela, j’ai la plume qui flanche !

Et vous ! Qu’est-ce que vous faites ?…Ah bon !…Alors, surtout ne changez pas de main !

Et puis n’oubliez pas, la place du milieu…

Demandez à votre Dame…

Ah ! Pardon vous n’êtes pas au courant !

Je vous l’ai déjà dit… Il y a des fessées qui se perdent… ..Oups !

14/04/2024

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Une réponse à Tant va le Temps… Tant va le Cul… 38 – La Meilleure Place… par Verdon

  1. Harivel dit :

    Elle me plait bien, moi, cette place médiane !
    Donner et recevoir, n’est-ce pas là toute une philosophie et un art de vivre ?

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