Tant va le Temps… Tant va le Cul… 37 – Retours d’Amabilités… par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul… 37 – Retours d’Amabilités… par Verdon

Dans ce petit hôtel « Au coin du feu », lorsque Adèle et sa Tante reprennent leur service pour le petit déjeuner, elles n’ont pas l’air très en forme et servent rapidement les deux ou trois hôtes qui le nez dans leur journal, ne prêtent pas attention à elles. (Ils sont loin de se douter de la nuit torride qu’elles viennent de passer séparément, Gertrude la patronne et Adèle sa servante qui est aussi sa nièce…).

Monsieur Bertrand a pris le sien dans la chambre. Bien évidemment il a sollicité de la part d’Adèle qui a été si gentille avec lui cette nuit, une petite pipe… pour la route, (comme on dit) Elle s’y est appliquée avec plaisir (Le jus d’homme au petit matin c’est bien meilleur que l’huile de foie de morue !), et il s’est retiré discrètement, pour aller à son bureau…

Les deux femmes se retrouvent enfin ensemble dans les cuisines… ..

– Tu es une salope, Tantine, tu m’as piqué mon mec !
– Salope toi-même. Ici c’est moi la maîtresse, si je t’ai mise au turbin, c’est pour le bien de la maison. j’espère que tu t’est bien appliqué.
– Ben sûr, je l’ai bien flatté le vieux… Il était ravi. Il m’a dit que j’étais meilleure que ma tante !
– Conasse ! Il l’aime bien pourtant, mon cul.
– Eh bien, tu n’avais qu’à le garder avec toi et me laisser le jeune ! Je te revaudrai ça !…

… Et qu’est-ce qu’il fait celui-ci ? Il n’est pas encore sorti de sa chambre… Je vais aller le voir.

Toc, toc, toc… ça ne répond pas, tant pis j’entre, c’est le service.

– Bonjour, il y a quelqu’un ?… C’est pour le ménage…

Oh ! Encore au lit, Monsieur Armand !… Mais ! il y a quelque chose qui ne va pas ?

Il est assis à poil, au bord du lit, notre ami, et se tient le bas ventre en faisant des grimaces de douleur… Intimidé par l’arrivée d’Adèle, il tire le drap sur son corps.

– Putain, j’ai mal partout… je n’arrive plus à pisser !…Je vais mourir !…

Elle s’approche, ose retirer le drap, malgré les réticences du grand malade…

– Oh, merde ! Mais qu’est-ce qu’il vous arrive ? Elle a pris feu ta bite, mon coco !…Tu te crois à Cap Canaveral… . Pff !…Qu’est-ce qu’elle a dû prendre la vieille, cette nuit ! (Dès qu’elle voit une bite, Adèle, elle tutoie le propriétaire).

Il a le sexe violacé et il bande comme un âne et il se tord le popotin, comme s’il avait encore une bite dans le cul.

Effrayée, elle descend vite appeler Gertrude qui remonte avec elle.

– Boff ! Il ne peut plus débander, ce couillon ! Va vite chercher le médecin…

Regardez-moi ce petit con, se dit-elle… ça veut jouer avec les grands et ce n’est même pas capable de tenir la route, putain de con ! C’est vrai qu’avec ce qu’il s’est pris cette nuit !

Heureusement, le toubib a son cabinet juste en bas, il arrive aussitôt (ça prouve bien qu’elle ne date pas d’aujourd’hui, l’histoire que je vous raconte… !).

– Qu’est-ce que tu lui as fait à ton mec ?
– Mais rien, ce n’est pas mon mec, c’est ma Tante qui…
– Ta tante ! Encore un vieux qu’elle a mis sur les rotules, la garce !
– Mais non c’est un jeune… Euh… Enfin un… Un pas vieux !…Quarante ans peut-être !
– Ah, parce que maintenant il lui faut des jeunes ! Je croyais que les jeunes c’était pour toi !
– Oh Docteur !

Il lui pose quelques questions au malade, l’ausculte, veut lui mettre le doigt au cul (c’est son métier, évidemment), et s’aperçoit qu’il a l’anus comme un tromblon!

– Oh la la ! Mais qu’est-ce qu’elle lui a foutu au cul ta patronne ?
– Mais j’en sais rien, moi… Je n’étais pas là. C’était peut-être son mari ?
– Son mec… Eh bien tu m’étonnes… Il lui a pété la rondelle, cet enfant de salaud !
– Oh Docteur comment vous parlez devant moi…
– Oui, eh bien fais gaffe que ça ne t’arrive pas à toi aussi ! Un zinzin comme ça dans ta boutique et je t’envoie à la refonte, nom de dieu !
– C’est si grave Docteur ?… Il va mourir ?
– Mais non pétasse. Regarde, il débande déjà. Ce n’est pas grave. Une petite piqûre et demain ça ira mieux…

Bon il s’est fait agrandir la rosette… Où est le drame ? Plus tard il en sera fier et il n’aura plus peur des grosses… Hi, hi !, il va en faire des heureux… si ça lui dit !

– Mais attention de ne pas le remettre de sitôt, entre les mains de ce bourrin, ton amoureux.
– D’abord, ce n’est pas mon amoureux !…Ensuite, ce n’est pas une tapette.
– On dit ça, on dit ça… .et…

Il n’a pas fini sa phrase, que du bout de la pine d’Armand, jaillit un vigoureux jet de pisse, qui va tout droit arroser la poitrine d’Adèle. (Elle se penchait la curieuse, pour voir cette sacrée bite).

– Et merde !… Mais Docteur baissez-lui la queue, vous ne voyez pas qu’il est en train de lessiver mon chemisier !

Il se marre le toubib. Il a du mal à rattraper l’insaisissable boute-joie qui tournicote comme un asperseur au milieu d’un champ de pommes. Le visage trempé, Adèle pousse des cris d’effroi tout en se léchant les babines… la cochonne !

– Eh bien vois-tu… Il est guéri ton mourant !

Mais Adèle, vexée, quitte la chambre, pour aller se refaire une toilette.

Gertrude n’a pas osée se pointer, le docteur repassera demain pour se faire régler la note, non sans une petite gâterie conventionnelle. (Une indemnité compensatrice dirions-nous aujourd’hui).

Dans la grande salle de séjour, il établit son ordonnance, et met un peu la main au cul d’Adèle, (C’est de bonne pratique pour un praticien qui a le souci de ses patientes).

– Toujours aussi chaud celui-là, lui dit-il. Tu n’as pas de culotte … Salope !
– Humm ! Et votre gros doigt ! Docteur… Toujours aussi fripon, celui-ci ?…Humm !
– Si peu… Si peu lui dit-il, le doigt dedans la bouche…
– Cochon !… .Oh ! Pardon !

Finalement le bon toubib se retire satisfait, tout en se disant…

– Putain ! à mon âge, mon doigt dans ce p’tit cul… un vrai bonheur ! Je lui donnerais bien un petit coup de spéculum !

Mais elle est gonflée la Gertrude ! L’autre jour elle m’épuise un vieillard qui se faisait raboter le trou de balle par son con de mari ! Aujourd’hui c’est au tour d’un jeunot de se faire aléser la pétoire avec la bite de cheval de son mec !

Hi ! Hi ! Il a dû jouir le bonhomme… (Il faut dire, qu’à part la Gertrude, il n’a pas d’autres choix, le malheureux… .Ah ! si… j’en devine parmi vous qui lèvent déjà, le doigt !!! Ben, mes aïeux !…).

Tout rentre dans l’ordre.

Armand est obligé de prolonger un peu son séjour, histoire de bien requinquer ses ‘affaires de famille’, afin de se présenter convenable devant Léonie, son épouse.

Cette fois-ci, il ne lui saute pas dessus, à son arrivée, comme à l’habitude.

– Oh mon chéri, je ne te trouve pas en forme !… Ta semaine a été dure ?
– Ben oui, ce n’est pas facile le commerce ! Les clients deviennent difficiles, et leurs épouses exigeantes… Je ne te dis pas !…C’est épuisant !

Au ‘Coin du Feu’ les affaires tournent rond, comme les rondeurs de nos Dames.

Le soir, Adèle est pleine d’amabilité pour des gars charmants ou pour des Messieurs fortunés. Elle renvoie les autres à la chambre 4.

Cependant elle attend impatiemment Armand. Il lui a promis de revenir dans un mois pour finir sa tournée inachevée. Belle occasion pour elle de se faire pardonner et récolter, elle aussi, quelques indemnités compensatrices.

Le jour où il revient, c’est la joie pour nos deux nanas qui le reçoivent avec tous les égards qu’on doit à un gentilhomme.

