Le Domaine des quatre vents 1 par Mathieu01

Après quarante minutes de voiture vers le nord, sur des chemins enneigés, je
vis enfin le petit écriteau, sur le bord de la route, pointant un chemin en
terre, mal déneigé, où était inscrit  » Domaine des Quatre- Vents » sans
indications sur la nature de l’établissement… Je pris donc le chemin au bout
duquel je vit apparaître une luxueuse demeure, deux étages, portes doubles,
grandes véranda, majestueuse fenêtres desquelles sortaient une lumière
tamisée. Le tout, accompagné d’un modeste stationnement en gravelle.

Je sorti de mon véhicule, montai les escaliers et frappai à la porte. Une
femme ouvrit, elle se nommait Laurence, cheveux roux, teint basanée, yeux
vert, un peut grassette et pas très grande, ce qui lui donnait un air
charmant.

– Carton bleu, rose ou mauve ?
– Pardon ?
– Ha ! C’est votre première fois, bien, le carton désigne ce que vous voulez
rencontrer : Bleu pour un homme, rose pour une femme ou mauve pour l’un ou
l’autre.
– Hmmm…mauve.

Elle me donna un macaron en plastique transparent dans lequel elle inséra un
carton mauve puis elle m’indiqua le salon, à ma gauche, là où l’on faisait
les rencontres; me dis que je ne pouvais aller à l’étage; qu’à la cuisine il
y avait un buffet; que l’on accédait à la salle de bain par la porte sous
l’escalier en face de moi; et que toutes les activités se déroulaient au
sous- sol. Elle me dit aussi que puisse que c’était ma première fois, je
paierais en sortant, mais seulement si on ne m’invitait pas…

Ne comprenant pas trop cette dernière affirmation, je la remerciai, me
disant que je paierai à la sortie, et je partis explorer le salon n’ayant
pas vraiment faim et voulant participer à quelques activités avant que
l’établissement ne ferme, à deux heures du matin.

J’errais dans la salle de repos, assez détendu, tâtonnant, dans ma poche,
les condoms que j’avais pris soin d’apporter. La salle était luxueuse,
lustre en cristal au centre de la pièce, suspendu au dessus d’un table basse
en verre, sofa style Louis XV, en transversale, sous la fenêtre, et un autre
entre la porte d’où j’entras et la table. En face, un foyer en marbre blanc
gravé d’ornementations, à ma droite, une porte ouverte donnant sur un
escalier descendant… Il y avait beaucoup d’hommes et peu de femmes présents.
Voyant que les deux seules femmes au salon étaient comme qui peu dire déjà
prise, je me tournai vers un homme accoudé au foyer, verre de porto à la
main, portant le carton mauve. Pas un physique classé comme étant beau dans
notre société « moderne », mais un aura s’émanait de lui, un certain « champ de
force » m’amena à lui…

– Bonsoir.
– Bonsoir.

Il me plaisait, bon chic, bon genre… pas très bâtit, 5’7 », 140 lbs, (1.74
m, 65kg) mais une prestance… Il ne parlait pas, ne voulant le perdre, je
continuai la conversation…

– Vous me semblez reposé

– Bien sûr, tu ne l’es pas ?
– Pourquoi ne le serais- je pas ?
– Je ne sais pas…tu fréquentes cet endroit depuis longtemps ?
– Non, c’est la première fois, vous ?
– Dis- moi tu… Je suis un habitué, Laurence, (pointant l’hôtesse) est une de
mes amis…
– Mmhhm, je comprends… (Je dois l’inviter subtilement ou pas…) tu aimerais
descendre avec moi ?
– Ho, oui…(oui !) mais (quoi ! ?) c’est ta première fois, et il y a une
coutume…(une coutume… ! ?)
– Laquelle… ?
– Tu la sauras bientôt, il approche onze heures, ton tour est proche…
– Mon tour… ?
– Vas voir Laurence, dis- lui que c’est ta première fois et que Jean t’a dis
de lui dire que tu devais avoir ton tour…

J’allai donc voir la femme qui m’avais accueillit et lui dit que Jean me
faisait lui rappeler que j’avais droit à mon tour, elle regarda Jean qui lui
fit un signe puis elle me mit la main sur l’épaule et me dit de la suivre,
ce que je fis.

