ABDL
explications sérieuses
par TSM
« Le bonheur est un rêve d’enfant, réalisé dans l’âge adulte »
Sigmund Freud
Utilisés par certaines femmes dominantes, maîtresses/ domina (à chacun ses mots), les principes de l’ABDL peuvent être un outil ultra puissant en domination. Comme l’ABDL est souvent méconnu, mal compris et mal interprété, il m’a semblé utile de poster cet article afin d’éclairer les membres ne connaissant pas ses pratiques.
Notez qu’un homme en couche perdant le contrôle de ses fonctions élémentaires de la propreté devant sa femme perd aussi sa verve…. Cet accessoire est aussi très PRATIQUE, (au sens propre) pour les entraves de longue durée ou par exemple, les nuits entières, ou pour qu’un homme sous cage de chasteté ne vous réveille pas mesdames la nuit en se levant pour aller aux toilettes. (La cage multiplie souvent les besoins d’uriner)
ABDL, voilà un sujet qui fait couler de l’encre parfois de façon judicieuse et constructive, parfois de façon corrosive avec des critiques acerbes et des tonnes d’incompréhensions.
Les pratiques ABDL sont assez souvent associées aux pratiques BDSM, c’est pour cette raison que je pensais utile d’apporter un éclairage sur ce sujet méconnu ou très mal compris parfois avec des jugements de valeur totalement hors sujet.
Le sigle ABDL signifie Adult Baby Diaper(couche) Lover
Il s’agit d’une forme de sexualité que certains appellent perversion que d’autres appelles jeux ou plaisirs érotiques.
Les plaisirs éprouvés par les adeptes varient en fonction de leurs centres d’intérêt que je vais essayer de clarifier en quelques mots et par points. Ces explications sont simplifiées et peuvent évidemment être longuement développées ou nuancées.
1°) Certaines personnes aiment le contact de la couche sans JAMAIS les salir. C’est doux, chaud, cela caresse entre les jambes et donc génère des sensations.
Nous sommes donc dans une forme de fétichisme qui se décline ensuite avec l’utilisation d’accessoires et vêtements comme des culottes en plastique ou autres…
2°) Il y a ceux qui apprécient de se laisser aller dans leur couche, la plus part du temps cela se limite à uriner, ce qui y défèquent sont plus rares. Le fait de se laisser aller dans la couche génère une chaleur, un poids et un volume supplémentaire entre les jambes. Certaines couches absorbent jusqu’à 4 litres de liquide. Donc avec un petit pipi la personne n’est pas trempée et ne baigne pas dans son urine.
3°) Certaines personnes se plaisent à jouer « HUMILIATION » dans leurs jeux et plaisirs érotiques en affectant les fondamentaux comme de se rendre aux toilettes pour faire les besoins naturel. Dans ce cas, bien souvent, il y a une recherche de plaisirs dans les rapports de domination soumission.
4°) L’infantilisme consiste à jouer le rôle d’un bébé. L’idée est alors d’affecter (plus ou moins en fonction des goûts) d’autres réflexes comme boire, manger, parler, se déplacer, …. Il n’est pas rare dans cette forme de sexualité de trouver des biberons, des bavoirs, des grenouillères, des bodys en plus des couches et/ou culottes en plastiques. Certains vont jusqu’à l’achat ou la fabrication de chaise-haute, de lit à barreaux ou de parc.
Dans certains cas (encore fois en fonction des goûts et des motivations) il est utilisé des entraves plus ou moins symboliques pour « soi-disant » forcer l’adulte à jouer le bébé.
Il existe des nurseries pour adultes permettant aux passionnés qui ne partagent pas leurs passions avec leur conjoint de vivre quelques moments de plaisir en réalisant leurs fantasmes. Les rapports sexuels sont ultra rares en nurserie.
5°) La couche dans les jeux de bondage permet de ne pas avoir à libérer la personne entravée si elle éprouve une envie naturelle. Dans certains cas, la couche est utilisée pour ce côté « pratique » dans d’autres pour ajouter une notion d’humiliation dans leurs jeux érotiques.
6°) Plus poussé chez certains adeptes, le rapport avec l’urine et les excréments prend une place plus importante avec le port prolongé et / OU des orientations scato ou uro.
7°) Lavement et couche. Pour pousser plus encore leurs plaisirs, certains adeptes rejettent ou font rejeter les lavements dans la couche.
8°) Jeux et plaisirs médicaux. Jouer au docteur, à l’infirmière en réalisant des fantasmes de pseudo contraintes médicales. On trouve chez les adeptes de cette variante avec PARFOIS des camisoles de force ou des entraves de lit comme pour les personnes « agitées » en milieu hospitalier ou en maison de retraite.
