Histoires de bons plaisirs… Igor et Matilda… par Verdon

Histoires de bons plaisirs… Igor et Matilda… par Verdon

Bon, si vous vous souvenez, dans le dernier épisode, nous en étions au mariage de nos nouveaux amis, Igor et Matilda, fraîchement débarqués de Russie, avec les révolutionnaires aux fesses et qui se refaisait une santé en notre bon pays, non sans renoncer aux joyeuses lubricités cosaques.

Mais cela, c’était il y a des années et après avoir fermé la grande parenthèse, retournons maintenant à cette période plus récente où ces deux moujiks qui ont bien vieilli, sont invités chez Victor et Vivianne, histoire de se rafraîchir les idées, et pourquoi pas autre chose, en même temps.

Bon je sais que vous avez du mal à suivre, moi aussi d’ailleurs… Mais c’est une histoire de cul, alors le tout, c’est d’y tomber dedans, et là je suis sûr que vous êtes tous partant !… (Bande de petits et gros cochons !… ).

Les retrouvailles sont très chaudes, bien sûr, et Igor vous l’embrasse la Vivianne, oh putain qu’il y va, à bouche affamée et langue déferlante, au point que la bonne Dame en perd le souffle et la conscience et s’écroule dans ses bras qui l’étouffent. (C’est déjà une bonne entrée en matière… si je puis dire).

Matilda elle, s’accroche au cou de Victor en le coinçant entre ses grosses mamelles. Elle lui suçote les joues et le bout du nez, ce qu’apprécie le sucé et qui en profite déjà pour lui tapoter son imposant fessier. (Vous voilà donc renseignés sur l’opulence et l’épanouissement des chairs de notre nouvelle connaissance).

Quant à Gégé, avec Igor, il a droit au même service… Diable un baiser sur les lèvres comme pour une femme ! Putain il en revient pas le jeune homme… Ah ces cosaques !… Bon il ne s’est pas attardé l’anthropophage, mais quand même… se faire laper le bocal par un mec… ça ne lui est jamais arrivé au neveu !

Remarquez, la main que le vieux lui a portée aux couilles, ça ne l’a pas forcément déçu… ça prouve qu’il reconnaissait tout au moins, sa virilité… heureusement !

A chacun sa méthode, mais tous sont ravis et, qui s’essuie la bouche ou bien reprend son souffle ou qui se remet les couilles en place, puis les voilà tous à siroter une vodka.

C’est Lucie, la soubrette, qui fait le service. Courte jupette et bustier explosif, comme lui a recommandé la patronne, avec un grand sourire et une allure enjouée, elle te remplit les verres avec décontraction. Il lui plaît, ce vieil excité. Un peu nounours mais l’air féroce, il lui évoque, d’après ce qu’on lui a raconté, des comportements avec les Dames, autant bizarres que captivants. Ça excite même sa curiosité à la jeune femme. Mais ça l’effraie en même temps. (Pourtant elle n’est pas la dernière à aimer se faire besogner par un malotru… ).

– Tu sais, dans ces régions-là, ils te sautent une cocotte, du trou du cul à la cramouille et vice versa sans se rincer le chevillon… lui a dit Victor, avec malice.
– Pouah ! C’est dégueulasse ! Mais il ne me paraît pas comme ça… il est bien ce Monsieur. En tout cas, il ne fera pas cela avec moi.
– Ne t’en fais pas, il ne le fait plus… ce sont d’anciennes coutumes…

Rassurée, elle le trouve plutôt gentil et, polie, elle lui fait un beau sourire.

D’ailleurs, quand elle vient le resservir, il écarte un peu sa chaise, lui passe un bras autour des reins et l’invite à s’asseoir sur ses genoux… N’est-ce pas beaucoup d’amabilité et de franchise, ce geste-là !

Elle hésite, mais le regard encourageant de Matilda, lui fait vite oublier son embarras, et la voilà assise sur les accueillants genoux de l’intrigant personnage.

Evidemment elle a relevé un peu sa jupette, histoire de ne pas la froisser, ce qui ne déplaît pas à notre homme qui d’une main résolue, la fait remonter au plus haut entre ses genoux.

