Tant va le Temps… Tant va le Cul… Mais je n’ai pas dit non ! par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul… Mais je n’ai pas dit non ! par Verdon

Bonjour les amis, vous avez passez une bonne nuit ?

Ben oui, moi aussi.

Et oui, vous me connaissez, je suis Firmin, ce vieux clou qui tant a traîné un peu partout, que maintenant il est usé et n’a plus la vigueur d’autre fois… Que voulez-vous, ce sera un jour votre tour.

Mais attendez… usé mais pas rouillé le clou… il a du mal à tourner dans la serrure, bon je vous l’accorde, mais c’est un clou rustique, un bel article qu’on ne trouve pas partout, mais qui attire l’attention, surtout des connaisseuses et d’autres brocanteurs.

Aussi, je ne vous dis pas, il a encore de la fierté le bouchon, de la tendresse dira-t-on… et même de jolies mollesses… nom de dieu ! À faire pâlir quelques mâles vicieux.

Eh bien justement, vous allez voir. Ce matin j’ai l’humeur bien bonne. Je me réveille de ma petite grasse matinée en pleine forme (si je peux dire). Je sais que Marinette, notre soubrette, est déjà là et je vais lui faire sa petite surprise préférée.

Voilà, je suis tout nu, je retire mes mains d’entre les grosses fesses poisseuses de Rose, ma chère et capiteuse épouse, (eh oui, elle adore que dans la nuit, je lui glisse la main en sandwich entre ses miches) et tandis que je la laisse dormir, ma paresseuse, je descends dans la cuisine, en tenue d’Adam. (Il fait doux et c’est si bon de laisser mes roupettes folâtrer entre mes cuisses dans le courant d’air, en descendant l’escalier).

Je jubile d’avance de me montrer à poil devant la Marinette qui les mains dans la farine, est en train de préparer, apparemment, un bon gâteau, le buste penché en avant et le derrière bien relevé… Ah quel beau cul matinal !

Elle m’entend arriver dans la pièce. Elle ne se retourne pas. Elle serre les fesses… elle aime qu’un homme nu la regarde.

Je remarque immédiatement, que comme on le lui demande souvent, elle ne porte pas de culotte sous sa mini-jupette, la salope.

Alors bien sûr, par politesse, je fais ce que vous auriez fait vous-même, je suppose…
Je lui dépose un doux bisou dans le cou… Humm !
N’est-ce pas là, un beau geste, une amabilité, une délicatesse…
Bon… c’est vrai qu’instinctivement, je lui mets un doigt au cul…
Oh ! Juste un… délicatement vous savez…
Bon, peut-être deux… (des fois qu’elle n’est pas senti le premier… Oups !)

Vous me dites que ça ne se fait pas… ?
Et alors !…On ne va pas en faire toute une histoire pour si peu, n’est-ce pas ! (un doigt au cul, ce n’est qu’un doigt… on se met bien des fois, le doigt au nez… ).
D’ailleurs, je n’en ai pas mis plus, je vous le jure… certes, un peu profond sans doute… mais que voulez-vous, c’est que ça glisse en cet endroit, et plus particulièrement, me semble-t-il ce matin.

– Monsieur, voulez-vous retirer votre doigt indélicat, de là où vous l’avez mis ! Si c’est tout ce que vous avez de bien court et de pas plus gros à me proposer, vous pouvez aller vous rhabiller.

Oh la salope ! Me dire ça à moi, son patron et le premier de ses enculeurs alors qu’elle avait tout juste 20 ans ! Ah la putain de nom de nom ! Je vais te lui foutre une baffe sur le cul à cette insolente !…Paf !

– Eh bien, ma petite Dame, ce n’ai pas comme cela qu’on parle à un Monsieur.
Quand on est précieuse, et qu’on ne veut pas se faire déplumer le coccyx, on ne se balade pas le cul nu pendant son travail.

Puis en me léchant les doigts, j’ajoute :

– D’autre part, je constate que ‘votre’ petit trou du cul a reçu avant mes courtoisies, un gros et juteux visiteur qui ne s’est pas gêné de la délicatesse de vos fesses.
– C’est mon couillon de mari qui m’a enculée, le salaud, juste avant que je vienne chez vous pour vous servir… je n’ai même pas eu le temps de remettre ma culotte, voyez-vous !
– Je vois, je vois… il a bon goût ton mec… Tu as aimé, salope, te faire enfiler de bon matin, n’est-ce pas ? Ose dire que ça ne t’a pas plu !
– Oui, Monsieur. Ça me, rappelle les bons moments que j’ai passé avec vous, quand vous me sautiez dès que j’arrivais !
– Ben voilà. Alors tu sais ce que tu vas faire, ce matin, … Pour te faire pardonner ton impolitesse ? Tu vas me la sucer ma bonne bite qui t’a si souvent fait du bien ! Oui j’ai une grande envie que tu me suces… Tu fais ça si bien.

Alors je m’assois sur le bord de la table et elle, en face, sur une chaise, son museau juste au niveau de mon os à moelle, elle me suce la gourmande…

Oh qu’elle suce bien ! Si bien que je joui… Une petite dose, quelques gouttes seulement, mais elles doivent être drôlement goûteuses ces perles, car à voir la façon dont elle pompe et les yeux blancs qu’elle fait … C’est qu’elle y prend du plaisir !

Il faut dire que je l’aide aussi… (des fois qu’elle s’endorme… ) les deux mains sur sa tête je lui cloue le bec sur mon service trois pièces… Elle en a plein la bouche la vorace… Putain ! Ce qu’elle déguste ! C’est une bonne fille, une bonne suceuse.

– Eh bien ! Vous ne vous emmerdez pas tous les deux
Pendant que Madame se repose, Monsieur s’envoi notre petite conasse de servante qui d’après ce que j’ai entendu, ne s’est même pas débarbouillé le trou du cul avant de venir ici, se prendre une rasade de jus de couilles !

En effet, ça fait un petit moment qu’elle est en train de les regarder jouer à pipi-caca ces deux ostrogots et le spectacle valant le coup, elle ne s’est pas gêné la patronne.

Mais un peu comme toutes les mémères délaissées, le spectacle ne lui suffit pas, et elle rentre dans le plat… en fin, façon de parler.

D’abord, le petit cul de Marinette, encore un peu merdeux, ça l’affame la vieille. Oui il ne faut pas laisser se défraîchir la sauce… et la sauce il y en a, car comme on l’a déjà dit tout à l’heure, elle vient de se faire sauter la mignonne, juste avant de prendre son boulot.

Et comme ça fait longtemps qu’elle ne s’est pas payée du jus d’homme, la mémé, c’est le moment d’en profiter, et c’est gratuit.

D’autant que le donateur, elle le connaît, un beau gars, un bon juteux, un brave gars qui sait entretenir la patronne, quand sa servante d’épouse, fait du bien au patron.
Voyez-vous, on est quand même dans du joli monde !

Ainsi donc, nos deux délicieuses personnes, se sont mises à l’œuvre pour satisfaire leurs réciproques jouissances.

C’est sur le tapis de la salle de séjour, qu’elles ont décidé de se rouler en 69, ventre contre ventre, les seins brouillés comme des omelettes, et le pétard en l’air selon leurs préférences.

Entre les fesses de Marinette posées sur le visage de Rose, s’écoulent encore lentement quelques perles de crème blanchâtre, qui sortent par à coups de son mignon petit trou vermillon.

Rose, la bouche ouverte, lape avec empressement le bon jus et s’acharne même avec le bout de sa langue à contourner les bords fripés de l’anus pour bien en récolter la moindre écume.

