Je suis une sorcière par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 5 – Trio de sorcières

Je suis une sorcière par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 5 – Trio de sorcières

Pandora et Cédrika, toutes à leur chevauchée ont mis quelques minutes à s’apercevoir de mon absence.

– Merde, elle est où Ludivine ? Finit par s’exclamer Pandora.
– A tous les coups, elle s’est fait avoir par l’autre salope !
– On va retourner voir…
– C’est super dangereux…
– On va faire attention ! Je ne laisse pas tomber ma copine :

Elles retournent donc à la grange… mais il n’y avait rien à voir et aucune odeur de sorcière ne se faisait sentir…

– Bon je ne vois qu’une solution, Cédrika, si tu pouvais retourner chez Fajita et essayer de glaner le maximum d’informations. C’est loin ?
– A côté de Bourges dans le Berry, deux heures de vol ! Je peux aller voir !
– Super ! Moi de mon côté je vais essayer de rencontrer Zéphyra, peut-être qu’elle saura quelque chose. On se retrouve ici demain à la même heure.

Mais le lendemain, si les deux femmes rapportaient des informations, elles n’en n’avaient obtenu aucune à mon sujet.

– J’ignore où est passée Fajita, on m’a simplement indiqué qu’elle était en mission et qu’elle allait revenir.
– Moi, je n’ai pas pu voir Zéphyra, elle est quelque part en France sur le champ de bataille…
– Et donc ?
– Et donc, on va attendre.

C’est ce qu’elles firent et huit jours plus tard, les deux sorcières tentèrent de faire une synthèse de la situation.

Le plan de contre-attaque de Zéphyra avait plutôt bien fonctionné. Une vingtaine de sorcières, en grande majorité des disciples de Fajita avaient été éliminées définitivement. Une violente dispute avait opposé Fajita et Sakouli, la première reprochant à sa rivale d’avoir envoyé ses fidèles au casse-pipe. Les deux sorcières en vinrent aux mains, et contre toute attente Fajita réussit à immobiliser sa rivale et en profita pour lui trancher la tête ! Du côté des adeptes de Zéphyra on ne déplorait que deux victimes.

Exit Sakouli mais il n’était pas question pour ses adeptes de se ranger derrière la bannière de Fajita qu’elles tenaient en grande détestation.

Quelques noms émargeaient pour assurer la succession de la défunte notamment celle d’une certaine Floribelle, ambitieuse comme une jeune louve !

– Floribelle, ce n’est pas la nana qui voulait venir nous emmerder ? Demande Pandora.
– Ben si, justement ! Et elle doit savoir ce qui est arrivé à Ludivine.
– Il faut qu’on trouve son repaire.
– C’est une super sorcière, on n’y arrivera pas !
– Ne soyons pas défaitiste, on va déjà essayer de la localiser et ensuite on avisera.
– Elle risque de nous repérer avant nous !
– On pourrait éventuellement se faire aider par les filles de Fajita.
– A mon avis avec la pâtée qu’elles ont prises, elles doivent être démotivées…
– On peut toujours essayer, c’est quand même dans l’intérêt de Fajita d’éliminer une nouvelle rivale potentielle ! Reprit Pandora.
– Mwais !
– Demain on ira voir Fajita, on verra bien.

Fajita est impressionnante, 1,80 m, de longs cheveux gris légèrement bouclés et des lunettes à grosses montures. (une sorcière à lunettes, voilà qui est étrange !) Elle est tout de noir vêtue, petite robe noire très courte sans manches et ceinturée à la taille. Elle s’est couverte du chapeau cérémonial, pointu et recourbé en son sommet. Elle reçoit ses visiteuses dans une espèce de salon oriental avec des coussins partout. On pourrait se croire dans l’antichambre d’un sultan si les éventails n’avaient pas été remplacés par des ventilateurs d’une banalité déplacée.

Fajita accueille ses hôtes par un baiser sur la bouche, signe de bienveillance envers elles.

Puis, elle prend son temps, fais assoir Pandora et Cédrika, leur propose un café qui est servi par une accorte jeune sorcière, avant de consentir à les écouter.

– Oui, je suis au courant, l’élimination de Sakouli a ravivé pas mal d’ambitions. Il y a notamment Floribelle mais aussi quelques autres pétasses. Si elles pouvaient se neutraliser ce serait la fête.
– Vous ne pensez pas qu’il serait opportun de profiter de la situation pour leur porter le coup de grâce ?
– Non, notre sororité a suffisamment souffert de cette guerre que j’ai eu la faiblesse d’approuver. Alors pour l’instant on se calme, on se réorganise. Cela dit je ne suis pas folle, si vous désirez combattre Floribelle, c’est uniquement pour récupérer votre amie qui serait selon vous, prisonnière dans son repaire… si elle est toujours vivante…
– Disons qu’on aurait pu faire d’une pierre, deux coups…
– Encore faudrait-il que je sache où se planque cette saleté. Or je n’en sais rien. Floribelle a le pouvoir de dissimuler sa présence.
– Alors tant pis ! Veut conclure Pandora en se levant de son coussin.
– Je ne vais quand même pas vous laisser partir sans rien, aussi, je consens à mettre une de mes filles à votre disposition pendant quelques semaines.
– Merci, votre grâce démoniaque !
– Sauf que ce n’est pas complétement gratuit. Dites-moi Pandora, que foutez-vous chez cette païenne de Zéphyra ?
– Je ne crois pas au diable !
– Vous avez grand tort, je l’ai moi-même rencontré, donc il existe bel et bien.
– Peut-être que mes convictions évolueront ! Répondit fort diplomatiquement Pandora.
– J’apprécie votre ouverture d’esprit ! Vous êtes une belle femme, inutile de vous préciser ce qui me ravirait.
– Ce sera un honneur, votre grâce démoniaque ! Répond Pandora. Souhaitez-vous que nous fassions cela maintenant ?
– Oui ! Et nous allons le faire à trois, et pour le confort on ne manquera pas de coussins. Et n’oubliez pas, vous allez être mes jouets… et je fais ce que je veux de mes jouets. Je vous veux soumises ! Objections ?
– Aucune votre grâce démoniaque !


– Alors maintenant à poil et à genoux !

Pandora et Cédrika se déshabillent et s’agenouillent dans une parfaite et classique position de soumission.

Fajita avait déjà eu l’occasion de se gouiner avec Cédrika, mais en ce moment c’est sur Pandora qu’elle flashe sans vergogne. Elle s’avance vers elle, la gifle et lui crache dessus.

Elle se recule d’un pas puis soulève sa robe sous laquelle il n’y a nulle culotte (ami lecteur, amie lectrice si tu as tout bien suivi, tu dois en connaître la raison).

Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il y a du poil en abondance, elle écarte les lèvres de sa chatte charnue et revient près de Pandora.

– Renifle ma chatte ! Allez mieux que ça ! Dis-moi que tu aimes son odeur.
– Oui, oui, ça sent bon !
– Ça doit sentir la pisse, je ne m’essuie jamais, ce sont mes petites novices qui s’en chargent, mais aujourd’hui elles ne l’ont pas fait, je vous attendais ! Allez, lèche !

Voilà qui n’a rien d’une corvée pour Pandora qui lèche la chatte de la grande sorcière et se régale de son jus !

– Continue, fais-moi jouir et en récompense je te ferais lécher mon cul !

On nage en plein romantisme, voyez-vous !

Pandora a tôt fait d’enrouler sa langue autour du clitoris érigé de la grande sorcière qui ne tarda pas à hurler sa jouissance en éjectant un torrent de mouille

– Vous êtes toutes salopes comme ça chez Zéphira ?
– On fait ce qu’on peut !

Fajita se retourne et offre ses fesses à Pandora.

– Et maintenant le verso ! Si tu aimes les bonnes odeurs tu devrais apprécier. Lèche-moi bien mon petit trou !

Et bien sûr que Pandora apprécie, quand on est sorcière on n’est pas bégueule Et pendant ce temps-là Cédrika fait banquette (Eh oui on peut faire banquette en restant à genoux !) Mais elle ne va plus le faire longtemps…

Fajita se recule une nouvelle fois et fait face aux deux soumises. Elle retire sa robe. Elle n’a pas de soutif (imaginez une grande sorcière en soutif, faut pas exagérer non plus !) . Sa poitrine est magnifique, ses tétons sont ornés de grosses boucles de piercing!) et un lourd collier portant un médaillon satanique niche entre ses seins.

– Alors, ça vous plait ? Demande la grande sorcière

Les deux soumises approuvent. Il ne s’agit pas de la contrarier.

– Venez chacune à côté de moi, un sein pour chacune et vous léchez pendant que je me branle la cramouille… Et j’espère que vous appréciez l’honneur que je vous fais !

Fajita s’empare d’un double dong assez long, elle s’en introduit une extrémité dans la chatte, l’autre dans le trou du cul et elle entreprend de faire bouger tout cela, tandis que les deux soumises se régalent de ses tétons érigés.

Cinq minutes plus tard, la grande sorcière jouissait pour la seconde fois…

Wouf ! Ça fait du bien, maintenant on va trinquer. Vous pouvez vous rhabiller !

Elle appelle une de ses novices qui était restée planté là pendant toute la petite séance sans bouger, mais sans perdre une miette du spectacle. Celle-ci quitte la pièce, puis revient avec trois verres à pied en cristal

Fajita porte l’un des verres sous son pubis et pisse dedans, elle le remplit à moitié puis en fait de même avec les deux autres verres.

Il n’y plus qu’à trinquer … et à boire…

– Toi tu m’as l’air d’une sacrée salope ! Je suis sûre que tu adores sucer des bites.
– Ça m’arrive, mais je préfère les femmes ! Répond Pandora.
– Comme toutes les sorcières… Mais n’empêche qu’une bonne bite de temps en temps, ça change, il faut bien varier les plaisirs !
– Certes ! Est-ce que je peux me permettre de vous poser une question ?
– Posez, ma chère mais je devine déjà.
– Vous dites que vous avez rencontré le diable…
– Et vous voudriez savoir comment ça s’est passé, c’est ça ?
– Pardonnez ma curiosité…
– Vous êtes toute pardonnée, en fait je l’ai convoqué plusieurs fois, la dernière fois c’était il y a quatre jours, je voulais qu’il me donne la force de vaincre Sakouli.
– Mais ça s’est passé comment ?
– On invoque le diable en pratiquant un rite au milieu d’un pentacle, seules les grandes sorcières peuvent l’accomplir correctement.
– Ah ?
– Le rite veut que l’officiante soit nue et en levrette au milieu du pentacle. J’ai prononcé le rituel et soudain il est apparu dans toute sa majesté satanique, bite bandée en avant, je l’ai sucé, il m’a enculé, puis il a chié sur moi, c’était divin. En échange de ma soumission, il m’a offert ce que je lui demandais. Vous ais-je répondu ?
– Oui, bien sûr ! Répondit Pandora en s’efforçant de dissimuler son scepticisme

A suivre

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2 réponses à Je suis une sorcière par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 5 – Trio de sorcières

  1. Baruchel dit :

    Une sorcière, ça va
    2 sorcières ça va
    3 sorcières, bonjour les dégâts !

  2. Forestier dit :

    Elles vont finir par me foutre la trouille

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