Nous sommes monté à l’étage et ensuite entré dans une chambre. Elle referma
la porte. La chambre faisait environ 15 pieds de large sur 20 de long (4.5m
par 6m). Un lit baldaquin à ma gauche, une table de chevet de chaque côté,
une grande commode à ma droite et, au fond, à côté de la commode, une porte.
La propriétaire m’a demandé ensuite de me déshabiller, je n’ai pas rouspété
et j’ai enlevé mes vêtements. Elle me saisit les couilles d’une main,
pendant que de l’autre elle me mettait le doigt sur la bouche pour me faire
signe de me taire. De cette dernière elle fouilla dans un tiroir de la
commode et en sorti une cravache.

– Retournes- toi, m’ordonna- t- elle. Je vais te frapper les fesses, et si
tu cris trop fort, si tu es insensible ou si tu ne fais pas tous ce que je
te dis, tu ne pourras plus jamais mettre les pieds ici…compris ! ?
– Oui.
– Oui qui ! ?
– Oui maîtresse.
– Maîtresse qui… ?
– Maîtresse Laurence…
– Bien…retourne- toi… penches- toi… Un ! (Ouch, c’est pas si mal mais…) Deux
! (Hmm !) Trois ! (…) Quatre ! Cinq ! (Haa..) Six ! Sept ! Huit ! Neuf ! (Ça
fait mal…) Dix ! Onze ! Douze ! (Aïe…)Treize ! Quatorze ! Quinze ! (Je suis
plus…) Seize ! (…capable…)
– J’aimerais arrêter Maîtresse Laurence, si vous le voulez bien…
– Le jeu ou la cravache… ?
– La cravache…
– Comme tu veux…

Elle rangea la cravache et me demanda de la suivre. Elle passa la porte.
Cette chambre de bain comportait une douche vitrée, un bain tourbillon
podium, un grand miroir, un lavabo et une toilette, le tout très grand chic.

– Couche- toi dans le bain…
– Oui maîtresse… Maîtresse Laurence…

Elle se déshabilla, se mit debout, un pied de chaque côté du bain, elle me
dit de fermer les yeux et je sentis un liquide chaud me couler sur le
visage. Bien sûr, aussitôt qu’elle était montée sur le bain je savais ce
qu’elle voulait faire… Je ne déteste pas l’uro, mais je n’en ai pas une très
forte attirance non plus. Cependant je dois dire que quelque fois cela peut
être plaisant, en tout cas, en ce moment, je trouvais beaucoup plus plaisant
de recevoir ce liquide chaud et salé, d’une belle couleur citron que de me
faire frapper à coup de cravache…

– Tu aimes ?
– Oui maîtresse.
– As- tu aimé cravache ?
– Non pas vraiment MaÎtresse… Je n’ai pas détesté mais je n’ai pas adoré non
plus…
– Tu ne regretteras pas d’être passé par là, ça m’excite énormément tu sais,
ce genre de trucs, maintenant, prends- moi !…

Je la saisi et la couchai au fond du bain lui mordillant les mamelons,
glissai ma main vers son sanctuaire soigneusement épilé, j’introduisis deux
doigts, l’index et l’auriculaire jusqu’au niveau de la jointure de ce
dernier, un peu vers la droite, cherchant la protubérance, je la trouvai et
ne la lâchai pas. Je l’embrassais violemment, dans ma bouche, ça langue
frémissait, elle aimait… Au bout d’un moment je la sentit jouir, alors je me
plaçai et m’introduit en elle, elle était chaude et humide, j’exerçais le va
et vient rapidement, de grands coups puissants, haletant … Quand je fus prêt
à jouir, je me retirai, et lui inséra mes doigts, laissant mon plaisir pour
le sien; quand elle eut jouit une seconde fois, je me suis couché au fond du
bain, la plaçant sur moi, couché sur le dos. Je la pénétrais une seconde
fois l’embrassant et lui caressant le ventre et les seins. Et elle me
m’ordonna : « Encule- moi ! » alors, je me retirai et la pénétra dans l’anus,
tout aussi radicalement, descendant une main pour continuer à lui stimuler
le sexe, recherchant ce point G, que j’avais flatté quelques minutes plus
tôt. Elle gémissait, s’agrippant aux rebords du bain. Je jouit en elle,
donnant de profonds coups de bassins, puis je sortis, continuant à la
masturber tout en changeant de main pour pouvoir l’assoire sur le bord de la
baignoire à l’aide de ma main droite, ma main la plus forte. Et je goûtai,
de ma bouche, sa cyprine au goût velouté, titillant toujours d’une main sa
place forte et caressant de l’autre ses monts de chaires… Pour la troisième
fois, elle jouit mais cette fois, comme je m’y attendais, elle éjacula. Je
léchai, je bu cette substance au goût légèrement amère mais auquel on
s’attache rapidement…

***
Contrairement à ce que disent les « p’tites revues full cute » qui affirment
que seul 2 à 4% des femmes peuvent éjaculer, je vous assure que si vous
réussissez à trouver le point G d’une de ces charmantes créatures (vous
aurez besoin de pratique pour cela mais c’est trouvable) et que vous le
stimulez suffisamment pour faire jouir votre compagne au moins deux fois,
les 2 à 4% s’envoleront en fumée car pratiquement toutes les femmes le
peuvent…

***
Je l’embrassai, la saisi et l’amena dans la douche. Je l’embrassais, la
caressant, ouvrant l’eau. Je l’ai placé face au mur sous la pomme de douche,
le jet dirigé sur nos têtes, je l’embrassait encore, elle avait ses mains à
plat au mur penché par en avant, je me tenais sur ses haches, la prenant
sauvagement une seconde fois. Elle criait, je gémissais bruyamment, la
défonçant de toute ma puissance. Quand je sentis que j’atteignais le point
de non retour, celui où on ne veux (peux) plus arrêter, je me retirai et lui
demandai de me sucer. Laurence se retourna, s’assit sur ses talons, empoigna
mon membre et l’engouffra, manipulant mes testicules, léchant mon gland. Je
m’adossai à la paroi, profitant de l’instant présent. Je déposai une main
dans ses cheveux, mes genoux tremblaient, je me crispai, ma main toujours
dans ses cheveux, l’autre sur la poignée de la porte vitrée; elle avala le
tout, lécha mes couilles, m’astiqua la verge quelques secondes, m’embrassa
les parties quelques fois, se releva et me dis :

– C’était délicieux…
– Tu as aimée ?
– Et comment ! Je ne pensais jamais que je pouvais éjaculer comme les femmes
dans les films…
– Il suffit de savoir s’y prendre…

Elle m’embrassa, me dit de prendre mes vêtements et de descendre nu quand
elle m’aura appelé.

Après cinq minutes elle revint et me dit de descendre. Elle me dirigea au
sous- sol, le rez-de-chaussée était vide… au bas des escaliers apparaissait
quatre écriteaux une indiquant le sonna, une autre les glory-holes, la
troisième les salles individuelles et la quatrième la salle commune. C’est
là qu’elle me dirigeât. Au bout du corridor des salle individuelle (une
douzaine de portes donnaient sur de petites pièces avec un lit, des kleenex,
des instruments hétéroclites et un distributeur de condoms) une porte double
s’imposait; derrière, une grande salle. Une multitude de sofas avaient été
poussés sur les murs, un écran géant jouait un film représentant une orgie
bisexuelle, une table basse au centre. Tous les clients y étaient. Moi nu
comme un ver au centre, j’étais gêné, on me dit de me coucher sur la table,
chose que je fît puis l’homme que j’avais rencontré au début vint me
demander si j’acceptais la pénétration, je dis que oui. Il se mit un condom
et m’enfila. Tous les autres firent deux filent, une pour mon cul, l’autre
pour ma bouche, les femmes, elles étaient six, (contre 14 hommes)
s’avancèrent, me léchant le corps et les mamelons faisant bien attention de
ne pas toucher mon pénis. Trois de chaque côté, je les caressais durant ce
temps. L’homme qui m’avait pris commençait ses va et viens, son engin était
puissant, au moment où je commençait à savourer cette sensation, une queue,
condomée, butât contre ma bouche, je l’avalai. Quand l’homme s’afférant à
mon anus vînt pour jouir, il se retira et se branla afin d’éjaculer sur mon
ventre et sur ma poitrine. Ensuite il alla s’adosser à un mur, regardant la
scène, une femme me quitta et alla le rejoindre. L’homme à ma bouche fît de
même; ils s’enchaînèrent faisant tous la même chose : se satisfaire sur mon
corps puis se reculer pour regarder.

Quand ils eurent tous terminés, j’étais couvert de sperme, le corps tout
lustré, le cul complètement défoncé, les muscles de ma bouche étaient morts
à force de sucer. Ils applaudirent. Laurence s’avança vers moi, caressa la
semence qui me couvrait puis me dit : « Félicitation, vous êtes maintenant
initié ! » Elle me remit une carte, sobre, sur laquelle était inscrit :
« Le domaine des quatre- vents
Carte de membre »
Applaudissement, elle m’invita à me laver puis je parti, il était deux
heures, j’y étais arrivé à neuf.

— à suivre —

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Le Domaine des quatre vents 1 par Mathieu01

  1. Unodos dit :

    La situation est farfelue, il n’y a décidemment pas que Stanley Kubrick qui ne sait pas décrire une partouze

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *