Chanette 34 – Le cas Jérôme – 9 – Quand Max s’envoie en l’air

Sachant qu’il ne peut rien me refuser, je téléphonais le lendemain à Gauthier Normand, le patron de Max le dur et lui narrais mes déboires avec force détails.
– Vous avez vraiment le don de vous mettre dans des situations pas possibles ! Me dit-il sur le ton de la plaisanterie.
– Je ne le fais pas exprès ! Je dois être trop gentille !
– Quoiqu’il en soit Max est toujours à votre disposition. A quelle heure souhaitez-vous le rencontrer ?
Un coup d’œil sur mon agenda.
– Demain je serais libre à 15 heures, je peux être chez moi vers 15 h 30….
Et à l’heure dite je lui expliquai toute l’histoire…
– Faut que je réfléchisse, il me faut trouver une vacherie à lui faire qui ne puisse pas déboucher sur un dépôt de plainte. On peut en parler au restaurant, mais ce n’est pas encore l’heure…
Il me regarde avec des yeux libidineux.
– Je sais à quoi vous pensez en ce moment, Max ! Vous savez que je ne suis pas contre, mais j’ai un message pour vous.
– Un message ! Ciel !
– Valentin et Carole aimeraient profiter de votre passage à Paris pour… comment dire…
– J’ai compris ! Quels cochons ces deux-là, alors on va faire les choses dans l’ordre, je vais aller les voir, je coucherais sans doute chez eux et on se retrouvera demain après-midi, d’ici là j’aurais sans doute trouvé une idée pour faire passer à ce monsieur Passant le gout de vous emmerder.
Et le lendemain vers 19 heures, alors que je n’étais vêtue que d’une robe de chambre, il sonnait chez moi et m’annonçait qu’il avait imaginé un plan.
– Je peux savoir ?
– Le but c’est d’une part de l’humilier et d’autre part .de faire en sorte que la police découvre sa confession enregistrée. Je vais faire ça avec Valentin, il est tout content de me donner un coup de main. Ah, au fait j’ai passé une excellente soirée chez Carole et Valentin. Ils ont été très cochons !
– Je n’en doute pas un instant, mais ça ne me dit pas quel est ce plan ?
– Je vous le raconterai quand nous aurons fait le boulot, demain soir vous saurez tout.
Quelle tête de mule !
– Savez-vous, Chanette que vous êtes toujours aussi désirable ?
– Vous me flattez !
– Non, je suis sincère !
– Ne tournons pas autour du pot, vous avez envie de me sauter, et vous savez bien que je ne suis pas contre.
Et pour le provoquer un peu, j’ouvre en grand ma robe chambre et lui exhibe ma poitrine.
– Oh, ces seins ! Quelles merveilles !
– N’exagérons rien !
– Je peux toucher ?
– Vous savez bien que vous avez toutes mes permissions.
Il ne se le fait pas dire deux fois, et se précipite sur mes nichons comme un ramasseur de champignons devant un gros bolet. Il plote il caresse, il malaxe.
– Doucement Max, doucement !
Il range ses mains, et c’est sa langue qui les remplace, il lèche, me suce les tétons qui durcissent sous ses lèvres gourmandes…
Je lui plaque ma main sur son entrejambe, C’est tout dur derrière sa braguette.
– Tu bandes, hein mon salaud ?
Je suis comme ça avec Max parfois je vouvoie, parfois je tutoie… et admettez qu’en de telles circonstances le vouvoiement n’est plus de mise !
Je dézippe la fermeture éclair, passe ma main à l’intérieur et fait sortir sa bite de sa cachette.
Il a l’érection insolente, je le décalotte, le branlotte…
– Suce-moi ! Implore-t-il.
– Bien sûr que je vais te sucer, mais si tu baissais ton pantalon ce serait plus cool.
– Crois-tu ?
– Et comme ça je verrai tes couilles et je pourrais te foutre un doigt dans le cul.
– Mais t’es une vraie cochonne !