Ensuite c’est à Marinette de bien papillonner le trou de balle de sa patronne affalée sur le canapé… elles sont vraiment cochonnes, nos deux femelles !

Seulement, elles me laissent tomber, mes deux gazelles.

Assis sur un fauteuil, la biroute en perdition, je me tripote les roustons en regardant le spectacle.
J’avoue que ce n’est pas désagréable à observer. Putain, deux femmes qui barbotent ensemble, c’est super, c’est à regarder un peu de loin, mais avec les yeux grands ouverts, et la braguette aussi !
Ça sait y faire, deux nanas. Elles savent où ça fait du bien, et aussi, là où ça fait mal, ben oui, elles aiment souffrir pour se faire du bien. (vous savez bien, avec la vôtre… quelques bonnes tapes sur le gras et hop ! elle en redemande… ah ! Les Salopes !).*

Moi j’admire la façon dont Marinette écarte les fesses de mon épouse pour lui lessiver âprement la rosace…

Langue pointue, léchouilles baveuses, nez fouineur et bonnes claques sur les fesses… Tout y passe et moi je prends des cours de formation… (il est temps !).

Et elle jouit ma cochonne… la putain elle le bouge son popotin…
Mais c’est qu’elle me ferait bander… Eh les gars, au secours !…
Non… pas tous à la fois, quand même !

Au bout de quelques instants, après s’être battues, déchirées, bécotées comme des fauves, les voilà complétement nazes mes goulues.
Elles ont tant sué, pissé et même pleurer qu’elles nagent maintenant dans le bonheur… le résultat de leurs émotions.

Bon, ce n’est pas tout, il ne faudrait pas vous endormir mes nénettes !
Moi je n’ai pas eu mon compte…
Alors, on repart…

– Une dessous, une dessus et vous me faites briller les armoiries du Patron… Mesdames !

Voilà !…Comme cela…
Le zizi dans le bavoir de mon épouse couchée sous moi…
Et l’écusson pour la servante à genoux derrière…
Humm ! Que c’est bon… Allez-y, ne vous endormez pas sacrebleu !

– Hé Chérie mets-y un peu plus d’ardeur… la Marinette était meilleure ! …

Alors du coup, comme je suis en bonne position, je lui enfile deux doigts, direct dans le croupion, à ma poularde…

Putain, ça lui fait faire un bond et elle m’avale du même coup, tout le paquet cadeau, ras le menton de Marinette occupée à me ramoner le trou borgne avec sa langue pointue

C’est qu’elle me fait du bien cette dernière … elle et en train de m’agrandir la porte cochère, genre la porte d’Aix à Marseille !

Mais où elle veut en venir cette folle-dingue ?

Au secours, elle va me foutre un manche à balai !

– Mais non, mais non, mon lapin… soulève un peu ton cul … tu vas aimer !

Je vais aimer ! Oui mais j’aimerais bien voir ce qu’elle traficote derrière moi, la ménagère ! Mais je ne peux pas. Ma fidèle épouse qui m’aime tant, enserre ma tête entre ses cuisses et je ne peux plus bouger, ni même parler.

Je sens seulement qu’elles sont en train de me graisser le trou de balle … nom de dieu !…J’essaie de remuer le cul…

– Ne t’inquiète pas mon chéri… c’est du beurre.
– Du beurre !.. Mais alors… qu’est-ce que vous al… …

Eh bien je n’ai pas pu en dire plus !…
C’est ce salaud de mari de Marinette… le con !…Il passait par là… Il a sûrement glissé…
Et alors il me fait le coup du lapin (question d’habitude… avec sa levrette !).
… … … … … … … … … … … … … … … … …
Je ne vous en dis pas plus.
Maintenant vous, vous doutez de la suite…
Je ne suis pas très fier… (mais je n’ai pas dit non !).
Ah quelle histoire !
Je vous la laisse terminer… Je crois que je vais passer un sacré quart d’heure…

28/08/2025

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