Je suis une sorcière par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 4 – Méchante Floribelle

Attention : Chapitre contenant de la scato explicite
Floribelle est l’une des favorites de Sakouli, elle est ambitieuse, intrigante et rêve en secret de prendre la place de cette dernière.
Elle estime que la campagne menée par l’alliance entre Sakouli et Fajita peut lui permettre de se distinguer et de faire avancer ses ambitions, mais elle ignore encore comment.
De plus elle est nulle en géographie, on lui a attribué le survol du département de l’Eure, mais c’est l’Eure et Loir qu’elle survole. Or l’Eure et Loir c’est Chartres.
Et en survolant la ville, elle sent notre présence. Et nous la sentons aussi.
– C’est qui celle-là ? Une égarée ? Se demande Pandora.
– On fait quoi ? Demandais-je.
– On l’attend et on la neutralise. Nous sommes deux et même trois si tu marches avec nous, Cédrika ?
– Euh, oui…
Pas trop enthousiaste sur ce coup-là, la Cédrika.
Pandora se concentre, elle apparaît contrariée.
– On a un problème, c’est une super sorcière, elle s’appelle Floribelle, on n’a pas les moyens de la neutraliser pour le moment. il faut qu’on se replie et qu’on trouve le moyen de contrattaquer. Allez en route, les filles !
Ça devient bien compliqué tout ça, et en pleine confusion je me mélange les crayons dans mes incantations magiques et j’envoie mon balai dans les airs… sans moi…
Pandora et Cédrika sont déjà loin et apparemment ne sont pas encore aperçues de mon absence.
Puis les choses se sont précipitées.
Floribelle est maintenant devant moi, elle me nargue avec un sourire carnassier en tendant dans ses mains un long poignard recourbé. (un Janbiya arabe pour être précis)
A ce moment-là, je ne donnais plus cher de ma peau, persuadée que cette furie allait me couper la caboche.
– Novice ? Me demande-t-elle.
Je n’arrive même pas à articuler une réponse, mais c’est inutile puisqu’elle lit dans mes pensées.
– Je ne vais peut-être pas te tuer, ce serait dommage d’abimer une si jolie pute… mais il y aura des conditions.
Qu’est-ce qu’elle va me sortir ?
– Des conditions ?
– Oui, tu seras mon esclave !
Bah ! Tant que j’ai la vie sauve… Et puis je suppose que Pandora et Cédrika vont tenter de venir me récupérer.
– Je t’emmène dans mon repaire à côté de Montaigu en Vendée, on discutera plus tard. Et comme tu n’as plus de balai, tu vas monter en croupe. On en a pour plus de trois heures, on s’arrêtera à mi-chemin pour se restaurer un peu.
On a donc fait comme ça, madame avait soif. nous avons fait une halte près d’Angers. On s’est posé dans un coin discret, on a y a laissé son balai le temps de gagner un bistro, de commander à boire et de manger un sandwich.
– Vous en avez de drôles de chapeaux ! Se gausse le serveur.
– On a aussi des drôles de culottes, mais on ne vous les montrera pas.
Le serveur persuadé d’avoir affaire à deux timbrées n’insiste pas. Quant aux culottes, faut-il rappeler que nous n’en portons pas !
– C’est quoi dans ton sac ? me demande-t-elle.
– Des trucs personnels.
– Fais voir ?
Je fus bien sûr dans l’incapacité de refuser. Elle farfouille, extrait ma carte bancaire.
– Ça, t’en auras plus besoin, on va la jeter !
On est allé récupérer le balai mais auparavant cette salope a jeté ma carte bleue dans un caniveau.
Et c’est reparti. Je pensais que Pandora et Cédrika prendrait une initiative… mais je n’ai rien vu venir.
On a volé jusqu’à un corps de ferme dans un très mauvais état.
– C’est là que je squatte ! Me précise Floribelle. La ferme est pratiquement à l’abandon, le fermier vit seul et ne fout plus rien. Il accepte que j’occupe ses locaux, en échange je lui fais ses courses, et aux yeux des gens je me fais passer pour sa petite fille.
On rentre, on boit un verre d’eau dans la cuisine avant de se diriger vers un véritable donjon de domination.
Croix de St-André, chaines, étagères remplies de gadgets divers et variés, rien ne manque… Il y aussi deux cages assez grandes. Chacune est occupée par une fille complétement nue et au regard inexpressif.
– Ces deux trainées ce sont Sylvette et Agathe, des sorcières de la bande à Fajita que j’ai capturées il y a quelques mois… afin de me divertir un peu
Agathe est une jeune femme rousse, filiforme et frisée, de beaux yeux bleus, des seins moyens, des taches de rousseur. Sylvette une brune mature légèrement enveloppée et dotée d’une forte poitrine.
– J’aurais pu leur couper la tête, Reprend Floribelle, mais j’ai préféré les garder pour m’amuser avec. Je suis très joueuse. Et pour l’instant j’ai très envie de jouer avec toi ! Tu vas déguster, ma grande ! Allez à poil !
J’obéis, pour l’instant je ne suis pas sous son emprise alors qu’elle pourrait très bien m’y mettre. Je finis par comprendre pourquoi, ne pas me contrôler c’est se nourrir de ma peur et de mes angoisses ! La salope !
Mais alors, que faire ? Me rebeller ne me mènera nulle part, il me faut donc jouer le jeu en espérant que je vais pouvoir le supporter… et attendre l’occasion de me sortir de cette situation.
Je me déshabille donc, provoquant un sifflet admiratif de la sorcière.
– Dis donc t’es roulée comme une charlotte aux fraises !
On ne me l’avait jamais sortie, celle-ci !
– Tu faisais quoi avant d’être sorcière ?
– Tu le sais très bien puisque tu lis dans mes pensées
– Je ne t’ai pas autorisé à être impertinente ! Me répond-elle en me giflant.
Mais c’est qu’elle m’a fait mal cette conne !
La sorcière s’en va ouvrir les cages.
– Suspendez moi cette pute par les poignets, prenez des pinces pour les fixer sur ces tétons. Ensuite vous allez la fouetter, le cul et le dos pour l’instant, on verra le reste après. Et pendant ce temps-là je vais me m’astiquer la chatte.

Du coup Floribelle se déshabille à son tour ! Elle est super bien foutue cette pétasse ! Faut bien le reconnaitre !
Les deux esclaves me pincent les tétons, sans m’empêcher de faire une vilaine grimace qui a l’air d’amuser la sorcière.
Puis les coups commencent à tomber et cette fois je ne peux m’empêcher de crier et de faire couler des larmes.
– C’est ça, pleurniche, comme ça tu pisseras moins ! (oh, le cliché !)
Et ça continue à dégringoler… Mais elles vont arrêter quand ces connes ? Je dois avoir le cul rouge comme une tomate.
Et les voilà qu’elles me retournent. C’est sur mes seins et ma chatte que les coups vont maintenant pleuvoir.
– Non pas ça, pitié !
– Continue à geindre, ça m’excite ! Me répond l’autre abrutie
J’ai lu quelque part qu’en pareille situation on pouvait sublimer la douleur afin de la transformer en plaisir. Le souci c’est que je n’ai aucune idée de la façon de s’y prendre.
En me fouettant les seins, la lanière fait sauter les pinces de mes tétons. Je vous laisse imaginer la douleur. Et ça les amuse ces salopes, surtout Agathe qui rigole comme une bossue. Et les coups sur la chatte…, si ça continue je vais m’évanouir !
Heureusement Floribelle a tout de même l’intelligence (façon de parler) de faire arrêter les coups. On me détache.
– Tu dois avoir soif ! Allonge-toi par terre et ouvre grand ta bouche !
J’ai presque honte de le dire, mais boire sa pisse après tout ce qui a précédé était presque un soulagement ! Mais l’humiliation n’était pas terminée. Accroupie au-dessus de mon visage, Floribelle se met à pousser… Elle ne va quand même pas…
Instinctivement je tente de me dégager, mais la salope fait appel aux deux autres esclaves afin qu’elles m’immobilisent
Et voilà qu’un insolent étron brun s’évade du trou du cul de la sorcière. Je ne sais si c’est parce que je suis sous emprise ou si mon subconscient me fabrique une défense imaginaire, mais voilà que je trouve ce long boudin attendrissant.
Il se brise, tombe sur mon visage, par reflexe j’ai fermé la bouche. L’odeur de merde envahit mes narines mais sans me dégouter.
Floribelle me pince le nez m’obligeant ainsi à ouvrir la bouche, elle peut ainsi m’y introduire un peu de matière.
J’ai maintenant ce goût particulier dans bouche. Il aurait pu me révulser… Mais non, à ma grande surprise, ça n’a rien d’abominable ! Attention ce n’est pas de la truffe blanche non plus, mais ça passe. Serait-ce aussi l’effet de l’emprise ! Je ne saurais dire.
Les deux autres esclaves (et contentes de l’être, apparemment) s’en donnent à cœur joie et me traitent de dégueulasse et de bouffeuse de merde.
On a la délicatesse de m’enlever ce boudin de mon visage. Floribelle et Agathe se le partage dans leurs mains… Pourquoi faire ?
Elles me barbouillent le visage et la poitrine avec la merde. Je n’ai pas de miroir à ma disposition, mais je vous laisse imaginer le tableau !
Fin du délire, on me raccompagne dans ma cage, on m’enferme.
Je vois alors la sorcière coincer le restant de son morceau de sa merde entre ses lèvres, Agathe la rejoint et les deux femmes s’échangent un baiser insolite. Sylvette ne voulant pas être en reste vient participer à cette étonnante fantaisie. Et après on va dire que c’est moi la dégueulasse !
A suivre
- Plus de 3700 textes et récits
Cochonne la sorcière !