– Parfois ! Mais tu ne le savais pas encore ?
– Une belle cochonne !
Il se recule un moment, enlève son pantalon et son boxer qu’il dispose méticuleusement sur une chaise, et pour faire bonne mesure, il retire également son tee-shirt. Le voilà tout nu devant moi, enfin presque tout nu, puisqu’il a conservé ses chaussettes. (quelle manie !)
Je lui tortille les tétons, il adore ça (comme beaucoup d’hommes).
– T’as fait quoi avec Valentin ? Lui demandais-je.
– Devine ?!
– Non, je veux que tu me racontes !
Le récit de Max
(Ceux qui seraient intéressés par les circonstances dans lesquelles Max a rencontré Valentin liront ou reliront « Chanette 16 – La partouze de monsieur le ministre 2 – Manipulations ». Cette rencontre a réveillé sa bisexualité qu’il a d’abord assumé de façon active avant de s’essayer au côté passif)
Je me pointe à 19 heures en apportant une bouteille de Champagne et un gros gâteau glacé. Carole et Valentin m’accueille chaleureusement.
Bisous, bisous.
Carole est en beauté vêtue d’une petite robe noire sans manche et joliment décolletée. Quant à Valentin il est toujours aussi mignon et ambigu.
– Je vais mettre tout ça au frais, on commandera des pizzas qu’on mangera tout à l’heure ! M’informe Carole, mais avant je crois que Valentin est impatient de passer à l’action, si je puis dire.
– D’accord ! Répond Max. Offre moi un jus de fruit et on se lance !
– Et moi je vais vous regarder… dans un premier temps…
Le jus de fruit avalée, je m’approche de Valentin et lui porte la main à la braguette.
– Cochon ! Me dit-il.
– C’est toi le cochon ! Tu aimes les bites !
– Alors on est deux cochons.
Max dézippe la fermeture éclair de Valentin et sa main s’en va farfouiller à l’intérieur et finit par dégager une jolie bite qui bande déjà effrontément .
– Hum, c’est la forme on dirait ! S’exclame Max.
– Suce lui la bite ! Intervient Carole qui s’est assise sur le canapé, jupe relevée, sans culotte et les doigts sur la chatte.
– Ça tombe bien ! répond Max, goguenard, J’en avais justement l’intention.
Max se baisse et s’apprête à mettre bite en bouche, mais se ravise.
– C’est pas trop pratique, il faudrait mieux que tu baisses ton pantalon.
– Mais non ! Intervient Carole ! Foutez vous à poil tous les deux ! Un peu de décontraction, bon dieu !
Elle n’a pas tort et on se déshabille de conserve. Ce coquin de Valentin ne trouve rien de mieux à faire que de m’attraper les tétons et de me les serrer bien fort entre ses doigts. A ce régime, me voilà bandé comme un collégien.
Mais mon envie de sucer devient intenable. Je me rebaisse et lui gobe la bite pour de bon. Hum qu’est-ce que c’est bon. C’est doux, c’est chaud, c’est pervers, c’est délicieux. Je fais aller et venir cette queue dans ma bouche et en même temps, je lui fourre un doigt dans le trou du cul.
– Vous êtes vraiment des gros pédés ! S’écrie Carole en se frottant ostensiblement la minette.
– Maintenant tu vas m’enculer ! Avertisse-je Valentin.
– J’aurais préféré le contraire…
– Le contraire on le fera plus tard, la soirée n’est pas finie, elle n’est qu’à peine commencée.
– Alors d’accord, mets-toi en position, je m’enfile une capote et je te baise.
Un cri sur le Canapé ! Non personne n’est blessée, c’est Carole qui jouit comme une malade !
– Si tu te mettais à poil ! Lui dis-je, se serait plus cool.
– Tout ça pour voir mes nénés !
– Ben oui !
Elle le fait ! J’adore ses seins, en fait j’adore tous les seins, j’irais bien les lui tripoter mais je suis mal placé… et puis comme je le disais moi-même, la soirée n’est pas terminée.
Valentin se pose derrière moi et me lèche le fion avec agilité, puis d’un coup sec me pénètre. Sa bite entière est entrée d’un seul coup d’un seul… et les va-et-vient commencent, me procurant un bien fou.
– Continuez, vous m’excitez, les garçons ! J’adore regarder deux mecs s’enculer ! Non, non, Valentin, ralentis, ne jouis pas trop vite, fait durer le plaisir !
Il fait ce qu’il peut, mais quand on est excité, on est excité et il finit par jouir dans mon cul.
Il se retire et manifestement à bout de souffle s’en va se reposer sur un fauteuil.
J’ai un peu mal au cul, mais ça ne m’empêche pas de m’approcher de Carole et d’aller lui bouffer ses gros tétons bruns… ceci dans un premier temps, parce que dans un deuxième temps c’est sa chatte que je visite. C’est tout humide là-dedans, je lèche à qui mieux mieux. Mademoiselle se laisse faire en se tortillant ses bouts de seins, Ma langue s’enroule autour de son gros clito érigé de plaisir. Et la voilà qui jouit pour la seconde fois de la soirée.
On s’embrasse, on se boit un jus de fruit, on allume une cigarette….
Je bande toujours ! Il me faut jouir, mas comment et avec qui. Valentin me semble H.S. pour le moment. C’est vraiment dommage, j’aurais tellement aimé foutre ma bite dans son petit cul… Mais quand Carole m’a offert le sien, vous pensez bien que je n’ai pas hésité une seule seconde.
Bien sûr avant d’introduire ma bite, je lui ai léché la rondelle. J’adore ce petit gout délicieux et quelque peu pervers
Moi aussi j’ai eu du mal à tenir la distance mais j’ai mis un point d’honneur à la faire jouir pour la troisième fois.
Fin de la partouze ! Il est donc temps de commander les pizzas… Mais avant pipi. Carole avait une grosse envie et elle m’a généreusement pissé dans le gosier. Un peu salé tout ça, mais délicieux.
Fin du récit de Max
Je ne sais si c’est mon tripotage de tétons, la crudité de son récit, ou la vision de mes charmes, mais toujours est-il que Max bande comme un sapeur
Je me baisse et embouche cette bite qui me nargue de trop. Elle est bonne, elle est fraiche, elle est douce, je m’en régale. Elle sent un tout petit peu le pipi mais cela ne saurait me gêner. Et en même temps ma main lui flatte le cul, en écarte les globes
– Doigte moi le cul ! Implore-t-il
C’était justement dans mes intentions, un peu de salive sur mon doigt et hop directement dans le troufignon !
Il ne faudrait pas qu’il jouisse dans ma bouche… parce que j’en veux plus !
– Tu voudrais m’enculer, Max ?
– Avec plaisir !
– Sais-tu que tu es l’un des rares à qui j’accorde cette faveur.
– Et à quoi dois-je cet honneur ?
– J’en sais rien, peut-être parce que tu as une bonne bouille … et puis tu fais ça si bien.
– Tu vas me faire rougir. On se met comment ?
– Allons-y pour la levrette !
Je me mets en position. Cu coup, il a une vue imprenable sur mon trou du cul. Il m’embrasse les fesses, puis sa langue s’en va butiner ma rondelle.
Il prend bien son temps mais ce qu’il me fait est fort agréable, je l’entends déchirer un emballage de préservatif… et puis ça y est le voici en moi… et c’est parti !
Il me fait ça comme un chef, ni top vite, ni trop lentement, au bout de quelques minutes des frissons de plaisir m’envahissent. Me voilà en train de jouir du cul. Du coup Max passe la quatrième et me pilonne comme un sauvage… jusqu’à sa propre jouissance
C’était bien ! C’était même très bien !
A suivre
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Max, le coquin, rêve d’aventure,
Chanette sourit, complice et légère.
Leur duo s’invente mille figures,
Sous la lune, éclate leur mystère.
Sacré Max, il ne rate pas une occasion !