Dès le premier soir, elle se le prend dans sa chambre, Adèle, pour ne pas se le faire piquer par sa tante.

Elle se le bécote, le caresse, le déshabille son voyageur… Il est là nu et bandant devant elle, ne sachant plus comment se tenir.

– Ouah ! Que tu es beau mon chéri !…Quelle forme !

Elle se penche déjà sur lui pour prendre en mains ses bijoux de famille…

– Oh ! Mais ça pue tout cet attirail… où as-tu traîné ?…Tu t’est fait une morue en cours de route ?
– Mais non, c’est Léonie… j’aime bien son petit cul, avant de prendre la route ! Elle ne voulait pas, alors je lui ai dit que j’allais lui manquer… la pauvre bichette.
– Eh bien juste un peu, comme ça je penserai à toi !
– Aussi, je crois qu’elle va beaucoup penser à moi… Putain ! Car je ne lui ai pas mis qu’un peu !…Elle a le cul si profond et si gras la cochonne, qu’elle a barbouillé ma carte de visite !
– Cochon toi-même ! Elle ne t’a pas appris à te rincer la zigounette ta maman…
– Je n’ai pas eu le temps, et je crois que ce n’est pas pour te déplaire… Non ?
– Triple andouille !
– Ben oui, mais je sais que tu aimes la cochonnaille !

Alors, zou ! Dans la baignoire ! Et elle te le frotte l’égrillard. Lui essore la quéquette, lui décape la raie du cul sans oublier le petit trou… Ah le petit trou !

– Dis-donc, il te l’a drôlement élargi le mignon, mon espèce de tonton ! Hi, hi ! Tu vas faire des heureux maintenant !

– Mais non… je ne suis pas une tapette ! C’est juste pour ta langue, coquine !

Bien sûr qu’elle est coquine, Adèle. Elle a vite fait de s’agenouiller elle aussi, nue, dans la baignoire. Et elle te lui passe une putain de langue pointue, dans son trou du cul, à le faire mourir de plaisir l’Armand.

– Humm que c’est bon, s’écrie le gourmand tout en écartant ses fesses avec ses deux mains… va s’y bien profond !…Tu l’aimes mon cul n’est-ce pas ?

– Oh oui, il est bon, il et doux et il a bon goût, mon chéri ! Elle te fait souvent cela ta chérie ?
– Pas souvent, elle dit que c’est sale !…Alors je la gronde… Assis sur son visage, elle est bien obligée de le goûter… d’ailleurs elle y prend goût, maintenant qu’elle peut enfoncer sa langue bien profond, comme toi. Je crois qu’elle devient vicieuse !
– Humm, tu es un bon mec… Tu sais faire plaisir aux femmes… Humm !
– Un jour tu me la présenteras Léonie… Tu verras on lui apprendra plein de bonnes choses !
– Oh tu es une sacrée salope, Toi !
– Bon en attendant, tu sais, j’ai une dent contre ma tante et son con de mec qui est mon oncle paraît-il. Ils m’ont bernée l’autre fois et il t’a maltraité le salaud, alors on va se venger… Tu veux bien.
– Chic ! Qu’est-ce qu’on va lui faire à la vieille ?
– Eh bien voilà on va les inviter un soir… .et patati… et patata…

Ce samedi soir, l’hôtel est fermé. Tout est calme, sauf peut-être dans la chambre 4. Cette fameuse chambre où notre ami Armand s’est fait ratiboisé un peu le trou de balle (ce qui finalement ne s’est pas avéré comme un si grand mal !), au détriment de celui d’Adèle, qui aurait bien aimé se faire cajoler le sien par le jeune homme.

Dans cette chambre donc, nous trouvons, assis et ficelé sur une chaise, le petit bonhomme à grosse queue, mari de Gertrude, et pourfendeur de trou de balle. Il se nomme Jules, je crois bien ne vous l’avoir jamais dit. Il est près du grand lit où se vautre, à poil sa grasse épouse. Tous deux sont persuadés qu’ils vont passer un divin moment à se faire tripoter par Adèle et notre ami Armand. Ils sont d’accord pour se soumettre joyeusement aux jeux qu’Adèle et Armand leur ont proposés pour fêter son retour.

