Humilié en jupe (1ere partie) par Anderailles

Il y a quelque temps, j’étais à la fête d’anniversaire d’un copain. J’étais
avec plusieurs amis et une fille que j’ai connu à l’université et qui ne me
laissait pas indifférent et qui répondait au doux nom de Adeline. La fête
battait son plein, l’alcool aidant, et nous rigolions bien. Soudain, un pote
à moi, François, a pris sur son épaule Adeline ; les fesses de cette de
cette dernière dans son dos. Je suis arrive et j’ai mis quelques petites
tapes amicales sur son jolie fessier. Une fois à terre, elle voulu me mettre
une claque, que j’évitai, mais elle me dit qu’elle se vengerai. J’avais
oublié cela lorsque une fois assis sur le canapé, elle discutait avec des
amies. J’étais juste à côté et j’écoutais la conversation. Je me suis mis
face à elle et quelqu’un me poussa dans le dos et me fit tomber sur les
genoux d’Adeline. Elle mit une de ces jambes par dessus les miennes pour me
bloquer et m’empêcher de bouger. Elle commença alors à me fesser en me
rappelant qu’elle m’avait promis de ce venger. Les claques continuèrent à
tomber et commencèrent à me faire mal. Mes copains admirèrent la séance et
rigolaient tous. Soudain, les claques s’arrêtèrent et Adeline me dit de me
lever ne me disant que la punition ne venait que de commencer et que j’avais
besoin d’une bonne correction suite à mon comportement sur le net à force de
lui montrer des photos de fessés. Elle me tira par l’oreille et m’amena dans
une chambre. Avec une corde dont je ne connaissais pas la provenance, elle
me ligota au pied d’un lit et me dit de l’attendre. Elle revient quatre
heures plus tard pour me dire qu’elle me ramenait chez moi.

Quelque jours plus tard sur Internet, elle me demanda si je voulais manger
avec elle le lendemain soir avant ma séance de Badminton, j’acceptai, tout
content de la revoir. Si j’avais su, je me serai abstenu. Alors que je me
dirigeais vers le Restaurant Universitaire pour y manger, elle me dit
qu’elle préférait manger chez elle. Elle mit un rôti dans le four et nous
montâmes dans sa chambre. A ce moment la, elle me tira par l’oreille, comme
lors de la soirée, me mit sur ces genoux et me refessa. Cela ne faisait pas
très mal car mon Jeans protégeait mes fesses. C’est alors qu’elle me
déculotta complètement, c’est à dire le pantalon et le caleçon. Elle se
remit à taper plus fort puis cessa d’un coup. En fait, elle pris une brosse
à cheveux qui traînait sur sa table de nuit et recommença de taper avec le
côté plat tout d’abord puis avec les piquants. Je commençais réellement à
avoir mal et je me mis à pleurer. C’est en fait ce qu’elle attendait c’est
que je lui demande pardon et que je m’excuse en lui promettant de faire tout
ce qu’elle souhaitait. Elle répondit alors, toujours en tapant sans relâche
et moi pleurant comme une madeleine:

– Tu vois que tu avais besoin d’une bonne correction mais elle n’est
toujours pas finie. Je constate que tu chiales comme une gamine. Comme tu es
gamine, qu’est ce que tu dois faire ?
– Je ne sais pas.

CLAP
Elle m’a alors désigné un tas de vêtements sur une chaise qui, à première
vue, avaient l’air très féminins.

– Je pense que j’ai compris. Je pleure comme une fille, je me comporte comme
une gamine donc je dois m’habiller comme une fille.
– Je vois que tu as compris et c’est pour cela que tu vas aller dans la
salle de bain et te foutre à poil. Et plus vite que cela. Surtout, ne
touches pas tes fesses ou gare à la sanction approprié.

Je suis donc rentré dans la salle de bain et j’ai commencé à me déshabiller.
Une fois nu, j’ai pu admirer la couleur cerise foncée de mon derrière
cramoisi. J’ai dû lui donner mes affaires puis elle rajouta :

– Bon, maintenant que tu es à poil, je vais te filer tes frusques. Tu devras
les mettre au fur et à mesure et tu me les nommeras et tu me diras :  » merci
Maman « .