9°) Pratique rare mais réelle et sérieuse. Lors de gros concerts où il faut rester de longues heures coincé dans la foule pour être à la bonne place, il est possible de constater que certain(e)s utilisent les couches pour ne pas avoir à quitter une place longuement et durement atteinte.
Les déclinaisons des neufs points présentés sommairement sont multiples avec des tenues plus ou moins sophistiquées en latex ou autres matières.
Que l’on aime ou que l’on n’aime pas, ces pratiques existent bel et bien. Elles génèrent des sensations, des émotions physiques et psychologiques chez les adeptes.
Confondre ABDL ou jeux d’infantilisme AVEC pédophilie est une erreur. Cela n’a aucun rapport tout comme un couple aimant jouer « fessée » n’est pas pédophile.
TSM
- Plus de 3700 textes et récits
Je reviens ici un moment, voyant des titres de sujets sexuel qui éveillent mon attention. Je regarde ces sujets, doigtages anaux, ou anal, bref, domination hard, humiliations, uro, scato, masturbation, scato, uro hard, je me souviens d’une fille qui par envie sexuelle sur moi, aimait me gouverner, j’ai déjà abordé ce sujet dans mon dernier récit, qui usait de mes sentiments du fait que j’étais très épris d’elle, et peu de le dire, qui dès qu’elle en avait envie, envie surtout de sexe, pouvait me prendre et me retenir chez elle, autant et aussi longtemps que possible plus encore quand elle me savait être dispo pour se faire. Je pouvais passer une journée entière avec elle, des heures, des jours entiers de weekends complets, vacances, peut importe, qui me gardait chez elle pour envie de sexe, me contraignait à ce que je me présente à elle, à son appart, décidant même de la façon dont elle voulait que je sois vêtu. Si elle me voulait par exemple, avec un short sur moi, sans slip en dessous, pieds nus dans des sandales, par exemple, c’est ainsi que je devais venir me présenter à elle, pour qu’elle n’ai pas à perdre de temps à me déshabiller quand elle aurait envie de sexe, ou de baiser. Me faire traiter comme objet pour ses envies de sexe, de masturbation, même que de me gouverner, je lui cédais , m’exécutais de ses désirs sur moi, même de m’humilier si cela l’excitait à fond. Elle passait avant moi, elle le savait, et en profitait bien, cela arrangeait cette fille, je lui correspondais, répondais de ces envies sexuelles, fantasmes, ses envies de les réaliser en vrai, même si les choses étaient très crades, au contraire, en plus de pouvoir commander, donner ses ordres, de me les faires exécuter pour son nom et ses envies sexuelles à elle. Françoise, son prénom, donc, arrivé chez elle, me déshabillait illico, soit dans son séjour et chambre, soit dans sa cuisine, qui me faisait manger tout nu, ou me laisser le slip sur les fesses, me l’enlevait que si trop excitée pour vouloir le déculotter elle même. Surtout, quand elle savait, voyait bien que j’avais envie d’aller au besoins naturels, elle me prenant entre ses mains, et aussi ses cuisses, pour vérifier les choses, me déculottait à mie cuisses , regardait à mon bas ventre si arrondi, dur, passait pour voir, une main pour toucher, et vérifiait ainsi si ma vessie était pleine, en plus de me voir comme me bouger, trépigner, remuer, ce qui lui donnait aussi une indication de réelle envie de faire mon pipi. Quand à celle de faire caca, Françoise le faisait me présenter de dos, en me faisant, « Tourne toi », puis examinait mon anus, m’écartant une fesse d’une seule main, de l’autre, après avoir craché sur mon anus, sucer un doigt, pour lubrifier, me mettait alors le doigt dans le rectum pour fouiller tout au fond. Françoise ne se dégoutait pas des choses, au contraire me disait elle, c’est ton corps, ta pisse, ta merde, tes odeurs, l’important que tout de toi, m’excite, même tes bruits quand tu fais pipi et caca m’excite, ce que de toi, je voie, entend, sent d’odeurs, même si je manque de grimacer, à en vomir, j’assume me disait elle, même de te fouiller, de patouilles de ton caca, ton pipi, à doigts et mains nues, tant que c’est de toi, de tes productions, de ton corps entier, je prends et assume, c’est de ma décision avec et sur toi, pour mes envies sexuelles. De l’écouter, et de l’entendre parler de moi en ces mots, en plus de ses regards quand elle me parlait, je ne pensais pas que j’aurais rencontré une telle fille, aimant autant le sexe pour être capable d’aller aussi loin que cela, qui m’aurait choisi pour ses envies de sexe, et de me voir être pour elle, utiliser à ses fins de sexe crade. J’avoue que ça m’excitait très fortement, plus encore quand je voyais Françoise, se délecter sexuellement de moi, de me mettre à ses pieds, sous ses ordres, ses yeux, de pouvoir user de moi à fond, comme elle l’entend, à désir. Elle savait que ça façon d’être avec moi, de me traiter, provoquait de très fortes excitations, me faisais lui donner de fortes érections, jusqu’à lui faire de grands flots de sperme bien consistant, qui lui plaisait fortement que je produise pour ses appétits sexuels
Bonjour.
Je profites de ce forum, bien que n’ayant pas encore eu loisir de lire l’article ici laissé sur le sujet de l’ abdl. J’ai parcouru quelques thèmes concernant cette pratique, que cela soit ou non sexuel, juste par désir de retomber dans l’enfance, porter des couches, se faire langer après avoir fait ses besoins naturels dedans, au moins pipi, de se faire dorloter, de s’abandonner comme un vrai bébé à des adultes aimant prendre à charge des adultes resté enfant ou voulant le redevenir, bref. Je n’ai pas idée des possibilités de pouvoir pratiquer l’abdl, d’en connaître les raisons, aussi les conditions, j’en passes. J’ai connu des faits quelques peu, je dirais, infantilisants, de part assistanat par exemple, en famille d’accueille de mes dix ans environs, jusqu’à au plus tard de mon âge , mes quinze ans. A cette époque, je me trouvais donc reçu en séjours d’accueil, pour être gardé durant l’absence de mes parents, le nombre de jours dépendaient de celui des absences de mes parents. La femme qui m’accueillait, me considérant plus jeune que l’âge que j’avais alors, il est vrai que j’étais asse mince, voir maigre pour mieux dire, laissant paraître de moi, un tout jeune garçon plus qu’un garçon de dix ans ou ado. De fait, cette femme aimait m’assister , faire les choses elle même sur moi, comme si je lui appartenais comme étant son garçon. Donc, aux heures de toilettes, douches, me dévétissait, et me douchait elle même, me savonnait entièrement, parties intimes comprises. Je ne dit pas tout ici, ce qui serait bien long à raconter. Juste, je rajoute, que quand la femme ne pouvait s’occuper de moi, pour x raison , me confiait alors à sa fille ainée, qui à sont tour donc, me déshabillait et me lavait. Cette fille était une adolescente qui avait qu’un an d’écart entre nous, moi étant plus jeune, la seule raison pour laquelle la femme d’accueil, pensait logique que sa fille me prenne à charge et s’occupe de moi, m’assiste. Une autre aussi, des années plus loin, j’étais pourtant jeune adulte encore, la aussi, pour même raison, une fille qui aimait me traiter en tout jeune garçon, qui ne me sentait pas très mur, elle aussi, me dévétissait, me passait au savon, tout et tout entier, et même, allait plus loin encore puisque allait jusqu’à m’assister aussi, lors de mes besoins naturels. Je passes le sujet, mais aussi, un côté sexuel dedans. Ce qui m’a inspiré de souvent fantasmer au fait de l’activité abdl sexuelle. Le fait que je faisais mes pipi au lit, jusqu’à mes douze ans, faute d’une hernie inguinale, mais malgré tout, je faisait encore à douze ans, pipi au lit quand même. Donc, me faire traiter en petit garçon, assister, par une, voir deux femmes, l’une pour la position de maman de substitution, l’autre, soit sa fille, soit une autre, comme nounou, par exemple, avec un côté sexuel, m’a souvent fait fantasmer, encore ce jour d’ailleurs. Ma recherche de l’abdl sexuel, tient de ces faits ici exprimé de vécus réels. Si j’avais à revivre, malgré mes soixante ans, de telles expériences, j’avoue que cela, je m’y abandonnerais bien, je m’y soumettrait. Mais, déjà, faudrait que je sois en relation avec des femmes qui aimeraient bien tenir cette position sur moi, de mamans de substitution, et de nounous, qui aimeraient m’avoir comme leur bébé, petit garçon , peut importe, me traiter en garçon de bas âge, voir peut être, punitions comprises, fessées sous autorité, sévérité ajouté. Mais cela, est il ou pourrait il en être ? Pour l’instant, je me contente d’en être à me souvenir de mon passé , et pour fantasme principal lors de mes activités sexuelles de masturbations.
Très bel article
Je suis moi même ABDL et me suis complètement reconnu dans cette description