L’autre jour, j’ai fait la pute ! par Isaducul

L’autre jour, j’ai fait la pute ! par Isaducul

A la recherche d’un emploi depuis quelques semaines, je sortais d’un énième entretiens d’embauche. J’avais essayé de mettre tous les atouts de mon côté, Jupe courte et corsage avec décolleté plongeant pour travailler dans un magasin de vêtements. Mais pour eux j’étais trop vieille (46 ans) pour ce poste. J’ai repris ma voiture et après quelques kilomètres alors que je traversai un bois, ma voiture s’est mise à brouter. Je me suis arrêtée, je n’avais plus de gazole.

Je suis sortie de ma voiture et j’ai essayé d’appeler avec mon portable, pas de connexion, trop perdu ce coin. Après cinq minutes, une voiture s’est arrêtée, le carreau s’est entrouvert, c’était un sexagénaire qui me dit :

– Combien tu prends ?

J’étais surprise, en colère je lui criai :

– Je suis pas une pute !

La voiture est repartie aussitôt. Je me rendis compte alors de ma tenue pour le moins suggestive ; mon décolleté était grand ouvert et ma jupe était remontée si bien que l’on voyais le haut de mes Dim-up.

Les voitures n’étaient pas nombreuses à passer et il me fallut attendre un quart d’heure avant qu’une autre voiture s’arrête. Je rajustai ma tenue et m’approchai du carreau entrouvert. C’était deux hommes habillés en chasseurs, le chauffeur dit :

– Combien tu prends pour une pipe ?

Son copain dit aussitôt :

– Mario t’es con elle est en panne, c’est pas une pute !
– Je suis en panne de gazole ».

Mario rigola :

– Alors tu nous sucerais pour un bidon de gazole ? Dommage on a pas de bidon
– Emmenez-moi à la première station
– D’accord mais tu nous suce avant ! Dit Mario sur un air sérieux.
– Surement pas, barrez-vous bande d’obsédés

La voiture repartit, les gars rigolaient.

Il devait être cinq heures passées et aucune autre voiture s’est arrêtée, en plus d’êtres rares, elles roulaient vite. Le froid commençait à tomber et je me mis un plaid sur le dos. Je me suis dit : »ma vieille le prochain tu le suces et t’en fait pas toute une histoire. » Une dizaine de minutes après un petit camion c’est arrêté plus loin, puis a reculé. Je suis montée sur le marchepied, la vitre était ouverte. L’homme à l’intérieur devait avoir à peine trente ans il avait les cheveux rasés, un piercing au nez et des boucles d’oreilles ; il ne me plaisait pas. Je lui dis :

– Monsieur je suis…
– Combien vous prenez madame ?

Il était poli, je n’aurais pas pensé à ça en voyant son look. Je me précipitais de répondre :

– Si tu m’emmène à la prochaine station-service, je te suce
– Et tu reviens à pieds ? Si je te ramène ici après je pourrais te baiser ?

J’avais un peu honte de ce que j’avais proposé, mais il me proposait ce que je n’avais pas envisagée. Je lui répondu par un signe de la tête, mes mots restaient au fond de ma gorge. Il me dit :

– C’est d’accord on fait l’aller et retour.

Je pris mon sac, fermait ma Clio et montais dans le camion. Il m’a fait la conversation, j’essayais de l’amadouer en lui racontant ma journée, mais il m’a dit qu’on avait un accord, alors je me suis résignée. On a bien fait quinze bornes avant de trouver une station. J’achetais un bidon, le remplis et pris des capotes. J’étais un peu honteuse devant la jeune caissière. Ça m’a couté vingt-cinq euros.

Je retournais au camion, il m’attendait et je savais que je n’y échapperais pas. La route du retour s’est faite en silence, le jour était tombé.

A peine avait-il arrêté le camion qu’il se rapprocha de moi :

– Commence par me montrer ta chatte !

– Ça y est j’y étais et sa politesse avait disparue ; je relevais ma jupe et descendis mon slip, puis j’écartais les cuisses.

– Eh bah putain t’es poilue, j’vais t’la bouffer ta chatte ».

J’ai appuyé mon dos à la portière les cuisses grandes ouvertes et il est allé directement à ma moule et me l’a léché goulument. Ce cochon me léchait bien cela faisait quelques semaines qu’on ne m’avait pas fait ça, c’était agréable ; puis il s’est occupé de mon clito et là je n’ai pas pu cacher le plaisir qu’il me donnait. Il est retourné à ma fente.

– Tu mouilles ça te plait ?
– Oui, continue !
– Crois pas que je vais pas te faire jouir salope, suce-moi la queue !

Il baissa son pantalon et sorti son attirail du caleçon. Il bandait, sa bite n’était pas énorme, il avait rasé tous ses poils. Je me suis penchée sur sa petite queue, le cul en l’air. Je lui mis la capote pendant qu’il me tripotait le cul. Il me dit :

– T’es pas douée, c’est vrai que t’es pas une pute, allez ça va bien tu vas pas y mettre les couilles, suce !

Je pris sa bite dans la bouche, je n’aime pas les capotes, rien de tel qu’une bonne bite directement avec le goût. Je le fis grossir un peu plus et je sentais que je pourrais le faire éjaculer rapidement. Il continuait à me toucher le cul et il entra un de ses doigts dans mon trou puis il entreprit de me mettre des doigts dans la chatte.

La position n’était pas confortable il me dit :

– Allez, donne-moi ta moule

Je m’allongeais sur le dos un pied sur le tableau de bord et l’autre sur l’appui-tête. Il s’avança et me pénétra. J’étais très mouillée et cela me plut en fin de compte. Il fit quelques allés et retour avant de se coucher sur moi. Il m’embrassa dans le cou, ses coups de boutoir n’étaient pas assez précis et réguliers pour me donner du plaisir ; il était plus endurant que je ne l’avais pensé. Il me regarda dans les yeux, posa la bouche sur la mienne. Il força sa langue dans ma bouche. Il sentait la clope, je n’aime pas ça, mais il forçait trop alors j’ai mis la langue ; ça lui a plus et rapidement il a joui :

– Ah, salope t’es bonne pour une vieille

Je n’ai rien répondu, j’ai ramassé mes fringues, pris mon sac, le bidon et le paquet de capotes.

J’étais frustrée, il m’avait chauffée mais je n’avais pas pris mon pied. Le camion est reparti alors que je remettais mon slip, il faisait frisquet ; alors que je prenais le bidon pour mettre le gazole dans mon réservoir, les phares d’une voiture garée cinquante mètres avant se sont allumés. Le moteur a démarré et le véhicule s’est approché. La vitre était ouverte, dedans il y avait un jeune homme d’une vingtaine d’années.

– Combien vous prenez madame ?

J’étais estomaquée, je faisais autant pute que ça ? En même temps il m’avait vu sortir du camion à poil !

Le gamin était mignon et j’avais encore envie alors après un temps d’hésitation j’ai dit :

– Trente je te suce et cinquante tu me baise.
– D’accord, on va où ?
– A l’arrière de ta voiture, elle est grande.

Il s’est garé devant ma Clio. Je me suis déshabillée dehors, dans son break je n’avais plus que mes Dim-Up et mes chaussures. Il a sorti un billet de cinquante euros, il n’avait gardé que son t-shirt. Je lui ai mis une capote c’était facile ce coup-ci, il était très dur. Sa bite était beaucoup plus grosse que celle de l’autre, je l’ai mise dans ma bouche et malgré le préservatif je me suis régalée. Le gamin m’a laissé faire, je l’ai sucé longtemps en me branlant mon clito puis je l’ai guidé jusqu’à ma chatte toute trempée. Il a mis un temps à prendre un rythme satisfaisant, il devait être puceau, même pas vingt ans ; je le regardais, il était beau, je n’avais jamais eu de petit copain aussi beau. Il me plaisait alors j’ai commencé à gémir, il m’a prise un long moment comme ça avant de changer de position et de me soulever les jambes.

S’il avait continué comme ça, j’aurais eu un orgasme mais la position ne lui convenait pas, il se cognait la tête dans le plafond. Alors il se coucha sur moi et me besogna à nouveau, il n’osait pas me regarder, j’ai soulevé ma tête et lui ai donné un baisé sur les lèvres. Puis j’ai mis la langue, il mit un moment avant de me donner la sienne, il ne savait pas embrasser. Mon plaisir montait et son baisé m’excitait, j’ai senti partir mon orgasme, j’ai retiré ma bouche pour pousser mon cri. Il m’a embrassée à nouveau avec la langue puis il s’est retiré. J’ai pris son sexe dans la bouche, le préservatif avait le goût de ma mouille. J’ai retiré la capote et l’ai sucé tout en le branlant. Quand j’ai senti monter sa jouissance je ne me suis pas retirée et son sperme a jailli au fond de la gorge. Ma bouche était remplie de sa semence généreuse et épaisse, il me regardait ; j’ai tout avalé. Il m’a dit merci, je lui ai dit merci aussi. Je suis redescendue de sa voiture, on s’est regardés quand il est parti. Après avoir remis du gazole je suis rentrée chez moi.

Je suis surprise, ça a été facile en fin de compte et en plus j’avais pris beaucoup de plaisir et cinquante balles. Je me suis branlée les jours suivants en pensant au jeune homme et à sa belle queue, je revivais la situation, mais je ne connaissais pas son prénom.

Il faudrait que je pense quand même à faire le plein avant de faire des longs trajets.
Fin

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5 réponses à L’autre jour, j’ai fait la pute ! par Isaducul

  1. Nina dit :

    Moi aussi il m’est arrivé de faire la pute ! Et alors , ce n’est rien qu’un échange, on m’a donné de l’argent et j’ai essayé de faire plaisir à mes clients. Où est le problème ?

  2. Werbar dit :

    J’ai l’impression que le narrateur n’a pas bien compris quel était l’usage d’un préservatif

  3. Sonia Kubler dit :

    Eh, oui n’en déplaise à certaines féministes qui s’arrogent le droit de parler au nom de toutes les femmes, le fantasme féminin de la prostituée est bien plus courant qu’on ne le croit.
    Cela dit, avaler le sperme de n’importe qui, ce n’est peut-être pas très malin
    Dommage de gâcher l’illustration de ce theme en écrivant n’importe quoi !

  4. Antonio dit :

    Merci Isa pour ce texte courageux et décomplexé

  5. claire dit :

    Un joli fantasme ! Bravo d’avoir osé

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