Elle est un peu affolée la bergère. Elle sent déjà une grosseur contre son postérieur, et malgré les sourires de complaisance de son entourage, elle ne peut s’empêcher de penser aux vilaines pratiques qu’on lui a racontées.

Mais non, elle n’a rien à craindre la bichette. Il est très doux ce monsieur… Elle le sent bien, d’ailleurs il lui a déjà glissé une main sur le ventre, peut-être même un peu… sur le bas du ventre.

Ben oui, c’est gentillet, même que c’est affectueux, c’est fait avec tant de douceur que s’en est rassurant.

C’est vrai qu’il a un doigt qui s’est glissé sous le liseré de la culotte… Oh que c’est coquin !… C’est sûrement par erreur, un gros doigt rugueux, c’est maladroit, ça s’accroche involontairement au tissu… Elle est si fine la culotte !

Ah bon ! Il y a les autres doigts qui suivent… Forcément, ça fait des jaloux, c’est tellement doux en cet endroit que deux ou trois autres doigts qui suivent… ben voyons, elle ne va pas s’en plaindre, mais elle ne fait pas exprès… quoique la culotte, si elle soulève un peu le bassin, eh bien elle va descendre la bonne muselière…

Oh ! Il en profite l’amateur…

Ne voilà-t-il pas que tous les gros doigts se faufilent dans l’épaisse toison de notre frémissante serveuse.

Elle n’est pas à l’aise la soubrette. Elle se sent regardée. Elle rougit. Elle serre les cuisses, cherche à se dégager, mais c’est si doux !…

Oh, et puis zut ! Elle écarte les cuisses… .Et ce doigt !

Ce gros doigt, pas très tendre à vrai dire, mais si têtu, si entreprenant… .

Bon sang, elle mouille… oh combien elle mouille, laissant le passage aisé à l’intrus qui pousse, qui pénètre et qui bouge… Oh bon dieu que c’est bon !

Ce n’est pas possible… je vais jouir… Je vais m’envoyer en l’air devant tout le monde… Ah ! Je me lâche pense-t-elle…

Mais voilà que Vivianne pousse sa crise de jalousie, la salope !

– Bon ce n’est pas tout. Il faudrait faire le service mademoiselle… Ne voyez-vous pas que tout le monde attend !

Patatras ! Lucie fait un bon, se relève en réajustant sa culotte et file furieuse et désemparée à la cuisine en marmonnant entre ses dents et en direction de sa patronne… quelques vilains mots qui ne tombent pas dans l’oreille d’un sourd.…

– Oh ben voilà une bonne fessée qui se perd, s’écrie Victor ! A-t-on jamais vu une péronnelle se comporter ainsi avec sa maîtresse ! Igor il va falloir nous la dresser, cette petite garce !

Le vieux cosaque rigole en se suçant les doigts.

– Humm, mais c’est qu’elle est bien crémeuse ta boniche… ne t’en fait pas je vais l’amadouer la pouliche.
– Oui, c’est cela, tu lui défonceras son trou à pine, à cette salope, s’écrie Vivianne pas très aimable envers son égrillarde servante. (mais cette dernière n’en a rien à foutre de ces paroles désagréables, Igor l’excite passablement et bon sang se faire un peu secouer les ovaires ou autre chose en plus, pourquoi pas, surtout si ça fait rager sa patronne !).

La suite s’est passée gentiment, entre adultes heureux de se retrouver et de partager sans aucun embarras, ces petits charmes qui donnent tant de bonheur et de sensations non seulement au corps mais aussi à l’esprit. Ce qui permet à chacun d’exprimer sans aucun préjugé, sa sensualité et de dépasser les a priori de la conformité et de la décence.

Et laissez-moi vous dire que nos amis en profitent, qui entre deux assiettes si judicieusement déposées par notre soubrette nue, ne se gênent pas de lui tâter le cul ou d’embrasser leur voisine qui pétrit en ses mains la bite d’un autre coquin.

Les plats défilent, les boissons vont de pair, et les histoires salées et grotesques n’en finissent plus, tout en se tapant sur le ventre et en rigolant grassement.

Victor grimpe sur la table pour chanter des chansons de salle de garde. Lucie fait de même pour aller pisser dans les verres de ses assoiffés délurés, et même, la salope en profite pour déposer une petite crotte fumante dans la tasse à café de la patronne (bonne vengeance chocolatée et fièrement assumée… ).

Ensuite viennent les choses plus sérieuses.

Matilda qui a bien compris que son coquin de mari a la folle envie de se taper la soubrette, fait tout pour l’encourager, car elle, de son côté, c’est Vivianne qui l’intéresse.

Comme elles ont, toutes deux, des chairs très appétissantes et le désir d’aller surfer sur les lames de leur gros cul, ou dans les flots mousseux de leur vaste vagin, elles sont obsédées par l’idée d’aller y noyer leur bout du nez.

Alors il doit falloir être femme, pour savoir combien ces moments-là sont puissants et intenses et procurent aux officiantes de terribles instants de folie, de dérèglement et de violents amours.

Aussi, pour nos deux femelles qui se roulent par terre, maintenant, sur le tapis, le monde n’existe plus.

Il se résume à une langue folâtrant dans l’entrebâillement d’un trou du cul… et quel cul ! À la succion d’un tétin, à une apnée dans la foufoune d’une scélérate, à des ongles qui griffent, à des tapes sur la peau des fesses, et à des lèvres tant évasées que leurs langues entrelacées s’enfouissent au fond de leur bouche, jusqu’à la glotte.

Seins contre seins ou vulves accolées, elles jouissent de leurs douceurs, de leur fermeté et de leurs humidités. Elles se baisent clito contre clito, elles s’enculent du bout des doigts, aplaties l’une sur l’autre en un 69 démentiel.

Dans l’antre évasé de la raie de leur cul, elles ratissent des lieux quelque peu encombrés de restes encore piquants de leur dernier soulagement, à moins que ce soit les séquelles juteuses de leurs amours précédents. (C’est si bon un anus fraîchement défrisé… Hi ! hi !… ).

Chacune à son tour va livrer de bonnes rasades de pisse à celle qui est dessous bouche ouverte et goulue et seins dégoulinants.

Elles s’écrasent… .Elles s’aiment !… Elles jouissent !…

Et les autres alors, que font-ils ?

Eh bien les autres, ils ne font rien. Je veux dire, qu’ils ne font rien vis-à-vis de ces deux félines

Ah non, ce n’ai pas le moment d’aller promener sa pine dans les parages de ces tigresses en folies, au risque de se retrouver eunuques à frotter le pipi qu’elles ont lâché par terre !

Devant une si belle fantaisie érotique, il faut se contenter de regarder, de se branler peut-être, de prendre des notes pour bien repérer leurs petits endroits les plus sensibles qui vous permettront de les taquiner, plus tard, quand, de nouveau assoiffées de pines, elles viendront, soumises et pantelantes, se jeter dans vos bras.

Les hommes eux, sont beaucoup plus sérieux. Ils aiment le travail bien fait. Ils sont là pour le cul et du cul il y en a… donc il faut en profiter.

Ainsi notre neveu Gégé, qui, vu l’ambiance, bande comme un Turc, a repéré le joli postérieur de son Tonton qui se dandine comme une danseuse au Crazy Horse. Aussi il le cajole le vieil homme. Il lui tapote la fesse. Il lui pince les tétons… mais c’est qu’il réagit bien le coquin… Même qu’ils bandent un peu ses tétins… et remue du cul comme une nana en chaleur…

Alors il essaie la quéquette… Mais là, ça ne répond pas.

Putain pourtant il est beau son os à moelle. Il est gros et tout blanc comme un peu délavé, mais mou, soyeux et tout décalotté.

Il tient bien dans la main et dans la bouche on dirait une guimauve… mais il ne durcit pas, pas moyen, même avec un doigt au cul !

Il faut dire justement que dans ce cul il y a de la place. En effet, un doigt puis deux et ça vous tournicote là-dedans… c’est un trou qui, apparemment, a peur du vide…

Eh bien, le neveu, il a ce qu’il faut pour le remplir cet accueillant pertuis.