– Juste pour jouer, dit Jules pas très rassuré.
– Vous n’avez pas été très gentil, l’autre jour, leur dit Adèle. Aussi pour vous punir nous allons vous donner une sévère correction, petits salopards !
– Oh oui ! Punis-nous, tu as raison… On aime les bonnes punitions, n’est-ce pas Julot (Mais il n’en mène pas large le Jules il sait qu’elle est mauvaise Adèle quand elle sort ses griffes).
– Oui ! mais un petit jeu…
– Tout doux, tout doux, comme tu sais si bien faire… tu verras…

Alors Gertrude, allongée sur le ventre, ne voit pas venir Adèle qui, de longues tiges d’orties dans la main, commence à lui caresser le haut du dos…

– Oh ! Mais que fais-tu ? Des orties ! Non pas les orties ! ça pique… aïe ! Non, Non…

Mais Adèle n’en a cure de ses récriminations. Elle descend doucement sur le dos, puis sur les fesses de sa tantine. Celle-ci fait des bonds avec son cul et bât des bras, mais Armand l’immobilise en lui serrant les chevilles.

– Alors ma salope de tante, on s’est payé mon chéri, l’autre jour !
– Non ! C’est lui qui…
– Menteuse !… Et elle lui fouette un peu plus les hanches…
– Aïe !!! Non… Oui… mais je n’ai pas fait exprès.

Elle crie davantage, car le bouquet lui chatouille maintenant le creux du cul, merveilleux carrefour où caracolent, entre cuisses et raie des fesses, le trou du cul et la foufoune ! (Quel bel endroit !).

– Aïe ! Salope…ça brûle !

Elle crie encore. Elle a l’anus et la chatte en feu…

Armand lui écarte les fesses. Sadique, il s’amuse à voir Adèle faire glisser les orties dans le sillon des fesses. Puis il fout quelques claques sur ce gros cul gélatineux qui en devient tout rouge… Ah le salaud !

Encore quelques claques et ça va mieux… C’est drôle, ça la calme l’excitée. Elle sent même comme un peu de douceur dans son bas ventre… c’est bon… Elle mouille…

Ben non ! Elle pisse ! Elle s’assoit sur le bord du lit et elle lâche les grandes eaux ! Oh la bonne pisse, Armand, l’assoiffé, s’en régale.

Adèle en profite pour lui balayer les seins avec ses orties. Oh ! Elle n’a pas l’air d’apprécier la vieille ! Ses gros tétons deviennent durs comme des petites bites et ça brûle tellement qu’elle se retourne en travers sur le lit, laissant de nouveau son cul libre à la vengeance de sa nièce.

– Fous-lui au cul, elle aime ça ! (C’est Jules qui tout excité, encourage la nièce à se défouler sur sa tante).
– Ta gueule ! Couillon ! S’écrie Gertrude.

Adèle suit le bon conseil et lui fourre dans le cul une poignée d’orties. Tandis que Armand, l’inconscient, se permet de l’enculer la dame, avec désinvolture.

Oh putain ! Que de cris ! On ne sait qui de l’un ou de l’autre crie le plus… En tout cas, Armand semble déborder d’ardeur et il la bourre si bien que bientôt elle pousse des cris de bonheur, des oui, des encore, des :

– Oui, c’est bon ! Bande de salauds

Il décharge tellement et elle mouille tout autant, que leurs bons jus calment les irritations. La pine du bon gars coulisse maintenant librement, avec vigueur et beaucoup de douceur et gratifie l’enculée, d’un immense bonheur.

Planté dans son cul, avachi sur son dos, Armand jouit lui aussi d’un immense bien-être
(Un bon gros cul aux fines herbes… Vous en connaissez, vous une meilleure recette !…..Oups !).

– Alors, petit cocu !, ça t’a plu de voir ton épouse se faire troncher devant toi ? Tu jouis salaud ! Tu bandes comme d’habitude… (paroles d’Adèle).
– Oui je vais te baiser, lui répond-il.
– Mais bien sûr qu’on va baiser, petit con… Oui je la veux ta grosse queue !

Sur ce, Adèle se saisit d’un gros godemiché. Un genre de cône pointu et qui va s’élargissant, puis fixé sur un socle. (Un Plug, tout simplement, comme on dit aujourd’hui et qui sont en matière synthétique… ). Celui-ci est en bois d’olivier! (Bio avant l’heure).Il a une allure surprenante et délicieusement aguichante. (Hi !, hi !…il y en a combien qui sont en train de lire cette histoire et qui s’en sont glissé un dans le cul !!!).

– On va s’aimer, mon chéri, on va baiser, tu vas voir, veux-tu soulever un peu ton cul, s’il te plaît !

Malgré ses liens, il arrive à se soulever sur la pointe des pieds, le Jules. C’est alors qu’Adèle place le fameux Plug, sur la chaise et sous son postérieur.

Oh ! Sous son cul !… Là, il n’est plus trop fier notre cocu ! Il sent la pointe du gode qui lui taquine la rondelle ! (Bande de coquins… N’est-ce pas que ça vous fait un drôle d’effet ce machin-là !).

– Mais que veux-tu faire, petite garce ? Il est gros ce gode ! Il va me bousiller le cul!
– Si peu, mon chéri… pas autant que ton vireton dans le cul d’Armand… .
– Boff ! Une petite nature !

Elle lui tripote sa grosse bite… ça lui fait du bien au bonhomme … Humm, il bande encore plus fort… Elle va être bonne cette pine ! Ben oui ! Pour son minou, elle aime bien les grosses natures, la chipie !

Elle en a plein les mains, de ce bel engin. Elle fait coulisser le prépuce, le rabat, suce le gland qui lui remplit la bouche… C’est du bon… du solide… il est bien équipé le petit bonhomme !

Elle est tellement excitée à tripoter cette bite, que d’un coup, d’un seul, elle saute, la salope, sur les genoux de Julot et elle s’enconne sur le gros membre.

– Ah ! Ah ! Ah !!!!

– Ouiiiiiiilllleeee ! … … … .

Il en a le souffle coupé, Julot. Il ne peut même plus crier.

Vous pensez bien que le poids d’Adèle, lui fait entrer le Plug tout entier dans le trou de balle. Il s’est fait péter la pastille et cette conne qui continue à bouger en sautant sur ses genoux, comme sur un canasson pour profiter au maximum du bel instrument.

– Arrête, tu me défonce… Aïe !!!
– Ta gueule… (elle lui plaque le visage sur ses seins..), occupe-toi de mes seins… .
– Arrête… je… .
– Suce ! Je te dis … .Putain il est bon ton braquemart !…Va s’y suce l’autre… Tais-toi, ce n’est pas le moment de couiner… Suce, pince-moi les tétons !…Suce !

Elle jouit Adèle, oh qu’elle jouit de plaisir et de vengeance !

Maintenant que le Plug a bien pris sa place, Julot n’a plus mal… Il sent même le plaisir grimper dans le bas de ses reins !

– Oh oui c’est bon… oh ! Continue… Humm
– Alors ça va bien maintenant…

Ils jouissent tous les deux… C’est délicieux !

Gertrude et Armand cessent leurs bonnes effusions, pour s’approcher de nos deux amoureux, ils les entourent, les cajolent…

– Qu’ils sont beaux tous les deux !

Julot lâche les tétons d’Adèle pour s’emparer de la bite d’Amand nacrée vanille-chocolat façon Gertrude, tandis qu’Adèle récupère un peu les bonnes humeurs qu’Armand a déversées tout à l’heure, dans le trou de la Tantine…

– Ah ! Je suis tombé dans une bonne Maison… s’écrie Armand qui baise en bouche Julot, ras ses couilles et qu’importe s’il étouffe le mec… il a quand même un compte à régler, notre pigeon voyageur !

Adèle qui s’est fait des moustaches dans le cul de Gertrude, continue à se balancer sur la grosse bite

– Tu l’aime bien sa bite, petite cochonne ! Il va te la mettre au cul à ton tour, n’est-ce pas ?
– Ça ne va pas ! Plutôt lui couper à ce con ! Elle est réservée à Tantine… Et à toi aussi puisqu’il t’a alésé la pastille, mon cochon ! Ce n’est plus qu’une question d’habitude !
– Non, mais dis donc, salope !….Quoique…

Ah ! Oui vraiment, je vous assure, « Au Coin du Feu » est une très bonne Maison !
Si bonne que je croie qu’Armand a bien envie d’y revenir faire un tour (des fois qu’il y trouve de nouveaux clients), sait-on jamais !

30/03/2024

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Tant va le Temps… Tant va le Cul… 37 – Retours d’Amabilités… par Verdon

  1. Harivel dit :

    Ce personnage d’Armand est véritablement truculent. Et ses exploits m’ont bien fait bander

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *