Noémie dans l’auto par Belle-Cour

Noémie dans l’auto par Belle-Cour

J’étais venu chercher Noémie chez elle. Nous avions prévu de passer l’après-midi ensemble. On avait essayé de définir une destination possible, mais après tergiversations, nous avions convenu de nous laisser aller selon notre humeur et nos désirs. Arrivé devant chez elle, je klaxonnai deux fois et mis en marche la radio, avertit d’un pressentiments comme quoi j’allais attendre un moment avant de la voir sortir de chez elle. Comme pour me donner raison, je la vois débouler de chez elle en me faisant de grands signes et me criant qu’elle serai prête dans deux minutes.

Noémie est une belle fausse blonde au visage coquin , elle est bien bustée et attire le regard des hommes. (et même celui de certaines femmes)

Avec flegme, je m’installai confortablement dans mon siège en écoutant la musique. J’avais emprunté la voiture d’un ami de mon père. Assez exubérant, cette ami avait logé cette magnifique BMW M3 Cabriolet dans un garage clandestin. Le résultat était tout bonnement magnifique, mais pas très légal. Le bas de caisse de la voiture était à moins de 4 cm du sol. Mais c’était un petit bijoux que j’avais du spécialement négocier pour l’occasion en échange d’un simonisage gratuit et intensif. Ce qui me fait penser que je lui dois toujours ce simonissage. Mais je crois qu’il s’en fout un peu pour le moment parce qu’il vient de la ‘replier’ méchamment sur l’aile droite. Quand Noémie se décide enfin à sortir, ses premières paroles ont été :

– Va remettre immédiatement cette voiture où tu l’as volé ! (sur le ton de l’humour bien entendu. )

Mais elle me posa quand même des questions sur sa provenance. Une fois cela expliqué, je lui ouvre la porte et elle s’installe avec un grand sourire. Elle portait un cache cœur serré et une jupe portefeuille fendue sur le côté . Moi, j’étais habillé tout en blanc . Jean blanc, T-shirt blanc et chemise blanche avec le col ouvert. Il ne me manquait plus que les lunettes noires et le ‘Parrain’ m’aurait bien vite engagé dans des affaires douteuses. Et nous voilà partit. Je m’engage sur la route…

C’est dimanche est les voies sont bien dégagées. Je roule à bonne allure. Le soleil caressait nos visages et le vent les fouettait. je ne vis pas tout de suite que ce même vent faisait volé la jupe fendue de mon amie, dévoilant bien clairement sa cuisse. Elle avait une peau délicatement bronzé, n’ayant rien à envier à certaines femmes abonnées aux salons de bronzage. non, elle c’était du vrai. Elle aime se prélasser sous le soleil, que ce soit chez elle ou à la plage. quand elle vit que je perdais mon attention à la route et qu’elle comprit ma préoccupation, elle m’adressa un sourire des plus malicieux. sourire que je lui rendis en détachant une main du volant et la mettant sur cette cuisse si agréable au regard. Mes intentions étaient des plus futiles et je ne m’attendais à rien de sa part. On est de très bon amis, de longue date, mais quand je vis que pour toute réaction, elle retenait spécialement sa jupe bien relevée, je compris de suite ces intentions à elle. Ma main était chaude et moite. Je caressait sa cuisse avec des mouvements de plus en plus amples remontant de plus en plus. Soudain, je rougit fortement en constatant qu’elle n’avait pas de culotte et que mes doigts effleuraient déjà sa toison. Quand elle compris la raison de ma gêne, elle décroisa les jambes, m’invitant à des caresses plus intimes. A son tour, elle commença à me caresser la jambe, se glissant vers le haut de celle-ci petit à petit. Elle approche sa main de ma fermeture éclair et sent déjà qu’il n’y a plus beaucoup de place dans mon jeans en me demandant si je n’étais pas trop à l’étroit dedans. Elle défait mon bouton et descend ma fermeture éclair.

L’excitation me gagne peu à peu. Ma main est toujours en train de lui caresser le pubis. De façon de plus en plus intime. Je sens son clitoris se gonfler sur mes caresses. Elle ferme les yeux en se mordant les lèvres de plaisir. Elle, de sa main, libère mon sexe déjà bien dur et commence à me branler doucement. Elle poussa un cri lorsque mes doigts l’ont exploré profondément, faisant un mouvement de va-et-vient. Etant donnée la position dans laquelle je me trouvais j’essayai tant bien que mal de garder une certaine concentration sur la route, heureusement assez déserte. Je ralentis fortement la vitesse néanmoins. On n’est jamais à l’abri de spasmes dans ces moments-là. Je la sentis prendre mon pénis fortement dans sa main quand je me mis à caresser ses petites lèvres et à faire des mouvements circulaires sur son clitoris. Par sécurité, on décide de quitter la route et de se ranger sur le bas-côté. Je remonte la capote du toit pour plus d’intimité. Elle se penche sur moi et m’embrasse langoureusement. Nos langues se mêlent. Je sens sa fouge et son désir brulant dans ce baiser. Je crois qu’elle le sentit aussi à la raideur de mon sexe. J’étais bandé comme jamais. Quand elle se pencha dessus, je poussa un gémissement avant même qu’elle ne le touche de ses lèvres. Elle se redressa, surprise, en me demandant si je n’allais pas déjà venir sur son visage. Je la rassurai et elle se remit au travail. Elle avala ma queue en un coup, l’enfonçant bien profondément dans sa gorge, et en remontant en serrant un peu les dents. son va-et-vient intensif me fit gémir pour de bon. De mon côté, j’entrepris de lui retirer entièrement sa jupe. Une fois cela fait, je commençai à peloter sa poitrine à travers son cache cœur. Je sentis ses tétons jaillir de ce dernier, formant sur celui-ci un joli relief que je devinai de mes doigts.

Son cache cœur et son soutien-gorge n’eurent pas à attendre longtemps avant de se retrouver sur la banquette arrière. Quand elle décida m’avoir assez excité pour le moment avec sa bouche, elle me proposa d’aller nous installer sur la banquette arrière. un peu plus confortable pour ce genre de petit jeu. Je la devançai et m’assis. Et vint me rejoindre en s’asseyant sur moi. Je lui mordillai le bout de ses seins. Elle me prit la tête entre ses bras, et la serra contre sa poitrine. J’enfournais ses bouts de sein dans ma bouche. Elle sentait mon sexe faire pression sur sa croupe quand elle me confia son envie de la sentir en elle. Je la basculai sur le siège, dévoilant par la même occasion son entre jambes tout trempé. Je lui pris ses tétons entre mon pouce et mon index et les fit rouler. elle gémissait d’aise. Je plongeai mon visage entre ses jambes, en léchant d’abord le haut de ses cuisses, tournant autour de son sexe et enfin embrassai son sexe avant de laisser passer ma langue. elle me saisit la tête, m’obligeant à rester dans cette position, que je n’espérais pas quitter de sitôt. Mes doigts lui excitaient le clitoris au maximum, je le pinçais, lui donnait des coups de langue. Elle se trémoussais de plaisir. Je pris ses petites lèvres entre les miennes, la léchant profondément. Mes doigts jouaient déjà en elle. Elle ramena ses cuisses sur sa poitrine, me dévoilant sa croupe. Du bout de ma langue, je lui explorai le sillon de ses fesses. Ma langue s’attarda sur son anus brun. Elle me supplia de lui rentrer dedans. Je commençais donc à l’humecter comme il faut avec ma langue, puis le caressai avec un doigt. doucement, j’enfonçai ce dernier en elle pour dilater le muscle.

Elle mouillait de plus en plus. Je voyais son sexe coulait, je la léchai de plus belle. Je me redressai, elle me prit mon sexe et se le caressa sur son petit trou. Je m’enfonce alors délicatement en elle mais constate qu’il n’est pas encore assez dilaté. J’enlève mon sexe d’elle et reprend de plus belle mes massages intérieurs à l’aide de mes doigts. Le second essai est le bon. Le passage est serré et étroit, mais je réussis à m’introduire assez profondément pour commencer mes mouvement de va-et-vient en elle. Mais mains sont sur sa poitrine. elles la massent fermement. Je me retire d’entre ses fesses et m’assois sur son ventre, je place ma queue pleine de merde entre ses seins. Elle commence alors un délicieux mouvement de sa poitrine avec mon sexe coincé entre. Du bout de sa langue, elle me lèche mon gland gonflé et pollué. Je me dégage de son emprise et lui met ma queue dans la bouche. Elle l’accepte avec joie, pas gênée du tout par la merde qui la recouvre, recommençant une fois encore son mouvement de va-et-vient. Je sens mon sexe cogner dans sa gorge. Elle me fixe dans les yeux tout en me caressant les testicules. Après quelques minutes de ce traitement, je reviens entre ses jambes, caresse mon sexe contre le sien et l’enfonce d’un trait. Un va-et-vient infernal s’ensuit durant un moment. ensuite, je me retire et l’aide à se mettre à quatre pattes (pas faciles dans un cabriolet). Je la prends par derrière et me fais aller en elle doucement, puis plus rapidement, en prenant dans chaque main, chacun de ses seins.

Me sentant venir, et ne voulant pas encore venir tout de suite, je me retire une nouvelle fois, et lui lèche à nouveau la croupe. Mes doigts batifolent dans son vagin pendant que ma langue essaye de se faire un passage dans son anus. Mon autre main lui excite le clitos quand une de ses mains à elle vient rejoindre la mienne. Elle hurle de plaisir, son entre jambes est comblé au possible. Moi, je suis dans un état second. Submergé par l’excitation. Elle a le sexe en feu. Je me redresse et frotte mon sexe contre son anus avant de la pénétrer. Je passe un bras autour de la taille, et entreprends de la masturber en même temps. Nos corps sont trempés de sueur. Mes coups de reins en elle se font de plus en plus violents. Je me rassois dans le siège. Elle se retourne et m’embrasse, me lèche partout. Son excitation se ferait ressentir dans un rayon de 20 kilomètres. Elle reprend mon sexe dans sa bouche, sauvagement, elle me fait un va-et-vient. Je ne peux m’empêcher de hurler. Elle me masse énergiquement les testicules. Je ne compris pas tout de suite où elle voulait en venir lorsqu’elle commença à m’écarter les cuisses. L’excitation et la fièvre du désir m’empêchait tout raisonnement. Je le compris avec grand plaisir quand elle commença à m’enfoncer un doigt dans l’anus. Elle était déchainée, et m’en enfonça un deuxième. Je tendis un bras et lui fit subir le même traitement. Elle se redressa, avec toujours mes doigts dans son cul et vint s’assoir sur mon sexe au garde à vous comme jamais. elle s’assit face à moi, de sorte qu’elle put se déhancher tout en se faisait pénétrer l’anus par mes doigts.

Elle se pencha légèrement et de ses doigts tenta de nouveau de m’exciter l’anus. Chose qu’elle parvint à faire sans problème. Elle savait que je me retenais de tout lui balancer et me fit comprendre qu’elle était prête maintenant. En quelques coups de reins dans le bas du ventre, je vins en elle. Se déhanchant toujours fortement sur moi, mon sexe sortit de sa grotte d’amour et elle se prit la dernière giclée dans son dos. Ivres de fatigue et de plaisir, on se coucha sur la banquette arrière, l’un dans les bras de l’autres. Ensuite, la première chose dont je me souviens, c’est le coup de klaxon d’un tracteur qui nous réveilla sans ménagement. Je me rhabillais en quatrième vitesse et sortit de l’auto pendant que ma compagne se rhabillait, je constatai que je m’était garé sur la voix d’accès de l’agriculteur menant je ne sais où. Lorsque ce dernier me vit, un tantinet mal habillé et surpris une autre personnes dans la voiture, il m’adressa un sourire complice et me demanda avec le plus grand calme de bien vouloir dégager le passage. Le soleil se couchait déjà à l’horizon lorsque nous arrivâmes chez elle… avec un sourire qui n’avait pas quitté nos lèvres…

fin

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à Noémie dans l’auto par Belle-Cour

  1. Breton dit :

    Assez peu vassilien ce texte, je trouve !

  2. Colargol dit :

    C’est tout simple, mais c’est bien décrit

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *