Coquine Léah – 3 – Délires humides par Eric 3
Léah est maintenant au volant de sa voiture, en chemin pour le café où Franck et elle se sont donnés rendez-vous. Le temps est si doux qu’elle n’a pas s’empêcher de décapoter pour profiter des caresses des rayons de soleil et du vent dans l’habitacle. Elle est maintenant en ville, le trajet ne sera plus long. Arrêtée à un feu, elle prend soudain conscience du regard appuyé que lui lance un motard arrêté à sa hauteur.
« Mais ce salaud, qu’a-t-il a ma déshabiller comme ça ? Il est limite incorrect ! »
Et de s’apercevoir alors que, sans qu’elle n’y eut prêté attention, le vent s’était chargé de lui trousser sa robe légère jusqu’en haut des cuisses, sans doute pouvait-il même apercevoir un petit coin de sa culotte! Pudique, elle remet l’étoffe en place mais ne peut s’empêcher de faire son plus charmant sourire au motard, qui lui répond d’un petit signe de la main. Cette petite scène a attisé son humeur frivole, et elle redémarre tout doucement, le laissant passer devant elle. Il ne met pas longtemps à la semer dans la circulation, et un quart d’heure plus tard elle trouve enfin à se garer près de l’endroit ou elle doit retrouver son amant, et s’apprête à descendre de la voiture.
– Et alors, belle dame, on s’amuse à aguicher les motards inconnus…?
Surprise, elle se retourne et voit alors Franck debout derrière sa portière, lui lancer un regard mi-furibond mi-coquin, et reconnaît en lui le motard de tout à l’heure dont le casque masquait le visage.
– Oh euh…je ne l’ai pas fait exprès, c’est à cause du vent !
Elle se sent un peu gênée par cette coïncidence, elle ne voudrait pas que Franck la prenne pour une femme légère, facile.
– M’ouais, le sourire aussi c’était dû au vent ?
– Non, le sourire c’était dû au plaisir de venir te retrouver !!
– Ah, voila qui me rassure sur la légèreté des moeurs de Madame !
Et de lui faire un clin d’œil tout en lui ouvrant la portière. Léah lui tend ses lèvres qu’il embrasse fougueusement, puis descend lentement, laissant Franck profiter amplement de la vue que lui offre cette gymnastique. Il lui pose délicatement la main sur la hanche tandis qu’elle verrouille sa portière, puis ils s’en vont ainsi enlacés s’asseoir à la terrasse du bar. A cette heure de la journée, il n’y a pas trop de monde, et ils trouvent facilement une table un peu à l’écart du passage. Ils se mettent à discuter du choix du film qu’ils vont aller voir tout en sirotant leurs boissons. Soudain, Léah sent le pied de Franck qui lui caresse doucement la cheville. Tout en lui lançant un regard complice, elle décroise alors les jambes et emprisonne légèrement celui-ci de son autre cheville. Franck ne tarde pas à entreprendre l’ascension du mollet, et elle prend grand plaisir à cette caresse sensuelle qu’elle maintient toujours légèrement enserrée entre ses jambes. Il commence maintenant à aller et venir le long de ses cuisses, s’insérant sous sa robe. Léah lui laisse la voie libre, incroyablement excitée par cette caresse discrète, puis resserre les cuisses de façon à l’emprisonner en son giron. S’apercevant que personne de fait particulièrement attention à eux, elle se lève alors légèrement de sa chaise, écarte sa robe et vient s’accroupir sur le pied de Franck, laissant son bassin aller et venir par légers mouvements.
– Allez fais pipi, maintenant, petite chienne !
Léah est surprise et choquée par le ton que prend Franck ! Se croit-il permis de lui donner des ordres, de l’insulter en plus ? Elle cherche son regard, celui-ci se donne des airs de dureté qui la surprennent, chez ce garçon qu’elle ne connaissait que si doux ! Ceci provoque en même temps un trouble qu’elle ne sait s’expliquer, et un besoin impérieux d’obéir à cet ordre. Elle commence à laisser sa vessie de vider lentement, juste assez pour provoquer une douce sensation de chaleur imprégner sa culotte, puis se contrôle pour rester présentable.
– Mhhh c’est bien, maintenant arrête ou tu vas me faire honte !
Léah n’est pas dupe de cette remarque, mais se lève néanmoins pour aller finir de vider sa vessie aux toilettes. Elle s’aperçoit au passage que la chaussette que porte Franck est marquée d’une belle auréole, elle croyait pourtant s’être mieux contrôlée ! Elle sent d’ailleurs des petites gouttes lui glisser le long des cuisses tandis qu’elle marche, cela lui provoque des sensations extrêmement érotiques. Assise sur le siège des toilettes, elle n’a pas encore commencé à uriner qu’elle voit qu’on essaye d’ouvrir la porte ! Coquinement, elle tend alors le bras pour ouvrir le loquet. Elle voit alors la porte s’ouvrir lentement et Franck rentrer, ayant retrouvé son visage d’adolescent.
Je peux te regarder ?
– Mais bien sur mon chéri, tiens caresse-moi en même temps!
Franck ne se fait pas prier et commence à la caresser et la masturber doucement tandis qu’elle laisse le flot s’échapper complètement. C’est une sensation exquise! Tandis qu’elle remet sa culotte en éprouvant un frisson sous l’humidité fraîche du tissu, elle voit Franck porter ses doigts à sa bouche et se les lécher goulûment. Cette vision provoque chez elle un élan de tendresse, et elle l’embrasse passionnément tout en laissant ses mains se promener sur sa robe avant de sortir des toilettes, suivie par Franck, amusée par le regard interloqué que lui envoie au passage une jeune fille occupée a se refaire une beauté face au miroir des lavabos.
– Mais, Monsieur, vous êtes dans les toilettes des dames !
– Oui, Mademoiselle, merci, j’avais remarqué !
La jeune fille en reste pantoise, puis reprend son ouvrage, tandis que Franck gratifie Léah d’un clin d’oeil complice. Ils remontent l’escalier des toilettes en se tenant par la main, puis vont se rasseoir à leur table afin de statuer sur le film qu’ils vont voir.
Soudain Léah aperçoit son amie Hélène en grande conversation avec une femme à quelques tables de là. Ooops! Flagrant délit! Mais celle-ci ne semble pas l’avoir remarquée. Elle tache donc de lui tourner le dos, puis persuade Franck de sortir par la porte du café qui donne sur une rue adjacente afin d’éviter de passer devant leur table. Etrangement, celui-ci ne se fait pas trop prier, bien que cette solution les oblige à faire un détour pour rejoindre le cinéma.
– Je n’osais pas te le dire, mais il y avait à la terrasse du café ma meilleure amie, c’est la femme du patron de mon mari en plus !
– Je ne comprenais pas pourquoi tu étais si nerveuse ! Moi aussi, il y avait ma mère un peu plus loin ! Heureusement qu’elle ne nous a pas vus, elle est capable d’être très très chiante quand elle s’y met ! Je la vois déjà, oh mais tu ne veux pas me présenter ton amie, etc ! Elle voudrait que je sois quasiment déjà marié à 20 ans! Il est vrai qu’elle, elle n’a pas attendu si longtemps! »
– Vraiment? Elle t’as eu si jeune ?
– Bah parlons d’autre chose !
Cette petite conversation les a amenés jusqu’au cinéma, ou heureusement il n’y a pas de queue à cette heure. Ils prennent leurs places et vont s’asseoir dans la salle obscure. Léah ne peut empêcher son genou d’aller effleurer celui de Franck, lequel répond à cette caresse en accentuant légèrement la pression et en lui prenant la main. Ils restent ainsi à se murmurer des mots au creux de l’oreille jusqu’au début du film. Elle sent alors sa main se poser sur sa cuisse et commencer à la caresser délicatement. Léah s’abandonne complètement à cette caresse, qui lentement atteint le haut de ses cuisses et commence à se glisser sous l’élastique de sa culotte. Elle est comme dans un état second, sentant l’excitation qui la gagne au fur et à mesure que les doigts de Franck se font plus entreprenants. Elle relève un peu sa jupe et commence à uriner au moment où elle sent son doigt la masturber. Elle va être complètement trempée !! Mais elle n’a plus envie de se cacher comme une petite fille, elle sent maintenant une flaque lui baigner son postérieur tandis que le doigt de Franck va et vient de plus en plus frénétiquement. C’est si bon, elle sent des frissons de plus en plus violents la gagner. Elle pose alors également sa main sur la braguette de Franck et commence à le déboutonner. Elle ressent son état d’excitation qui tend son jean à le faire craquer ! Tiens ? Quel slip bizarre pour un homme ? Risquant un oeil, elle entrevoit dans la pénombre que celui-ci porte sa culotte de la semaine dernière!
– Je ne l’ai pas lavée… lui susurre-t-il à l’oreille
– Oh le petit cochon ! Lui répond-elle doucement en se penchant pour le prendre entre ses lèvres.
L’odeur d’urine qu’elle sent lui monter aux narines la rend presque folle d’excitation, elle ne peut s’empêcher d’accélérer le rythme de ses mouvements, jusqu’a ce qu’elle sente brusquement les longues giclées de semence lui envahir la bouche, lui couler dans la gorge. Elle continue à le lécher pendant qu’il la masturbe de plus en plus fort, et son orgasme ne tarde plus à survenir, oh !!! Et cela ne fait jamais que trois quarts d’heure qu’ils se sont retrouvés, voila qui promet !
Maintenant que leurs sens sont pour le moment calmés, ils se décalent d’un siège pour offrir un environnement plus confortable au postérieur de Léah, et il en profite pour lui enlever sa culotte et la faire disparaître dans une de ses poches.
– Le salaud, ça fait déjà deux de mes culottes préférées qu’il me chipe, pense-t-elle, mais au fond d’elle-même elle sait qu’elle adore lui faire ces présents.
Elle sent son bras qui l’enlace et se love tout contre lui pour regarder la fin du film, auquel elle ne comprend décidément rien ! Elle a du rater un passage, il faudra qu’elle demande à Franck de lui raconter! La séance se termine maintenant, Léah a du mal à s’extirper de la douce torpeur ou l’ont plongée les bras de Franck. Ils restent la tendrement enlacés, attendant que les quelques autres spectateurs aient évacué la salle, tout en continuant à se prodiguer des petites caresses. Ca tombe bien, sa jolie robe a peut-être pâti de ses aventures! Il faudra faire attention, quelle honte si on la voyait ainsi en public ! Franck se lève enfin et la prend dans ses bras pour l’amener vers la sortie.
– Mais, tu es fou !! Laisse-moi enfin !
– Voilà, princesse…Vous avez d’autres idées pour continuer la soirée ?
– Mhhhh…Dis je peux te demander? Ça fait hyper longtemps que j’ai pas fait un tour a moto !
– Oh si tu veux! Mais alors après tu me fais essayer ta jolie petite Lotus ?
– Marché conclu! Mais fais attention, hein ! Et à moto aussi, j’ai très peur !
– Pas d’inquiétude ma chérie…Je n’ai pas pour habitude de faire mouiller leur culotte à mes passagères!
– Oh ! Répond-elle scandalisée en lui infligeant une petite gifle.
…à quoi il répond par une main aux fesses dans la plus pure tradition, et ils se mettent en route vers la suite de leur ballade.
Eric le 5 Avril 2004
Bon style et fantasme intéressant
Dommage que l’auteur en soit pas relu et qu’il règne un sentiment de confusion