1er habit : un string blanc très petit et avec des dentelles.

– Merci maman de me donner un string.

2e habit : le soutien gorge, tout aussi mini, assorti au string.

– Merci maman pour ce joli soutien gorge

Au final, je me suis retrouvé habillé avec une minijupe, des collants noirs
en Nylon, des talons aiguilles, un chemisier.

– C’est bien ma petite, tu fais bien salope. C’était la première étape. A
présent, tu vas te maquiller devant moi. Pour cela, je t’expliquerai ce que
tu dois mettre et comment mais tu le feras tout seul. Pour cela, tu vas
coincer ta jupe dans la ceinture, baisser tes collants et ton string que je
vois à tout moment tes fesses de poufiasse. Ainsi, si tu te maquilles mal,
tu seras puni.

– Oui, maman.

Je me suis donc retrouvé avec rouge à lèvre, fard, bleu pour
les yeux, verni à ongles rouge.

– Evidemment, c’est mal fait. Tu vas me demander de te punir avec
l’instrument de ton choix et le nombre de coup pour t’être mal maquillé.
– Maman, je suis désolé de m’être mal maquillé. Peux tu me punir s’il te
plait ?
– On me vouvoie mademoiselle
– Pardon. Mère, pouvez me punir à la main avec 10 coups compté bien fort, en
remerciant à chaque fois et en disant combien il reste de coups ?
– Ca fera 15 coups, petite insolente.

Les coups commencèrent à tomber.

– UN ! Merci Mère pour ce coup amplement mérité. Pouvez vous m’en donner
encore 14 ?
– A présent, tu vas au coin, le string, les collants et la jupe au niveau
des mollets. Tu prends dans ta bouche ton chemisier et tu mets tes bras sur
la tête, le nez collé contre le coin. Tu m’attend et surtout tu ne bouges
pas ou sinon…

Elle revient environ 30 minutes plus tard.

– Bon, je vais t’expliquer ta formation car tu as besoin d’être rééduquer
sérieusement.

Je me tiens debout, toujours entravé au niveau des chevilles, les bras
croisés dans le dos et la tête baissée.

– Tu devras venir manger 3 fois par semaine chez moi. En arrivant, tu devras
t’habiller et te maquiller comme maintenant, en me remettant tes vêtements,
que je mettrai sous clé jusqu’à ton départ. Une fois prête, tu viendras me
raconter les journées précédentes, en oubliant aucun détail, et en disant à
chaque fois les punitions méritées. Une fois les punitions réalisées, tu
iras évidemment au coin pendant le temps nécessaire au vu de tes journées.
Ensuite, je te ferais faire tes devoirs avec punitions corporelles pour tout
manquement aux règles de l’école de chez moi. Pour ce qui est de ces
punitions : tu auras droit aux coups de règles sur les doigts et les fesses,
ainsi que le cannage. Apres les cours du soir, nous passerons au dîner. Il
te faudra alors te changer avec des vêtements que tu achèteras jeudi après
midi. En effet, jeudi, nous irons faire quelques courses pour ta garde robe
et pour ton apprentissage. En attendant, voici l’objet que tu devras mettre
dès que tu passeras la porte et même avant de te changer.

Elle me tendit un gros collier avec des clous, comme pour les chiens.

– Voici ce qui va avec, à savoir la clé, pour éviter que tu ne l’enlèves, et
la laisse pour que tu puisses me suivre partout. Je te le mets maintenant.
CLIC. A présent, il te faut un nom de petite chienne à dresser. Que penses
tu de Laïka ?
– C’est très bien maman.
– Je veux que tu m’appelles maman quand tu es dans cette tenue de petite
fille, maîtresse à l’école et quand nous passerons au dîner ainsi que quand
je te donne des ordres sur ton habillement.
– Bien maîtresse.
– Maîtresse Mito de préférence.

Elle me mit à 4 pattes et nous fit descendre dans la cuisine pour y déguster
ce succulent rôti.
Apres le repas, elle me rendit mes habits, qu’elle avait mis sous clé, pour
que je puisse aller au Badminton mais rajouta avant que je me change :

– Tu gardes ton String jusqu’à notre prochaine rencontre, c’est à dire jeudi
après midi.

Anderailles

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