Alors, il y va. Il est de bonne composition le jeune homme, une belle tige, longue, ferme, surmonté d’un gland très respectable, insolent, avec une hampe qui se redresse comme la flèche d’un harpon et le tout bien dégagé par un prépuce qui s’est retiré tel le rideau au théâtre… Le spectacle va commencer… .

Gégé, aidé par le tonton qui s’écarte les fesses, il présente son gros écouvillon à l’orée de la brune cavité.

Gégé donc, pousse… ça ne passe pas… C’est un peu sec.

Il trempe ses doigts dans un petit pot de mayonnaise qui traîne encore là, sur la table… et en barbouille sa pine avant de la représenter.

Et zou il enfonce le bel engin, ras ses couilles dans le charmant entonnoir …

– Aïe ! Qu’il crie le gratifié !
(Ne croyez surtout pas que ça lui ait fait mal, au tonton. Au contraire il aime… Il est habitué… Mais il faut bien flatter son macho d’enculeur… ).

– Hé ! Putain que tu es gros ! Tu me défonces ! Va s’y bourre-moi le troufignon !… Tu es un bon mâle !

Encouragé le neveu se l’encule à couilles rabattues… Il pousse, il entre, il ressort et remet ça… Putain ça mousse, ça pète et par devant ça crie !

Quelques bonnes gifles sur la couenne, et il bondit l’enculé il se colle à son bienfaiteur, il bêle et en redemande, jusqu’à ce que ce dernier lui libère à l’intérieur du colon, une purée de poisse à en faire déborder le vase.

Epuisé le vieux s’écroule, mais Gégé n’en a pas fini. Il se le rattrape à deux mains sous l’abdomen et le remonte pour l’achever lentement, sublimement par de longues pénétrations vigoureuses et juteuses et jouisseuses.

Il ralentit… encore un bon coup pour la route (comme on dit… ), et il se retire.

Alors là, il admire son travail le neveu.

Oh putain de trou !

Il n’y a pas à dire… il l’a bien limé le médaillon… Putain… rectifié !…

Du coup le tonton se retourne pour cacher les traces des dernières amabilités qu’il a tant appréciées. Puis, écartant les cuisses il offre à son neveu, sa majestueuse et mollassonne imposture aussi nue et fragile que les abattis d’un chapon à l’étal ou que le tendron d’un boudin blanc !

Que c’est beau, après l’amour, la quéquette d’une bonne tapette…

C’est beau, c’est flasque mais c’est charmant ce petit air de soumission, d’abandon !

Elle est tellement appétissante cette andouillette que Gégé, en se lovant en 69 sur le ventre du tonton, il la caresse, la redresse, la laisse retomber, joue avec elle… la suce, s’en délecte

– Quant à ma pine, Tonton, il faudrait passer au dessert… alors sers-toi, le plat est avancé, chocolatine et crème de roubignolles… et pour finir tes bonnes œuvres, rafraîchit moi la rondelle étoilée pendant que tu y es !

Et voilà, pendant que nos deux amis s’affairent à remettre de la clarté dans leurs affaires intimes, allons voir ce qu’il se passe dans la cuisine, où il me semble bien qu’on entend des bruits bizarres qui, à n’en pas douter ne sont pas des bruits de casseroles.

Ah mais d’après ce que je vois, Igor, ce gros ours mal léché de Sibérie, qui s’est entiché de la bienheureuse Lucette, est en train de la faire tournicoter au tour de son doigt planté dans son trou du cul…

Hé !… On ne va pas brusquement arrêter leur petit jeu… ils ont l’air si heureux tous les deux !
Un gros doigt comme celui-ci… .Je ne vous dis pas !
Quand même, elle fait une sacrée grimace, la toupie !…
Ben, c’est le plaisir… Que voulez-vous !
Et lui… Avez-vous vu comme il bande… Nom de dieu !
Ben j’y mettrais bien un doigt, moi aussi !… et même plus… et vous ?
Bon… Pas tous à la fois !… Ce n’est pas poli !…

Moi, ces Cosaques… Humm !

15/08/2025

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